L’écrivain algérien Yasmina Khadra a été récompensé par le prix Pepe Carvalho, un prix littéraire qui récompense les écrivains pour l’ensemble de leurs œuvres et qui ont contribué à l’enrichissement du genre policier.
Le jury chargé de désigner le lauréat est composé de Carlos Zanón (président du jury), Anna Abella, Lilian Neuman, Esteve Riambau, Rosa Ribas et Daniel Vázquez Sallés.
Pour Carlos Zanón, commissaire du festival BCNegra de Barcelone, qui se tiendra du 10 au 16 février, et président du jury, Yasmina Khadra « est un auteur à la carrière solide, un écrivain africain qui nous plonge, à travers ses romans, dans les sociétés postcoloniales d’Afrique du Nord, tout en offrant une âme divisée entre ses racines algériennes et la France ». Puis de préciser : « De plus, c’est un auteur très courageux, qui a osé dénoncer la corruption dans un pays comme l’Algérie ».
Le prix Pepe Carvalho a été créé en 2006 en hommage à l’écrivain espagnol Manuel Vázquez Montalbán, auteur de la série de romans policiers mettant en scène le personnage de Pepe Carvalho.
Sur sa page Facebook, l’auteur de Les hirondelles de Kaboul ne cache sa joie d’être le récipiendaire de ce prix: « J’ai le plaisir de vous annoncer que l’Espagne littéraire vient de m’attribuer le prix Pepe Carvalho 2025. Je suis fier de rejoindre la famille de ces grands romanciers que j’aime et que beaucoup d’entre vous connaissent et apprécient : Michael Connelly, James Ellroy (Le Dahlia noir), Joyce Carol Oates (finaliste du prix Nobel 2024), Leonardo Padura, Denis Lehane (auteur de l’incroyable « Shutter Islande »), l’inaltérable Andrea Camilleri, mon ami grec Petros Màrkaris, Ian Rankin, P. D James, Henning Mankell, Alicia Giménez Barlett… »
Yasmina Khadra, alias Mohamed Moulesshoul a reçu d’autres distinctions, notamment L’Attentat, un romanrécompensé du prix des Libraires. Son roman Ce que le jour doit à la nuit a été élu meilleur livre de l’année 2008 par le magazine Lire et a reçu le prix France Télévisions.
Adaptés au cinéma, au théâtre (en Amérique latine, en Afrique et en Europe) ainsi qu’en bandes dessinées, les œuvres de Yasmina Khadra sont traduites dans une cinquantaine de langues.
Son dernier roman en date, Coeur-d’amande, est paru à l’occasion de la rentrée littéraire 2024, chez Mialet-Barrault.
Le prix sera décerné au romancier algérien, le 13 février, à l’occasion du Festival du roman noir, que Barcelone accueillera du 10 au 16 février.
En Espagne, les festivals Semana Negra célèbrent la littérature noire à travers des événements variés mêlant littérature, cinéma, théâtre et gastronomie.
La rédaction
Un vrai raciste,ce cafard. Jamais plus je ne mettrais un kopeck sur cette ordure.
On récompense bien un raciste et un haineux.
Malheureusement, Le racisme anti kabyle, ne fait pas partie des priorités des mouvements dits anti racistes.
Je suis sidéré.
Le kabyle doit se défendre seul en s’indignant contre ce personnage et en boycottant ses romans.
JE SUIS KABYLE et je me fous royalement de ce sinistre telectuel !
parait-il qu’il etait dans une caserne ou les KDS ont fait de lui une veritable fatma, a la cuisine !
Traître un jour, traître toujours – collabo un jour, collabo toujours- l’histoire ne se trompe jamais! La présidence de ce groupe ignore à ce point qui est cet homme sans scrupule?! Je crois plutôt que cette attribution est justement pour créer la politique et faire sortir des tréfonds le nom de ce prix. On ne peut dissocier l’homme de ses ecrits et ses positions surtout qu’il à bien collaboré avec un régime dictatorial en acceptant la direction du centre culturel algérien à Paris. Un opportuniste en quête de reconnaissante jusqu’à vomir son racisme fièrement pour plaire à ses mentors criminels. L’histoire condamnera cette attribution et le nom de ce prix. Lui attribuer ce prix, c’est autant admettre que Franco est un humaniste et démocrate!
«De plus, c’est un auteur très courageux, qui a osé dénoncer la corruption dans un pays comme l’Algérie».
Il l’ont lu sans ponctuation.
Côté nouveautés, après les rondelles de Kaboul, on attend impatiemment le scarabee ki-roule-boulettes
Tous ces ouvrages finissent par être jetés à la poubelle. Je déteste les racistes anti-Kabyles.
Voici ce qu’a dit Mohamed BOU….
« J’ai toujours loué, chanté, magnifié la Kabylie. En témoigne la place incommensurable qu’occupent les Kabyles dans mes romans et dans mes déclarations. La vidéo que mes détracteurs ont manipulée à leur guise et annoncée comme datant de la veille, alors qu’elle est ancienne, ne s’attaque aucunement aux Kabyles. Elle parle de certains de nos compatriotes qui, en France (ou peut-être ailleurs aussi), se présentent comme Franco-Berbères, et non comme Franco-Algériens. Cette attitude m’a outré, et j’ai réagi contre elle dans cette vidéo. Comme j’ai déploré ceux qui, à la question de savoir leur pays d’origine, répondent «je suis Kabyle», comme si dire «je suis Algérien» était honteux. »
C’est en voulant se sauver que ce piètre se noie.
J’ai lu tous les « ROMANS » de YK jamais au grand jamais le MOT « Kabylité » n’a été mis en valeur ; c’est sans doute pour cela que je ne me souviens pas de l’existence du mot kabyle dans ses livres.
JE SUIS KABYLE EST FIERT DE MON HISTOIRE, MA CULTURE, ET DE L’ETRE.
OULACH SMAH