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Batna : Images insoutenables de la maison de vieillesse (Vidéo)

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SCANDALE

Batna : Images insoutenables de la maison de vieillesse (Vidéo)

Insoutenables. Insupportables images de personnes âgées laissées à l’abandon dans une maison censées leur offrir gîte, couvert et sérénité.

On y voit des personnes percluses. Des handicapés pliés, comme dormant dans leur fauteuils roulants. Un homme affalé par terre, un autre attaché à un radiateur… Le spectacle qu’offrent ces images diffusées par El Khabar vous arrachent le coeur. Elles disent l’abandon, le mépris de l’homme et la démission des autorités.

Où sont les responsables ? que font-ils ? Ont-ils un coeur pour laisser ainsi des hommes à la fin de leur vie ?

Il y a manifestement une maltraitance avérée de ces personnes déjà arrachées à leur famille.

Que va être la décision des autorités après des images aussi scandaleuses ?

 

Auteur
La rédaction

 




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Affaire Khashoggi : l’hypocrisie des investisseurs internationaux (II)      

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DECRYPTAGE

Affaire Khashoggi : l’hypocrisie des investisseurs internationaux (II)      

Khaled Al Faleh, ministre saoudien de l’Energie a confirmé, dimanche 13 janvier, que le géant pétrolier Saudi Aramco se présenterait sur le marché obligataire au cours du deuxième trimestre 2019.                          

1-L’Arabie Saoudite, montre ses muscles par des réserves pétrolières 

Une levée de fonds qui interviendrait avant une hypothétique introduction en Bourse du groupe en 2021. Pour jouer cette carte en toute tranquillité, Riyad a pour la première fois dévoilé les chiffres audités de ses réserves de pétrole. Celles-ci dépassent les 261 milliards de barils affichés par le Royaume depuis quarante ans. Elles s’élèvent à 268,5 milliards, c’est-à-dire plus de 27 fois celles de l’Algérie estimées à 10, 17 milliards de barils. L’Arabie Saoudite possède les deuxièmes réserves les plus importantes au monde derrière le Venezuela. L’audit a été effectué par une firme de Dallas, DeGolyer & MacNaughton.

Cette étude, à en croire le même ministre, souligne pourquoi ce pays du Golfe produit « les barils les plus rentables au monde ». Ce chiffre était très attendu par tous ceux qui cherchaient à valoriser le géant public Aramco.

Par ailleurs, la plupart des experts du secteur prédisent un rebond du marché. Commerzbank table par exemple sur une remontée des prix d’environ 12 dollars arrangé entre le royaume et les Etats Unis pour lui permettre de gagner la confiance de ses paires sans fâcher Trump. Pourquoi ? Parce qu’ils situent le prix du Brent d’ici à fin 2019 entre 55-62 dollars, fourchette qui arrange les consommateurs notamment américains.

Goldman Sachs, la banque américaine, annonçait ces dernières semaines un rebond d’à peu près 10 dollars. Seulement dans une note publiée le 6 janvier, la banque d’affaires a revu en nette baisse ses prévisions pour 2019. Elle s’attend à ce que le Brent s’échange en moyenne à 62,50 dollars cette année, contre 70 dollars auparavant. Par rapport au cours actuel, cela implique un potentiel de hausse assez limité, de 9%.

De son côté, le WTI devrait valoir en moyenne 55,50 dollars en 2019 contre 64,50 dollars attendu jusqu’ici, soit un potentiel haussier de l’ordre de 14%. Ces négociants pensent que le marché pétrolier s’équilibrera à un coût marginal inférieur, compte tenu des facteurs suivants : stocks élevés en début d’année, poursuite de la croissance de la production de pétrole de schiste aux Etats-Unis avec peu d’inflation des coûts, attentes d’une croissance plus faible que prévu et hausse des capacités de production à bas coûts. 

Parmi les autres experts du secteur, ceux de la Société Générale ont également abaissé leurs prévisions de prix de 9 dollars par baril, pour revenir à 64,25 dollars pour le Brent et à 57,25 dollars pour le WTI, ce qui offre un potentiel de rebond un peu supérieur à celui envisagé par Goldman Sachs.                                                                 

2- Les choses vont se jouer plutôt à long terme

Mais à plus long terme, un certain nombre de spécialistes s’accordent à dire que les prix pourraient connaître une hausse bien plus forte. Un retour des cours à hauteur des 80-85 voire même 100 dollars pour début 2020 est tout à fait envisageable, observent de nombreux observateurs dans le domaine.

