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jeudi 18 septembre 2025
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La réforme de l’Islam de France…

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KRIMOU A LU POUR VOUS

La réforme de l’Islam de France…

Encore une autre réforme de l’Islam dit de France. Espérons que contrairement aux précédentes celle qui se prépare n’aura pas de connotations strictement sécuritaires et donc policières. 

Il y a dès lors intérêt à permettre le jaillissement d’un Islam sain, humaniste et tolérant en France. Un Islam et un savoir-vivre musulman avec et envers les autres (croyants ou pas) compatible de ce fait avec la notion de laïcité bien incrustée dans les esprits des françaises et des français, synonyme de séparation des cultes religieux comme de leurs pratiques respectives d’avec l’exercice de la politique partisane légale et ouverte, ou clandestine sous peine de sévères sanctions individuelles et collectives.

Ni le bon Dieu, ni ses prophètes, et encore moins ses « clercs » autoproclamés n’ont vocation à devenir parlementaires. Ce sera, je pense, de bon augure pour toutes les communautés musulmanes où qu’elles se trouvent.

« Le ni charte, ni constitution » des chemises noires teintées de vert des Abassi, Belhadj & consorts est à bannir absolument.

K. H.

Ces propositions chocs pour réformer l’islam de France

Un rapport qui va être remis à Emmanuel Macron préconise plusieurs mesures pour la réorganisation de l’islam de France, parmi lesquelles l’instauration d’un « Tracfin islamique » et d’une taxe sur les produits halal. EXCLUSIF Europe1

C’est un rapport bientôt remis au pouvoir et dont les propositions devraient faire du bruit. Europe 1 a pu consulter ce texte de plusieurs centaines de pages coordonné par Hakim El Karoui, un intellectuel spécialiste de l’histoire de l’islam pour l’Institut Montaigne, à propos de l’organisation de l’islam de France. Dans son discours devant les parlementaires réunis en Congrès, Emmanuel Macron l’avait promis : « À l’automne, l’islam de France sera organisé ». Un changement de paradigme qui pourrait s’appuyer sur plusieurs mesures chocs qu’Europe 1 révèle vendredi matin dans la matinale de Nikos Aliagas.

Une surveillance accrue des flux financiers liés à l’islam

La première proposition concerne le financement de l’islam : il préconise la mise en place d’une tour de contrôle des flux financiers et des dons, une sorte de « Tracfin islamique », en référence à la structure pilotée par Bercy pour lutter contre la fraude, le blanchiment d’argent et le financement du terrorisme. Cette structure rejoindrait la future Association pour le financement et le soutien du culte musulman (AFSCM) voulue par les grandes fédérations de mosquées et lancée début juillet.

L’organisation des pèlerinages plus contrôlée

Ce document insiste également sur un contrôle et une régulation renforcés du système opaque des voyagistes qui organisent les pèlerinages à La Mecque. Aujourd’hui, le consulat d’Arabie Saoudite en France publie chaque année une liste officielle d’une quarantaine d’agences de voyages françaises agréées. Mais dans les faits, des structures se présentent comme des membres de cette liste en agissant plutôt comme des sous-traitants non contrôlés par le consulat. 

Une taxe sur le halal collectée par un nouvel organisme

Il pourrait s’agir de la mesure la plus difficile à mettre en oeuvre, selon nos informations, tant les résistances sont fortes. Le rapport préconise la taxation des produits halal, qui pèse cinq à six milliards d’euros de chiffre d’affaires chaque année en France. La mise en oeuvre de cette taxe serait pilotée par une institution nouvelle chargée d’organiser et de financer le culte musulman. Son nom : l’Association musulmane pour l’islam de France (AMIF).

L’UOIF battue en brèche

Le rapport pointe enfin un risque de « l’islamisation des musulmans » et ne mâche pas ses mots sur l’UOIF, l’Union des organisations islamiques de France. Il le décrit comme en perte de vitesse, enfermé dans des rigidités idéologiques avec comme seul message, un discours victimaire.

Si l’institut Montaigne avance des mesures potentiellement explosives, c’est que le pouvoir a besoin que des choses soient dites pour pouvoir avancer et prendre des décisions. Et Hakim El Karoui ne prend pas de gants : « L’islam de France, contrairement à ce que l’on dit, n’est pas pauvre. Il faut juste que ceux qui l’appauvrissent s’écartent de la gestion des flux financiers. »

 

Auteur
Krimou Hammada

 




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A qui se plaindre en Algérie ?

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Regard

A qui se plaindre en Algérie ?

Chaque jour apporte son lot de surprises dans cette Algérie qui se cherche une voie dans la pagaille généralisée. Au regard des uns, une petite minorité bien sûr, l’espoir n’a qu’un seul nom : la résistance et l’engagement sur le terrain pour détrôner tous ces rentiers véreux incrustés dans le ventre du «Système» et éviter la noyade du pays dans le marécage.

Pour les autres, touchés par l’expérience malheureuse du Venezuela, le pays est foutu et irrécupérable et il ne reste qu’à préparer sa valise et son passeport, le cœur gros, pour trouver un asile ou un gîte n’importe où avant qu’il ne soit tard. Dans un cas comme dans l’autre, l’Algérie n’est qu’un trou paumé où les petites batailles ridicules des rentiers, genre cour de récréation d’école primaire, se mènent au grand jour pour se partager le gâteau, sur le dos d’un peuple en état de choc post-traumatique. Oui, je précise bien les mots : en choc post-traumatique !

