26.9 C
Alger
jeudi 18 septembre 2025
Accueil Blog Page 2042

Libye : suspension des vols dans le seul aéroport en service à Tripoli

0
Combats autour de la capitale

Libye : suspension des vols dans le seul aéroport en service à Tripoli

Le seul aéroport en service è Tripoli a annoncé vendredi soir la suspension de tous les vols en raison des combats près de la capitale libyenne qui ont fait au moins 39 morts depuis lundi, selon une source aéroportuaire.

Au moins 39 personnes ont été tuées et une centaine d’autres blessées, pour la plupart des civils, en cinq jours d’affrontements entre milices rivales dans les quartiers sud de Tripoli, d’après un nouveau bilan du ministère de la Santé rendu public vendredi soir.

Les combats ont marqué une pause dans la journée de jeudi à la suite d’un accord de cessez-le-feu, avant de reprendre dans la soirée. Les affrontements à l’arme lourde se sont poursuivis vendredi de façon intermittente.

Selon des témoins et les services de secours libyens, plusieurs roquettes et obus se sont abattus dans plusieurs régions autour et dans la capitale libyenne, faisant davantage de victimes civiles.

Au moins trois roquettes ont ainsi atterri à proximité de l’aéroport de Mitiga, contraignant les services aéroportuaires à suspendre les vols pendant au moins 48 heures, par mesure de sécurité, a raconté un responsable de l’aéroport.

Les vols ont été provisoirement déroutés vers l’aéroport de Misrata, à 200 km à l’est de Tripoli, a souligné la même source.

Ancien aéroport militaire, Mitiga est situé dans l’est de la capitale. Il a été ouvert au trafic civil après la destruction de l’aéroport international de Tripoli, situé au sud de cette ville, au cours de violences en 2014.

Depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011, la capitale libyenne est au coeur d’une lutte d’influence entre milices en quête d’argent et de pouvoir.

Auteur
AFP

 




- Publicité -

Nasser Zefzafi en grève de la faim « sans-retour »

0
Hirak du Rif

Nasser Zefzafi en grève de la faim « sans-retour »

Figure emblématique du Mouvement populaire du Rif, Nasser Zefzafi a été condamné à vingt ans de prison. Il a décidé de mener une grève de la faim « sans-retour » pour protester contre ses conditions de détention à Casablanca. La méthode est la plus radicale. Le jeune activiste rifain renonce ainsi à l’eau et à tout produit comme le sucre, comme souvent dans les grèves de la faim.

Le leader du mouvement de contestation sociale du Hirak du Rif, Nasser Zefzafi, a ainsi entamé une grève de la faim « sans retour », jeudi 30 août, pour protester contre ses conditions de détention. Dans un enregistrement vidéo, son père explique les motivations qui ont conduit son fils à se lancer dans une grève de la faim. « Il est décidé à ne plus manger ni boire jusqu’à ce que ses revendications soient satisfaites. C’est une grève de non-retour », a déclaré Ahmed Zefzafi à l’AFP.

Nasser Zefzafi a été placé en isolement. Ce que dénonce ce militant du Rif.

Après plusieurs mois de contestation il a été arrêté en mai 2017 en pleine contestation sociale dans la région du Rif (nord du Maroc). Nasser Zefzafi avait été condamné fin juin à vingt ans de prison pour «complot visant à porter atteinte à la sécurité de l’Etat », au terme de neuf mois d’un procès fleuve réunissant un total de 53 prévenus.

Le mouvement Hirak réclame la construction d’un hôpital, d’établissements scolaires dont une université et des usines pour permettre aux Rifains de travailler sans être obligés de s’expatrier. Pas seulement, le Rif est une région où le taux de cancer est très important. Les Rifains ne trouvent pas où se soigner localement, ils sont de fait obligés de rejoindre les grandes villes pour trouver un hôpital.

Fidèle à ses habitudes, le Makhzen a royalement ignoré les revendications de ce mouvement populaire. Pire encore le Hirak a été durement réprimé. L’armée royale s’est installée dans la région, étouffant la contestation et arrêtant à tour de bras.

Auteur
La rédaction

 




- Publicité -

« Le dollar restera la monnaie de référence pour longtemps » souligne « Forbes »

0
En réponse aux velléités européennes

« Le dollar restera la monnaie de référence pour longtemps » souligne « Forbes »

Dans une tribune récente, le ministre des affaires étrangères allemand, Heiko Maas, indiquait la nécessité de refonder les relations entre l’Europe et les Etats-Unis.

La divergence qui s’installe progressivement  entre les deux régions obligerait à repenser leurs relations à l’aune des évolutions récentes et à réfléchir à l’autonomie de l’Europe tant sur le plan diplomatique que militaire ou financier. (euro et dollar).