Les cours vont logiquement être dopés par la baisse de la production de 1,2 million de barils par jour décidée par l’organisation des pays exportateurs de pétrole et la Russie en décembre. A cela s’ajoutent des difficultés de production de plus en plus fortes en Libye et au Canada qui devraient aussi booster les cours. Et ce n’est pas tout. Comme l’a annoncé l’Agence Internationale de l’Energie (AIE), dans son rapport annuel sur les perspectives du marché en novembre 2018, l’insuffisance des investissements dans la production pétrolière pourrait aussi entraîner un déséquilibre du marché mondial à moyen terme et donc favoriser une hausse des prix.

Pour maintenir la production à son niveau actuel, les pétroliers doivent investir 630 milliards de dollars par an. Or en 2015, ils ont dépensé 450 milliards de dollars, moins de 400 en 2016, et pour 2017 et 2018 ces investissements se chiffrent à 450 milliards de dollars. On se dirige vers une situation où l’on manquera de pétrole dans les prochaines années.

Les investissements pétroliers sont de plus en plus faibles et dessinent le scénario d’un déficit d’offre ces prochaines années.  Cette faiblesse des investissements pétroliers se heurte aussi aux lois de la physique. 

Dans les gisements conventionnels arrivés à maturité, la déplétion naturelle est de 5 % par an si l’on n’y investit pas pour en maintenir au moins le niveau de production. Selon  l’AIE, le pétrole de schiste américain aura également du mal à combler ce manque. 

Le Shale souffre en effet d’une faiblesse structurelle : contrairement aux hydrocarbures traditionnels, les puits de pétrole de schiste sont éphémères, chaque gisement contenant une quantité limitée d’hydrocarbures. Selon les spécialistes, au bout de dix-huit mois ces derniers perdent 70% de leur productivité et leur durée de vie est d’environ cinq ans.

Un ensemble de facteurs qui font craindre à l’AIE un effondrement de la production de pétrole en 2025. Une telle perspective avec les mêmes conditions n’arrange malheureusement pas les pays dont l’économie reste fortement dépendante du prix du baril comme le Venezuela et l’Algérie. Fin

Auteur
Rabah Reghis

 




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100.000 exemplaires du Coran en tamazight édités en Arabie Saoudite seront distribués en Kabylie

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Le ministre des affaires religieuses l’a annoncé le jour de Yennayer

100.000 exemplaires du Coran en tamazight édités en Arabie Saoudite seront distribués en Kabylie

En célébration du Nouvel an amazigh, l’Association nationale de développement local durable «Naâma» pour le développement des idées et de la culture a lancé le projet d’édition et de diffusion de la première interprétation du Coran en langue amazighe. Cette édition est l’œuvre de cheikh Si Hadj Mohand Mohand Tayeb .

C’est le 12 janvier, jour de yennayer au niveau de la salle des conférences de l’hôtel Riadh de Sidi Fredj (Alger) qu’a eu lieu la présentation du Coran traduit en langue amazighe en présence du ministre des Affaires religieuses et des Wakfs et des ambassadeurs des royaumes du Maroc et de l’Arabie Saoudite.

De son côté, Abdelghani Ouicher, président de l’Association «Naâma», a rendu hommage à Mohamed Aïssa pour toute l’attention qu’il a portée à ce projet, tout en précisant qu’il n’a pas cessé d’encourager le travail de traduction du Coran en langue amazighe. « Le projet de notre association ne pourrait connaître son extension régionale sans l’apport des bienfaiteurs. Nous appelons à cet effet les personnes intéressées à participer à la réalisation de ce projet, en prenant en charge l’édition de 100 exemplaires minimum», a-t-il expliqué, en affirmant que le coût de la publication est de 1.000 DA. Il annoncera, à l’occasion, que son association peut actuellement éditer quelque 10.000 exemplaires, ce qui représente 10 millions de DA.

Selon le premier responsable de l’Association, l’objectif tracé est d’atteindre les 100.000 exemplaires, afin de pouvoir le distribuer un peu partout dans le territoire national, notamment dans les villages éloignés situés dans les montages. Il dira que le livre traduit ne sera pas destiné à la vente, il sera totalement gratuit, une proposition faite par son traducteur Si Hadj Mohand Mohand Tayeb.

«Naâma» prévoit comme deuxième étape la distribuera du nouvel ouvrage gratuitement sur l’ensemble du territoire national, en France et en Afrique du Nord. En dernier, l’association lancera une application électronique de la traduction pour les Smartphones et les ordinateurs, en sus d’un site Web qui lui serait dédié.

Il est utile de noter à la fin que Si Hadj Mohand Mohand  Tayeb, un retraité de l’éducation nationale, qui a exercé comme inspecteur à Lakhdaria (Bouira) puis à Tizi-Ouzou, est particulièrement connu pour sa maîtrise du domaine religieux (Islam) pour lequel il a eu à donner en diverses occasions des conférences en kabyle. Cette fois encore, il vient avec un autre travail, à savoir la traduction du Coran en Tamazigh. Son ouvrage a été édité en Arabie Saoudite où il a été gratifié d’un prix distinctif pour sa “grande volonté” en théologie

Auteur
Avec El Moudjahid

 




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Le Pr Nacer Djabi interdit de tenir une conférence à Batna

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POLEMIQUE

Le Pr Nacer Djabi interdit de tenir une conférence à Batna

Le professeur en sociologie politique et chercheur Nacer Djabi a été empêché samedi d’animer une conférence à l’université El Hadj Lakhdar de Batna. 

Invité par une association chaoui, le chercheur Nacer Djabi s’est vu interdire de parler dans la capitale de l’Aurès. 

«J’ai été invité par l’association culturelle Tamazgha Aurès Forum (Actaf) qui organisait certaines activités, dont des conférences, sous le patronage du Haut Commissariat à l’amazighité (HCA). Les organisateurs avaient informé au préalable les responsables de l’université. Mais ce matin (hier, ndlr), à quelques minutes du début de la conférence, le vice-recteur est venu leur dire que Nacer Djabi ne doit pas s’exprimer», raconte le chercheur au journaliste d’El Watan. La décision serait venue des services de sécurité. Sans plus de précision.

Pourtant le professeur a tenu la même conférence un jour avant au théâtre de la ville de Batna. Aurait-il fait des déclarations qui auraient pu susciter cette décision ?

Après les autorisations à demander à la gendarmerie, comme cela a été le cas pour le café littéraire de Bejaia, les autorités passent à un stade supérieur : l’interdiction pure et simple de conférence-débat du même acabit que celles qu’organise Nacer Djabi.

Mais alors de quoi les autorités ont-elles peur pour interdire la parole même aux chercheurs ? De la lumière qu’ils dispensent sans doute.

Auteur
La rédaction

 




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Coupe d’Algérie (8es de finale): NAHD-MCA et PAC-USMH à l’affiche

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FOOTBALL

Coupe d’Algérie (8es de finale): NAHD-MCA et PAC-USMH à l’affiche

Le tirage au sort des huitièmes de finale de la coupe d’Algérie de football (Séniors) qui s’est déroulé, dimanche, à l’Ecole supérieure d’hôtellerie et de restauration à Ain-Benian (Alger), a donné lieu à deux grands derbys algérois, entre NA Hussein Dey-MC Alger et Paradou AC-USM El Harrach.

La première rencontre se disputera entre deux grandes formations de la 1ère Ligue professionnelle « Mobilis »: le NAHD et le MCA qui a remporté le match de finale 2016 contre le Nasria (1-0) avec un but signé Abderrahmane Hachoud.

Toujours en lice en Coupe de la Confédération de football (CAF), le Nasria tentera d’oublier sa défaite devant le MCA en 2016, tandis que le « doyen » des clubs algériens essayera de parvenir au dernier quarré de la dame coupe.

Le tirage au sort a donné lieu également à un autre derby algérois entre Paradou AC (club hôte) et l’USMH qui a éliminé le MO Béjaïa.

Par ailleurs, le vainqueur du match des 16es de final qui se jouera, mardi 15 janvier, entre Amel Bousaâda et l’ES Sétif accueillera en 1/8e de final l’USM Alger.

En cas de qualification de l’ESS, le public algérien verra une belle affiche avec les plus titrés des clubs algériens.

Plusieurs rencontres entre des équipes évoluant en 1e et 2e ligue sont également au programme de ces 8es de finale, avec notamment une rencontre entre L’USM Annaba (ligue 2) et le CA Bordj Bou Arreridj (ligue 1).

Le MC Oran (Ligue 1) recevra de son côté le NC Meguerra (Ligue 2), une des surprises de cette saison.

Pour les autres rencontres, le CR Belouizdad (ligue 1) recevra Sarri Amel Mohammadia évoluant en championnat amateur, tandis que JSM Béjaïa (ligue 2) accueillera Chabab Bouguirat.

Le CS Constantine, champion en titre et auteur d’une excellente prestation en ligue des champions africaine, affrontera la modeste équipe de Rouissat.

Le tirage au sort de 16es de finale, qui se jouera en aller-retour contrairement aux éditions précédentes, mettra aux prises l’équipe qualifiée du match CR Belouizdad et SA Mohammadia à celle du match NA Hussein Dey et MC d’Alger, ce qui donnera lieu à « un autre derby algérois », en cas de la qualification du CRB.

Le gagnant du match USM Annaba (Ligue 2) et CABB Arreridj (Ligue 1) jouera contre le club qualifié de la rencontre entre l’ES Sétif (Ligue 1) ou l’Amel Bou Saâda (Ligue 2) et l’USM d’Alger (Ligue 1).

En cas de qualification, le CS Constantine rencontrera le qualifié du match MC Oran-NC Magra, alors qu’une fois qualifiée contre la CRM Bouguirat, la JSMB aura à affronter soit le AC Paradou ou l’USM El Harrach.