Dernière séquence en date qui illustre mon propos : la déclaration du ministre de la Santé et de la Réforme hospitalière sur l’universitaire décédée à Ouargla piquée par un scorpion, faute de prise en charge urgente de son cas. Rejetant toute la responsabilité, avec des propos qui ne méritent pas d’être repris ici sur la victime elle-même, le ministre est monté d’un cran sur l’échelle de l’ignominie.

L’attitude n’est pas nouvelle, puisque le concerné est en récidive après une autre déclaration, combien choquante, sur l’épidémie du choléra ayant terni l’image de l’Algérie à l’international. Cela dit, au train où vont les choses, il y a lieu de s’inquiéter sur le devenir de la nation et de se permettre de poser cette question : Y a-t-il vraiment des conseillers de communication publique chargés de préparer et de prodiguer des stratégies aux ministres et aux officiels quand ils s’adressent au peuple ?

Celui-ci est en quête, mais en vain, d’un minimum d’attention et de «tendresse» à son égard, au moins au niveau du discours de son élite !

L’Algérie va de mal en pis, non seulement parce que les caisses se vident et l’argent manque, mais aussi parce que la prestation de ceux qui tiennent ses commandes laisse à désirer. 

Ce qui donne un avant-goût amer de faillite. A qui se plaindre en Algérie quand on est atteint par la maladie et les injustices ? A qui se plaindre quand on nous a usurpé nos droits dans une administration publique ? A qui se plaindre quand notre dignité est bafouée ? A qui se plaindre quand toutes les portes d’espoir sont fermées devant nos yeux ? Voilà les questions qui s’imposent, au moment où cette Algérie sans tuteur est, semble-t-il, à deux doigts de l’abîme. Triste ! 

Auteur
Kamal Guerroua

 




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Les habitants de Melbou (Bejaia) interpellent Mme la ministre 

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ENVIRONNNEMENT

Les habitants de Melbou (Bejaia) interpellent Mme la ministre 

Au moment où l’Onu tire la sonnette d’alarme sur l’état de la planète, les citoyens de Melbou dans la wilaya de Bejaia interpellent, quand à eux, Mme la ministre de l’Environnement, dans une pétition, sur l’urgence d’intervenir sur la décharge intercommunale qui menace gravement la santé publique. 

« Il n’est plus possible aujourd’hui d’aspirer à la joie et au bonheur sans tenir compte de l’état de l’environnement naturel dans lequel toute société évolue. La question écologique  qui était, dans les années 1970 et 1980, une affaire de protection de la nature liée à un avenir lointain,  est désormais une question d’existence liée à notre vie quotidienne. Ceci s’applique parfaitement au cas de la catastrophe écologique de oued Aguerioune», tonne le lanceur de la pétition M.  Outemzabt B. 

C’est une la pétition contre le « brûlage » de la décharge qui vient d’être lancée en l’espace d’un an. La première pour rappel a été mise en ligne en mai 2017.

N’ayant pas donné suite, faute de signatures, elle tombe à l’eau. Cette année, Les auteurs reviennent à la charge avec 5000 signataires pour interpeller Mme la ministre de l’Environnement et des Energies renouvelables, Fatima Zohra Zerouati
afin de «procéder, à court terme, à un arrêt immédiat du brûlage des déchets de la décharge de la rivière Aguerioune dans la daira de Souk El Tenine (communes de Melbou et Souk El Tenine), et de mettre en place des solutions de traitement respectueuses des habitants et de la nature»

La menace vient aussi des décharges sauvages qui ont vu le jour tout au long de ladite rivière au niveau des communes de Kherrata, Taskrioute, et Darguina. Ces décharges donc, sont en contact direct avec la rivière qui charrie tous les déchets vers la mer qui est aussi menacée par la pollution.

Pire encore, en hiver la mer rejette tout sur les plages de Melbou et de Souk El Tenine. L’image offerte n’est qu’un désastre sans précédent. 

Mais ce qui inquiète plus les citoyens est la décharge de l’embouchure de Oued Aguerioune. L’on continue à y déverser des tonnes de déchets ménagers de la daïra avec toutes les menaces que cela peut engendrer aux habitants d’une dizaine de villages environnants.

Les pétitionaires disent ne plus pouvoir respirer de l’air frais de jour comme de nuit.  «Il est difficile de vivre en paix. Cette situation est due à la fumée émanant de cette décharge. La situation est grave. Cette année, la fumée a atteint tous les quartiers et villages de Melbou, Tikhribine, Tizi War, et Souk-El-Tenine», écrivent-ils. Inévitablement, ces fumées ne sont pas sans conséquence sur la santé des milliers d’habitants et des touristes qui y affluent durant l’été.
 

Les sites touristiques menacés

Outre les problèmes de la santé publique et de l’environnement, les signataires tiennent aussi à attirer l’attention de la direction du tourisme sur le danger qui persiste toujours. « Cette région, vu ses sites naturels paradisiaques, représente une source de richesse inestimable pour notre pays qui projette de développer et de valoriser le secteur du tourisme », préviennent ces citoyens.

