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jeudi, 13 novembre 2025
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Le groupe parlementaire du FFS dénonce le sort fait à l’APN

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Déclaration

Le groupe parlementaire du FFS dénonce le sort fait à l’APN

Le groupe parlementaire du Front des forces socialistes s’est réuni au siège national du parti le mardi 13 novembre 2018, pour examiner la situation politique qui prévaut dans le pays, et particulièrement l’évolution de la situation au niveau du parlement, appelé à examiner et adopter le projet de la loi de finances 2019.

Les parlementaires du FFS dénoncent encore une fois la prééminence de l’exécutif sur le parlement, la séparation des pouvoirs consacrée par la constitution, n’est qu’un leurre.

Les parlementaires du FFS dénoncent le climat et les conditions d’élaboration, d’examen et du vote du PLF 2019.

Comme prévu, ce projet de loi de finances 2019 a été présenté d’une façon expéditive sans aucun bilan de gestion annuelle du budget de l’état et les ajustements budgétaires opérés échappant complètement au contrôle parlementaire.

Le Projet de loi de finances 2019 devrait être examiné après la présentation de la déclaration de politique générale du gouvernement et du rapport annuel de la banque d’Algérie.

Ce projet de loi de finances ne contient aucune mesure concrète pour lutter contre l’évasion et la fraude fiscales, la réduction du train de vie de l’état et la rationalisation des dépenses publiques, les déséquilibres dans la répartition du budget, avantageant le fonctionnement au détriment de l’équipement, et aucune volonté politique de lutter contre la corruption et l’informel.

Les parlementaires du FFS considèrent que l’objectif recherché derrière le battage médiatique autour du maintien des transferts sociaux et la non introduction de nouvelles taxes est purement électoraliste et vise à acheter la paix sociale.

Les parlementaires du FFS mettent en garde contre l’absence d’une stratégie économique et financière à court et à long terme, et tirent la sonnette d’alarme sur la faillite organisée de la Caisse Nationale de Retraite (CNR), obligée de contracter des prêts auprès du fonds national d’investissement (FNI).

Le PLF 2019 maintient encore la gestion opaque des comptes d’affectation spéciale (CAS), en violation des recommandations de la cour des comptes et les réserves émises par le conseil constitutionnel dans son avis relatif au contrôle de conformité de la loi organique relative aux lois de finances, à la Constitution, publié le 02 septembre 2018.

L’analyse sérieuse du PLF2019 montre qu’il y a absence de volonté politique pour respecter le principe d’équité sociale et la préservation des acquis sociaux des Algériens et le long chemin qui reste à parcourir pour instaurer un état de droit.

Les parlementaires du FFS suivent avec inquiétude les arrestations et condamnations arbitraires des journalistes et des militants des droits de l’Homme et expriment leur solidarité avec le camarade LITIM El Hachemi, condamné arbitrairement à une année de prison ferme par la cour de Laghouat.

Les parlementaires du FFS continueront à organiser des sorties de proximité en guise et d’écoute de solidarité avec les citoyens épris de justice et qui revendiquent leurs droits légitimes.

Les parlementaires du FFS saluent l’initiative prise par les syndicats autonomes de se constituer en confédération des syndicats autonomes et expriment leur disponibilité à accompagner leur combat.

Le chef du Groupe Parlementaire

Saddek Slimani

 




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Ould Abbès : aussitôt débarqué, aussitôt remplacé (Vidéo)

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CRISE AU FLN

Ould Abbès : aussitôt débarqué, aussitôt remplacé (Vidéo)

Pas le temps de respecter les formes. Aussitôt dit, aussitôt fait. Une fois Djamel Ould Abbès « démissionné », il la été décidé que l’intérim sera assuré par Moad Bouchareb. Et ce en attendant que les organes habilités du parti du FLN se prononcent sur son remplacement, précise la même source.

Mais qui a décidé du remplacement d’Ould Abbès ? Pourtant le FLN est doté d’organes souverains, comme le comité central et le bureau politique.

Aucune source qui a évoqué cette disgrâce n’a parlé d’une quelconque réunion des organes du FLN. La question reste donc posée.

 

Auteur
La rédaction

 




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Djamel Ould Abbès débarqué du FLN

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DERNIERE MINUTE

Djamel Ould Abbès débarqué du FLN

« Coup d’état médical » au parti FLN. Finies les blagues grasses de Djamel Ould Abbès. Et pour cause, l’inénarrable SG du FLN a été débarqué de son poste aujourd’hui mercredi 14 novembre. Personne ou presque n’a vu arriver le limogeage de ce très zélé serviteur du clan. 

Evidemment, le cabinet noir qui a décidé son limogeage lui a ménagé une porte de sortie honorable en arguant une raison médicale. Ould Abbès aurait donc déposé sa démission !! Voilà qui peut faire sourire plus d’un. 