Par ailleurs, cette compétition a vu la sortie du tenant du titre de la coupe d’Algérie, l’USM Bel-Abbès, et la JS Kabylie qui a animé la finale de l’édition 2018.

Les matchs de 32e de finale de la compétition la plus populaire en Algérie se joueront les 21 et 22 janvier, alors que ceux des 16es de finale les 19 et 20 février (aller) et les 26 et 27 du même mois (retour).

La dernière rencontre des 16es de finale entre l’AB Saâda et l’ES Sétif est programmée le 15 janvier en cours au stade de Bou Saâda.

Auteur
APS

 




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Faut-il sauver cette société en état de décomposition avancée ?

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REGARD

Faut-il sauver cette société en état de décomposition avancée ?

Nous sommes au début de l’année 2019, notre pays gémit toujours sous le fouet d’une situation sociale des plus chaotiques. Les grèves qui se répètent et celles qui se déclareront prochainement annoncent gravement un malaise profondément ancré au sein des couches travailleuses.

La surdité flagrante des décideurs quant aux revendications des secteurs sensibles du pays illustre clairement leur exécrable mépris.

Il fallait toujours un fait pour scruter les causes. Dans notre cas, c’est-à-dire notre société, même si les constats sont toujours amers, il est utile de dire que nous sommes aux confins du sinistre.

Notre refus d’évoluer, nous fait admettre cette situation de chaos. Une situation qui explique cet effroyable retour en arrière avec comme moyens notre ignorance conjuguée avec notre entêtement sans même penser à fuir notre singulière décadence. Une sorte de mentalité morbide sème l’horreur, répand l’atrocité en provoquant la stupeur de  tous ceux qui nous guettent tant la gaucherie et la passivité nous sont devenus des alliés inéluctables.

Une masse se réjouit en faisant du mal, pendant qu’une autre subit l’arbitraire et les outrances sans ouvrir droit à un plaintif cri de douleur. Une autre couche de citoyens plutôt de rapaces se plaisent dans l’art de tout dévorer profitant de l’absence ostensible de la sanction, dans un pays dévasté par le règne de l’impunité et du despotisme.

La jalousie, cette grave épidémie qui perdure et relègue nos meilleurs, bannit nos élites, ne cesse de décimer le génie créateur d’idées constructives, inventeur de théories philanthropiques. La bienfaisance dérange notre ordre comme la bonté afflige d’ailleurs notre méchanceté. Les choses se déroulent sottement, la bêtise prend le dessus et s’empare du  terrain de l’intelligence par la révocation et  l’exclusion planifiée de nos penseurs.

Notre environnement diffuse laidement la nature de nos comportements, la saleté qui émaille nos milieux émet un message clair d’incivisme, sans que personne ne se soucie de cette acerbe conjoncture. Chez nous, la vie languit  et les esprits sont gelés par cette affreuse façon de procéder à anéantir notre ancestral héritage qui, pourtant, pourra indubitablement éveiller en nous le sentiment du regret et des remords. 

Comme il est impératif aujourd’hui de dénoncer tout ce qui nous inflige cet ajournement de la vérité prise en otage par les conquérants illégaux de notre république avec l’absence voire la démission de nos intellectuels qui assistent à l’asphyxie préméditée de toutes ces  générations innocentes. 

Auteur
Rachid Chekri

 




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Venezuela: Maduro qualifie de « show » l’arrestation du président du Parlement

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EXPRESS

Venezuela: Maduro qualifie de « show » l’arrestation du président du Parlement

Le président vénézuélien Nicolas Maduro a qualifié lundi de « show médiatique » l’arrestation la veille pendant près d’une heure du président du Parlement, l’opposant Juan Guaido, l’attribuant à des agents des services de renseignements souhaitant déstabiliser le gouvernement.

Juan Guaido, 35 ans, a été arrêté dimanche par des hommes du Service bolivarien de renseignement national (Sebin), alors qu’il circulait sur l’autoroute pour se rendre à une réunion publique à 40 km de la capitale.

Pour Nicolas Maduro, qui s’exprimait devant l’Assemblée constituante, composée uniquement de ses partisans, cet incident s’est produit à cause de la « participation d’un groupe de fonctionnaires » du Sebin, qualifiés de « corrompus » et de « traîtres ».

« Quelle coïncidence ! Une caméra professionnelle qui cadre parfaitement (…), qui filme le moment où le député (…) est arrêté », a déclaré le président socialiste, parlant de « faits étranges ».

Le chef de l’Etat, qui a été investi le 10 janvier pour un deuxième mandat de six ans contesté par l’opposition et non reconnu par une bonne partie de la communauté internationale, a assuré qu’en apprenant cette arrestation, il avait ordonné la destitution de ces agents qui s’étaient « prêté à un show médiatique ».