Cela étant, il importe se noter que plusieurs projets touristiques dont des hôtels sont déjà en phase de réalisation à Melbou et à Souk-El-Tenine. Il va de soi que la réussite de cette activité économique est directement liée à la fermeture des décharges en question. Et par-là même de la résolution de la question des déchets ménagers. 

On propose notamment de développer, à moyen terme, «un plan plus efficace pour la gestion des déchets. Celui-ci pouvant comporter diverses opérations dont: la collecte, le transport, le stockage, le tri et le traitement nécessaires à la récupération des éléments et matériaux réutilisables ou de l’énergie, ainsi qu’au dépôt ou au rejet dans le milieu naturel de tous autres produits dans des conditions propres afin d’éviter les nuisances. Cependant, à long terme, il est impératif d’envisager un déplacement éminent de la décharge en question». Et pourquoi pas un centre de traitement. Avec en amont une politique de tri des déchets pour les valoriser comme cela se fait ailleurs ?
 

Auteur
De Bejaia, Mounir Outemzabt

 




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« Défendons la mémoire de Lounès Matoub »

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NADIA MATOUB

« Défendons la mémoire de Lounès Matoub »

Dans une déclaration, Nadia Matoub, la veuve du chanteur Matoub Lounès, s’insurge contre la volonté de transformation de la maison familiale en musée par les autorités du pays. Lire la déclaration ci-après :

« Lounès Matoub incarne l’esprit de liberté, celui de la résistance, de la chanson qui éveille. C’est cet esprit que le régime algérien a combattu et combat encore par la censure, la répression, l’injustice, l’humiliation qu’il fait subir aux populations, l’instrumentalisation de l’histoire et de la langue amazighe ; Lounès ne disait-il pas « Int-iyi isem Amaziɣ ma d tilelli s tegrawla ? » (Dites-moi si “Amazigh” ne signifie-t-il pas “Liberté par la révolution” ?). Mais voilà que ce système que Lounès a combattu de toutes ses forces, système d’hier qui demeure celui d’aujourd’hui, prétend vouloir préserver sa mémoire et son patrimoine artistique et culturel en finançant un musée qui va porter son nom. Il s’agit tout simplement d’une profanation et de la volonté de neutraliser le symbole qu’il incarne.

En tant que veuve de Matoub Lounès, je suis étonnée, encore une fois, d’apprendre, par la presse, l’existence d’un projet qui concerne mon époux. Par cette déclaration, je tiens à informer l’opinion publique de ma ferme opposition à ce projet qui aura comme conséquence de dénaturer ses biens matériels : le projet tel qu’il est annoncé par les autorités algériennes prévoit même « d’intégrer la maison familiale » dans l’édifice du musée. Sa demeure qui abrite ses souvenirs les plus précieux, à l’exemple de ses instruments de musique et des prix qui lui ont été décernés, doit rester tels qu’il les a laissées, reflet de sa vie et de son parcours.

Je refuse que la mémoire de Lounès soit souillée et que son combat soit perverti et instrumentalisé. Comment oser prétendre œuvrer pour la préservation de l’héritage culturel et artistique de Lounès lorsqu’on combat la liberté d’expression, l’une des valeurs pour lesquelles il a lutté.

Lounès s’est imposé comme le poète exemple de la mémoire fidèle. Notre mémoire est condition de notre conscience et du chemin à emprunter pour préserver le souvenir du symbole de la liberté et de la résistance. La mémoire de Lounès est le patrimoine de l’ensemble des Amazighs à qui il revient de la défendre. Réflexion, discernement et vigilance sont de rigueur dans notre action de mobilisation afin d’entretenir dignement son souvenir.

Nadia Matoub,
Paris, le 9 septembre 2018

 

 




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États-Unis : Trump à un tweet de la guerre avec la Corée du Nord

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Révélation

États-Unis : Trump à un tweet de la guerre avec la Corée du Nord

Selon Bob Woodward, le président américain a été empêché in extremis par le Pentagone de publier un tweet aux conséquences potentiellement catastrophiques.

Donald Trump a la gâchette facile sur Twitter. Une anecdote contée par Bob Woodward en témoigne. Le président américain Donald Trump a manqué de déclencher un conflit avec la Corée du Nord en envisageant de publier un tweet qui a « vivement alarmé » le Pentagone, affirme en effet le journaliste d’investigation.

Dans ce tweet, que M. Trump n’a finalement pas envoyé, le locataire de la Maison-Blanche comptait ordonner le retour des familles des quelque 28 500 militaires américains basés en Corée du Sud, a précisé M. Woodward, dans une interview diffusée dimanche 9 septembre par CBS.

Une telle mesure aurait instantanément été interprétée par Pyongyang comme le signal d’une attaque imminente des forces américaines, a expliqué le journaliste, auteur d’un livre incendiaire sur la présidence du magnat des affaires. « À ce moment-là, l’état-major au Pentagone s’est vivement alarmé, en pensant : Mon Dieu, ce tweet alors que nous disposons d’informations fiables selon lesquelles les Nord-Coréens vont interpréter cela comme l’indication d’une attaque imminente », a déclaré Bob Woodward.