Un fin connaisseur des moeurs du pouvoir et des arcanes du FLN a eu cette boutade : « Je veux bien croire qu’Ould Abbès a été victime d’une crise cardiaque, encore faut-il qu’il ait un coeur ». Poursuivant : « Qui va nous faire rire maintenant qu’Ould Abbès est invité à se taire ? »

Une disgrâce dans l’air du temps

Pendant que l’intéressé garde mystérieusement le silence chacun qui est allé de sa version. L’APS a confirmé elle aussi la démission de Djamel Ould Abbès en raison de « soucis de santé qui lui imposent un congé de longue durée », se référant à une source officielle non identifiée. Voilà la très officielle agence de presse qui entend des voix pour donner quelque façade honorable à cet énième putsch.

Dans une déclaration faite à la presse, Ahmed Boumehdi, membre du bureau politique du FLN, a démenti que Ould Abbès avait présenté sa démission. Ce dernier aurait pris un congé en raison de son état de santé, a-t-il précisé, en ajoutant que le bureau politique se réunira pour prendre une décision.

En réalité, depuis hier, des informations nous sont parvenue sur un limogeage de Djamel Ould Abbès. Le sort du porte-voix du FLN était scellé depuis quelques jours. 

Tout ce cafouillage qui accompagne ce limogeage relève des soubresauts classiques qui animent le pouvoir et ses relais. Le précédent de Said Bouhadja et maintenant le cas Ould Abbès sont la triste illustration de ce qui attend les serviteurs du clan Bouteflika. Ils en sont avertis. 

Auteur
Yacine K.

 




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La fin des temps: les syndicats des zaouïas et des imams parlent politique

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DECRYPTAGE

La fin des temps: les syndicats des zaouïas et des imams parlent politique

Je commence mon texte par un passage du livre « De la dictature à la Démocratie » du fondateur d’Albert Einstein Institution, Gene Sharp « Un mythe de la Grèce classique illustre bien la vulnérabilité des supposés invulnérables. Contre le guerrier Achille, nul coup ne portait. Nul sabre ne pénétrait sa peau. Alors qu’il  était enfant, la mère d’Achille l’avait trempé dans les eaux de la rivière magique Styx. Il était de ce fait protégé de tous les dangers. Il avait toutefois une faille. L’enfant était tenu par le talon  pour ne pas être emporté par le courant, l’eau magique n’avait pas recouvert cette petite partie de  son corps. À l’âge adulte, Achille paraissait aux yeux de tous invulnérable aux armes de l’ennemi.

Néanmoins, dans la bataille contre Troie, un soldat ennemi, instruit par quelqu’un qui connaissait la faiblesse d’Achille, visa de sa flèche le talon sans protection, seul point susceptible d’être blessé. Le coup se révéla fatal. Ainsi, aujourd’hui, l’expression « talon d’Achille » se réfère à l’endroit de la personne, du plan ou de l’institution qui est sans protection en cas d’attaque. Le même principe s’applique aux dictatures impitoyables. Elles peuvent ainsi être conquises, plus vite et à moindres  frais si leurs faiblesses peuvent être identifiées puis attaquées de manière ciblée ».

Après cette introduction éducative,  je continue… Ecoutons une grisaille bavarder : « J’ai interdit à tous les cadres du parti FLN  et à tous les adhérents de parler du cinquième mandat (…) Hetta Yzid Ounsemouh Saïd (appelez le Saïd dès qu’il naîtra) », remplaçant ainsi volontairement « Bouzid » par « Saïd » dans la formule populaire algérienne. Une formule qu’il répétera à deux reprises, pour qu’elle retentisse dans les cervelles de tous comme un acte délibéré et non un lapsus »

Une autre grisaille fait échos à la première et affirme qu’il n’y a pas de personnalité politique apte, à l’exception de l’actuel président, à diriger le pays comme le voudrait le deuxième parti au pouvoir.

Ouyahia pense que tous les Algériens sont des militants RND et affirme gratuitement que tous les Algériens sont satisfaits des réalisations de Bouteflika.

Par cette affirmation il nous informe que la terre des  héros est stérile et qu’après Bouteflika on importera sans doute un président. Ouyahia me fait penser au maître pharaon qui interdit aux Israéliens de voir ce que le maitre pharaon ne peut pas voir. C’est peut-être la faillite politique ou l’infertilité  de gouvernance qui pousse la grisaille à penser ainsi.