Ce point de vue a été désavoué par la chancelière allemande Angela Merkel qui ne veut pas valider une telle divergence. Cela fragiliserait la relation très ancienne entre l’Allemagne et les Etats-Unis qui a construit les relations nord atlantique. Cela obligerait aussi à davantage d’intégration politique en Europe ce qui n’est pas souhaité par les allemands. Ils préfèrent une sorte de fédéralisme sans gouvernement fédéral mais avec des règles strictes pour chaque Etat. C’est un peu l’inverse de ce que souhaite le président français Emmanuel Macron qui développe l’idée d’un budget européen d’une taille significative pour peser sur l’allure de la construction européenne.

Une question posée par Heiko Maas est celle de la dépendance au dollar. C’est une problématique récurrente qui a été à nouveau discutée lors de la mise en place des sanctions américaines vis à vis de l’Iran. Les sociétés européennes ont dû plier bagages sous la pression américaine. Outre l’accès au vaste marché intérieur américain qui leur serait fermé en cas de non respect des sanctions, le financement de ces sociétés est conditionné par leur accès au dollar et au financement en dollar. Le non respect des sanctions réduirait l’accès à ces financements ce qui serait périlleux.

On peut dès lors s’interroger sur la capacité à créer une source de financement alternative. L’euro pourrait être candidat pour mettre en place un tel système.

L’architecture financière actuelle serait alors fondamentalement remise en cause s’orientant vers un système multipolaire alors que le système actuel est, comme le déplore le ministre allemand, très dépendant du dollar. Une construction multipolaire suppose l’existence de plusieurs zones géographiques avec pour chacune une monnaie de référence, celle du pays dominant de la zone. Le système de change serait alors à 2 niveaux. L’un local, la monnaie de chaque pays d’une zone est rattachée à la monnaie de référence. L’autre globale qui fonctionne entre les monnaies de référence de chaque zone.

Dans une économie globale intégrée, une telle configuration n’a jamais existé. Les systèmes qui ont pu exister et se caractérisant par plusieurs zones de référence n’étaient pas intégrés. Ces zones n’echangeaient que de façon limitée. Dès lors plusieurs monnaies de référence pouvaient coexister et reflétant ainsi l’absence d’intégration.  

Aujourd’hui le système global est intégré et les compartiments d’antan n’existent plus.  Dans une économie intégrée il existe à l’échelle la plus large une anti loi de Gresham selon laquelle  « la bonne monnaie chasse la mauvaise ». Pour qu’un système multipolaire fonctionne, il faudrait que les monnaies de référence soient toutes équivalentes. 

Ce n’est jamais le cas pour au moins deux raisons qui se cumulent généralement. Les zones géographiques n’ont pas la même puissance économique que ce soit dans la tendance de croissance ou dans la capacité à innover. Elles n’ont pas non plus la même puissance politique. Le véritable enjeu est là. La monnaie internationale de référence est celle de la puissance politique dominante. Elle impose sa puissance économique qui associée à sa capacité politique à orienter les choix militaires et géopolitiques font du pays de référence celui de la monnaie de référence. Le Japon qui avait une très grande puissance économique dans les années 80 n’a jamais vu sa monnaie concurrencer celle de Etats-Unis en raison de sa faiblesse politique. On pourrait dire la même chose de l’Europe qui n’arrive à imposer des choix politiques forts dans la durée.  

A l’aune de ces aspects, le dollar a de beaux jours devant lui. Donald Trump a toutes les raisons d’être critiqué mais depuis un an au moins si ses décisions ont été décriées, elles se sont néanmoins  imposées à tous. Aucun pays n’a la puissance politique des USA et Trump en profite et en tire avantage. L’Europe n’a aucune capacité à contrecarrer la puissance politique américaine. Tant que l’Europe n’a pas la capacité à imposer ses choix à tous, elle ne pourra pas disposer d’une monnaie susceptible d’écorner la puissance du billet vert.

Ce n’est pas la monnaie qui est libératrice mais la puissance politique qui permet sa monnaie comme outil global. De ce point de vue et au regard de la démonstration de puissance des Etats-Unis sur le plan diplomatique, le dollar a de beaux jours devant lui. L’Europe continuera de subir le billet vert parce qu’elle est incapable de montrer une unité politique dans la durée. 

Auteur
Philippe Waechter/Forbes

 




- Publicité -

La danse des loups est à l’affiche !

0
Lettre de Médéa

La danse des loups est à l’affiche !

« Le gratin de la société apprécie les restaurants chics et les serveurs obséquieux dont la spécialité est le gratin de courbettes. »  Marc Escayrol

Et alors,  après avoir cru, l’espace d’une soirée de 1999, une soirée seulement, en Abdelaziz Bouteflika, l’homme fraîchement plébiscité président de la république, auprès de qui ont été placés  mille rêves et mille espoirs pour de meilleurs lendemains aux fins d’accéder aux inaccessibles rêves et aspirations de tout un peuple : la dignité , la justice et le bien-être social, une éducation nationale performante et des services de santé haut de gamme.

