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Le ministère de la Défense confirme le limogeage du général-major Abdelkader Lounès

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ARMEE

Le ministère de la Défense confirme le limogeage du général-major Abdelkader Lounès

Le ministère de la Défense a annoncé mardi dans un communiqué que le général-major Abdelkader Lounès a été limogé et mis à la retraite. Ce communiqué vient confirmer l’information que nous avions publié début septembre.

Selon le même communiqué du ministère de la Défense, le vice-ministre de la Défense nationale, chef d’Etat-Major de l’Armée Nationale Populaire, effectuera, demain mercredi 19 septembre 2018, une visite de travail au Commandement des Forces Aériennes. Gaid Salah profitera de cette visite pour installer le général-major Hamid Boumaïza à la tête de l’armée de l’air. Ce dernier était à la tête de l’école d’aviation de Tafraoui.

 

Auteur
La rédaction

 




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Les loups se battent entre eux mais ne se dévorent jamais !

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Perquisitions chez cinq généraux-majors

Les loups se battent entre eux mais ne se dévorent jamais !

Depuis une trentaine d’années j’ai souvent repris ce titre car la même histoire, éternelle, se reproduit en Algérie. On nous annonce la perquisition aux domiciles de certains généraux majors et voilà que certains se mettent à rêver d’une implosion du régime. C’est ignorer le passé, ce pays et ses hommes de pouvoir.

Je n’étais pas plus haut que ma dizaine d’années lorsque je fus confronté à une terrible nouvelle, de celles qui glacent le sang car on m’annonçait l’exécution d’un homme du pouvoir, donc bien identifié par son nom, ses photos dans la presse et sa fonction.

Mon homonyme venait pour la première fois de faire savoir, urbi et orbi, qu’il allait exécuter un PDG d’une société nationale pour cause de corruption. Car à cette époque, ce ne sont pas les juges qui condamnaient à mort un homme de cette importance, mais directement le bureau du tsar de toutes les Algéries.

Cela m’avait ému et j’avais pensé « bigre, qui va oser remettre la main dans la caisse ? ». J’étais bien jeune et bien naïf car ni la corruption ni les menaces d’exécution ne se sont arrêtées dans le régime du tsar. Même chez nos maîtres et dieux de l’époque, les colonels, il y avait des règlements de comptes dont le commun des mortels n’était pas informé et la corruption ne faisait pourtant que s’amplifier, dans un réseau interne qui s’auto-alimentait.

De temps en temps, on n’entendait plus parler d’untel au conseil national du FLN ou dans une région militaire. Cela faisait les causeries de nos aînés qui s’engouffraient dans des explications vaseuses où l’illusion était que le vilain avait été écarté, celui qui avait fait du mal au gentil peuple. La justice régnait, nous pouvions dormir tranquille, les corrompus étaient hors d’état de nuire, la sécurité militaire veille.

 

Même très jeunes, nous n’étions pas dupes, bien entendu, et nous savions qu’il s’agissait de règlements de comptes. Militaires, hommes d’affaires, leurs cousins et frères, tous y sont passés et à aucun moment ce pays n’a eu un répit dans le terrible combat que se livraient les loups. Ils avaient un instinct de meute et une rage innée à défendre leurs territoires, donc à s’attaquer à tous ceux qui souhaitaient leur en confisquer une partie.

 

Car dans ce monde de loups ce n’est pas le sang et la corruption qui effraient et arrêtent la frénésie mais au contraire excitent les instincts primaires. Aujourd’hui, c’est un général qui dirige la meute, demain c’est son rival et ainsi de suite. Mais jamais les intérêts du groupe ne sont menacés par d’autres intérêts qui prendraient le pas sur sa survie.

Des généraux majors ont été perquisitionnés à leur domicile, et alors? Ce n’est pas nouveau pour des hommes de pouvoir mais juste le mécanisme naturel et constant. Il serait pure folie que l’on puisse penser arrêter les malversations économiques et politiques sur des constatations d’ordre judiciaire. Des loups ont perdu, d’autres les remplaceront dans la conduite de la meute, plus forts, plus enragés par le pouvoir et l’argent.

C’est comme cela que s’opère la sélection naturelle. Mort aux faibles, seuls les plus forts survivent. Des juges d’instruction, jusque-là silencieux, vont avoir subitement un zèle étonnant. Ils ne se réveillent que lorsqu’il s’agit de proies affaiblies, celles qui sont à genoux et sans risque que les plus forts ne les défendent.