Lorsque j’entends cette  schizophrénie politique bavarder,    je me sens de plus en plus aigu et je  réplique « Oh temps ! Ce temps qui nous dévore.  Les mêmes personnes nous commandent et gèrent notre vie et le futur de nos enfants  à leur guise. Il y a des matins où nous ne savons plus pourquoi nous nous levons. Tout  nous déçoit et plus rien n’a plus de sens. Plus rien nous intéresse. Il y a des actions que nous regardons sur le petit écran et des sons que nous entendons à la radio. Hélas ! les images  et les sons politiques ne nous font plus vibrer. Des nouvelles qui n’ont rien de nouveau nous harcèlent. Saïd va remplacer Bouzid. Bou hadji part et Bou Zanki le remplace. Les cadenas donnent de bons résultats quand le responsable l’organe juridictionnel suprême de la République algérienne est muet. Tout est dit et rien ne reste à dire. Il y a même des jours où nous ne savons plus vraiment quelle fonction  nous sommes supposés exercer face aux absurdités qui nous entourent. Il y a des jours où nous nous sentons complètement dégoûtés de cette vie fourbe ». La schizophrénie politique et la pagaille imagent bien les dégâts dont ils sont responsables.

Les pédagogues utilisent des exemples pour illustrer la leçon. Je suivrais la même démarche pour parler de pagaille politique. En sport, un footballeur jouant les premières minutes d’un mach n’a pas les mêmes idées que celui qui joue la prolongation d’un match de football perdu. Supposons que la vie est un match de football. Une minute de ce jeu équivaut à une année de vie réelle. Cette impression du temps nous permet de trouver des réponses à certaines questions. À quoi pense un homme le jour de ses 85 ans (5 minutes avant la fin du match), quand tout paraît glisser, tomber, se dérober, quand rien de ce qu’il fait ne semble marcher ou produire un effet positif ? En contraste, a quoi pense un jeune homme de 25 ans quand il assiste à l’anniversaire du celui qui fête ses 85 ans ?

Dans une situation normale, le premier doit penser à l’au-delà et faire son bilan avant d’habiter son caveau. Le deuxième doit penser à son avenir, un métier, un foyer et une belle vie dans la paix et la joie, à avoir des enfants bien instruits et éduqués. En mots clairs, il planifie son avenir.

Nous sommes tous différents. Nous voyons la vie sous différente formes selon notre âge. Nous ne partageons pas les mêmes idées politiques. Si nous regardons les Algériens en détail, il n’y en a pas deux de semblables: la taille, les habitudes, les vêtements, la nourriture et les idées politiques. Tout est différent ! Donc il  n’y a pas lieu de généraliser. La différence fait bien les choses. La différence est la force d’une nation.

Cette réalité est difficile à  être acceptée par un système qui marchande les droits et la  dignité humaine. Sommes-nous en Algérie ou dans un pays d’outremer ? Tout est devenu possible. Tous les soupçons sont permis. La corruption est systématique. L’opportunisme est un acte  politique à la mode. L’arrivisme est symbole de réussite politique. Le mensonge est une parole auguste. Dans cette situation le changement est le seul remède.

Mais et mille fois mais. Le changement d’un système politique corrompu n’est pas facile dans un pays où les jeunes préfèrent la fuite vers l’inconnu. 

Dans les pays où la vente aux enchères des sièges au parlement est monnaie courante, les élections ne sont pas un instrument efficace de changement politique. Dans un pays où les zaouïas et les imams ont un syndicat qui soutient la politique de bazar le changement est presque impossible.  

Drôle de modèle démocratique, les fidèles ont un syndicat. Cette histoire de syndicats religieux me rappelle  la question du journaliste roumain David Métreau « Les prêtres peuvent-ils constituer un syndicat et le  gouvernement roumain a- t- il le droit de refuser d’enregistrer le syndicat de prêtres orthodoxes « Sindicatul Pastorul cel Bun » (Syndicat du Bon Pasteur) ? La réponse du gouvernement était claire. Oui (pour le refus d’enregistrement), selon la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH). CEDH estime que les autorités nationales n’ont pas la tâche de juger les différends entre les communautés religieuses et les différentes factions dissidentes. Cette histoire me rappelle une blague politique : « Dans la fin des  temps (Akher zmen)  les syndicats des zaouïas et des imams parleront  politique. »

J’attire l’attention du lecteur. Dans certains pays l’armée est préoccupée par la surveillance des  frontières contre une éventuelle attaque étrangère. Dans d’autres pays l’armée fait la politique et le business et interdit aux civiles de prendre les armes pour surveiller  les frontières en cas d’invasion. Dans ces lieux, les coups d’État militaires ne sont plus un moyen facile et rapide pour faire disparaître un régime corrompu.

Cela sous-entend que le changement doit se faire autrement. Il ne faut pas compter sur une puissance étrangère pour un changement vers une gouvernance démocratique.  Cette espérance est maladive dans plusieurs circonstances, les puissances étrangères tolèrent et même  soutiennent une dictature afin de faire avancer leurs intérêts économiques et politiques. J’affronte et défie  toute personne qui peut dire le contraire.