« Nous faisons cela afin d’éviter la troisième guerre mondiale »

Dans son livre, dont la sortie est prévue mardi, le journaliste, connu pour ses révélations dans l’affaire du Watergate, décrit un Donald Trump obsédé par le retour des soldats américains déployés en Corée du Sud. « Je ne sais pas pourquoi ils sont là-bas », aurait dit le président lors d’une réunion. « Ramenons-les tous au pays. » À la suite de quoi son ministre de la Défense, James Mattis, lui aurait expliqué : « Nous faisons cela afin d’éviter la troisième guerre mondiale. »

Auteur
AFP

 




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Mustapha Hadni, porte parole du CCLD, au stand du PLD

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A la Fête de l’Humanité 2018

Mustapha Hadni, porte parole du CCLD, au stand du PLD

La 83ème édition de la Fête de l’Humanité aura lieu le 14, 15 et 16 septembre prochain. Ce sera certainement un épisode singulier dans la vie du Parti pour la Laïcité et la Démocratie. En effet ce rendez-vous international ne manquera pas d’avoir une incidence politique particulière sur le devenir du PLD en tant qu’organisation politique.

Depuis quelques mois, une volonté réelle de sortir de l’émiettement et de l’impasse des chapelles, semble s’affirmer avec de plus en plus de force chez des militants démocrates de différents horizons pour pousser sur la voie de la capitalisation, la clarification politique et l’unification des rangs.

En effet des camarades, ayant à cœur autant le sens de l’unité que l’adhésion à la stratégie de la double rupture prônée par le regretté Hachemi Cherif, ont décidé de se structurer politiquement et de se doter le 18 mai 2018 d’un nouvel outil, le Collectif de Coordination et de Liaison des Démocrates (CCLD).

C’est la raison pour laquelle le PLD a tenu à inviter cette fois-ci dans le stand, son porte-parole, Mustapha Hadni, à venir débattre de cette nouvelle structure politique, situer ses enjeux et faire ressortir son impérieuse nécessité, à un moment où le pays vit un des moments les plus cruciaux de son existence.

Le PLD fonde tous ses espoirs sur la réussite politique du CCLD. Avec tous les autres camarades engagés dans sa construction, il investira tous les efforts nécessaires pour faire de celui-ci la relève de demain et le pôle incontournable des combats à venir, notamment celui central d’une transition nationale pacifique pour édifier une Algérie républicaine, laïque, démocratique, moderne et sociale.

Cher(e)s camarades, cher(e)s ami(e)s, venez nombreuses et nombreux au stand du PLD soutenir notre combat en venant y déguster notre couscous laïque et savourer le thé à la menthe accompagné de pâtisseries algériennes. Venez débattre aussi avec notre invité :

Mustapha Hadni, porte-parole du CCLD

Dimanche 16 septembre 15 heures

Algérie : Quels enjeux et quelles perspectives ?

Adresse du stand du PLD : « Village du monde », avenue Che Guevara.

 

 




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Manif contre la construction d’un Célibatorium à Aokas le 15 septembre

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Mouvement social

Manif contre la construction d’un Célibatorium à Aokas le 15 septembre

Une manifestation contre la construction d’un Célibatorium au profit de la police nationale aura lieu à 15 septembre prochain, a-t-on informé. Des manifestants s’organisent contre le projet de réalisation d’un Célibatorium dans la commune d’Aokas (Bejaia).

«Non à la militarisation», «Aokas a besoin d’espaces pour familles»….lit on dans un communiqué qui nous a été parvenu.

Le rassemblement aura lieu à la place Katia Bengana. «Nous y serons pour dénoncer la militarisation effrénée que tente ce système en Kabylie», clame un citoyen.

Par ailleurs, une autre manifestation aura lieu à Bejaia ville. Elle consiste en une réunion du mouvement Mouwatana. EIle se tiendra dans une cafétéria dans la matinée du 15 septembre. Des animateurs expliqueront aux citoyens présents les actions du mouvement et son objectif principal.

«Ils expliqueront aux citoyens que le mouvement est non seulement contre la candidature du président Bouteflika, mais qu’un autre postulant issu du même système ferait tout aussi l’affaire», analyse un Facebookeur.

Auteur
Mounir Outemzabt

 




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Algérie en Mouvement 2018 aura lieu du 25 au 28 septembre à Paris

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Débats-exposition et projection

Algérie en Mouvement 2018 aura lieu du 25 au 28 septembre à Paris

Pourquoi Algérie en Mouvement ?

Algérie en Mouvement a pour objectif de mettre en lumière les acteurs du changement et leurs initiatives dans l’Algérie contemporaine. Il vise également à faire évoluer les représentations et les idées reçues sur ce pays et sa jeunesse auprès des francilien(nes).

Qui somme-nous ? 

 Forum France-Algérie, association de loi 1901 dont l’objet est de rapprocher les peuples français et algérien et promouvoir, en France, le vivre-ensemble entre les Franco-Algériens et les différentes composantes de la société française. Un des objectifs spécifiques de l’association est de mobiliser la diaspora algérienne en faveur du développement de leur pays d’origine.http://www.forumfrancealgerie.org

 Au programme : 

  • Du 6 au 22 septembre, de prestigieux artistes algériens seront présentés à la Galerie Jean-Luc et Takako Richard dans le cadre de l’exposition “Vu d’Alger”.
  • Le 25 septembre, nous discuterons du paysage de l’édition littéraire en Algérie et inviterons de remarquables auteurs à intervenir sur le rôle de la fiction dans l’exploration et la révélation de la complexité de l’Histoire.

