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Bouteflika condamne « le crime abject » perpétré par les forces d’occupation israéliennes »

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Massacre de Palestiniens à Gaza

Bouteflika condamne « le crime abject » perpétré par les forces d’occupation israéliennes »

 Le président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a condamné « le crime abject » perpétré par les forces d’occupation israéliennes contre des civils palestiniens près de la frontière de la bande de Ghaza, réitérant la position « constante » de l’Algérie au côté du peuple palestinien.

« C’est avec une profonde tristesse et indignation que j’ai appris que plus de 50 Palestiniens sont tombés en martyrs et plus de 1700 autres ont été blessés sous les balles des forces d’occupation israéliennes, lors d’affrontements sanglants à la frontière de la Bande de Ghaza, où l’occupation israélienne continue à sévir contre les civils palestiniens, faisant fi des lois, chartes et conventions internationales des droits de l’Homme et du droit international humanitaire », a affirmé le président Bouteflika dans un message adressé au président de l’Etat de Palestine, président du comité exécutif de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP), Mahmoud Abbas.

« Suite à ce crime ignoble qui a endeuillé les Musulmans et le monde entier et que nous condamnons vigoureusement, je vous  réitère le soutien de l’Algérie et sa solidarité avec vous en cette dure épreuve ainsi que son appui au peuple palestinien frère dans sa lutte contre la barbarie  israélienne », a poursuivi le chef de l’Etat, déplorant « la dégradation de la situation en raison de l’obstination israélienne et son désengagement du processus de paix, bravant la communauté internationale ».  

« Je vous réitère la position ferme et constante de l’Algérie en faveur du peuple palestinien jusqu’au recouvrement de ses droits nationaux spoliés et l’établissement de son Etat palestinien indépendant avec El Qods pour capitale sur les frontières de 1967 », a-ajouté le président Bouteflika à l’adresse de son homologue palestinien.

  « Je saisis cette occasion pour me recueillir à la mémoire des martyrs de la liberté et de la dignité et vous présente, ainsi qu’aux familles des martyrs, des blessés et à l’ensemble du peuple palestinien, au nom du peuple et gouvernement algériens et en mon nom personnel, mes sincères condoléances et profonde compassion et sympathie, priant Dieu, Tout puissant, de les combler de Sa Sainte Miséricorde et de les accueillir en Son Vaste Paradis », a conclu le président Bouteflika, souhaitant « un prompt rétablissement aux blessés ».

Auteur
APS

 




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Mensonges et fourberies dans le temple de la vérité

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Le Commandant Azzedine dénonce

Mensonges et fourberies dans le temple de la vérité

La justice, du pouvoir algérien, siégeant au tribunal de Chéraga, vient de me condamner à 5 (cinq) ans de prison ferme et 670 millions de dinars d’amende, en faveur de M. Mahieddine Tahkoute, célèbre oligarque, pourvoyeur de fonds, aux noblaillons du cercle des adulateurs.

Selon le plaignant, conforté dans son mensonge par le parquet, j’aurai émis en sa faveur, un chèque sans provision d’une valeur de 650 millions de dinars. Même si aucune preuve matérielle probante n’a été présentée, le glaive inquisitif, aveugle et vengeur, s’est abattu sur mon cou.

Alors que sur une autre plainte, le même olibrius, avance que je lui aurais signé un autre chèque de 1.250.000 milliards de dinars, le tribunal de Bir-Mourad-Raïs, s’est déclaré incompétent. Des sommes qui donneraient le vertige à un officiant dans la banque mondiale qui jongle avec les « zéros » !

Jamais le plaignant ne s’est présenté devant mes juges, pour expliquer à la cour la contre-valeur marchande de ces sommes ou le pourquoi du comment je lui ai signé des chèques invraisemblables.

– Que représentent ces milliards ?

– Que m’a-t-il vendu ?

– Que lui ai-je acheté ?

– Comment de telles transactions entre le particulier que je suis, et le chef d’entreprise qu’il est, ont-elles échappé aux contrôles financiers de l’état. Quelle banque ?

– Quelle institution financière s’est chargé des transferts de ces fonds ?

– Où alors, ce Monsieur serait-il à ce point, puissant, donc drone, au dessus des lois, pour manipuler de telles masses d’argent dans « la ch’kara », sans laisser aucune trace ?