A la lecture des paragraphes précédents  certains lecteurs vont me prendre pour un désespéré  qui baisse les bras et accepte la dictature. Non et mille fois non.  Je haïs les dictateurs quel que soit la couleur et je ne suis pas un désespéré.  Je crois en mes idées. Je sais qu’il y a aujourd’hui des techniques non seulement  plus modernes mais surtout plus efficaces, qui font appel à l’intelligence et au savoir-faire  pour faire disparaître les corrompus dans un calme absolu suivi de youyous de joie.

Heureusement que les moyens de communication de masse sont très développés et que le monde de l’information  a changé. Les vieilles idées ne sont plus valables. La société civile est éveillée et connaiît l’impact du pouvoir  de la conscience collective, de la capacité de son influence pour un changement pacifique. Le coup d’Etat ratée contre Erdoğan est un bon exemple.  Dans une allocution à la télévision CNN Türk diffusée via l’application de visioconférence Face Time, Erdoğan dénonce le « soulèvement d’une minorité au sein de l’armée » et appelle les Turcs à descendre dans les rues pour résister à la tentative de coup d’État et le supporter. Le peuple a estimé son président … Il l‘a obéi… Le journaliste français Antoine Rivarol l’a prédit dans une de ses citations «Quand les peuples cessent d’estimer, ils cessent d’obéir».

Que dire aux  gens qui se collent  pour la vie au fauteuil du pouvoir.  Je m’excuse de l’expression que je vais employer.  Ils ressemblent parfois aux sots qui font abêtir ceux qui les écoutent ou les regardent.  Ils profitent de leur autorité pour assouvir leur folie des grandeurs. Ils pensent que les gouvernés ne sont pas conscients  de leurs erreurs. Ils continuent dans leur absurdité et ne veulent pas écouter les voix qui leur demandent de disparaître dans la paix et  le silence. Mon éducation ne me permet pas d’utiliser un autre mot à la place de disparaître. Pour savoir le mot que évite demandez à nos voisins tunisiens ils l’ont bien utilisé.  

Les problèmes du quotidien s’aggravent dangereusement et un large fossé de mensonges se creuse entre les problèmes réels perçus par le peuple dans ses moments de clairvoyance, et les solutions bidons  mis en avant par des dirigeants politiques incompétents.

Le constat ne s’arrête pas ici. Le plus «  grave problème » c’est de nous habituer à des décideurs qui pensent, qui parlent, qui agissent  comme des dirigeants d’outremer. Quand ils parlent de continuité et nous rappellent les collabos de la France qui étaient pour la continuité coloniale en Afrique et contre les  révolutions de libération. Référence historique, l’action du général De Gaulle « Le général De Gaulle décida alors de bâtir en contrepartie, vis-à-vis de l’Afrique « noire », comme on disait alors, une relation reposant sur le principe de la continuité plutôt que d’accepter avec résignation le « vent du changement » (Reference La France et l’Afrique : le crépuscule d’une ambition stratégique par François Gouttebrune.)  

Avant de conclure, je  reviens à la phrase du célèbre journaliste français Antoine Rivarol : « Quand les peuples cessent d’estimer, ils cessent d’obéir». Cette phrase enseigne aux politiques une leçon de conduite. 

Théoriquement la France est partie mais ses restes continuent à être un repère même si ce repère nous mène vers la destruction de nos principes.  Nous mimons la France dans notre façon de penser et dans notre nourriture à la baguette. Pour les pharaons la France est la force centripète du monde. C’est la seule raison pour laquelle, ils interdisent aux autres de regarder une  force ailleurs. Pour les Abbassiens, qui préfèrent prier en face de la télévision, le mot interdit n’est plus utilisé dans la gouvernance moderne.

En conclusion: Pour avancer, pour sortir de l’écurie  française et faire face aux défis, pour redéfinir et reconstruire notre  nation, nous avons besoin d’une université forte, puissante et digne de son nom.   C’est dans ce grand temple de savoir qu’on prépare et forme des identités d’une couche sociale autoritaire et libres.  Notre pays a besoin de son université pour produire des cerveaux cartésiens et bien faits, de nouveaux savoirs dans les nouvelles techniques de production et de transformation de la matière. Notre pays a besoin de centres de recherches spécialisés dans différentes branches du savoir et du savoir-faire.  Les jeunes étudiants doivent être conscients de leur responsabilité historique. Ils sont les futurs gardiens des intérêts sacro-saints de la nation. Ils doivent combattre les personnes aux intérêts égoïstes, étroits et passagers qui nous ont menés à ce que nous sommes en ce moment. Ils doivent dégager  les avenues de la science qui ont été barrées par les opportunistes, les arrivistes, les cerveaux vides et la tête cubiques malhonnêtes. Ils doivent travailler durement afin d’acquérir des connaissances utiles et nécessaires pour servir les intérêts supérieurs de la nation. Que Dieu protège notre jeunesse et notre nation.