Donc.

Ne voilà -t-il pas que ce même peuple se surprend, quatre mandats successifs plus tard , dindon de la farce de l’urne et victime d’une machination diabolique de  « faire-valoir » électoral pour draper d’un voile pudique de légalité nationale, mais surtout internationale, – bonne grâce des chancelleries étrangères oblige -, la magistrature suprême d’un octogénaire sérieusement malade, aphone et impotent, loin, très loin des réalités du pays. Il a été élu… Il est élu, Un bien étrange sésame pour perpétuer le pouvoir absolu qu’il s’est offert sur le dos de la naïveté et de la quête de paix sociale de ses administrés citoyens.

En vérité, la confiscation de la voix du peuple  depuis 1962 à ce jour n’a été et n’est qu’une formalité, subissant les mêmes carnassiers politiques aux échecs répétés, les mêmes tristes sires, des pêcheurs en eaux trouble, qui ont fait de ce grand pays qu’est le nôtre, un pays sans foi, ni loi.

Des oligarques aux richesses mal acquises adoubés par les décideurs de l’ombre sont aux commandes, ils font et défont les carrières, selon le degré de leur vassalité ou de leur rébellion approximative.

La course de la présidentielle s’annonce déjà, et il est très surprenant qu’à chacune de ses échéances, d’étranges restructurations, de mutations pour nécessité de service des chefs de régions militaires relevés  ou mis à la retraite d’office sont opérées, alors que le gouvernement civil avec les mêmes acteurs, ministres-carriéristes, ayant traîné moult casseroles et n’ayant rien prouvé par le passé, continuent de jouir jusqu’à l’extase des parcelles de pouvoir que la bêtise ou le hasard leur ont conféré.  

Califes à la place du calife, nullement inquiétés

Et puis à qui doivent-ils rendre compte ? A un président malade plus soucieux de son état de santé et dont on s’efforce de lui donner la part belle, à un sénat et une Assemblée Populaire Nationale, remplis de bustes creux incultes, arrivés aux hémicycles législatifs par corruption et chkara interposées, à une cour des comptes dissoute, à l’inspection générale des Finances ?

C’est dire l’impunité dans toute sa splendeur…

Et demain, sans surprise aucune, ils se convertiront en bateleurs de foire, accompagnés de copains, de coquins et de gros-bras sillonnant le pays, chantant les louanges de fakhamatouhou et de son programme pour un cinquième mandat…sic et resic !!!

Toute honte bue, les sourires obséquieux des secrétaires généraux du FLN et du RND sont très  révélateurs du culte de la personnalité que lui vouent ces quidams, vantant la gabegie d’une pactole financière de 1000 milliards de dollars, en réalisations gargantuesques ayant occasionné moult scandales financiers en surcoûts, en corruptions et en délits d’initiés.Allez donc parler de patriotisme, d’oblativité au citoyen lambda, aux parturientes, aux sans le sou, aux sans abris, aux malades mentaux, aux jeunes et leurs vagues à l’âme.

Pour une place bien en vue dans les loges princières, il faut bien payer au diable son tribut.

Qu’importe le peuple, qu’importe ses maux et ses misères, qu’importe 700 kilos de Cocaïne, qu’importe le choléra et ses victimes, Dieu merci, fakhamatouhou lui a offert la plus grande mosquée d’Afrique, en lieu et place d’un hôpital de 217 millions de dollars  de la même grandeur récemment inauguré au Ghana, pour aller noyer ses peines, ses chagrins et ses blessures par rokia interposée , tandis que Fakhamatouhou s’envole déjà vers Genève pour une énième cure de jouvence et d’un bilan de santé plus que rassurant si l’on en croit les envolées du président du sénat, un gage constitutionnel pour de nouvelles battues présidentielles.

Ohé ! Ohé ! À six mois des élections, la danse des loups est , désormais, à l’affiche…

Allez savoir !

Auteur
Brahim Ferhat

 




- Publicité -

Lobby israélien, le documentaire interdit

0
KRIMO A LU POUR VOUS

Lobby israélien, le documentaire interdit

Une enquête menée par la chaîne qatarie Al-Jazira dévoile les méthodes des groupes de pression américains favorables à Israël. Mais, soucieux de ne pas s’aliéner ces organisations dans son contentieux avec l’Arabie saoudite, le Qatar a gelé la diffusion du reportage.

Les bras longs des lobbyistes israéliens aux Etats-Unis d’Amérique qui s’ingèrent, espionnent et manipulent des citoyens américains de toutes conditions puis se disculpent.

Souvent en violation de la loi tant ils semblent, toujours et encore, jouir d’une injustifiable impunité au cœur de la plus grande puissance du monde. la diffusion, programmée pour début 2018, a été reportée sine die, sans explications officielles.

On a fini par apprendre, grâce à des articles dans la presse juive américaine, que le documentaire ne passerait pas, ce qu’a confirmé Clayton Swisher, directeur de la cellule d’investigation de la chaîne, dans un article où il regrettait ce choix ; quelques jours plus tard, la chaîne annonçait qu’il prenait un congé sabbatique.

L’enquête a été sacrifiée dans la bataille sans merci que se livrent le Qatar d’un côté et l’Arabie saoudite et les Émirats arabes unis de l’autre pour gagner les faveurs de Washington dans le conflit qui les oppose depuis juin 2017.

Et quelle meilleure manière de l’emporter que de s’attirer les faveurs du puissant lobby pro-israélien, dont on connaît l’influence sur la politique américaine au Proche-Orient ?

Bonne lecture.

K. H.

Image retirée. Septembre 2018

Le Qatar en quête d’amis

Auteur
Krimo Hammada

 




- Publicité -

Cocaïne gate: 21 imams entendus par la police à Bouira

0
Soupçonnés de complicité dans le blanchiment d’argent avec Kamel Chikhi

Cocaïne gate: 21 imams entendus par la police à Bouira

“J’ai été auditionné le 19 août dernier par les services de sécurité sur les dons perçus de la part de Kamel El-Boucher”, a confirmé Boualem R., 54 ans, imam à la mosquée du quartier du 5-Juillet à Lakhdaria.

Une vingtaine d’imams, vingt et un plus précisément, exerçant dans la daïra de Lakhdaria,  dans la banlieue ouest de Bouira, ont été auditionnés par les services de la Police judiciaire, dans le cadre d’une enquête sur des financements douteux de certaines mosquées de la région, par le sulfureux homme d’affaires, Kamel Chikhi, dit “El-Boucher”, a-t-on appris auprès de sources concordantes.

Ainsi et selon nos informations, l’enquête coordonnée par les éléments de la Police judiciaire ainsi que ceux de la Gendarmerie nationale, vise à déterminer la destination des fonds gracieusement accordés par Kamel “El-Boucher”, lequel faut-il le rappeler, est natif de la région de l’ex-Palestro. Les enquêteurs soupçonnent une destination occulte pour ces financements. Les mêmes sources précisent que ces imams, notamment ceux des localités de Zbarboura, Krachiche et même des communes avoisinantes telles que Guerrouma et Zbarbar, ont déclaré ignorer l’origine des fonds provenant de cet homme d’affaires mais,  en revanche, ils ont reconnu devant les enquêteurs que ces sommes, plus de 30 millions de dinars, soit plus de 3 milliards de centimes ont servi à l’édification et la réfection de plusieurs mosquées et autres écoles coraniques de la région.

Lire la suite sur Liberté

Auteur
Liberté

 




- Publicité -

Reprise des affrontements entre milices en Libye : 27 morts déjà

0
Crise

Reprise des affrontements entre milices en Libye : 27 morts déjà

Au moins 27 personnes ont été tuées et une centaine d’autres blessées, dont la plupart des civils, en trois jours de combats entre milices rivales au sud de la capitale libyenne Tripoli, selon un nouveau bilan jeudi du ministère de la Santé.

Les combats avaient éclaté lundi dans les banlieues sud de la capitale et se sont poursuivis jusqu’à mercredi soir malgré une trêve annoncée mardi qui n’a pas été respectée.

Les affrontements marquaient une pause jeudi après un accord de cessez-le-feu annoncé par des dignitaires des villes de l’ouest du pays, mais il n’était pas clair si les deux camps rivaux allaient continuer à le respecter.

Fayez al-Sarraj, le chef du gouvernement d’union nationale (GNA), reconnu par la communauté internationale, a chargé des forces des régions ouest et du centre du pays de veiller au respect du cessez-le-feu. 

Depuis la chute du régime de Mouammar Kadhafi en 2011, la capitale libyenne est au coeur d’une lutte d’influence entre milices en quête d’argent et de pouvoir

Auteur
AFP

 




- Publicité -

Harcèlement sexuel au Hadj, des femmes livrent leurs témoignages

0
KRIMO A LU POUR VOUS

Harcèlement sexuel au Hadj, des femmes livrent leurs témoignages

Ça y est. On y est ! La parole se libère et à mon avis il ne faut pas faire de concession à ceux et celles qui voudront l’entraver. Le harcèlement de femmes en lieux publics, de surcroît sacrés et fortement densifiés humainement parlant.

Nous avions entendu parler dans le passé d’une pratique proche du « Zawadj el-mout3a » ou mariage de jouissance de type et de tradition chiite. Une pratique qualifiée de « Zawadj el-hadjadj » ou mariage de pèlerins. Une pratique d’union temporaire faussement alternative aux relations sexuelles tarifées ou prostitution que l’on nous assuraient consentie entre deux partenaires au contrat de jouissance entre deux individus, un homme et une femme, venant de contrées lointaines et souvent éloignées, qui se rencontrent pour un événement religieux de premier ordre et qui mobilise désormais bon an, mal an, près de deux millions et demi de musulmans charriés de tous le continents de la planète terre.

Il semble selon ce qui est dénoncé expressément dans l’article en lien ci-dessous que l’on ne soit plus dans ce genre d’arrangement en marge du « Hadj » (Pèlerinage) mais bel et bien dans le harcèlement « Hard », donc au-delà de l’attouchement décrété « mains baladeuses » et parfois carrément dans la plus abjecte des agressions sexuelles, y compris contre des fillettes en bas âge.

De la pédophilie si cela viendrait à se confirmer de manière indiscutable.Et dire que les musulmans pieux et sincères, et il y en a heureusement, effectuent et satisfont au commandement conditionné (envers celles et ceux qui disposent de moyens suffisants) du pèlerinage à la Mecque au moins une fois dans leur vie, s’y rendent pour expier leurs pêchés et implorer le pardon de Dieu le miséricordieux.

Force est donc de constater qu’il a y a également des « Hadjis » (pèlerins) intéressés qui y vont pour assouvir leurs bas instincts de prédateurs sexuels comme il y a d’autres plutôt chapardeurs qui y vont pour y commettre leurs larcins malgré les risques encourus de la loi saoudienne du talion (main coupée séance tenante).Affligeant! J’ai résolu de partager avec vous toutes et tous cette information qui personnellement m’affecte dans mes volets de culture et appartenance islamiques, malgré mes questionnements irrésolus et ma neutralité en terme de pratique religieuse. 

K. H.

Lien : algerie-direct

  

Auteur
Krimo Hammada

 




- Publicité -

L’euro recule face au dollar, la livre se stabilise

0
Monnaie

L’euro recule face au dollar, la livre se stabilise

L’euro se repliait jeudi face au dollar tandis que la livre britannique, dopée la veille par une nouvelle proposition de l’Union européenne sur le Brexit, se stabilisait dans un marché confiant concernant l’issue des négociations commerciales entre les Etats-Unis et le Canada.

Vers 06H00 GMT (08H00 HEC), la monnaie unique européenne s’échangeait à 1,1690 dollar, contre 1,1707 dollar mercredi à 21H00 GMT et 1,1695 dollar mardi soir.

La devise européenne reculait aussi face au yen à 130,54 yens contre 130,75 yens mercredi soir.

Le dollar se stabilisait stable face au yen à 111,66 yens, contre 111,68 mercredi soir. La livre britannique s’affichait à 1,3022 dollar contre 1,3026 dollar mercredi soir et 1,2873 dollar mardi soir.

« Sans vouloir être trop pessimiste, le niveau du rebond de la livre face au dollar illustre vraisemblablement une réaction de court terme », a estimé David de Garis, analyste à National Australia Bank.

La livre a bondi mercredi alors que le négociateur en chef de l’UE, Michel Barnier, a souligné la volonté de l’UE de conclure avec le Royaume-Uni, après le Brexit, un accord de partenariat d’une ampleur inédite pour un pays tiers.

« C’est un revirement par rapport à la posture assez intransigeante de l’UE jusqu’à présent » qui fait pression depuis plusieurs mois sur la livre britannique en laissant planer la menace d’une sortie du Royaume-Uni sans accord ou avec un « Brexit dur », a souligné James Stanley de Daily FX.

Alors que les discussions sur l’accord de retrait entrent dans leur dernière phase en vue d’un départ des Britanniques de l’Union en mars 2019, Michel Barnier a également affirmé que « 85% du travail » avait déjà été effectué avec les Britanniques.

Malgré ces avancées autour du Brexit, l’analyste Stephen Innes de Oanda a précisé dans une note que « la barre de 1,1750 dollar pour un euro serait difficile à dépasser notamment si les partisans d’un euro à la baisse cherchent à s’alléger lors d’un pic ».

Les marchés gardaient un oeil sur les négociations à Washington entre les gouvernements américain et canadien à propos de l’Aléna, le traité de libre-échange nord-américain.

Le Premier ministre canadien Justin Trudeau et le président américain Donald Trump ont tous deux exprimé leur optimisme mercredi d’arriver à un accord d’ici vendredi pour rénover le pacte de libre-échange nord-américain (Aléna).

Après des discussions qui devaient se poursuivre dans la nuit, une nouvelle rencontre au niveau ministériel est prévue jeudi, a indiqué Chrystia Freeland, la ministre des Affaires étrangères canadienne, venue mardi en personne à Washington pour diriger les négociations.

Ces discussions font suite à celles entre les Etats-Unis et le Mexique qui ont abouti à un accord lundi. La nouvelle avait rassuré les investisseurs qui se sont alors détournés du dollar, généralement considéré comme une valeur refuge, en optant pour des actifs plus risqués.

L’euro reste de son côté freiné par les inquiétudes sur l’Italie dont la notation de sa dette pourrait être prochainement abaissée par les agences financières, selon plusieurs analystes.

Vers 06H00 GMT, l’once d’or s’échangeait à 1.200,76 dollars contre 1.206,65 dollars mercredi soir. La monnaie chinoise valait 6,8382 yuans pour un dollar contre 6,8213 yuans mercredi.

Le bitcoin valait 6.939,71 dollars contre 7.042,05 dollars mercredi soir, selon des chiffres compilés par Bloomberg.

Cours de jeudi Cours de mercredi

06H00 GMT 21H00 GMT

EUR/USD 1,1690 1,1707

EUR/JPY 130,54 130,75

EUR/CHF 1,1352 1,1362

EUR/GBP 0,8977 0,8987

USD/JPY 111,66 111,68

USD/CHF 0,9710 0,9705

GBP/USD 1,3022 1,3026

Auteur
AFP

 




- Publicité -

L’hygiène et «l’hygiène de la  politique»

0
COUP DE GUEULE

L’hygiène et «l’hygiène de la  politique»

«Chaque protestation politique fondamentale est un appel à une justice absente et s’accompagne de l’espoir que, dans le futur, cette injustice sera établie, cet espoir, cependant, n’est pas la raison première de la protestation. On proteste, parce que ne pas protester serait trop humiliant, trop rabaissant, trop mortifère. On proteste (en construisant une barricade, en faisant la grève de la faim, […] en se tenant par les bras, en criant, en écrivant) afin de sauver le moment présent, quoi que l’avenir réserve.» John Berger (écrivain, romancier engagé britannique).

Les propos clairs nets et précis et sans détours du chef du service  Épidémiologie et de médecine préventive au niveau du plus grand hôpital du pays, le CHU Mustapha Pacha résonnent comme un « j’accuse! », lorsque, répondant aux questions des journalistes, au cours d’une conférence de presse, il dénonce et met à nu les graves défaillances des systèmes de prévention et il assène : « C’est la faillite du système de santé ! »

Ce n’est pas un citoyen lambda qui le dit, ce n’est pas un locataire de Facebook qui le dit juste pour se défouler, mais c’est un responsable au cœur d’un service hautement sensible et névralgique… Une déclaration et une liberté de ton qui pourraient – conditionnel de rigueur- faire de lui un candidat potentiel au «limogeage», mais sa hiérarchie n’irait pas jusque-là. En tous cas, si cela devait arriver, pas dans l’immédiat, puisque ce serait tellement flagrant et cela donnerait raison à son coup de gueule.

En fait, même si ce que dit cet épidémiologiste n’est un secret pour personne, pour les simples citoyens que nous sommes, pour la grande majorité des malades qui, hélas, le vérifient chaque jour à leurs dépens, mais il faut souligner le fait qu’ils se démarquent nettement du discours pompeux officiel des décideurs, de celui du ministre de la Santé  et qui refroidit les déclarations théâtrales et les envolées lyriques de certains chefs politiques qui clament, sans sourciller, que notre système de Santé est plus performant que celui des Suédois, mais qui préfèrent, quand même, se soigner en Suède ou ailleurs.

«Quelle en est la cause ? C’est notre ministère de la Santé qui en est la cause ! Notre politique de santé  n’est pas visible, n’est pas claire ! Est-ce qu’un jour, (ils) se sont intéressés à la prévention ? Rien de tout cela ! » révèle-t-il non sans désolation. Dans cette affaire, s’il y a bien un responsable auquel il faudrait rendre hommage pour «son courage», c’est bien à cet épidémiologiste.

Visiblement abattu et consterné, il avoue ne pas comprendre l’attitude et les réactions du ministère de la Santé : «J’ai vu quelqu’un nous dire que le fait de déclarer l’existence de l’épidémie du choléra relève du courage politique » et, ne sachant plus s’il fallait en rire ou en pleurer, il ajoute : «C’est un Docteur orthopédiste qui le dit, je me suis dit qu’il faut être vraiment givré pour tenir de tels propos ! » et, sur sa lancée, il ajoute : « Comment ? Il (le Docteur orthopédique) en arrive à comparer l’Algérie qui est un continent, au Mali, au Niger ou au Yémen qui est en plein guerre ou à la Libye ?» s’est insurgé le Pr Bengounia qui déplore que l’Algérie descende à un tel niveau.

Givré !

«Givré ! » Le mot qu’il faut à la place qu’il faut, à l’endroit d’un responsable à la place qu’il ne faut pas ? Seulement, la chaîne des responsabilités est longue et, naturellement, ce seront les maillons faibles qui sauteront, au cas où… et les « autres » s’en laveront les mains ». L’autre question de fond est celle de savoir pourquoi, même le système de Santé, une question hautement sensible et qui relève de la sécurité nationale  est délaissé et frappé de plein fouet par les restrictions budgétaires, au profit de tant de gabegies et d’ouvrages de prestige, un terrain propice à la corruption, devenue le premier « budget » de l’Etat. Question laissée aux champions de la morale, aux « intello-hygiénistes ».

C’est lui ! C’est encore et toujours lui ! C’est lui qu’il faut punir, c’est lui, qu’il faut humilier, c’est lui qu’il faut crucifier! Lui, c’est le citoyen! Ce citoyen qui aime la saleté, qui ignore les règles d’hygiène les plus élémentaires, qui aime se faire violences, qui aime se voir tomber malade, qui se réjouit de se voir dans un état d’indigence, c’est lui.  C’est lui l’origine de la réapparition du choléra et qui est tenu pour responsable de tous les autres drames qui frappent le pays. Telle semble être la thèse qui, cela dit, comporte une certaine part de vérité toute relative, discutable et qui n’explique pas tout, et que portent et défendent certains esprits plus « propres » que les autres, en reprenant des éléments de langage des pouvoir publics et qui, peut-être ayant  d’autres « préoccupations », veulent se situer au-dessus de la mêlée.

Sur cet aspect de la problématique, une question mérite d’être posée et le « détail » vaut la peine d’être relevé : que sont devenues, que deviennent maintenant toutes ces actions de volontariat pour le nettoiement des espaces publics, (rues, quartiers…) entreprises par des citoyens et des associations de leur propres initiatives, avec des moyens de bord et qui sont élevées au rang « d’exploits » et qui sont immortalisées dans des album-photos qu’on voit sur les réseaux sociaux, des évènements commentés, félicités, aimés, adorés, partagés? Parce que l’Etat a failli aux responsabilités qui sont les siennes dont celle de garantir la santé du citoyen, que c’est ce citoyen qu’il faut clouer au pilori ?

En « démocrature »

Allons au fond des choses. Si la question de l’hygiène publique, celle liée à la santé et à l’environnement se pose et devient une cause et une priorité nationales, celle de l’hygiène politique, celle de l’hygiène démocratique, celle des responsables chargés la gestion de la cité, celle du pouvoir, celle des partis dits de l’opposition se posent aussi avec acuité et ne sont pas les plus saines, loin s’en faut.

Mais, pendant ce temps et au-delà cette guerre de déclarations, c’est le citoyen qui fait les frais de la faillite, non seulement du système de Santé, mais de tout le système, dans toutes ses  composantes qui gouverne le pays depuis l’indépendance.

Certes, nous restons dans la dénonciation, dans l’indignation dont le régime en place, une «démocrature» à la Poutine n’en a cure, et dont s’accommodent même les partis politiques de « l’opposition », puisqu’ils prennent part volontiers à ses messes électorales et siègent dans ses institutions de démocratie de façade et qui mènent un combat « confortable » grassement rémunéré ; certes, et c’est le seul « consensus » qui ait abouti, nous restons dans le constat que tout le monde partage.

Cependant, force est de constater qu’, l’état actuel des choses en espérant qu’elles évoluent autrement, le consensus politique, un consensus en dehors du système qui dépasse le stade de la réflexion et de la théorie reste une utopie, une chimère, parce que, entre autres raisons, otage de guerre de leadership, et chacun le voit à sa porte et les divergences dans les optiques, alors que, tous se réclament de la démocratie et revendiquent et appellent au changement. En revanche, les clans du pouvoir, malgré les échanges d’amabilités entre les chefs des partis qui le représentent et quoi qu’il se passe feront leur « consensus » le moment venu. Le seul consensus auquel les tenants du pouvoir en place pourraient adhérer est celui qui leur  permette et leur garantisse de rester et de garder le pouvoir. La seule alternance à laquelle ils pourraient souscrire est l’alternance clanique, avec, naturellement, un saupoudrage et des zestes de partis et de « personnalités » de l’opposition qui émargent dans les guichets du pouvoir.

On le voit. Sans que nous nous en rendions compte, de la question de l’hygiène, de celle de la santé du citoyen, de celles liées à son cadre de vie, nous débouchons inexorablement sur les questions d’ordre politique, donc du « pouvoir ». Car, à moins que la donne ait changé ou que cette thèse soit remise en cause, la crise multidimensionnelle que traverse le pays, est essentiellement d’ordre politique. C’est l’Etat de droit, un Etat fort de par ses institutions véritablement démocratiques à toutes les échelles, des organes de contrôle indépendants de toute tutelle, celui de la force de la loi admise, adoptée par tous et appliquée à tous, sans distinctions de rang ou de statut qui sanctionneront par exemple, tout contrevenant à l’hygiène publique, un système éducatif performant résolument orienté au service de la construction d’une citoyenneté pleine et entière, et non pas au service d’une idéologie et de la manipulation des esprits, parce que, « l’éducation, comme le disait Leibniz, peut tout : elle peut faire danser les ours » Sauf que, tout dépend de quelle « danse » il s’agit…

Dans cet esprit, dans l’un des messages adressé au peuple algérien en mars 2011, un plaidoyer pour « une refondation institutionnelle », basée sur « une Constitution digne de ce nom et issue d’une Assemblée constituante « librement élue »» Hocine Ait-Ahmed l’écrivait et le formulait encore de manière mieux et plus élaborée […] « Une véritable construction politique nationale, démocratique, populaire et pacifique. La finalité est d’assurer au peuple ses besoins sociaux fondamentaux et d’édifier « un Etat de droit, des institutions fortes de leur légitimité, une justice indépendante, des contre-pouvoirs efficaces, une vie politique démocratique réglée par un contrat national, social et politique qui garantisse les libertés individuelles et collectives au même titre qu’il se porte garant de la justice sociale ».

Une nation se construit, d’abord, par la liberté du citoyen. Non pas cette liberté de faire ce que bon lui semble, mais cette conscience collective de la liberté, régulée par l’esprit de responsabilité qui définit les mêmes règles pour tous. La première leçon de moral à enseigner est celle de la liberté et de l’esprit de responsabilité.

Si, à titre d’exemple, comme « besoins fondamentaux », des deniers publics prennent une destination autre que celle pour l’aménagement d’une décharge publique qui réponde aux normes en matière de respect de l’environnement et des écosystèmes, dans une structure de santé de proximité dotée d’équipements nécessaires, si des écoles, notamment dans les régions les plus enclavées, continuent à être confrontées à l‘absence ou aux pénuries d’eau potable et aux installations sanitaires, lorsque ces mêmes pouvoirs publics bloquent délibérément des projets d’investissement dans le domaine du recyclage des déchets ménagers et industriels, ou de traitement des eaux, toutes les actions et toutes les initiatives du citoyen aussi volontaristes soient-elles, et loin de nous une quelconque idée de les mépriser ou de les ridiculiser- ne suffiraient pas à traiter le mal à la racine. Et, les sachets noirs continueront à voltiger dans le ciel comme des cerfs-volants, les décharges sauvages continueront à pousser à chaque coin de rue, les « corbeaux » continueront à les survoler et à les investir, et la santé du citoyen continuera à en pâtir.

Ces quinze dernières années, l’Algérie, a engrangé une manne financière à donner le vertige et qui n’est soumise à aucun organe de contrôle : quelque 1000 milliards de dollars qui auraient pu servir à enclencher une dynamique sérieuse de développement durable et intelligent de notre pays, accompagnée d’une transition et d’une ouverture politiques véritablement démocratiques graduelles plurielles.

En contrepartie, au final et, malgré l’autoroute est-ouest, malgré le métro d’Alger, malgré sa nouvelle mosquée, la plus grande d’Afrique et la troisième du monde, malgré le quatrième mandat, malgré un cinquième, et en l’absence d’une dynamique et d’un projet politiques alternatifs fédérateurs et opérationnels, ici et maintenant, une absence qu’il convient de traduire par un abandon du terrain pris d’assaut par une adversité politique rampante et une clientèle du régime de plus en plus nombreuse et ostentatoire, ce pouvoir, le maintiendrait et le condamnerait à tous les « sous-développements durables. »

La « renaissance » du choléra dans la « Suède » de  Ould Abbès en est une parfaite illustration.

Auteur
R. Zenati

 




- Publicité -

DERNIERS ARTICLES

L'Ecole des Beaux-Art de Biskra

Biskra : des artistes montent au créneau pour sauver l’École des...

0
La décision de fermer l’École des Beaux-Arts de Biskra a suscité une onde de choc dans le milieu culturel. Douze artistes plasticiens de la...

LES PLUS LUS (48H)

L'Ecole des Beaux-Art de Biskra

Biskra : des artistes montent au créneau pour sauver l’École des...

0
La décision de fermer l’École des Beaux-Arts de Biskra a suscité une onde de choc dans le milieu culturel. Douze artistes plasticiens de la...