« J’agirai de cette façon contre n’importe quel fonctionnaire qui trahira son serment (…) Main de fer contre la corruption ! Main de fer contre la trahison ! Ma main ne tremblera devant personne (…). Nous sortirons plus fort de chaque show », a-t-il prévenu.

Vendredi, au lendemain de l’investiture de Nicolas Maduro pour un deuxième mandat de six ans, le président du Parlement, seule institution contrôlée par l’opposition, avait déclaré devant un millier de personnes à Caracas que la Constitution vénézuélienne lui donnait la légitimité pour assumer le pouvoir dans le cadre d’un gouvernement de transition.

Il avait alors appelé à se mobiliser le 23 janvier en faveur d’un tel gouvernement.

Nicolas Maduro a été réélu le 20 mai à l’issue d’une présidentielle contestée. Les principaux partis d’opposition avaient boycotté ce scrutin marqué par une forte abstention.

Le 6 janvier, le Parlement avait déclaré illégitime le nouveau mandat de Nicolas Maduro et promis d’encourager un « gouvernement de transition » et des « élections libres ».

Auteur
AFP

 




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J’ai vu et entendu Cherif Mellal accuser et insulter …

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POLEMIQUE

J’ai vu et entendu Cherif Mellal accuser et insulter …

J’étais à l’aftershow qui a suivi le concert-événement 1, 2, 3 Kabylie organisé, samedi 12 janvier, à l’Accord Hotels Arena.

La salle s’était vidée de ses milliers de fans quand des invités (des familles et proches des organisateurs, des sponsors, quelques artistes, des journalistes…) ont rejoint une salle annexe pour l’aftershow. Alors que les invités dont des femmes et des enfants échangeaient autour de boissons et se remettaient de leurs émotions du gala, des éclats de voix se font entendre dans la salle.

Tout le monde se retourne. C’est Cherif Mellal qui s’en prend à Ribouh Haddad lui reprochant son soutien à Bouteflika et le pouvoir. « Vous avez vendu la Kabylie, vous avez trahi la Kabylie ». En colère, Cherif Mellal a tenu des propos particulièrement indécents au milieu de familles, de femmes et d’enfants qui venaient simplement assister à un concert.

L’accusation s’adressait à Ribouh Haddad, patron de l’USMA, et frère d’Ali Haddad, président du FCE et soutien de Bouteflika.

Le ton est monté. Les représentants de sociétés qui soutiennent et sponsorisent la JSK comme Ifri, se mordent les doigts. Issad Rebrab tente de le calmer mais n’a rien pu faire. Cherif Mellal était intenable. Il ne se maîtrise plus.

La panique saisie les femmes et les enfants présents sur place.

Les agents de sécurité interviennent pour le sortir. Cherif Mellal enlève sa veste comme prêt à en découdre. Les accusations contre les Kabyles de services et les Haddad fusent de sa bouche.

Finalement les agents de sécurité réussissent à le sortir dehors où Cherif Mellal continue ses attaques.

Devant l’ampleur de la crise suscitée par le président de la JSK, il était important de témoigner. Il y avait des dizaines de personnes dans la salle qui sont susceptibles toutes, elles aussi, d’apporter leur témoignage. 

Auteur
Hamid Arab

 




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Hassen Ferli : « Les militants sont conscients de la situation du FFS »

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Ancien cadre du parti 

Hassen Ferli : « Les militants sont conscients de la situation du FFS »

Hassen Ferli, l’un des plus anciens du FFS et ancien militant actif dans l’Algérois a été exclu du parti comme bon nombre d’anciens cadres. Il a adhéré au FFS en 1989. Il a été chargé en 1990 du Collectif des étudiants F.F.S à l’Université de Blida installé par le défunt Seddik Debaili, et a fait partie des exécutifs de la Fédération de Blida.

Il a participé à plusieurs congrès et conventions du FFS depuis 1990. Hassen, même très jeune, a été Directeur de campagne du candidat Hocine Ait Ahmed au niveau de la wilaya de Blida lors des présidentielles de 1999. Il a été nommé en 2014 comme Secrétaire National chargé de l’économie et en janvier 2017 comme Secrétaire National chargé du Pôle communication. Il jouit d’un grand respect et crédibilité politique. Optimiste, il ne perd pas espoir de voir son parti « sauvé par les militants de base ».

Le Matin d’Algérie : On a assisté à une série de radiations des cadres, élus et militants du FFS ces derniers mois. Pourquoi de telles mesures radicales de la part de la nouvelle direction nationale ?

Hassen Ferli : Il faut dire que c’est une véritable purge qui s’opère depuis quelques mois, la Direction issue du congrès extraordinaire d’avril dernier, malgré le fait qu’elle ait été élue par moins de 20% des congressistes de 2013, ne veut plus d’aucune voix discordante et pour cela elle n’y va pas de main morte. L’exclusion de Mme Salima Ghezali, très proche conseillère de Hocine Ait Ahmed, pour une contribution écrite rappelant au vice-ministre de la Défense et Chef d’Etat-major, les principes de la Soummam et la vision tout en somme partagée par le FFS sur le rapport du politique au militaire a été le prélude à une série d’exclusions.

La violence des propos et le ton menaçant des dirigeants du parti au lendemain de du 20 avril laissait déjà entrevoir ce qui arrive aujourd’hui. Le FFS dans sa nouvelle version applique la règle « un militant se doit de se la fermer ou d’être exclu ». L’exclusion des camarades dont l’engagement, la probité et la fidélité aux idéaux du FFS ne peut être interprétée que comme un désaveu de tout ce qui a été fait et construit au FFS au cours de son existence autour de Hocine Ait Ahmed jusqu’au congrès de 2013 et de son Instance Présidentielle issue du même congrès et dont, il faut le rappeler, les 2/3 composent celle issue du congrès de 2018. Quant aux motifs de l’exclusion de chacun, l’ubuesque le dispute au grotesque.

Le Matin d’Algérie : L’ancienne direction aussi est accusée d’avoir écarté abusivement certains cadres, comme Rachid Halet par exemple….

Hassen Ferli : Le cas du camarade Rachid Halet mérite quelques éclaircissements. D’abord il faut dire que des 3 membres de l’IP qui ont « cité à comparaître » le Dr Halet, deux sont encore membre de la nouvelle Direction, donc ils en sont responsables. En plus, sans rentrer dans le fond des motifs de son exclusion, le refus de se présenter devant la commission de médiation a été pour beaucoup dans son exclusion. Pour ce qui est de la commission en elle-même, elle s’est réunie pendant plusieurs jours, a débattu sérieusement, a même convoqué les membres de l’IP pour les auditionner. Cela n’a absolument rien à voir avec la nouvelle commission supposée être de médiation et de règlement des conflits complètement soumise à une Direction qui lui dicte ses décisions avant même la tenue de ce qu’on peut appeler des « procès expéditifs » malgré la présence des mis en cause et les explications fournies.

Sinon, pour avoir été membre du Secrétariat National, l’ordre du jour de nos réunions et débats portait sur des questions politiques et organiques, jamais sur les « têtes qu’il fallait couper » comme c’est le cas aujourd’hui.

 Le Matin d’Algérie : Les militants de base du FFS sont-ils conscients de la situation de leur parti?

Hassen Ferli : Les militants de base sont très conscients de la situation dans laquelle se trouve leur parti, eux ils pensent à une chose : préserver cet outil du combat démocratique qu’est le FFS. Les moyens de le faire, ils se les inventent tous les jours à travers les débats qu’ont les militants entre eux.

Les réseaux sociaux qui deviennent le cauchemar de cette nouvelle Direction sont très utiles et abolissent toutes les contingences liées au temps et à l’espace. La base militante, les élus du FFS ont su démonter calmement aux actuels chefs du parti leur désaccord avec ce qui se passe aujourd’hui au sein du parti, les dernières primaires des sénatoriales, à titre d’exemple, ont été le grand désaveu des élus mais aussi militants en éliminant tous les candidats parrainés par la Direction.

Les militants du FFS bien qu’ils soient disciplinés savent très bien situer les enjeux et savent aussi qu’ils ne sont pas au FFS pour avoir peur ni pour se soumettre à la loi de ces nouveaux petits caïds. Mais ce qui inquiète les militants c’est cette aphonie politique du FFS. De force politique de proposition, d’un parti d’initiatives nous sommes en passe de devenir un parti normal pour ne pas dire normalisé qui attends de savoir ce qu’il devrait dire et penser. Je considère cela comme la plus grande insulte à tout le combat qu’a mené le FFS, qu’a mené Hocine Ait Ahmed, qu’ont menés des générations de militants avec bravoure et fidélité.

Le Matin d’Algérie : Etes-vous de ceux qui pensent que la radiation de Salima Ghezali est un message de « la grande muette » à une éventuelle candidature de Mouloud Hamrouche aux prochaines présidentielles ?

Hassen Ferli : Il faut être dans le secret des dieux pour savoir déjà ce que pense réellement la grande muette, mais ce que je peux dire c’est qu’il faut s’en tenir aux faits. Salima Ghezali a été officiellement exclue pour sa réponse au général-major Gaïd Salah. La nouvelle direction du FFS l’a-t-elle fait sur injonction et/ou pour plaire à certains, on peut être porté à le penser, à le croire. L’avenir nous le dira.