Inscription au volet littéraire 

  • Le 26 septembre nous interrogerons la place qu’occupent les médias et les réseaux sociaux dans la société algérienne en partenariat avec l’Institut de Recherche et d’Etudes Méditerranée Moyen Orient.

Inscription au volet médias et réseaux sociaux 

  • Le 27 septembre à l’Hôtel de région nous présenterons des entreprises innovantes ainsi que des opportunités de coopération entre la Région d’Ile-de-France et la Wilaya d’Alger, partenaires de l’événement. Nous prendrons connaissance le rôle joué par les franco-algériens dans la dynamisation de l’entrepreneuriat en Algérie. Le 28 septembre sera consacré à des visites de terrain des membres de la délégation algérienne.

Inscription au volet entreprises 

  • Dans la soirée du 27 septembre, à la mairie du 4e arrondissement de Paris, nous projetterons le film du Yes Lukan Tour 2018 et le documentaire Wesh Derna. Nous donnerons également la parole à des responsables associatifs algériens porteurs d’initiatives remarquables.

Inscription au volet initiatives civiles 

  • Le 27 et 28 septembre en soirée, à l’Auditorium du Conseil Régional à Saint-Ouen et grâce au soutien de la coopération française, nous projetterons les films sélectionnés par le Forum France-Algérie en 2018 (documentaires et fictions). Des prix seront remis aux réalisateurs et réalisatrices algériens pour récompenser ces œuvres, miroirs de l’Algérie contemporaine.

Inscription à la soirée cinéma du 27 (avec la diffusion de Kindil El Bahr – Cold – Dr Fatma – Enquête au Paradis) 

Inscription à la soirée cinéma du 28 (avec la diffusion de That lovely life – Je te promets – Until the end of time) 

 

 




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Quand la théorie des codes réduit le Coran à… néant !

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Fascinant : titré Docteur en islamologie à… 81 ans !

Quand la théorie des codes réduit le Coran à… néant !

S’il est un chercheur encore en vie dont on se doit d’encenser les études et les écrits, c’est bien Jean-Jacques Walter (*) ! En octogénaire averti, aux neurones aussi ardents qu’à ses 20 ans, il revigore et apporte davantage de matière scientifique et de démonstrations mathématiques à ce que la simple logique de tout esprit cartésien laisse subodorer !

Jean-Jacques Walter est né en 1932, indique sa biographie. Rappelons que Abdelaziz Bouteflika, notre putschiste multirécidiviste et bâtisseur de mosquées par les Chinois, est venu au monde 5 années plus tard. À tout juste 22 ans, Jean-Jacques est ingénieur de l’Ecole des mines de Paris. Son cursus professionnel met en relief la direction d’une société de recherche et développement, en plus d’être l’auteur d’une dizaine d’ouvrages, dans des domaines aussi variés que la politique, la religion et les Sciences. Parmi ces ouvrages, 5 cinq ont été publiés avant l’âge légal du départ à la retraite, et les cinq autres bien après !

CV résumé et accomplissements d’utilité publique, à comparer avec ceux de Abbas el-Madani, le petit cousin lointain, de Ali Belhadj, son sinistre acolyte, de Djamel Ould-Abbes, de Abdelaziz et Said Bouteflika, nos frères Bogdanov de la politique et de l’artifice, nos experts docteurs en… coups d’Etat, et de tous ces guignols qui manœuvrent de façon directe ou indirecte les rênes du pays !

On se dit qu’avec telle carrière et tels labeurs, notre expert es-multi-domaines se devait de savourer une retraite méritée depuis bien longtemps, traînassant un farniente supérieur aux Antilles, quelque part entre Kingston, Saint Domingue et Port au Prince !

Et que Nenni ! A plus de 80 ans, ses neurones sont encore si frétillants qu’il soutient une thèse en psychologie clinique, en 2011, et un doctorat d’Etat, tenez-vous bien, en… islamologie, en 2013 ! Une thèse au titre bien affûté «l’Islam révélé par la théorie des codes », publiée, fait rare pour être souligné, moins d’un an après sa soutenance !

De quoi s’agit-il donc, et en quoi cette thèse bouleverserait et anéantirait le mythe de Mahomet ?

Par le simple fait qu’il s’agit là de rigueur et de précision, aux sens mathématiques des termes !

Résumée en quelques mots, la théorie des codes consiste à inspecter un texte mot par mot, phrase par phrase, point par point, pour en extraire et y associer une espèce d’algorithme de structures syntaxiques à même de démêler la signature caractéristique de son auteur. Une signature préalablement décryptée via des textes authentiques de ce même auteur.

À cet égard, les principes d’analyse de la théorie appliqués au Coran donnent des résultats à tout le moins désarçonnant pour tout obtus croyant, mais oh combien réconfortants pour nous, les éternels infidèles et associés récalcitrants !