« Un peu de sérieux voyons ! Nous sommes dans un tribunal ! De telles sournoiseries d’opéra-bouffe sont dégradantes pour ces augustes lieux », avais-je envie de faire remarquer à l’honorable estrade. L’audace m’en manquât vu le respect, malgré tout, que je dois à ceux-là ceux qui me jugent. Je n’ai jamais nié que M. Tahkout, nabab du système, qui a goupillé une combinazione, pour s’emparer d’un bien pour de la bimbeloterie de souk, m’a, effectivement, avancé, 150 millions de DA. Cela n’est un secret pour personne. Je n’ai cessé de l’en remercier malgré l’usage qu’il a fait de son geste que je croyais sain car secourable.

Le pays entier le sait, combien même j’aurai voulu le taire, puisque la station de télévision Numidia, dont il est le propriétaire, diffuse à longueur de faisceaux, un sujet sur la question aux heures d’écoutes les plus importantes, programme où il me traîne dans la boue, ceci bien entendu, sans que les institutions de régulation concernées par l’éthique et la déontologie, n’en pipent mot. L’échec d’une affaire que j’avais montée, qui s’est avérée désastreuse, dans laquelle, en toute bonne foi, j’ai engagé des membres ma famille, dont ma propre épouse, et mes amis les meilleurs, est à l’origine d’une hantise qui m’a habitée. Je n’avais qu’un objectif, rembourser tous les porteurs de parts, à hauteur de leurs placements respectifs.

A cette préoccupation permanente, s’est greffé le procès que m’ont intenté deux personnes parmi les investisseurs. C’est cela qui a présidé à mon acceptation du prêt qui m’était proposé, par l’intermédiaire de mon avocat Me Farouk Ksentini. Il est de notoriété publique que depuis 1966, j’exploite un immeuble, situé rue Hammani (ex-Charras). J’y avais créé un institut de remise en forme, de classe internationale. Puis après l’arrêt de l’activité de la société, j’ai loué les locaux à usage commercial à des particuliers et une importante société publique d’assurances. Je n’ai jamais failli à mes obligations fiscales et je me suis de tout temps acquitté des impôts et taxes y afférant. J’ai donc envisagé de vendre l’immeuble afin de rembourser les sommes que me devaient les « investisseurs », lesquels n’avaient pris aucun risque en tant que tels.

J’avais placé toutes mes espérances dans cette vente. Convaincu de la simplicité de l’opération et conscient de mes droits, j’ai programmé le calendrier des débours et pour cela j’ai eu recours à Me Farouk Ksentini auquel j’ai remis des chèques en blanc et une liste des actionnaires. Il était entendu que toute l’opération allait être suivie par un huissier de justice. Le règlement était simple. J’ai accompli toutes les démarches nécessaires pour faire l’acquisition de l’immeuble. Mais c’était compter sans les calculs de tiers qui surveillaient l’affaire et me surveillaient comme le lait sur le feu. Un blocage de taille surgit ! On m’a appris Ô surprise qu’une transaction avait été passée en catimini, à mon insu, entre « l’Etat », allez savoir qui, et quand, et le propriétaire français. Sic ! Alors que j’en étais l’occupant sous toute la présidence de Houari Boumediène, celle de Chadli Bendjedid, Mohamed Boudiaf, Ali Kafi, le Président Liamine Zeroual et le Président Bouteflika du moins jusqu’à 2015.

J’ai adressé une correspondance au Président de la République, la première d’une longue liste qui restera sans réponse, afin qu’il puisse m’aider à débloquer la situation. Sa réponse, la seule et unique, a été sous la forme d’une invitation par le premier ministre M. Abdelmalek Sellal, qui m’a accueilli. Il m’a informé que Le président lui avait enjoint de régler cette affaire dans les meilleurs délais. Que s’est-il donc passé pour qu’une machine qui a roulé sans encombre depuis 51 ans se grippe subitement ? Je ne connaissais M. Tahkout, que de nom. Sans que je ne lui demande quoi que ce soit, il s’est de lui-même, proposé de me faire un prêt de 150 millions de dinars pour m’aider à régler une partie les remboursements. J’accueillis avec joie et soulagement la proposition. J’ignorais que cette bienveillance cachait était un piège puisque alors qu’il m’avait rassuré quant à l’échance du remboursement en me demandant si je voulais plus d’argent.