Ainsi va l’Algérie, dans un système politique qui se régénère perpétuellement dans la violence extrême. Mais, paradoxalement, la principale source de cette régénération ne vient pas des généraux mais d’une partie de la population qui constitue leur assurance-vie.

Comme depuis cinquante ans que je constate la scène, j’ai bien lu que des citoyens appelaient de leurs vœux l’élection d’un général à la place de notre Abdelaziz national. « Celui-là n’est pas comme les autres » disent en chœur les brebis.

C’est qu’en Algérie, les brebis pensent que les loups les protègent des autres prédateurs. C’est dire l’état du niveau d’instruction à l’école algérienne !

Auteur
Boumediene Sid Lakhdar, enseignant

 




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La gifle de la chancelière Angela Merkel au gouvernement algérien

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Des milliers de sans papiers algériens seront expulsés d’Allemagne

La gifle de la chancelière Angela Merkel au gouvernement algérien

L’on s’attendait à un rush des investisseurs allemands sur le marché algérien en perte de vitesse suite à l’effondrement des cours du pétrole voilà que l’on se retrouve sur les bras avec un retour massif au bercail de pas moins de 4.000 migrants Algériens en situation irrégulière en Allemagne.

Un cadeau empoisonné que la chancelière Allemande n’a pas désespéré de nous fourguer malgré le report à maintes reprises de sa venue en Algérie. Considérant l’Algérie comme un des « pays sûrs » autour de la méditerranée et de toute manière le chef du gouvernement Ahmed Ouyahia ne pouvait que dire « oui » à cette opération de rapatriement sachant que lui-même a usé et même abusé de la même méthode concernant les migrants subsahariens en Algérie.

La relance économique, la création d’emplois, l’attraction des IDE virent plutôt à l’Arlésienne, comme de ces choses que l’on attend toujours mais qui n’arrivent jamais. L’intérêt des pays occidentaux pour le marché algérien ne semble être qu’un lointain souvenir et à fortiori pour l’Allemagne d’aujourd’hui.

Avec la chute des cours du pétrole la situation économique et sociale de l’Algérie se complique de plus en plus et le palliatif de recours à la planche à billets ne fait que retarder la banqueroute nationale car le syndrome Vénézuélien menace à tout instant en restant suspendu au moindre flottement du prix du baril de pétrole.

C’est pour toutes ces raisons que la visite de la chancelière allemande Angela Merkel n’apporte rien de plus que ce qu’elle peut apporter. Elle ne sauvera pas une économie en totale déperdition bien au contraire elle en rajoutera une autre touche sombre au triste état des lieux avec l’expulsion de milliers de migrants algériens qui ont fui la misère du pays, l’immobilisme et la démocrature.

Auteur
Khellaf Hellal

 




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Que faire pour se sauver ?

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Regard

Que faire pour se sauver ?

Jusqu’à quand les autorités doivent-elles compter sur les forces de l’ordre pour tenir le peuple ?

L’effet psychologique de la crise se constate facilement dans toutes les rues d’Algérie. 

Pas besoin d’analyses pointues de spécialistes pour s’en rendre compte ! Nos citoyens ne supportent plus d’être pris en otage par une élite vieillissante qui gère, paraît-il, «aléatoirement» le pays. 

Comment convaincre, par exemple, un habitant de Bab El Oued, de Nâama ou d’Arzew qu’on planifie, en haut lieu, pour les prochaines décennies alors que les choses courantes du quotidien se gèrent mal : entretien des espaces publics, administration des collectivités locales, l’écoute et la prise en charge des doléances citoyennes, etc. Le problème de l’Algérie va au-delà du cadre économique ou politique, pour englober l’incivisme des comportements, l’indifférence populaire, des mauvaises habitudes de consommation prises pour style de vie, suite à de longues années de « dopage rentier » des cerveaux.

C’est peu dire qu’on prend aujourd’hui un virage dangereux vers la déroute, sans qu’on n’arrive à optimiser nos chances de développement ni entrevoir une quelconque alternative. Bref, si, d’un côté, la tendance pessimiste de certains, laquelle consiste à voir le négatif partout et à mettre du sel sur les plaies dans des débats irraisonnablement fatalistes, continue à ce rythme et, de l’autre, ceux qui nient le fait accompli s’entêtent dans leur démarche de fuite en avant, on ne verra plus le bout du tunnel.

Les Algériens sont au courant d’une chose : le pays est en blocage et il conviendrait d’en débattre avec toute franchise et chercher des solutions d’urgence. Peut-on compter pour toujours sur la planche à billets, comme source de financement des projets vitaux ?

