27.1 C
Alger
dimanche 6 juillet 2025
AccueilPolitiqueLe RCD : pourquoi la justice ne convoque pas Bouteflika, le chef...

Le RCD : pourquoi la justice ne convoque pas Bouteflika, le chef d’Etat déchu ?

Date :

Dans la même catégorie

Saïd Sadi, parler clair, c’est déjà résister

Face au brouillard institutionnel et à la dérive autoritaire...

Ass-a, d ass-nni n « Taḥya Lǧazayer ! »

Ass-nni n 5 yulyu 1962, nella di taddart, nessuli...

Algérie : la gouvernance autoritaire, un chemin vers l’impasse

L'Algérie qui fête la 63e année de son indépendance...

Décès en détention de Tarik Bouslama, ex-PDG d’IMETAL : une fin de parcours dans l’oubli  judiciaire 

 Tarik Bouslama, ancien président-directeur général du groupe public IMETAL,...

Mohamed Lamine Belghit condamné à 5 ans de prison ferme

La justice algérienne a tranché le cas de l'universitaire...
spot_imgspot_img
- Advertisement -
EXPRESS

Le RCD : pourquoi la justice ne convoque pas Bouteflika, le chef d’Etat déchu ?

Dans un communiqué rendu public ce samedi 25 mai, le Secrétariat national du RCD appelle la justice à entendre l’ex-président Abdelaziz Bouteflika. Une convocation par la justice est l »unique gage de crédibilité » de l’opération menée contre l’ancien clan au pouvoir.

Pour le RCD, les dernières convocations de membres éminents du clan Bouteflika répondent à un agenda « sélectif ». 

« Dans un Etat de droit, personne n’aurait été surpris de la comparution des Ouyahia, Sellal, la cohorte de ministres cornaqués par les Bouteflika ou de Kouninef, Haddad, Tliba et Zoukh devant la justice. Et la liste est longue, pointe le Rassemblement pour la culture et la démocratie.

Puis il rappelle que « si on veut que la justice et rien que la justice s’exerce, en plus de l’indépendance dont elle doit jouir, y compris vis à vis de l’opinion publique, elle doit déjà commencer à réfuter le caractère sélectif de ces interpellations en convoquant toute la 3issaba. Abdelaziz Bouteflika, le chef de l’Etat déchu, doit être entendu sur ses actions et sur l’activité de ses collaborateurs. A ce stade, c’est l’unique  gage de crédibilité pour que ce qui est présenté comme une opération mains propres ne soit pas dans les faits une  chasse aux sorcières ».

Le secrétariat du parti s’interroge dans son communiqué : « Y a t-il des obstacles  pour que  la justice convoque l’ex-chef de l’Etat pour l’entendre ? Là est la question sur laquelle elle est attendue.  Se peut-il que le chef de l’Etat-major qui a pris la tête de la croisade contre la “bande” ait une réponse »

Le Rassemblement pour la culture et la démocratie observe que « le chef de l’Armée, au prix d’un déni de la réalité, continue à vouloir imposer ses vues et ses “solutions”  à coup de menaces et autres anathèmes  contre tous  les courants politiques progressistes et les activistes qui réclament un véritable processus de construction d’un Etat de droit ». 

Auteur
La rédaction

 




Dans la même catégorie

Saïd Sadi, parler clair, c’est déjà résister

Face au brouillard institutionnel et à la dérive autoritaire...

Ass-a, d ass-nni n « Taḥya Lǧazayer ! »

Ass-nni n 5 yulyu 1962, nella di taddart, nessuli...

Algérie : la gouvernance autoritaire, un chemin vers l’impasse

L'Algérie qui fête la 63e année de son indépendance...

Décès en détention de Tarik Bouslama, ex-PDG d’IMETAL : une fin de parcours dans l’oubli  judiciaire 

 Tarik Bouslama, ancien président-directeur général du groupe public IMETAL,...

Mohamed Lamine Belghit condamné à 5 ans de prison ferme

La justice algérienne a tranché le cas de l'universitaire...

Dernières actualités

spot_img

LAISSEZ UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici