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Riposte internationale tient son 2e congrès

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Riposte internationale

L’Organisation de défense des droits de l’homme, Riposte internationale, organise samedi 28 mai son congrès constitution à la salle Jean Jaurès de la Bourse du Travail à Paris. 

Une centaine de congressistes venus de plusieurs villes européennes se retrouvent pour dresser le bilan de la situation des droits de l’homme en Algérie et en Afrique du nord. Il sera aussi question des perspectives à donner pour la fin des violations des libertés et le respect inconditionnel des droits de l’homme.

« Ce congrès est pour une formidable opportunité pour réunir les militants des droits de l’homme pour débattre de la suite à donner à l’esprit du Hirak, il est aussi de notre responsabilité de ne pas oublier les détenus d’opinion en Algérie et au Maroc, nous ferons tout pour leur libération », affirme Ali Aït Djoudi, président de Riposte internationale.

Plusieurs intervenants sont attendus, dont le professeur Madjid Bencheikh, Me Salah Dabouz, l’écrivain Youssef Zirem, Dr Nora Bekkouche, Hamid Salmi, Sanhadja Akrouf, Magda Mahfoud (présidente de l’association des droits de l’homme égyptienne), Mohamed Bezza (président d’association marocaine), Rachid Oufkir (militant d’une association des droits de l’homme marocaine), Yous Nasroullah (cadre de la Ligue des droits de l’homme et écrivain).

Des messages de Karim Tabbou, Me Nabila Smaïl, Kaddour Chouicha, Saïd Bouddour, Ouahab Fersaoui, Saïd Salhi, Mohamed Benchicou… seront lus lors de ce congrès.

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2 Commentaires

  1. Les associations des droits humains (je dis humains pas hommes) rament sur le sable. Le « Hirak », drole de tag, a échoué parce qu’il a été incapable de faire emerger et/ou federer une élite de la société civile minée par ses cotradictions et l’égoisme de ses « meneurs » improvisés. Aussi, en Algerie il n y a pas un peuple comme le pretend la propagande militaire mais « une mosaique de tribus ». Désolé de le dire. Les marches romantiques ne menent à rien à part des lendemains desenchantés. Ce qui est le cas aujourd’hui. La rue a servi de defouloir national et surtout, a permis aux maitres de l’Algerie de se repositionner et d’embastiller dans l’indifference generale, ceux qui « troublent » leur paix sociale. Personnellement, j’en déduis: Les algeriens ne s’acceptent pas comme ils sont ou ne veulent pas vivre/cohabiter dans le grand espace que la colonisation a delimité dans le passé.
    Le « hirak » a eu une chance inouie pour mettre fin au régime de la casquette. Une désobeissance civile aurait suffi. Et c’est plié. Autrement on en serait pas là. Aussi, il faudra se poser la question qui a été derriere « le Hirak », c’est à dire le declencheur? C’est la question que je me pose.

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