Va-t-on bientôt vers l’emprunt chez le FMI ? Puis, est-il possible de sauver le bateau en noyade, sans qu’on engage de vraies réformes structurelles ? Il va falloir qu’on éclaircisse les sujets et que les égoïsmes personnels et claniques cèdent le pas à la lucidité, car la nature du problème apparaît maintenant au grand jour, dans toute sa crudité. C’est pourquoi, la coquetterie intellectuelle de certains milieux thuriféraires et partisans du statu quo qui visent à sauver les apparences d’un système en déglingue n’a plus aucun sens.

Ceci est d’autant plus affligeant que, sous d’autres cieux, une jeune génération de leaders est arrivée à tenir les commandes de grands pays tels que le Canada et la France. Les enjeux sont énormes dans ce siècle de grands chamboulements et la jeunesse doit être associée au projet de l’édification d’une Algérie nouvelle. 

Auteur
Kamal Guerroua

 




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Le Pape n’ira pas en Algérie pour la béatification des moines de Tibehirine

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Prévue le 8 décembre

Le Pape n’ira pas en Algérie pour la béatification des moines de Tibehirine

Le Pape François n’ira finalement pas en Algérie. C’est ce qu’a révélé l’archevêque d’Alger.

Les sept moines de Tibéhirine enlevés et tués en 1996 dans leur monastère de Notre-Dame de l’Atlas, en Algérie, seront béatifiés le 8 décembre à Oran, en l’absence du pape, a annoncé dimanche l’archevêque d’Alger.

Les moines français de Tibéhirine et douze autres religieux catholiques tués durant la guerre civile des années 1990 en Algérie, seront béatifiés le 8 décembre à Oran, mais le Pape François ne fera pas le déplacement, a annoncé dimanche 16 septembre l’archevêque d’Alger.

« La cérémonie de béatification aura lieu le 8 décembre au sanctuaire de Santa Cruz à Oran », à 400 km à l’ouest d’Alger, a déclaré Mgr Paul Defarges à l’AFP. « La cérémonie sera présidée par le cardinal (Angelo) Becciu, envoyé spécial du Saint-Père », a-t-il précisé, confirmant implicitement que le pape François, dont le déplacement en Algérie à l’occasion de cette béatification avait été un temps évoqué, ne serait pas présent.

Proche du pape, le cardinal Becciu est depuis août préfet de la Congrégation pour la cause des saints, qui administre au Vatican l’ensemble des processus de béatification et canonisation. Le ministre algérien des Affaires religieuses, Mohamed Aissa, avait indiqué plus tôt à la radio nationale algérienne que le « calendrier » du Pape François ne lui permettait pas de venir en Algérie pour cette béatification.

Les sept moines de Tibéhirine, à 80 km au sud d’Alger, avaient été enlevés en mars 1996 dans leur monastère de Notre-Dame de l’Atlas et leur mort annoncée le 23 mai suivant par le Groupe islamique armé (GIA). Les conditions exactes de leur assassinat n’ont toujours pas été élucidées et leur destin tragique avait inspiré le film du Français Xavier Beauvois, « Des hommes et des dieux » (2010), Grand Prix du Festival de Cannes.

Seront béatifiés en même temps qu’eux Mgr Pierre Claverie, évêque d’Oran et fervent défenseur du rapprochement entre les religions, tué par une bombe le 1er août 1996, ainsi que cinq religieux et six religieuses tués en 1994 et 1995 à Alger et Tizi-Ouzou (une centaine de km à l’est d’Alger) en pleine guerre civile algérienne.

Quelque 200.000 personnes, dont de très nombreux civils, ont été tuées durant la guerre civile (1992-2002) ayant opposé l’armée algérienne à des groupes islamistes armés à qui ont été attribués de très nombreux attentats et massacres à grande échelle.

Auteur
Avec AFP

 




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AMAZIGH LEGEND’S, la 1ère édition

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Les 11, 12 et 13 octobre à 20h

AMAZIGH LEGEND’S, la 1ère édition

Amazigh Legend’s est un festival consacré à la musique et aux arts berbères. Il s’agit de consacrer un temps fort, récurrent, à Paris, en proposant une programmation artistique riche et ambitieuse, dont l’objectif est de valoriser la musique et les arts berbères.

D’édition en édition, diverses formes artistiques seront présentes : musique, poésie, photographie, danse, conte, lecture…

La 1ère édition se déroulera du 11 au 13 octobre, dans le l /10ème arrondissement de Paris, à La Scène du Canal Jemmapes (116 Quai de Jemmapes)

Voici la programmation de cette 1ère édition :

JEUDI 11 OCTOBRE

Nourredine Chenoud

Auteur, compositeur et interprète kabyle.

A l’âge de 13 ans, il se passionne pour la musique et fabrique sa propre petite guitare à 2 cordes. Il commence alors à jouer des airs traditionnels, notamment ceux issus du répertoire de Slimane Azem.

Dès le début des années 1970, il est largement diffusé en France et en Algérie. Avec une douzaine d’albums et plus d’une centaine de chansons à son actif, l’artiste devient très vite un chanteur populaire.

Le style musical acoustique de Nourredine CHENOUD, ainsi que la nouvelle génération d’artistes des années 70, a connu une audience certaine qui n’a pas manqué d’attirer, sans cesse, de nouveaux adeptes. Une école et un symbole sont nés.

Ferhat Bouda: Voyage photographique en musique

Ferhat Bouda est né et a grandi en Kabylie.
En 1994, le Mouvement Culturel Berbère lançait la « grève du cartable », appelant au boycott de l’école algérienne et à la lutte pour la reconnaissance officielle de la langue berbère.
Cet épisode a été déterminant dans sa prise de conscience du caractère vulnérable, menacé de cette culture. C’est alors que Ferhat met tout en oeuvre afin de contribuer à la reconnaissance et à la transmission de cette langue berbère.
Il s’installe en France dans l’objectif de réaliser un film en langue kabyle, et c’est finalement en 2002 qu’il a opté pour la photographie, qui s’est la mieux adaptée à sa sensibilité et à son engagement.
Il débute ainsi son travail sur la préservation de la culture berbère et de ses formes multiples. Il développe cette enquête photographique aussi bien en France et en Allemagne où il vit depuis 2005, qu’en Algérie, au Maroc, en Libye aux côtés des rebelles berbères, en Tunisie après la chute de Ben Ali, ou encore au Nord du Mali avec les Touaregs…

VENDREDI 12 OCTOBRE 

Tarik Aït Menguellet

Auteur, compositeur et interprète, Tarik Aït Menguellet, appelé TAM (son nom d’artiste), propose un univers musical mêlant des mélodies universelles aux couleurs traditionnelles kabyles. Il choisit une formation instrumentale acoustique qui lui permet d’obtenir la sonorité idéale : l’élégance musicale en toute simplicité, au service du texte.

En effet, on se laisse naturellement charmer par le mélange des timbres des vents, tels la flûte, le ney ou l’harmonica, les cordes de la guitare, violon ou contrebasse, et les rythmes du bendir.

SAMEDI 13 OCTOBRE

Sissi Imaziten

Sissi Imaziten vous invite au voyage en kabylie dans la région des Bibans. Elle a su saisir l’essence des chants traditionnels de son village pour écrire et composer des chants intemporels qui vous transporteront vers d’autres horizons. C’est sa rencontre avec Saïd Akhelfi, le grand joueur de flûte traditionnelle et dépositaire de la tradition musicale berbère qui permet à la sensibilité créative de Sissi de s’exprimer pleinement. Sissi Imaziten espère rendre ses lettres de noblesse au chant traditionnel, un art vivant et en constante évolution.

Muhend Nnegh

Artiste kabyle, auteur compositeur et interprète, son premier album « Tawaract » en juin 2018.

La musique et les textes de Muhend, sont inspirés de l’histoire et l’âme de la Kabylie ancienne et contemporaine.

Entre tradition et modernité, ses mélodies vous feront voyager à travers toute l’Algérie…

 




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Benzema, le nouvel homme fort du Real Madrid ?

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FOOTBALL

Benzema, le nouvel homme fort du Real Madrid ?

Auteur d’une très belle présaison et d’un début de saison en fanfare, Karim Benzema a actuellement les jambes en feu. Ses statistiques plaident largement en sa faveur. Buteurs à 4 reprises en 4 matchs de championnat depuis le début de la saison, soit le même nombre de but inscrit par le lutin argentin Lionel Messi, l’ex Lyonnais est en train de signer son retour en grâce auprès du public sportif du Real Madrid.

En l’absence de Cristiano Ronaldo, Benzema est devenu pour l’heure l’homme providentiel du Real Madrid très attendue cette saison par les fans en championnat et par tout un continent en Ligue des Champions.