Selon ces résultats, le nombre d’auteurs différents du texte coranique se situerait aux environs de la cinquantaine. Vous avez bien lu ! retranscrit en chiffres il s’agit bien du nombre 50 !

Sans faire appel à quelconque théorie d’ordre supérieur, ceux qui ont lu le Coran avec intelligence et distance ont compris que la collection des sourates et des versets ne suit pas quelconque règle magistrale, à la mesure du tout puissant.

Une lecture basée sur le simple bon sens suffit à vous faire rapidement déduire qu’entre celui qui a rédigé le verset 282 de la sourate « El-Baqara », avec un style tortueux, fort éloigné des dispositions attribuées à l’omniscient, et celui qui est à l’origine de la sourate « El-Fatiha », laquelle ne contient que 7 versets concis, il y a un sacré fossé stylistique et syntaxique, aux allures d’oscillations discontinues entre le cafouilleux et le précis. Quant aux plus courtes, les sourates « El-Asr » et « El-Kawtar », lesquelles ne contiennent que 3 versets chacune, elles se retrouvent en fin de volume, séparées par la « kafirune », celle qui nous est dédiée, nous les infidèles et autres apostats, avec ses six versets. Très populaire parmi les croyants, cette dernière est souvent dégainée, à tout va, en guise d’ultime retraite discursive par les adeptes de la récitation ; elle se termine par le non moins fameux « lakoum dinoukoum wa liya eddini » (à vous votre religion, et à moi ma religion) éructé par Bouteflika (yourdha Allahou 3anhou, bientôt), lors de sa visite à Paris en 2002 (j’y étais), à l’adresse d’un groupe d’excités du FIS, du GIA ou de je ne sais quel « katiba » d’Allah venue se faire entendre, avec les habituelles vociférations et autres mimiques de ralliement à LA CAUSE !

Mais tenez-vous bien, encore une fois ! même si la Sourate « El-Fatiha », n’est pas la plus courte, elle est, cependant suivie de la plus longue, la « Baqara », avec ses 286 versets, dont le plus long référencé précédemment, avant de laisser place à une série de sourates qui ne suivent aucun ordre particulier, que ce soit en termes quantitatifs ou qualitatifs, sinon celui d’un chaos aux empreintes déterministes et statistiques à se flinguer les derniers neurones ! Si la théorie des codes le démontre parfaitement, le bon sens le déduit tout aussi bien !

Allah l’omniscient, le créateur d’un univers infini, est-il à ce point désordonné pour dicter des versets et des sourates disproportionnées, aussi bien en qualité qu’en quantité ?

Selon les résultats de cette étude, le Coran aurait été rédigé sur une période qui s’étale sur plus de 200 ans. La rédaction entamée par Othman Ibn Nafâa, 3ème calife après Abou Bakr et Omar, consistait, en premier lieu, à rassembler les feuilles de palmiers, les peaux de chèvres et autres couennes hallal sur lesquelles les paroles de Djibril avaient été retranscrites par les scribes du prophète. L’assemblage fût réenclenché 60 ans après la mort de Mahomet, avec des rajouts et suppléments concoctés au fur et à mesure des conquêtes par une série de califes pour seoir des légitimités et des règnes successifs au nom de Cieux tout puissants. Des Cieux monopolisés pour de bon par les musulmans !  

Mais pourquoi a-t-on attendu six décennies pour ordonner et trafiquer la parole d’Allah ?

La réponse est simple ! Même si la théorie des codes ne peut pas la donner, elle se trouve dans le livre de Hela Ouerdi, «Ls derniers jours de Mahomet ».

En effet, après la mort du dernier délégué du Ciel, lui qui faisait circuler l’idée qu’il avait été envoyé sur Terre en mission eschatologique, c.à.d. en sauveur de l’humanité pour assister à la fin du monde et au jugement dernier, les Arabes de la Mecque et de Médine, les va-t’en guerre qui avaient cru en lui et l’ont suivi jusqu’aux terrains de combats féroces, ont été soulagés de voir que la mort de l’envoyé des cieux n’avait pas entrainé la leur, et que la fin du monde n’était pas encore au programme ! Du coup, avec le décès de Mahomet, l’Islam se mourrait aussi ! Il a fallu attendre la génération suivante et la disparition de tous les témoins de la grotte pour réenclencher le mythe. Voilà tout !

Ce qui interpelle dans le travail de Jean-Jacques Walter, ce ne sont pas tant les résultats de la théorie des codes, des résultats perceptibles et prédictibles par tout esprit lucide ayant lu le Coran, mais le branle-bas de combat déclenché par les gardiens d’une morale plus que douteuse pour lui coller des étiquettes insensées et lui mettre des bâtons dans les roues, aux motifs que son ouvrage risquait d’offenser le monde musulman. Un monde condamné à une infantilisation et une irresponsabilité hors desquelles il ne sortira jamais, au grand bonheur de nos frangins d’Occident, eux qui pourtant nous veulent tant de bien !

C’est comme si le fait de postuler que « la somme 2+2 n’est pas égale à Aïcha ou Khadîdja » représentait une forme d’insulte à une religion en laquelle personne n’est obligé de croire ou de ne pas croire !

