En France, les cérémonies du 80ᵉ anniversaire du Débarquement de Normandie connaissent leur temps fort ce jeudi en présence de nombreux chefs d’État. Le 6 juin 1944, des dizaines de milliers de soldats, notamment américains et britanniques, débarquaient sur les plages pour libérer la France et l’Europe.
Les dirigeants africains n’y seront pas. Ils assisteront, quant à eux, aux commémorations du Débarquement de Provence, le 15 août.
Emmanuel Macron préside en Normandie, ce 6 juin dans l’après-midi, une cérémonie internationale, aux côtés notamment du président américain, Joe Biden, du chancelier allemand Olaf Scholz et du président ukrainien Volodymyr Zelensky. Aucun chef d’État africain ne sera toutefois présent. Ces derniers seront conviés à commémorer un autre Débarquement moins connu, mais pas moins important.
Le 15 août prochain, plusieurs dirigeants africains viendront célébrer l’anniversaire du débarquement de Provence. Car, il y a 80 ans, des dizaines de milliers de soldats africains avaient participé à cette offensive alliée de grande ampleur.
Les troupes sont constituées de goumiers algériens et de tabors marocains, des troupes d’élite réputées pour leur endurance (et leur férocité) qui se sont déjà illustrées dans les combats d’Italie et notamment à la bataille du Mont-Cassin.
Elles comprennent également des Évadés de France y compris des Outre-Mers, des forces militaires de la France Libre des Caraïbes, du Pacifique et de l’Asie. La constitution de l’armée B est la résultante des corps de l’armée française libre qui avaient combattu, en Afrique du Nord (campagne de Tunisie en 1942), puis en Corse (1943) et en Italie (1944).
Les premiers à intervenir, dans la nuit du 14 au 15 août 1944, ont été des commandos aéroportés.
« C’est une unité spéciale, elle est composée pour plus de la moitié de Maghrébins », explique l’historien Jean-Marie Guillon, au micro de Pierre Firtion du service Afrique de RFI. « La première vague de ces commandos avait pour mission de s’emparer de la batterie du Cap Nègre qui menaçait une partie de la zone de débarquement ».
Un débarquement d’une importance majeure
Les troupes américaines débarquent, elles, quelques heures plus tard, suivies par l’armée française et notamment ses divisions d’infanteries algériennes et coloniales. « On estime que les 250 000 hommes sont composés pour un peu plus de la moitié de troupes issues des colonies, avec à la fois des populations d’Afrique Noire et Nord-africaines », précise Jean-Marie Guillon.
Le 6ᵉ régiment de tirailleurs sénégalais joue un rôle clé dans la prise de Toulon. Marseille est également conquise par l’armée française. Au final, ce débarquement aura été d’une importance majeure comme le rappelle l’historien. « Il contraint Hitler à replier des troupes. Donc si la France est libérée aux deux tiers à la mi-septembre, c’est en grande partie grâce au débarquement de Provence. Et la deuxième raison de l’importance de ce Débarquement, c’est qu’il montre que les Français participent à leur propre libération, et ça, d’un point de vue politique, c’est extrêmement important ».
Jean-Marie Guillon regrette que ce débarquement soit quelque peu relégué au second plan. À ses yeux, les évènements de Provence et de Normandie devraient être commémorés ensemble.
L.M./RFI
Bon, je crois bien qu’il faut que je partage ma journe’e de ce Jeudi, dans un Club VFW(Veterans des Guerres Etrangeres »a l’etranger »). Autre le Dejeuner, il y a eut le chef de Historien Militaire. Quelqu’un qui a connu et Eisenhower et le celebricime General George Patan. La particularite’ de l’Historien est que malgre’ son PHD en Histoire et Antropologie, car c’est une discipline Scientifique, Eisenhower lui demande de sortir des format classiques, c.a.d. une serie de dates, suivies de titres pompeux et de noms de la nomenclotura politicienne. Il voulait des Histoires d’Hommes, leur Intelligence, enguagement, ressenti et vecu. Des histoires d’Operations.
Ainsi, l’Historien listera les pays qui ont participe’, dans cet enguagement d’en finir avec LE MAL c.a.d. de VAINCRE HITLER et non de Liberer la France. Il citera donc les pays et rajoute cette petite remarque, qui fera rire la foule « LA FRANCE ET DeGaule ont aussi ete invoque’s » – parlant du contenu de sa presentation qu’il dira est le meme que ce qu’il delivre dans differentes Institutions Militaires, entre autre l’Academie de la Navy d’Annapolis, West Point ou l’Ecole de Guerre. Ainsi attribuera-t-il le succes de l’operation cote’ Allie’s entre autre au General Patton et les Troupes Africaines. Parmis les Invite’s d’Honneur, 2 Vetrans encore vivants dont une Infirmiere et Soldat de 87 ans, qui fait le trajet Algerie – Allemagne avec les COmpagnies Africaines, Algeriennes et Senegalaises.
Dans ses reponsesa differentes questions, il mentionnera le COURRENT QUI NE PASSAIT PAS ENTRE DeGaule et Winston Churchill en particulier et avec Einsenhauer qui ne ratait pas une occasion de rappeler l’entetement des dirigeants Francais sur le Statut de l’Algerie en particulier – Les Americains ainsi que les Anglais etaient convaincus que lorsque les Algeriens decideront d’en finir, la defaite de la france est guarantie. Aussi interessant, la remarque de cet Historien de confession probablement jouive, de rappeler l’appreciation et stupefaction des Officiers aussi bien Anglais qu’Americains d’apprendre que les Musulmans Nord-Africains d’Europe prennaient les enfants jouifs comme les leurs pour les sauver du regime de Vichy et les SSs. Cela dit, sans l’INGRATITUDE le monde ne sera pas ce qu’il est. Personne de ma famille n’a participe’ a cette operation, mais de mon village, certainnement, dont notre fameux Colonel Sadek. RDV pris biensur pour exposer le reste du chemin de tels freres de combat, comme me l’ont rappele’ plus d’un.