Les deux dernières saisons ont été très difficiles pour Karim Benzema. Les critiques envers lui sont acerbes et très récurrents. Plus d’une fois, son départ a été évoqué. Sifflé, Hué, il a été la risée du public de Santiago Bernabeu et des fans du Real Madrid. Son inefficacité devant les buts fait oublier l’énorme travail défensif et les nombreux sacrifices qu’il fait très souvent pour le bien du club et pour mettre Cristiano Ronaldo dans des positions idéales au cœur du jeu du Real Madrid.

Cette saison avec le départ du capitaine de la sélection portugaise, le Français a désormais les clés de l’attaque de la ‘Casa Blanca’. Libéré un peu des taches défensives, il retrouvé ses sensations devant les buts. Co-leader avec 4 réalisations, Karim Benzema est à une longueur de son total de but inscrit sur toute la saison passée. En effet, en 32 rencontres de Liga livrées lors de l’exercice 2017-2018, il n’a inscrit que 5 buts. Cette saison semble bien sourire au Français. Son association avec Bale sur le front de l’attaque des Merengues donne actuellement des étincelles. La paire compte 7 buts sur le nombre total inscrit par le club cette saison en Liga. Clairement il a la confiance de Julen Lopetegui : « Moi, je n’ai transformé personne, Benzema est un immense joueur, il l’a toujours été et il continuera à l’être. Tout le mérite revient à Karim, je ne m’en attribue aucun dans les buts qu’il a marqués ou dans ce qu’il réussit sur le terrain », a expliqué l’entraîneur dans une conférence de press. Il pourrait devenir à cette allure l’homme fort du Real Madrid cette saison.

Le premier objectif du Real Madrid étant de conquérir à nouveau le titre du champion d’Espagne, avec Benzema à la baguette, et un milieu de terrain dirigé de main de maitre par Luka Modric et Toni Kroos, le Real Madrid est bien parti. Trois matchs, trois victoires est le bilan du club en championnat. Des performances rendues possibles grâce à la forme étincelante d’un effectif en pleine métamorphose et d’un Benzema en confiance.

Le second tableau sur lequel la formation de la capitale Espagnole est attendue est la Ligue des Champion. Fort de son historique triple victoire, il ne peut en être autrement. Avec un effectif, quoi que dimunié par le départ du meilleur buteur du club, le Real Madrid reste un vrai prétendant au titre. Le club à abattre dans la plus prestigieuse compétition européenne est sans aucun doute la formation à Julen Lopetegui.

Sur la même lancée que la fin de sa saison dernière, Karim Benzema peut bien aider le Real Madrid à atteindre les objectifs de sa saison. Qu’il nous souvienne qu’il a été buteur en demi-finale et en finale de la Champion’s league. Il est déjà encore à 4 buts cette saison.

 

 




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Zoubida Assoul dénonce la violence policière : « Le pouvoir panique »

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Tout en soutenant les actions des citoyens de Ouargla

Zoubida Assoul dénonce la violence policière : « Le pouvoir panique »

Samedi 15 septembre, dans la ville de Béjaïa, les membres du mouvement Mouwatana ont été tabassés, malmenés et embarqués au poste de police pour avoir tenté d’approcher les citoyens afin de les sensibiliser quant au danger qui guette le pays et surtout contre «un humiliant» 5e mandat pour Bouteflika.

Pour Mouwatana, les Algériens sont interpellés par ces actions d’intimidation destinées à étouffer toute expression libre et toute velléité de présentation d’alternative à ce régime que Zoubida Assoul, porte-parole du mouvement, qualifie de «moribond» et de «nuisible». Hier, Zoubida Assoul a rappelé que Mouwatana a été interdit, que ce soit dans la capitale ou dans la ville de Constantine et dernièrement à Béjaïa, d’aller rencontrer les citoyens. Elle s’est dit scandalisée par le comportement des autorités, d’autant plus qu’il ne s’agissait que d’une action de proximité citoyenne.

«Les autorités sécuritaires ont déployé des moyens exceptionnels pour empêcher tout contact entre citoyens soucieux de l’avenir de leur pays. Mieux, aux forces policières habituelles, des éléments du BRI sont entrés en lice, comme s’ils avaient en face d’eux une bande de criminels», dénoncent les acteurs de ce mouvement d’opposition né il y a tout juste quelques mois.