Brusquement au moment où je m’y attendais le moins, occupé à démêler l’écheveau politico-administratif, dans lequel m’avait fourré le premier ministre Sellal, Tahkout me somma de lui rembourser illico presto, l’argent avancé. Tout s’éclaircissait. La vente avait été bloquée par le Premier ministre qui n’a jamais eu l’intention de régler ce problème malgré les injonctions du Président de la République, auquel depuis j’ai adressé une dizaine de lettres qui sont restées sans réponse. Pour les combinards, tant que j’exploitais cet immeuble et que je bénéficiais de l’usufruit tout allait selon leurs prévisions. Autrement dit, à ma mort « ils » allaient s’en emparer sans autre forme de procès.

De son côté, M. Tahkout, qui avait décidé de prendre l’immeuble par tous les moyens, y compris les plus délictueux, il était convaincu qu’étant dans l’impossibilité de procéder à l’acquittement, dans l’immédiateté, j’allais tout naïvement passer la main pour des clopinettes. Je reconnais avoir remis des chèques à blanc signés, à mon avocat Me Ksentini afin de payer mes créanciers après la vente de l’immeuble. – Pourquoi ces chèques réapparaissent-ils après l’assassinat par les services de sécurité, de mon gendre Hamza Hadjouti ? – Qui les a remis à M. Tahkout, sinon l’avocat Ksentini ? – De quel droit se permet-il, de remettre à un tiers des chèques, que je lui ai remis en toute confiance, destinés à un autre usage ? – Pourquoi cet avocat n’a-t-il jamais été cité à la barre, étant le témoin-clé dans cette affaire ? – Pourquoi le plaignant ne s’est-il jamais présenté à la barre pour des sommes aussi considérables que celles qu’il prétend ? – Pourquoi les plaintes ont-elles été déposées devant des tribunaux différents ?

Avant même que la gendarmerie de Bab-Djedid ne nous apprennent la terrible nouvelle, de la mort de mon gendre, assassiné par ceux qui avaient procédé à son arrestation, j’avais rencontré Me Ksentini, la veille et plus exactement, chez moi. Il me tenait des propos confus, déconcertants, inintelligibles. Je me suis même sérieusement interrogé sur son état de santé mentale. « Tu habites bien avec le Président Bouteflika », m’avait-il dit (sic). Il m’avait appris qu’il était quotidiennement convoqué par le DRS, à la caserne Antar à Hydra, afin qu’il s’explique sur sa déclaration concernant son entrevue avec le Chef de l’Etat, au cours de laquelle il lui aurait déclaré qu’il optait pour un cinquième mandat. Lorsque je lui ai demandé s’il avait réellement rencontré le Président de la République il me répondit que non. – Pourquoi donc as-tu monté tout ce scénario ?

Qu’est-ce qui motivait la déclaration concernant le cinquième mandat ? A ma stupéfaction il me répondit, droit dans ses bottes, que c’était « mon gendre Hamza qui la lui avait dicté » !!! Mon gendre ? Un fellah ! Hamza, un jeune apolitique qui ne lisait du journal que les « nata’idj ryadhiya » ou bien « ahoual en nas », dicter à un avocat, ancien bâtonnier, ancien conseiller du Président de la République, ancien président de l’observatoire pour les droits de l’homme, un communiqué politique qui a défrayé la chronique ! De qui se moque-t-on ? Quel personne douée de raison ou même d’un minimum de jugeote peut admettre ne serait-ce qu’une fraction de seconde, une absurdité de cette taille ? Je suis l’objet d’une combine échafaudée par des personnes dont les objectifs avoués visent à me discréditer. Une manigance dans laquelle les auteurs ont mêlé un avocat pleutre et sans envergure. Un béni oui-oui, assujetti à un homme d’affaires sans vergogne qui s’appuie sur des piliers du système. En me salissant, ces intrigants de palais, veulent souiller mon passé. Ils désirent me faire payer mon courage d’avoir de tout temps refusé de faire partie des leurs. Ils attendent de me voir renier mes principes. Et plus que tout, ils pensent qu’en faisant pression sur moi, je vais me taire et cesser de réclamer justice pour mon gendre, le père de mes petits enfants.

La justice si prompte à me jeter dans la fosse d’opprobre, après avoir laissé les hobereaux du système me dépecer et me priver du seul bien que je possédais, depuis plus d’un demi-siècle, n’a encore rien entrepris concernant mon gendre. Pourquoi ? Y a-t-il une justice impitoyable pour les faibles et une autre clémente et miséricordieuse pour les puissants ? Qui peut me répondre ? A qui se plaindre ? Quand la politique rentre au prétoire, la justice en sort !

Alger le 13 mai 2018

Le Commandant Azzedine.

Auteur
Le commandant Azzedine

 




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Le Président Bouteflika inaugure le siège de la zaouïa Belkaidia à Alger

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Après la mosquée Ketchoua

Le Président Bouteflika inaugure le siège de la zaouïa Belkaidia à Alger

Le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a procédé mardi à Alger à l’inauguration du siège de la Zaouïa Belkaidia, située dans la localité de Tixeraine, commune de Birkhadem. C’est sa deuxième sortie de l’année. 

Ce lieu de culte, érigé sur une superficie globale de 5 hectares, abrite une école coranique d’une capacité d’accueil de 300 places ainsi qu’une bibliothèque de 1.200 m2.

Le projet compte également un centre de formation professionnelle qui permettra aux étudiants d’obtenir, outre leurs titres en éducation islamique, des diplômes pour pouvoir exercer plus tard d’autres métiers en cas de choix d’une autre formation autre qu’imam.

Les “Dourous El-Mohammadia”, organisées chaque Ramadhan en collaboration avec la wilaya d’Oran, au siège national de la Zaouïa de la Tarika Belkaidia de Sidi Maârouf, se tiendront cette année à la Zaouïa de Tixeraïne.

Le chef de l’Etat se rendra par la suite à la Grande Mosquée d’Alger où il effectuera une visite d’inspection à ce projet dont les travaux de réalisation sont très avancés.

 La dernière sortie sur terrain de Bouteflika date du 09 avril dernier lorsqu’il est allé inaugurer la fin des travaux de la mosquée Ketchaoua.

Auteur
Avec APS

 




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Coopération Algérie Europe : un partenariat stratégiques pour la stabilité de la région

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11e session du Conseil d’association

Coopération Algérie Europe : un partenariat stratégiques pour la stabilité de la région

 L’Algérie et l’Union européenne (UE) ont réaffirmé lundi à Bruxelles leur « attachement » à la mise en oeuvre des priorités communes de partenariat et des conclusions de l’évaluation  conjointe de l’Accord d’association, réitérant leur engagement à approfondir leurs relations dans le but de « réaliser un espace commun de stabilité, de démocratie et de prospérité partagée ».

Il s’agit comme je l’ai souligné il y a quelques années lors d ‘une conférence, à l’invitation du parlement européen à Bruxelles, de dépassionner les relations car la stabilité des deux rives de la Méditerranée, nous impose d’entreprendre ensemble. Comme j’ai eu à l’affirmer lors de l’interview à la radio publique arabophone la chaîne une le premier mai 2018, et dans plusieurs contributions nationales et internationales (voir site Mena Forum Bruxelles 09/05/2018) l’Algérie et l’Europe sont deux partenaires stratégiques.

Certaines déclarations tendancieuses risquent d’isoler encore plus l’Algérie, certains utilisant même une institution stratégique de l’Etat comme le Conseil Economique et Social pour parler au nom de cette institution, étant sans Président actuellement, seul habilité selon ses statuts à parler au nom de cette institution. Pour les partis politiques, syndicats et les organisations patronales, ils sont libres d’exprimer leurs opinions engageant leurs adhérents.

Le ministre des Affaires étrangères algérien lors d’une allocution prononcée à l’ouverture de la 11e session du Conseil d’association Algérie-UE le 14 mai 2018 à Bruxelles, seul porte-parole officiel, les affaires étrangères étant de la seule prérogatives du Président de la République, toutes les autres récentes déclarations n’engageant que leur propre personne et non le gouvernement algérien, vient d’affirmer la position officielle de l’Algérie .

Lors de cette rencontre, le Ministre au nom de l’Algérie «a plaidé pour le renforcement du dialogue et de la concertation entre l’Algérie et l’Union européenne (UE) en vue de densifier les relations bilatérales dans «l’intérêt mutuel et l’équilibre des intérêts. et faire face aux défis communs de sécurité et de développement qui se posent à nous». Suite aux préoccupations soulevées par l’UE concernant ses parts de marché en Algérie en référence aux mesures de rationalisation des importations prises par le gouvernement algérien dans un contexte bien particulier, le Ministre algérien s’est dit «profondément convaincu que les discussions engagées par les deux parties sur ce dossier permettront d’arriver à des solutions pragmatiques et acceptables qui prennent en ligne de compte les intérêts légitimes de chaque partie».