Auteur
Omar Chaalal

 




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Deux communes de Béjaïa et Tizi-Ouzou exclues par le ministère d’un programme européen

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POLEMIQUE

Deux communes de Béjaïa et Tizi-Ouzou exclues par le ministère d’un programme européen

Deux communes de Béjaïa et de Tizi-Ouzou en Kabylie exclues du programme Capdel sans aucune explication. 

Le  Capdel, un programme lancé par le ministère de l’intérieur avec l’appui de l’Union européenne et du PNUD qui touche 10 communes pilotes choisies à travers les quatre coins du territoire national, pour leurs vocations touristiques, agricoles, artisanales…. en vue de les accompagner et de  renforcer leurs compétences sur tout ce qui est démocratie  participative et développement locale.

Ce programme se base sur l’implication active des élus locaux, de la société civile et de l’ensemble des acteurs et opérateurs locaux, économiques et sociaux entre autre. Une phase de diagnostic et d’analyse participative sur les opportunités et défis de ces communes est réalisée.

Le programme au profit des communes sélectionnées avance bien, les activités de renforcement des capacités à la démocratie participative et au développement local des élus locaux et de la société civile aussi .

Cette expérience lancée sur 10 communes pilotes  a suscité de l’espoir et des attentes chez les acteurs locaux et les populations des communes en question. 

Seulement, deux communes  de Kabylie Béni Maouche à Bejaia et Tigzirt à Tizi Ouzou, choisies parmis les 10 communes pilotes sont subitement bloquées depuis des mois sans aucune explication. Le maire de la commune de Beni Maouche a déjà lancé un cri d’appel pour la relance de ce programme.

La LADDH saisie par le maire de la localité et par plusieurs acteurs locaux de la société civile  lance un appel pressant aux pouvoirs publics de relancer ce programme  dans les deux communes de Kabylie au même titre que  les autres  concernées sur le territoire national.

P/la LADDH.

Said Salhi.

Pour information: le maire de la commune de Béni Maouche a adressé plusieurs correspondances aux autorités compétentes sans suite à ce jour, la LADDH s’est adressé aux responsable du programme Capdel, sans suite. Une question orale du député de Béjaïa à été adressé au ministre de l’intérieur au sujet du blocage de la commune de Béni Maouche , bénéficiaire du programme Capdel, Affaire à suivre en attendant la réponse du ministre.

 




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L’ancien président François Hollande va revenir à la politique

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France

L’ancien président François Hollande va revenir à la politique

L’ancien président français est décidé. Cette fois, ça y est. Il le dit clairement. François Hollande va faire son retour en politique, à en croire ses propres mots. En déplacement à Brive (Corrèze) lors de la Foire du Livre, samedi 10 novembre, afin de faire la promotion de son livre Les Leçons du pouvoir (éd. Stock), l’ancien président de la République a été très clair.

Dans un échange capté par les caméras de « Quotidien », l’émission de TMC, on voit François Hollande discuter avec une sympathisante. « On vous regrette beaucoup », lui explique d’abord cette femme. « Merci. Moi aussi, je vous regrette, vous savez.. », lui répond François Hollande. « J’aimerais bien d’ailleurs que vous reveniez nous voir », enchaîne son admiratrice. Tous les deux posent pour une photo souvenir avant que l’on entende crier « un bisou ! » dans la foule. L’ex-patron du PS s’exécute et repère immédiatement la caméra. 

« Vous êtes retiré de la vie politique intégralement ? » poursuit son interlocutrice. Et François Hollande de répondre sans ambiguïté : « Non ! Non ! Je vais revenir ». 

Auteur
franceinfo

 




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La France complice de crimes de guerre au Yémen ? Amnesty international dénonce

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POLEMIQUE

La France complice de crimes de guerre au Yémen ? Amnesty international dénonce

Amnesty et l’ONG ACAT se sont penchées sur le caractère potentiellement illicite de la vente d’armes françaises à des Etats, comme l’Arabie saoudite, accusés par l’ONU de commettre de graves violations du droit humanitaire au Yémen.

Les ventes d’armes par la France à l’Arabie saoudite ou aux Emirats arabes unis, membres de la coalition arabe qui bombarde le Yémen, violent-elles les traités internationaux ? C’est en tout cas ce qu’a conclu un avis juridique rendu par le cabinet d’avocats parisien Ancile, commandé par Amnesty International France et l’association l’Action des chrétiens pour l’abolition de la torture (ACAT), publié le 20 mars.