Relatant les conditions dans lesquelles ils ont été arrêtés, Zoubida Assoul condamne le comportement du pouvoir qui s’en est pris à une délégation composée uniquement de 25 personnes. «Pourquoi une telle agressivité et un tel acharnement ?» se sont interrogés les animateurs du mouvement, choqués par l’ampleur de la répression. «L’arrestation de l’ensemble de la délégation s’est faite dans des conditions d’agressivité incompréhensible, voire d’hystérie. Plusieurs militants ont été plaqués à terre puis menottés avec brutalité avant d’être embarqués sans ménagement dans les fourgons de police», lit-on dans un communiqué rendu public hier par le mouvement.

Celui-ci trouve inadmissible le traitement infligé, entre autres, à maître Salah Dabouz. «Maître Salah Dabouz, bousculé, a fait une chute dangereuse, avec perte de connaissance. Alors que nous attendions au commissariat une ambulance pour lui prodiguer des soins, il fut menotté et agressé verbalement.» La violence de l’Etat trouve son origine, selon Zoubida Assoul, dans «la montée de la peur et de la panique dans le camp du pouvoir et le refus des Algériens de plus en plus exprimé contre un humiliant 5e mandat». Il leur appartient désormais, de l’avis de Soufiane Djilali, de prendre leur destin en main, de se réapproprier leurs droits de citoyens et de s’engager pour que pacifiquement l’Algérie se débarrasse de ce régime et instaure un Etat de droit.

«Dans son combat pour un véritable changement de système de gouvernance, Mouwatana assumera ses responsabilités. Si le mouvement doit s’adapter à ces réalités répressives, il ne quittera pas le terrain et renforcera son travail de rassemblement de tous les patriotes», promet Zoubida Assoul. Enfin, Mouwatana soutient les actions des citoyens de Ouargla qui viennent de démontrer à l’opinion publique le niveau de conscience et d’engagement des Algériens.  

Auteur
Avec El Watan

 




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Perquisitions aux domiciles de cinq généraux-majors

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Certaines touchent des proches collaborateurs de Gaïd Salah

Perquisitions aux domiciles de cinq généraux-majors

Alors que des informations non démenties faisaient part de l’ouverture d’une enquête judiciaire militaire contre cinq généraux-majors, Lahbib Chentouf, chef de la 1re Région militaire (RM), Saïd Bey, commandant de la 2e RM, Abderrazak Cherif, chef de la 4e RM, Boudjemaa Boudouaouar, directeur des finances au ministère de la Défense nationale, et Menad Nouba, commandant de la Gendarmerie nationale,  dimanche soir, des perquisitions ont été opérées aux domiciles de ces derniers sur ordre du procureur près le tribunal militaire de Blida.

Hier matin,  le général-major Ahcène Tafer,  commandant des forces terrestres, le général-major Abdelkader Lounes, commandant des forces aériennes, le général Remili, directeur de la Caisse de sécurité sociale (militaire)  ont  fait l’objet d’une mise à la retraite et de fin de fonction.

Depuis samedi soir,  pour ne pas dire depuis un mois avec les changements opérés au niveau du commandement des Régions militaires et des forces armées, la muette fait trop de bruit autour d’elle. Ce qui s’est passé durant cette fin de semaine est surprenant et suscite de lourdes interrogations.

Les perquisitions de dimanche soir ont fait l’effet d’un séisme. Il faut dire que les mis en cause pèsent très lourd et certains d’entre eux sont connus pour être des plus fidèles au chef de l’état-major de l’Anp et vice-ministre de la Défense nationale, le général-major de corps d’armée Ahmed Gaïd Salah. Leur mise à la retraite a été d’ailleurs une surprise.

Lire la suite sur El Watan

Auteur
El Watan

 




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Gaïd Salah installe le nouveau SG du ministère de la Défense nationale

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ARMEE

Gaïd Salah installe le nouveau SG du ministère de la Défense nationale

Après la mise à la retraite du général-major Mohamed Zenakhri, le vice-ministre de la Défense a installé son remplaçant aujourd’hui lundi.

« Le Général de Corps d’Armée Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense Nationale et chef d’Etat-Major de l’Armée Nationale Populaire a présidé, aujourd’hui 17 septembre 2018, au niveau du siège du Ministère de la Défense nationale, la cérémonie d’installation officielle du Général-Major Abdelhamid Ghriss, dans les fonctions de Secrétaire Général du Ministère de la Défense Nationale, en remplacement au Général-Major Mohamed Zenakhri, mis à la retraite », a indiqué le MDN dans un communiqué.

Dans une précédente édition nous annoncions le limogeage de Mohamed Zenakhri de ses fonctions. Le limogeage de ce général -major s’inscrit dans une longue série de mises à l’écart qui a commencé début juin. 

 




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