Pour la partie européenne dans son rapport sur l’état d’avancement des relations UE-Algérie, il s’agit également « d’intensifier les relations sur la base d’un partenariat gagnant /gagnant et l’Algérie demeure un acteur-clé au niveau régional et international pour la sécurité, l’UE saluant les efforts de l’Algérie pour contrer de façon efficace les menaces terroristes »

Aussi, contrairement à certaines prévisions pessimistes prédisant un désaccord profond concernant l’Accord d’Association, certains sous le couvert « du nationalisme » mais en réalité défendant des intérêts de rente, prédisant même que l’Algérie allait se retirer de l’Accord, voilà une réponse claire de notre ministre des affaires étrangères, au nom de l’Etat algérien, mettant fin aux supputations à certaines tendancieuses nuisibles . L’Algérie entendant défendre ses intérêts légitimes tout en respectant ses engagements internationaux. Sous réserve d’une bonne gouvernance et d’une réorientation de sa politique économique, l’Algérie, pays à fortes potentialités a l’ambition de ses choix pour s’adapter aux nouvelles mutations géostratégiques mondiales tant dans le domaine économique, social, culturel que sécuritaire .

 

Auteur
Abderrahmane Mebtoul

 




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FFS : l’instance présidentielle installe un comité d’éthique

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Partis

FFS : l’instance présidentielle installe un comité d’éthique

Conformément aux statuts et au règlement intérieur du parti, et en concertation avec le camarade Bettache Mohamed, coordinateur du comité d’éthique, l’Instance Présidentielle nomme les camarades Ikhlef Bouaichi, Hakim Belahcel, Youcef Sahli et Saida Abdeslam comme membres du comité d’éthique du FFS.

L’Instance Présidentielle

 




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Des spécialistes se penchent sur l’augmentation des cas de cancers en Algérie

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Congrès d’onco-chirurgie du centre de lutte contre le cancer avec le CHU à Batna

Des spécialistes se penchent sur l’augmentation des cas de cancers en Algérie

Le centre de lutte contre le cancer a organisé en partenariat avec le CHU deux journées sur le cancer à Batna..

Cette rencontre de spécialistes a connu une série de conférences organisées par le centre anti-cancer de Batna sous le patronage de la direction de la santé et de la population de wilaya. Le professeur Messaoud Zitouni a indiqué au Matin d’Algérie que « les efforts déployés du CLCC Batna reflètent le travail effectué par ces équipes, celles-ci ont réalisé plusieurs séries greffes encourageantes. Le CAC de Batna répond aux normes internationales non seulement par son traitement mais aussi le dépistage, les soins palliatifs, la collaboration transversale entre les différents spécialistes et les différentes catégories professionnelles (médecins, biologistes, paramédicaux et techniciens de la santé ».

Interroger par le Matin d’Algérie, Aissa Madoui, le directeur du centre de lutte contre le cancer à Batna, a clairement expliqué que «la recherche médicale fait valoir depuis quelques années l’impact étonnant de l’activité physique sur la prévention de nombreuses maladies chroniques et du cancer en premier lieu. Ainsi, une activité physique d’intensité suffisante permettrait de réduire le risque de cancer du sein de 30 à 40% et du côlon de 40 à 50%. Les autres cancers sont moins documentés mais il a été avancé une réduction très significative du risque des cancers de la prostate, de l’endomètre et des poumons de 10 à 40%. De ce fait, il est important de se fier à une protection alimentaire saine ».

Comment ?

« Les mécanismes générant les effets bénéfiques de l’activité physique sur la réduction du risque de cancer seraient de plusieurs natures et encore en cours de clarification. Près du tiers de tous les cancers sont peut-être liés à ce que nous mangeons et buvons. Il n’existe pas une alimentation qui protège directement du cancer et l’alimentation seule n’a pas ce pouvoir. En revanche, c’est en adoptant de bonnes habitudes nutritionnelles que vous pouvez réduire votre risque de cancer. Consultez note article dédiée à l’alimentation anti-cancer », répond Aissa Madoui

Conseils ?

« Les femmes doivent réaliser régulièrement les mammographies préconisées par leur gynécologue, notamment après cinquante ans. Faites examiner régulièrement toute la surface de votre peau à votre dermatologue dont l’œil averti saura identifier les grains de beauté suspects et procèdera à leur exérèse pour examen cytologique. Ensuite, il va de soi qu’il ne faut pas hésiter à profiter des dépistages proposés par les campagnes de santé publique du moment qu’ils sont pris en charge par la sécurité sociale, notamment pour le cancer du sein et du côlon, a-t-il ajouté.

Le professeur Abid Mourad, chef de service de chirurgie au centre anti-cancer de Batna a indiqué au Matin d’Algérie, que « le Pr Messaoud Zitouni, coordinateur du PNC, m’a demandé d’assurer la coordination de ce groupe qui se compose d’oncologues, de gastro-entérologues, d’internistes, de chirurgiens et d’autres spécialistes qui ont l’expérience du terrain et donc vont effectuer des tests de simulations pour avoir une idée précise sur la réalité de la situation. Par conséquent, les décisions à prendre émaneront dorénavant de la base, et ce, en toute connaissance de cause et non plus par rapport à des directives qui viennent d’en haut pour exécution, qui sont souvent loin de la réalité ».

Ainsi, dans ce cadre, deux opérations pilotes ont été validées, l’une à Bejaïa qui a été lancée récemment ensuite une deuxième aura lieu à Annaba, puis Laghouat et c’est au tour de Batna.

« Les résultats de ces opérations seront évalués pour savoir si on devrait généraliser le dépistage du cancer colorectal à l’échelle national», a-t-il ajouté. Aussi, on apprend par le même Pr Mourad Abid, s’agissant de dépistage du cancer, l’objectif est de réduire la mortalité due à cette pathologie. Ceci dit, le dépistage du cancer colorectal n’est pas fait en Algérie et n’est pas inscrit dans le Plan national cancer (PNC) 2015/2019. Au demeurant, ce dépistage est aussi complexe à réaliser parce qu’il faut rechercher le sang dans les selles, et en cas de présence de sang, il faut faire alors une coloscopie de qualité et ensuite orienter le patient en fonction des résultats obtenus. Si les résultats sont négatifs, le sujet est placé sous surveillance : s’ils s’avèrent positifs, il faut entreprendre une résection ou une chirurgie.

Le cancer colorectal en augmentation

A rappeler que le nombre de nouveaux cas de cancer colorectal est important et son augmentation est inquiétante en Algérie, apprend-on.

Le diagnostic précoce est-il la solution ? Selon le professeur Abid M, le diagnostic précoce est fondamental d’autant plus que dans notre pays, les patients arrivent en consultation à un stade avancé de leur cancer, et l’une des raisons de cet état de fait est que souvent, certains praticiens traitent ce qu’ils croient être des hémorroïdes alors qu’il s’agit d’un cancer ignoré. Ce problème doit donc être pris en charge à la fois par le PNC et par l’université pour renforcer la formation de nos futurs médecins. Ce dernier conclut par ce conseil : « Un dépistage ne peut être couronné de succès que s’il est l’affaire de tous à savoir en premier lieu les professionnels de santé mais également les médias, la société civile etc. Notre programme est certes ambitieux, mais réalisable néanmoins ».

En guise de signe d’encouragement de lutte contre le cancer, le professeur Abid Mourad a souligné qu’il a réalisé huit greffes de foie dont six cas réussis durant cette année.

 

Auteur
Abdelmadjid Benyahia

 




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Halte à l’arbitraire ! Justice pour Me Abdennour ALI-YAHIA !

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Solidarité 3A (Collectif de solidarité avec Abdennour Ali-Yahia)

Halte à l’arbitraire ! Justice pour Me Abdennour ALI-YAHIA !

Le Collectif de solidarité avec Abdennour Ali-Yahia vient de rendre public un communiqué.

« L’arbitraire a encore frappé ! Cette fois, la victime est un célèbre avocat, militant toujours actif à 98 ans, qui a combattu pour la libération de l’Algérie et les libertés des Algériens : Me Abdennour ALI-YAHIA.  

Après la prison et les calomnies dont il a été la cible récurrente, les manipulateurs de l’ombre n’ont pas hésité à recourir à des procédés indignes et mesquins en représailles contre ses positions tranchées.

Alors que la loi permet aux citoyens d’acquérir les logements qu’ils occupent régulièrement, alors que tous ses voisins ont bénéficié de cette même loi, Me Abdennour ALI-YAHIA en est exclu sans motif légal.

Au-delà de ce cas particulier, le scandale révèle une fois encore des pratiques occultes qui défient le droit et la morale : l’impunité pour les délinquants du sérail dont les frasques ne cessent de défrayer la chronique, et le harcèlement contre les citoyens intègres qui militent pour l’Etat de droit, le respect des droits de l’Homme et la promotion des libertés du citoyen.

En exprimant leur solidarité avec l’infatigable militant, les signataires :  

– Dénoncent le déni de justice qui a frappé Me Abdennour ALI-YAHIA et exigent qu’il soit rétabli dans ses droits de citoyen ;

– Appellent à la mobilisation pacifique pour révéler la situation de tous les biens de l’Etat, notamment les résidences somptueuses acquises au dinar symbolique par les privilégiés du régime, pour les restituer au patrimoine national.   

Alger, le 14 mai 2018.

Première signataire :  Djamila BOUHIRED (révolutionnaire, ancienne condamnée à mort).

Signataires (première liste, par ordre alphabétique):

ABBOUTE Arezki (syndicaliste); ABDERREZAK Adel (enseignant universitaire); ABDESLAM Mehana (physicien, universitaire); ACHAB Ramdane (éditeur); ADDI Lahouari (sociologue); ADJLANE Sofiane (cadre d’entreprise); AÏT MESSAOUD Rabah (gestionnaire); AÏT BACHIR Ahmed (entrepreneur); AÏT-LARBI Ahmed (enseignant); AÏT-LARBI Arezki (journaliste); AÏT-LARBI Mokrane (avocat); AÏT-SI-SELMI Mourad (chirurgien); AKNINE Arab (ingénieur); AKROUF Sanhadja (militante associative); ALI-BENALI Zineb (professeur de littératures francophones); ALLAL Tewfik (militant associatif); AMARI Chawki (journaliste); AMMOUR Samia (militante féministe, artiste); AYACHI Hmida (journaliste, auteur); AZOUZ Nordine (journaliste); BABA-AHMED Hichem (Le HIC, caricaturiste); BARAKA Malika (cardiologue); BELHOUCHET Omar (journaliste, directeur du quotidien El Watan); BEN Mohamed (poète); BENAÏSSA Slimane (dramaturge, comédien); BENCHICOU Mohamed (auteur); BENSAAD Ali (géographe); BOUCHENNA Rachid (mathématicien, universitaire); BOUDARENE Mahmoud (psychiatre, auteur); BOUMEDINE Hammou (ingénieur); Boumendjel Fadéla (professeure de médecine); BOUMGHAR Mouloud (professeur de droit); CHAÏT Salim (ingénieur); CHEKRI Saïd (journaliste, directeur du quotidien Liberté); CHIBANI Ali (docteur en littérature Sorbonne, écrivain, journaliste); CHITOUR Slimane (professeur de médecine, chirurgien); DAHMANI Ahmed (économiste); DJABELKHIR Saïd (islamologue); DJABI Nacer (sociologue); DOMRANE Malika (artiste); DOUMANE Saïd (économiste); DUTOUR Nacéra (militante associative); EL KADI Ihsen (journaliste); FALLI Amar (médecin); HADJERES Sadek (médecin, ancien dirigeant communiste); HAÏDAR Sarah (journaliste, écrivaine); HALET Rachid (médecin); HAMDANI Saïd (médecin); HAMMOUCHE Lehna (militante associative); HARBI Mohamed (historien); HIRECHE Hacène (consultant); IMACHE Mohamed (universitaire, auteur); IOUANOUGHENE Mohamed (journaliste); KADRI Aïssa (professeur émérite des universités); KHELIL Saïd (pharmacien biologiste); LAZALI Karima (psychanalyste); LOUNAOUCI Mouloud (médecin); MAOUGAL Mohamed-Lakhdar (professeur d’université, écrivain); MATOUB Malika (juriste); MEBTOUL Mohamed (sociologue, professeur d’université); MEHENNI Ferhat (militant des droits de l’Homme, auteur); MELLAH Abdelhak (avocat); MENNAD Mbarek (cinéaste); METREF Arezki (journaliste, écrivain); MOULOUDJ Mohamed (journaliste); OUALI Hacen (journaliste); OUALI Omar (journaliste); OUBACHIR Hadjira (poétesse); OUBOUZAR Leila (architecte, universitaire); OURAD Akli (consultant international); OURAD Méziane (journaliste); OUSALEM Mohand-Ouamar (économiste); RABAH Abdellah (journaliste); SADI Hend (professeur de mathématiques); SADI Saïd (psychiatre, auteur); SAHEB Hakim (avocat); SANSAL Boualem (écrivain); SEBAÏ Drifa (enseignante); SIDHOUM Yasmina (cadre); TAHRI Hamid (journaliste); TEMLALI Yacine (journaliste, chercheur); YOUCEF Tahar (journaliste); ZENATI Djamel (professeur de mathématiques).