Salima Ghezali dont la proximité avec Hocine Ait Ahmed n’est plus à démontrer a payé aussi pour cela, c’est une véritable entreprise de se délester de l’héritage politique de Hocine Ait Ahmed qui est en œuvre et qui se caractérise par l’exclusion de ses plus proches et rompre avec sa famille. La véritable question qu’on devrait se poser : quelle sera la place du FFS dans l’échiquier politique à l’avenir.

Entre l’aveugle ambition des uns et la volonté des autres d’en finir avec un combat initié 55 ans plus tôt, ils font prendre au parti le risque de rejoindre la longue liste des organisations politiques qui n’ont pas survécu à leurs fondateurs. Je pense que l’intelligence, la fidélité et le sens de l’honneur feront que cela n’arrive jamais et que la base se réapproprie réellement son FFS, le FFS de Hocine Ait Ahmed.

Auteur
Abdenour Igoudjil

 




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Retrait de Syrie et d’Afghanistan : la pantalonnade de Trump

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DECRYPTAGE

Retrait de Syrie et d’Afghanistan : la pantalonnade de Trump

Le 19 décembre 2018 le président américain annonçait qu’il retirait les troupes américaines de Syrie. Sa décision qui correspondait à une promesse de campagne devait s’appliquer dans les 30 prochains jours. Il a aussi ajouté qu’il allait retirer 7000 soldats d’Afghanistan.

Toute la classe politique américaine ou presque a alors repris son antienne : Trump ne respectait pas les alliés des États-Unis, mettait en danger les Kurdes, ne finissait pas le boulot contre l’État islamique et donnait carte blanche à la Russie et à l’Iran. Son ministre de la défense, Mattis, un va-t-en-guerre confirmé et responsable de la destruction de Falloujah en Irak et auteur de phrases dignes d’un psychopathe a démissionné.

On aurait pu croire que les États-Unis avaient toujours respecté leurs alliés, en Irak en 2003 par exemple, et qu’ils étaient soudain en train de gagner la guerre asymétrique en Afghanistan, ce qui s’est avéré impossible en 17 ans de présence militaire dans ce pays. Alors qu’en 2017 les critiques de Trump avaient salué son comportement présidentiel lorsqu’il avait bombardé la Syrie ou lancé la plus grosse bombe (MOAB, Mother of all bombs) sur l’Afghanistan, cette fois-ci, alors que Trump parlait de réduction de la présence militaire, il fut honni et moqué par les Républicains comme les Démocrates.

Moins de deux semaines après, Trump commençait à rétropédaler et début janvier la marche arrière était complète. Après une visite en Israël et une autre en Turquie par son secrétaire d’État, Pompeo, Trump a renvoyé aux calendes grecques le retrait américain. Le président qui théoriquement préside et est le chef des armées préside donc aux reculades et virages à 180 degrés.

Initialement, une partie de la gauche du parti démocrate avait exprimé son approbation de ce qui semblait être la décision du retrait des troupes, impulsive mais bien orientée, du président américain. Elizabeth Warren a déclaré, le 3 janvier 2019, sur MSNBC, que le retrait des troupes était une bonne chose. En moins de trois semaines, les partisans de la guerre permanente ont gagné la bataille, Trump s’est soumis à leurs désirs et a déclaré le contraire de ce qu’il avait affirmé le 19 décembre.

Trump est donc bien le clown, le bouffon qui amuse les foules, les berne grâce à sa maitrise du langage de la télé-réalité mais qui ne décide pas des vraies orientations de la politique étrangère américaine. Il en va de même pour la politique intérieure mais, étant donné le soutien actif des Républicains ploutocrates et anti-écologiques, l’inconsistance et le chaos permanent à la Maison Blanche ne donnent pas lieu à autant de dénonciations dans les médias.

Une journaliste indépendante, Caitlin Johnstone, a inventé une petite saynète sur le sujet :

Trump : On quitte la Syrie

Bolton : On ne quitte pas vraiment la Syrie.

Trump : On quitte la Syrie très lentement.

Graham : Très, très lentement.

Bolton: Ou peut-être jamais.

Trump : Lorsque l’État islamique aura disparu.

Bolton : Et l’Iran.

Trump : C’est moi qui ai embauché Bolton et je ne regrette rien.

L’idée qu’il existe aux États-Unis un « double gouvernement » (Michael Glennon), un Establishment de la politique étrangère, appelé « blob », un complexe militaro-industriel tout puissant ou un « État profond » est souvent combattue. Puisque Trump lui-même dénonce le «deep state» les Démocrates ou liberals en nient l’existence, que pourtant Edgar Snowden certifie en disant qu’il en a fait partie. Mike Lofgren en a fait un livre : The Deep State, The Fall of the Constitution and the Rise of a Shadow Government.