Quand les croyants auront suffisamment de recul et d’intelligence pour accepter ce simple postulat, l’espoir de construire un monde meilleur qui s’étale de la Mecque à Casablanca, et bien au-delà, sera permis !

Cependant, s’il y a une déclaration à laquelle, en tant que musulman non croyant et non pratiquant, on ne peut pas souscrire, c’est celle qui consiste à tous nous traiter d’idiots, en prétendant gaiement que « les musulmans ne comprennent pas les mathématiques » ! Corollaire, nous serions tous incapables de pénétrer et d’adhérer aux conclusions de tout travail scientifique concernant le coran !

Wouah ! Hitler, Trump et  Poutine n’auraient pas dit mieux !

Vous avez tort de postuler cela Monsieur Walter ! D’autant que, en quoi cela confèrerait-il quelconque valeur complémentaire à vos extraordinaires investigations d’ainsi nous mépriser du haut de vos algorithmes mathématiques ? Quand bien même, nous ne puissions pas comprendre la théorie des codes dans ses moindres détails (nous ne nous sommes juste pas encore attelés à le faire, d’ailleurs), combien de Raëf Badaoui croupissent encore dans les prisons des autocrates musulmans, par le fait d’avoir décodé et osé affirmer, à travers de simples déductions basées sur une logique universelle, que les textes du coran, de la bible ou de la torah ne sont que pures inventions ? Des farces supérieures élaborées par des hommes en quête de butins et d’une vie paradisiaque sur Terre, tout en veillant à réserver la promesse d’un paradis post-mortem aux autres, à tous les dindons qui tombent naïvement dans le panneau de la farce mystique. Par la morale « vivre aux dépens de celui qui écoute » énoncée dans « le corbeau et le renard », La Fontaine a bien décrit les contours de telles tromperies !

Si, en lieu et place des insipides fables « grotesques », celles de La Fontaine étaient enseignées et diffusées dans les minbars de toutes les mosquées du monde, les Boumediene, Bouteflika et autres apprentis despotes n’auraient jamais eu la chance d’accéder au fauteuil de président ! Quant à Hassan Aribi, ce transfuge notoire du FIS, il n’aurait en aucun cas pu occuper, ni même en rêver, le siège de député, du haut duquel il ose fustiger Amin Zaoui ! Un parasite provocant un titan. Décidément, on aura tout vu tout entendu au pays de Aek el-Mali !

Cantonner nos lignées Homo-Sapiens dans des moules confectionnés selon des couleurs de peau différentes, des religions ou des frontières distinctes, cela est conforme à la règle du jeu malsain qui prévaut, depuis la nuit des temps, un jeu de guéguerres et d’effusion de sang entre conquis et conquérants, entre faibles et forts du moment. Mais oser séparer nos sociétés en termes d’intelligence, juste parce que les plus rusés et les plus violents se sont associés pour élaborer des codes de vie à leurs exclusifs profits, en confectionnant des textes « divins » qui leurs donnent des pouvoirs illimités, est pour le moins regrettable, car de telles déclarations servent les intérêts de ceux que vous-même dénoncez ;  ces illuminés aux sommets du monde musulman, eux qui estiment que toute remise en question du Coran serait un outrage aux croyants !

Si outrage il y a, il se destine à secouer les certitudes des musulmans du sommet et des dindons suiveurs qui gravitent autour, ainsi que celles des maîtres de l’Occident qui profitent, à bon escient, de la torpeur de l’Orient. Toute remise en question du coran se doit d’ébranler les édifices de supercheries sur lesquels reposent les monarchies du Golfe et les despotes du Maghreb-Moyen-Orient, mais aussi conforter le peu de musulmans lucides comme Raëf Badaoui, lesquels, sans avoir recours à quelconques mathématiques des codes ou à celles qui décrivent l’origine de l’Univers, en termes de mécanique quantique ou de théorie des cordes, ont néanmoins tout compris du drame Céleste et de ces absolutistes qui en usent, en abusent et les transmettent, siècle après siècle, génération après génération, à leurs remplaçants. Bien souvent, sur fond de bains de sang ! Le sang des innocents, évidemment !

Cela dit, les démonstrations et les conclusions présentées dans «L’Islam révélé par la théorie des codes » sont à saluer. À travers des résultats scientifiques imparables, les majorités silencieuses et lucides des pays musulmans ne peuvent que se sentir renforcées ! Quant aux autres, les dirigeants et leurs cours, ils continueront à ériger des mosquées, s’octroyer des « houris » sur Terre comme s’il en pleuvait, faire main basse sur toutes sortes de richesses à répartir entre les gardiens du temple, fidèles et assermentés. Vivre en Rois dans la profusion et l’excellence, à coups d’« Incha-Allah » de « hamdou-Allah » excitant, avec des Polices et des Armées dociles, bien nourries et bien formatées pour défendre et protéger, même du mauvais-œil ; c’est la recette intégrale appliquée par tous les despotes islamistes ! Il n’y a qu’à voir l’embonpoint de Gaïd Salah quand, en guise de preuve irréfutable à la « sirrat el-moustaquim » républicaine, il éructe des déférences à la « kadrat-Allah », pour se convaincre que la création coranique est promise à un bel et éternel avenir ! 