Pour signer la pétition :

Site : https://secure.avaaz.org/fr/petition/Lopinion_publique_Solidarite_3A/?cSGjQmb

Facebook : https://www.facebook.com/solidarite.Dda.Abdennour/

 




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Démenti de Me Mokrane Aït Larbi

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A propos de la pétition de solidarité  avec Me Abdennour Ali Yahia

Démenti de Me Mokrane Aït Larbi

Mokrane Aït Larbi a rendu public le communiqué suivant suite à l’affaire de l’appartement d’Ali Yahia Abdennour.

« J’ai été surpris de lire mon nom parmi les signataires de la « pétition nationale populaire et ouverte » en solidarité avec Me Abdennour Ali-Yahia. Sans entrer dans une polémique mal venue sur un sujet aussi grave, je voudrais toutefois apporter les précisions suivantes :

1- L’un des promoteurs de cette pétition m’avait contacté mercredi dernier pour signer une pétition dont le texte était « en cours de rédaction ». J’ai demandé à lire le texte avant de me prononcer. 

2- N’ayant pas reçu de réponse, je n’ai donc pas signé cette pétition. 

3- Entre temps, je me suis engagé sur un autre texte initié par des personnalités de la société civile, et qui sera publié prochainement. 

4- Si la multiplication des initiatives de solidarité avec Me Abdennour Ali-Yahia  est à encourager, leur convergence passe par le respect d’un minimum d’éthique. »

Mokrane Aït Larbi

Auteur
Mokrane Aït Larbi

 




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Sortie ce mardi de Bouteflika pour inaugurer une zaouïa ! (vidéo)

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Il superviserait l’avancement des travaux de la grande mosquée

Sortie ce mardi de Bouteflika pour inaugurer une zaouïa ! (vidéo)

Le président de la république, Abdelaziz Bouteflika, effectuerait, aujourd’hui, mardi 15 mai 208, une visite à la grande mosquée d’Alger, afin de « superviser l’avancement des travaux », nous apprend le journal arabophone El Bilad. Cette visite aurait été reportée une fois, selon la presse.

Le président profiterait de sa sortie pour inaugurer une nouvelle zaouïa El Belkaidya dans la localité de Tikesraïne.
Il y a plus d’un mois, le président était apparu très affaibli lors de l’inauguration de la station de métro de la place des Martyrs et de la mosquée de Ketchaoua.

Le président fait de plus en plus rares apparitions au devant de la scène, laissant le gouvernement porter les décisions à l’opinion. 
 

Auteur
B.K

 




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Omar Habour dit avoir transféré 238 000 dollars sur le compte de Mme Khelil comme zakat !

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Pour se défendre devant la justice italienne

Omar Habour dit avoir transféré 238 000 dollars sur le compte de Mme Khelil comme zakat !

Cité aussi bien dans le scandale de Sonatrach que dans celui des comptes offshore révélés dans le cadre des Panama Papers, l’homme d’affaires franco-algérien, Omar Habour, a trouvé une intrigante parade pour se défendre devant le tribunal milanais, où il comparaissait, la semaine dernière, dans le cadre du procès des dirigeants du groupe pétrolier Eni, et sa filiale Saipem.

Me Ernesto Gregorio Valtenti, son avocat, a reconnu que son mandant, Omar Habour, a transféré un montant de 238 000 dollars vers le compte domicilié en Jordanie de l’épouse de l’ancien ministre de l’Energie, Nadjat Arafat, en expliquant que ces versements ont été effectués entre 2004 et 2006 «dans le cadre de la zakat, tel que prévu par la charia islamique». L’avocat précise même que ces virements «ne datent pas» des années 2000 seulement, mais «remontent aux années 80′ et 90’», et pour mieux convaincre le jury, il explique que «la zakat, selon la charia, est un des cinq piliers de l’islam». Pour Me Ernesto Valenti, Omar Habour et l’ancien ministre de l’Energie sont liés par un contrat pour l’achat et la vente de biens immobiliers, parmi lesquels cette maison située au Maryland, aux Etats-Unis, acquise «pour un montant de 1,5 million de dollars».

Lire la suite de l’article sur El Watan

Auteur
Salima Tlemçani

 




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