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Procès en cascade des militants du Hirak/Tanekra

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Ces procès sont en réalité ceux du Hirak, ce mouvement de dissidence populaire qui a réclamé le changement de gouvernance.

Plusieurs procès et/ou auditions par la justice de plusieurs militants pour des affaires liées à leurs activités militants pendant ou post-Hirak/Tanekra.

La machine à broyer les activistes fonctionne à plein régime. Dans la matinée de ce lundi 24 octobre 2022, le parquet près la cour de Béjaïa a requis l’aggravation de la peine à l’encontre du président du Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD), Atmane Mazouz, qui comparaissait en appel devant les magistrats de la chambre pénale près la juridiction précitée (cour de Béjaïa)

Le dirigeant politique était poursuivi sur la base de ses déclarations, sur son réseau social, dénonçant la répression, qui s’est abattue sur des enfants et leurs mamans à l’occasion d’une marche pacifique à Oran, le 12 décembre 2019.

Rappelons qu’Atmane Mazouz a été condamné en première instance à 200.000 DA d’amende.

Lors de son procès en mars 2022, la défense avait plaidé en la forme « l’extinction de l’action publique pour nullité de la procédure » étant donné que Mazouz bénéficiait de l’immunité parlementaire à l’époque des faits.

L’affaire est mise en délibéré pour le 7 novembre prochain.

Par ailleurs, le tribunal Sidi M’hamed (Alger) a condamné, aujourd’hui, lundi 24 octobre 2022, l’étudiant Abdennour Aït Saïd à 18 mois de prison et au paiement d’une amende de 100 000 dinars, a rapporté le CNLD sur sa page Facebook

Ajoutant que « le parquet avait requis à son encontre une peine de 3 ans de prison ferme en sus d’une condamnation pécuniaire (amende). Il y a lieu de rappeler que c’est une condamnation par contumace. Dans cette énième poursuite, il lui est reproché, une fois de plus, de prétendus faits « d’atteinte à l’intégrité du territoire national », « la publication d’informations de nature à nuire à l’intérêt national » et « incitation à attroupement non armé ».

Lors de son procès en appel, qui s’est tenu au niveau de la cour de Bejaia, le 23 octobre 2022, l’ex-détenu, le militant et le journaliste, Merzouk Touati a été condamné à une année de prison ferme et à une amende de 150 000 dinars. L’affaire qui remonte au 20 décembre 2020 est liée à une publication de Merzouk Touati appelant à la solidarité avec l’ancien policier, Zahir Moulay.

L.M.

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