En cette journée mondiale de la santé mentale, la France s’inquiète sérieusement de la santé mentale des jeunes, pendant que nous, Algériens, nous inquiétons tout aussi sérieusement de celle de nos vieux dirigeants !
La santé mentale des Français, notamment celle des jeunes, est toujours dégradée en 2023, une tendance constante depuis septembre 2020, dans le sillage de la pandémie de Covid-19, a relevé Santé publique France ce lundi 9 octobre. (*)
À la veille de la Journée mondiale de la santé mentale, l’agence sanitaire a souligné que les recours aux soins d’urgence pour troubles de l’humeur, idées et gestes suicidaires « ont fortement augmenté en 2021 puis 2022, pour rester depuis à un niveau élevé ».
En septembre 2023, les passages aux urgences pour gestes et idées suicidaires, troubles de l’humeur (épisodes dépressifs notamment) et troubles anxieux, ainsi que les actes médicaux SOS Médecins pour angoisse ont augmenté chez les moins de 18 ans, en particulier chez les 11-17 ans, comme habituellement en période de rentrée scolaire.
Les jeunes de 18-24 ans se préoccupent en moyenne moins de leur santé mentale ou de leur bien-être que leurs aînés (64%).
Dans cette tranche d’âge, les principaux freins à la consultation d’un « psy » sont le prix de la consultation, la difficulté à se confier ou la crainte de ce qu’ils pourraient découvrir sur eux, et la peur que l’entourage l’apprenne, a décrypté Santé publique France.
Il serait intéressant que nos spécialistes outre Méditerranée nous dressent un tableau de la situation qui prévaut en Algérie. Ce n’est un secret pour personne, le suicide parmi nos jeunes est un véritable fléau, et les problèmes sont nettement plus étendus avec un chômage qui bat son plein et un pouvoir dictatorial qui ne se soucie que de sa propre santé et de celle de ses proches. Ici les jeunes sont pourchassés, réprimés, méprisés et poussés en exil.
Nos psychologues devraient également se pencher sérieusement sur l’état de santé mental de nos dirigeants. Avec toutes les infos contradictoires qui sont étalées sur la presse, seules des déficiences chroniques peuvent expliquer de tels rétropédalages décisionnels dans la façon d’appréhender les problèmes politiques. Il y a vraiment de quoi s’inquiéter !
Allez Tebboune, Chanegriha et toute la smala d’El-Mouradia, donnez l’exemple !
Kacem Madani
La santé mentale des dictateurs est claire : c’est des pervers narcissiques et en plus c’est des psychopathes . Les signes chez se genre de personne . Manipulateur , ils culpabilises , humilier , le mensonge ; ils s’attribuent les mérites des autres « n’est-ce pas tabouna disait que le Hirak c’est lui » . la soumissions c’est leur mode de gouvernance . Ils utilisent ses symboles du pays ,tel la révolution ,le patriotisme .à leur profit . On ne peux pas se débarrassée d’un PN car il a fait des dégats dans les esprits . Il existe plusieurs d’articles qui traite sur les PN . Azul