Les ONG, qui sous-entendent une complicité de Paris concernant les crimes de guerre perpétrés au Yémen, «appellent à un véritable débat public suite aux conclusions» de ce rapport.

Selon les termes employés dans un communiqué d’Amnesty résumant les conclusions du rapport, «l’analyse juridique […] révèle un risque juridiquement élevé que les transferts d’armes soient illicites au regard des engagements internationaux de la France». 

En effet, l’Organisation des Nations unies (ONU) avait dénoncé des violations généralisées et systématiques du droit humanitaire par la coalition sous commandement saoudien,  regroupant notamment les Emirats arabes unis (EAU), l’Egypte et Bahreïn, au Yémen. Celle-ci aurait notamment pris pour cibles les civils à de nombreuses reprises, bombardant des marchés, des hôpitaux, des commerces ou des écoles.

L’ONU a aussi épinglé l’utilisation d’armes interdites par le droit international telles que les bombes à sous-munitions. En outre, le blocus décidé par le royaume wahhabite induit selon les termes de l’organisation internationale «la pire crise humanitaire au monde».

Auteur
R.T.

 




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Deux nouvelles stations de métro inaugurées à Alger

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Transport

Deux nouvelles stations de métro inaugurées à Alger

Deux nouvelles stations du métro d’Alger, « Ali Boumendjel » (Alger-Centre) et « Gué de Constantine » (Kouba), ont été inaugurées mardi par le ministre des Transports et des Travaux publics, Abdelghani Zaalane.

Munie de quatre accès, la station « Ali Boumendjel » relie la station « Grande-Poste » à celle de la « Place des Martyrs ».

Quant à la station « Gué de Constantine », munie de deux accès, elle relie la station « Les ateliers » à celle de « Ain Naadja ».

Par ailleurs, le ministre a annoncé que les locaux commerciaux situés au sein du métro d’Alger seraient mis aux enchères à partir de la semaine prochaine afin d’offrir plus de services aux usagers de ce moyen de transport.

Il est question aussi de la poursuite du processus d’extension du métro durant l’année 2019, notamment concernant le tronçon de 9,5 kms entre la commune d’El Harrach et l’Aéroport d’Alger. Un projet qui n’était pas doté, jusqu’à lors, d’enveloppe financière. 

Par la suite, il sera procédé à la réalisation des extensions vers les communes de Baraki et de Bab El Oued, avec la réception dès avril 2019 de la partie « génie civil » de la station Mohamed Boudiaf étendant la ligne en direction de Baraki à partir de la station « Ain Naadja ».

« Le métro restera l’une des alternative cruciales pour régler la problématique du transport dans la capitale », a affirmé M. Zaalane.

Par ailleurs, l’Entreprise du métro d’Alger (EMA) a procédé à l’acquisition de douze nouvelles rames fabriquées en Espagne dont cinq ont été réceptionnées puis mises en circulation à partir du mois de décembre à raison d’une rame par mois.

Une fois l’ensemble des rames acquis, le temps d’attente sur les quais sera réduit de six minutes actuellement à 3’20 permettant le transport quotidien de 200.000 voyageurs.

Par ailleurs, le ministre a annoncé que les locaux commerciaux au sein du Métro d’Alger seront mis aux enchères « à partir de la semaine prochaine » afin d’offrir plus de services au large public qui utilise ce moyen de transport.

Pour rappel, depuis début 2017 à aujourd’hui, le nombre d’abonnements au réseau du métro a connu une hausse de 31%. Sur la même période, le nombre de voyageurs a grimpé de 19%.

« Ces chiffres démontrent que le métro est un outil de transport moderne qui attire un grand nombre de citoyens », a noté M. Zaalane.

Avec les deux stations inaugurées mardi, le Métro d’Alger s’étale sur une longueur de 18 km et se compose de 19 stations allant de la Place des Martyrs  jusqu’à El-Harrach. 

Les futures extensions permettront au réseau de métro, d’ici 2020, d’atteindre une longueur de 40 kms, reliant notamment la commune de Dar El Beida (banlieue est d’Alger) à celle de Draria (les hauteurs Ouest d’Alger).

   Le projet aura coûté plus de 90 milliards de DA, sans l’inclusion des travaux d`extension, dont une bonne partie a été déjà engagée et qui devrait porter à 139 milliards DA son coût total.

Auteur
APS

 




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Cyberfiscalité en France : un vieux serpent de mer, dangereux et inefficace

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DEBAT

Cyberfiscalité en France : un vieux serpent de mer, dangereux et inefficace

Le gouvernement du Président Macron veut instituer un contrôle fiscal à partir des informations recueillies sur les réseaux sociaux, notamment sur Facebook. L’idée en soi est aussi vieille que l’administration des impôts, avant même l’existence d’Internet. Son principe existe déjà dans les textes, dans ses bases, et sème à chaque fois la panique lorsque le projet de le relancer à grande échelle revient dans l’actualité. Est-il réellement efficace et justifié ?

