Fethi Ghares, coordinateur du MDS, a été condamné ce dimanche par le tribunal de Bab El Oued à deux ans de prison ferme assortis d’une amende de 200 000 dinars.
La justice aux ordres vient de sévir à Alger. Le coordinateur du Mouvement démocratique et social est condamné à 2 ans de prison. Son tort ? Faire de la politique. Cette énième condamnation d’un patriote authentique a soulevé l’ire de nombreux militants politiques, défenseurs des droits de l’homme et de pans entiers de la société.
Faut-il s’en étonner ? Assurément non. Il n’y a rien à attendre des hommes au pouvoir. La hideuse république de Tebboune-Chanegriha est sa logique répressive.
L’histoire retiendra que sous le règne de ces deux individus l’Algérie aura vécu ses pires années de 60 ans d’indépendance. Ce chef d’Etat « élu » avec un taux des plus médiocres se transforme en dictateur. Depuis l’intronisation au pouvoir de Tebboune, l’Algérie vit au rythme des condamnations arbitraires, des interdictions de toute action politique et du viol répété des lois fondamentales.
Yacine K.