Et ça, la théorie des codes ne l’évalue pas ! Elle ne le peut pas ! Des théories qui osent remettre en question les faits du passé, en voudrait-tu, on t’en servirait ! Mais où sont celles qui dessineraient un présent et un avenir meilleurs pour tous, dans ce monde dit civilisé qui opère selon les mêmes règles et les mêmes lois que celles qui prévalent depuis l’antiquité, avec toutes sortes de hors-la loi et d’assassins que l’Histoire des hommes ne cesse d’ériger en Héros, voire en demi-dieux, au lieu d’en bannir toute référence dans les programmes scolaires de nos chérubins ?

Bouteflika, chez nous en est l’exemple probant ! Inerte, sourd et muet depuis des années, on nous fait croire qu’il dirige le pays ! Son frère Saïd, en véritable protecteur et compagnon fidèle, tout comme le fût Aboubaker pour Mahomet, veille au grain de la petite famille ; matraques, fusils et Kalash dégainés pour mater le moindre signe d’indocilité qui se profilerait au sein du prolétariat d’en bas, comme au bon vieux temps des califats ! Pour preuve, la brutalité de la Police à Constantine, ce samedi, pour empêcher une simple action pacifique organisée par le mouvement Mouwatana !

Théorie des codes ou pas, le Coran prête à débat, voire à confusion ! Et ceux qui en usent et abusent pour domestiquer leurs peuples sont soit trop c… ou trop gourmands, tout simplement ! Le monde musulman se réveillera-t-il un jour pour donner un coup de pied dans cette fourmilière d’inepties afin prendre enfin le train d’un monde qui avance à vitesse grand V ? Participer à relever les défis majeurs dont dépend notre survie, nous tous qui sommes embarqués sur ce petit caillou perdu dans l’univers appelé Terre, au lieu de se complaire dans des postures d’adoration qui ne servent à rien, sinon à gaspiller du temps et dissiper de l’Energie dans les splendeurs de l’insignifiance ; voilà la condition initiale nécessaire pour extraire la « oumma » de sa torpeur !

Malheureusement, avec des assoiffés du pouvoir et la règle du « tout pour moi, rien pour les autres » scrupuleusement appliquée par Gaïd Salah, Bouteflika et l’insatiable haute smala FLiN-tox, telle condition ne s’appliquera sans doute jamais !

Amère et maigre consolation à ce schéma pessimiste ; Donald Trump au sommet de la grande Amérique, Bouteflika ou un cactus épineux au sommet de l’Algérie, c’est du kif-kif bourricot kafkaïen pour tous ! Avec de telles marionnettes aux manettes des pays sur-et-sous-développés, et un Jupiter Macron arrogant, allez-donc sauver la planète Terre et l’homo-sapiens d’une inexorable fin ! Quant aux despotes musulmans, ils périront comme ils ont vécu ; vieux, moches et c…à la fois, à l’image de « fakhamat » raïs, le brillant, l’unique, le champion hors-catégorie des putschs et des mandats, l’honorable docteur en coups d’état, l’imposteur Aek Bouteflika !

Sous nos yeux tristes et impuissants, dans nos « thivhirines » radieuses, il était une fois ; l’absurde, la peste mystique et le choléra politique sévissent et avancent à grands pas, théorie des codes ou pas ! Al-wakhda !

K.M.

 

Auteur
Kacem Madani

 




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Qu’a dit Abdelkader Messahel au ministre des Affaires étrangères libyennes ?

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Après la déclaration du maréchal Haftar

Qu’a dit Abdelkader Messahel au ministre des Affaires étrangères libyennes ?

Le ministre des Affaires étrangères, Abdelkader Messahel a reçu lundi une communication téléphonique de son homologue libyen, Mohamed Taher Siala, au cours de laquelle, ce dernier a tenu à « se démarquer des déclarations inappropriées attribuées au Maréchal Haftar », a indiqué un communiqué du ministère des Affaires étrangères (MAE).

Le ministre libyen a tenu à « se démarquer des déclarations inappropriées attribuées au Maréchal Haftar, tout en réitérant l’attachement des autorités libyennes à la préservation et au renforcement des relations fraternelles et historiques qui existent entre les deux pays et les deux peuples », a précisé la même source.

M.Siala s’est, dans le même temps, félicité du « rôle de l’Algérie et de sa contribution dans le cadre du processus onusien pour le règlement de la crise libyenne, une contribution que l’Algérie n’a cessé d’apporter dans la discrétion requise et qui lui est reconnue par la communauté internationale, et ce depuis le début de la crise », a souligné la même source. 

De son côté, M. Messahel a tenu à « rassurer son homologue libyen qu’aucune déclaration, de quelque nature qu’elle soit, ne peut porter atteinte aux liens solides de solidarité et de fraternité entre les deux pays et que l’Algérie poursuivra ses efforts dans la recherche d’une solution politique à la crise libyenne et ce dans le respect des principes qu’elle a toujours défendus notamment ceux de la non-ingérence dans les affaires intérieures des Etats et le respect de leur souveraineté ».

Si le ministre des Affaires étrangères libyennes a ainsi éteint l’incendie allumé par l’incontrôlable Haftar, cette polémique renseigne sur la volatilité de la situation en Libye et des dissensions profondes qui traversent les institutions du pays.

Auteur
Avec APS

 




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