Je n’étais pas plus haut que mes vingt et un ans que mes premiers cours d’économie et de fiscalité faisaient déjà état de la possibilité du Code général des impôts à pouvoir traquer le fraudeur à partir de ce qu’on appelait « le train de vie et les signes extérieurs de richesse».

Déjà à cette époque, la filmographie traitait ce sujet avec humour comme pour signifier qu’une telle hypothèse menée à grande échelle était vouée à l’échec. Il est vrai qu’il y avait un point radicalement différent, l’inexistence des fichiers informatiques.

On s’était rapidement aperçu que pour donner sens à une telle recherche de fraude, il aurait fallu mobiliser une armée de fonctionnaires, entièrement vouée à la lecture des journaux people, à l’examen des parcs automobiles, aux voyages et aux excentricités sans lien avec les sommes déclarées. C’était le temps des fiches cartonnées et des inspecteurs itinérants.

L’idée de traquer la fraude fiscale en comparant la richesse exposée, donc supposée réelle,  et la déclaration fiscale est un serpent de mer qui avait resurgi de l’eau pendant la campagne électorale présidentielle de Nicolas Sarkozy puis dans ses premiers mois de pouvoir. « Nous allons demander des comptes à ces petits caïds qui roulent dans des voitures de milliardaires » avait-il dit. Le règne de l’informatique encourage ce genre de projet.

L’affaire a toujours paru simple et légitime. Simple car il suffit de comparer le train de vie avec la déclaration fiscale. Légitime car il est amoral que certains échappent au fisc par la fraude alors que la fiscalité écrase les autres, particulièrement ceux de la classe moyenne. Sans compter que l’impôt est la source de la redistribution sociale et de l’investissement en éducation, en santé et de bien d’autres services publics.

La disposition consistant à vérifier la sincérité des revenus déclarés par tous moyens possibles est déjà présente dans le Code général des impôts. Cette possibilité s’est aujourd’hui élargie aux comptes et placements à l’étranger avec l’accord des échanges automatiques de données bancaires (la nouveauté par rapport à l’ancienne situation juridique se trouve dans l’adjectif « automatique », c’est à dire sans qu’il y ait lieu d’un parcours du combattant pour obtenir les informations bancaires).

Mais comme toujours, ce qui paraît simple et légitime peut rapidement dégénérer en populisme et ce dernier se transformant irrémédiablement en politique liberticide, voire fascisante. Tout d’abord cette façon d’envisager le contrôle fiscal est tout à fait antinomique avec l’esprit républicain et la liberté humaine si elle est envisagée comme une inquisition générale et automatique.

Les réseaux sociaux ont d’énormes défauts et on pourrait les critiquer sans fin. Cependant, ils sont un outil extraordinaire pour des raisons qu’on pourrait tout autant développer. La traque et la généralisation du contrôle sont des pratiques qui entraînent, à terme, une situation inacceptable.

Il faut mesurer la conséquence inévitable d’un tel dispositif soit la délation généralisée. Votre voisin, votre ami, votre conjoint ou votre parent pourrait très bien s’adonner à un signalement lorsqu’il aura lu votre page Facebook (ou autre) et que cela lui ferait ressentir ce qu’il y a de plus détestable chez l’être humain, soit la jalousie, la convoitise ou la vengeance.

Les outils informatiques ne sont pas plus dangereux que n’importe quelle avancée technologique dans le passé. C’est toujours la même histoire, une question de mesure et d’équilibre. Internet ne peut être pollué par le contrôle fiscal même si cela est parfois nécessaire.

L’argument contraire consiste à affirmer que ce sont les internautes qui exhibent en toute liberté des richesses dissimulées aux services fiscaux. Le ministre des comptes publics a d’ailleurs laissé entendre que ne seront concernés par le dispositif que les éléments rendus « publics » par l’utilisateur de Facebook.

Pour bien comprendre d’où vient cette idée, il faut remonter aux mois précédents, c’est à dire à la guerre menée contre les transactions opérées sur des sites collaboratifs comme « Le bon coin », « Rbnb » et certains autres.

On s’était rendu compte de longue date que l’objet de ces sites avait été détourné puisque le simple échange collaboratif ponctuel s’était transformé pour certains en revenus permanents, aux sommes importantes dissimulées aux services fiscaux.

Proposer de vendre sa voiture sur « Le bon coin », c’était l’objectif annoncé. Vendre plusieurs voitures sur le même site, en un temps très restreint, devenait une activité commerciale lucrative non déclarée. Il en est de même pour les location des habitations principales. Quelques jours de vacances par an rentabilisés par un dédommagement ou un échange étaient des situations tolérables mais l’industrie hôtelière et le fisc y ont beaucoup perdu car cela devenait un flux d’affaires colossal au niveau des grandes métropoles.