Quelle que soit l’expression choisie, force est pourtant de constater qu’en politique étrangère il est facile de contourner la parole présidentielle. Ceci n’est pas nouveau : dans son livre publié en 2015 avant l’arrivée de Trump au « pouvoir », National Security and Double Government, Michael Glennon mentionnait des exemples où Obama avait dû se plier aux demandes du « gouvernement de l’ombre » dans lequel les services secrets et le complexe militaro-industriel jouent un rôle de premier plan.

Trump est bien le désastre dénoncé par la gauche et les Démocrates et il est effectivement ignare et impulsif mais il donne satisfaction aux forces réactionnaires qui encadrent le pays. Il ne donne des sueurs froides à cet « État profond », que selon Snowden il ne comprend pas, que lorsqu’il semble s’écarter de la ligne militariste dominante.

Lorsqu’il avait parlé, lors de la campagne de 2016, de meilleures relations avec la Russie et mentionné son souhait de faire revenir des soldats aux États-Unis, de façon non structurée ou planifiée, comme à son habitude, il avait fait tremblé les militaristes des deux partis.

Lorsque, début décembre 2018, il finit par approuver une augmentation du budget militaire pour cette année 2019, dix jours à peine avant sa déclaration sur la Syrie, il n’y a pas eu de dénonciations médiatiques importantes. Cette augmentation portera le budget militaire à 750 milliards de dollars, un budget qui dépasse celui des 10 puissances suivantes et dont l’impact social est catastrophique dans un pays où les infrastructures vieillissantes s’écroulent et où de nombreuses écoles publiques sont délabrées.

Un président qui gonfle les dépenses de la « main droite de l’État » (Bourdieu) et poursuit des guerres ingagnables, injustes et inutiles n’est pas mis en cause dans les médias dominants. Un président qui, même pour de mauvaises raisons, car il pense que les États-Unis paient pour les autres, donne l’impression de comprendre le coût exorbitant des dépenses militaires et parle de limiter, très légèrement la présence militaire des États-Unis est un fou dangereux.

Un certain nombre d’observateurs évoquent le retour des néo-conservateurs américains autour de Trump. Pompeo et Bolton en sont deux exemples. Ainsi la politique étrangère de George W. Bush qui a mené à la catastrophe et au développement des groupes terroristes qu’il s’agit de combattre en Syrie aujourd’hui refait surface.

Daech est l’émanation d’Al Qaida en Iraq, grandement aidé par la création du camp Bucca, après avoir bénéficié du soutien américain en Afghanistan lors de l’occupation soviétique. Les fauteurs de guerre de l’époque Bush-Cheney, les partisans démocrates de la guerre en Irak, sont aujourd’hui les plus critiques des déclarations apparemment moins militaristes de Trump (il ne s’agit que d’apparence, bien sûr).

Les guerres coûtent cher au États-Unis, presque 6000 milliards depuis 2001 et ce pays ne les gagne pas il faut se demander donc pourquoi le complexe militaro-industriel ne dévie pas de sa ligne exceptionnaliste, impérialiste et désastreuse. Les guerres ingagnables ne sont bien évidemment pas perdues pour tout le monde : le secteur de l’armement fait des bénéfices quelle que soit l’issue d’une guerre.

Une guerre asymétrique comme en Afghanistan est une source de profits pour un grand nombre d’entreprises, des entreprises souvent dirigées par des proches de responsables politiques. Erik Prince est le frère d’une ministre de l’administration Trump, Betsy DeVos (éducation), qui après avoir dirigé la firme de mercenaires Blackwater dirige le  Frontier Resource Group. Il propose de privatiser la guerre en Afghanistan. Trump pourrait donc être tenté d’annoncer le retrait des troupes américaines puis de céder la place à une entreprise privée pour continuer la guerre ingagnable mais juteuse.

Il est impossible de faire confiance à Trump, ce qui n’est pas d’une grande nouveauté, mais ceux qui le dénoncent pour quelques paroles faussement antimilitaristes, savent très bien qu’il n’est qu’une marionnette facilement recadrable par les va-t-en-guerre néoconservateurs du complexe militaro-industriel. Trump est un bouffon velléitaire qui accepte son rôle, ceux qui l’entourent et lui dictent ses décisions ne sont pas des « adultes » mais des casseurs militaristes qui appauvrissent leur pays et sèment le chaos et la terreur dans le monde.

P. G.

Cette chronique est réalisée en partenariat rédactionnel avec la revue Recherches internationales à laquelle collaborent de nombreux universitaires ou chercheurs et qui a pour champ d’analyse les grandes questions qui bouleversent le monde aujourd’hui, les enjeux de la mondialisation, les luttes de solidarité qui se nouent et apparaissent de plus en plus indissociables de ce qui se passe dans chaque pays.

Site : http://www.recherches-internationales.fr/

Auteur
Pierre Guerlain, Université Paris Nanterre

 




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