Le gouvernement avait donc entrepris de surveiller beaucoup plus finement les échanges et limiter les jours de location dans l’année tout en imposant aux dirigeants des sites de leur déclarer les chiffres d’affaires engrangés par les utilisateurs des services. De même, on avait vu les collectivités locales s’engouffrer dans des possibilités qu’offraient des instruments comme  Google Street View qui permettait de repérer par satellite les constructions non déclarées, particulièrement les piscines privées, parfaitement visibles sur les photos et accessibles à n’importe quel citoyen.

Tout cela semble effectivement légitime car frauder est un délit et il ne saurait y avoir le recours à la vie privée pour protester. Le droit pénal est justement une dérogation légale à la non-intrusion dans les affaires personnelles des citoyens, c’est tout à fait évident.

Mais avec Facebook, nous sommes dans une autre dimension de l’investigation si elle devait prendre de l’ampleur. Dans Facebook, s’exposer avec sa BMW alors qu’on déclare des revenus modestes et qu’on bénéficie des aides sociales, c’est néanmoins s’exposer avec de nombreux aspects de sa vie privée.

Il ne faut se faire aucune illusion sur la montée soudaine de la délation que cela provoquerait. Les signalements exploseraient et nous ferions face à une dérive que la société française avait toujours contenue, malgré tout. C’est le cas de la dénonciation fiscale qui est largement ouverte dans certains autres pays mais que le débat parlementaire avait encadré dans la législation nationale.

Un autre exemple, très significatif de cette prudence, celui des fichiers de pédophiles ou de délinquants sexuels condamnés. Dans certains pays anglo-saxons, chacun peut librement consulter quel voisin est entaché d’une condamnation pour pédophilie ou d’agression sexuelle.

Bien entendu que le citoyen, surtout les parents de jeunes enfants, trouve indigne qu’il n’ait pas été prévenu d’un tel voisin, surtout lorsqu’il récidive. Mais nous connaissons l’effet d’une telle société et de ses conséquences, bien plus dangereuse que le mal censé combattre.

Je comprends la frustration de certains contribuables lorsque leur voisin dispose d’un appartement à bas loyer avec cinq pièces alors que le sien n’a jamais été obtenu, en vingt années de demandes et qu’il soit obligé de payer le loyer faramineux des métropoles françaises.

Je le comprends également lorsqu’il rencontre les enfants de ce couple à la porte de l’école financée par les impôts de ceux qui travaillent. Je comprends sa rage lorsqu’il calcule le prix des vêtements et des accessoires électroniques de leurs enfants, financés par des honnêtes contribuables. Je pourrais évoquer également les aides aux logements pour les jeunes et j’éviterai de réveiller l’énorme colère que provoque la vue du parc de voitures.

Non, j’éviterai et reviendrai à une considération de droit plus républicaine car c’est toujours sereinement qu’il faut aborder la démocratie et les sociétés modernes. La traque fiscale dans un domaine si particulier des libertés que constitue Facebook ne peut être envisagée comme un outil normal d’investigation de grande ampleur.

Facebook et les réseaux sociaux ne dérogent pas à la loi et au pouvoir d’investigation mais à une condition, que ceux-ci soient la conséquence d’une démarche justifiée, partant d’éléments objectifs déjà recueillis par ailleurs et non à partir d’une gigantesque traque sur la toile, aveugle et liberticide.

Le titre de cet article évoque l’expression « dangereux et inefficace ». En ayant argumenté sur la dangerosité, nous l’avons également argumenté sur son inefficacité, par déduction naturelle.
 

Auteur
Boumediene Sid Lakhdar, enseignant

 




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Salem Chaker en conférence à Paris (1er décembre 2018)

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Rendez-vous

Salem Chaker en conférence à Paris (1er décembre 2018)

« Après l’officialisation de leur langue, les Berbères ont-ils encore un avenir ? », conférence-débat avec Salem Chaker, le 1er décembre 2018 à 15h30 à Paris (Salle des Fêtes de la Mairie du XIVe : 12, rue Castagnou – 75014 Paris)

Pour ses vingt-cinq ans, Tamazgha organise un grand débat avec Salem Chaker, à Paris le 1er décembre 2018. Fin analyste et connaisseur du monde berbère, Salem Chaker reviendra, à l’occasion de ce débat, sur les « évolutions » récentes notamment les pseudo reconnaissances de la langue berbère aussi bien par la monarchie marocaine que par l’Etat algérien. La conférence est intitulée « Après l’officialisation de leur langue, les Berbères ont-ils encore un avenir ?

 [lire la suite sur Tamazgha.fr]

 




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