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mardi 8 juillet 2025
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L’Agence International de l’Energie (AIE) tempère l’envolée du baril

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Hydrocarbures

L’Agence International de l’Energie (AIE) tempère l’envolée du baril

Selon les dernières estimations de cette agence publiées dans son rapport hier, la demande prévisionnel du 2ème semestre 2018 va baisser et justifie cette légère baisse par le rebond des prix du baril qui frôlent les 80 dollars aujourd’hui.

L’organisme s’attend à ce que la demande mondiale de pétrole progresse de 1,4 million de barils par jour (mbj) en 2018, contre 1,5 mbj annoncés le mois dernier. Sur l’année, la demande devrait s’établir à 99,2 millions de barils par jour.

Pour l’AIE, c’est le solide contexte mondiale et le froid en Europe et aux Etats-Unis qui ont soutenu la demande au premier semestre. Le mois d’avril, la production est restée stable autour de 98 millions de barils par jour.  D’un autre côté, la question de la production iranienne, troisième producteur de l’Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep), reste incertaine avec le rétablissement des sanctions économiques par les Etats-Unis, décidé par le président Donald Trump le 8 mai dernier. « Il y a une incertitude compréhensible sur l’impact potentiel sur les exportations iraniennes qui représentent aujourd’hui 2,4 millions de barils par jour », note l’AIE.

Pour rappel, les exportations iraniennes de brut avaient baissé de 1 million de barils par jour lorsque les sanctions internationales étaient appliquées entre 2012 et 2015. L’AIE reste prudente car « seul le temps dira quelle sera l’ampleur du dérèglement cette fois ». L’organisme n’a pas omis aussi de rappeler l’accélération du déclin de la production au Venezuela en raison de la crise politique qui semble mettre son économie à genoux où le taux d’inflation a atteint plusieurs milliers de pourcents.

Cette double incertitude en Iran et au Venezuela pourrait constituer un défi majeur  pour les producteurs, en termes de nombre de barils mais aussi de qualité du pétrole. Les cours du pétrole avaient chuté à la mi-2014 mais sont depuis remontés, s’établissant fermement au-dessus des 70 dollars le baril dernièrement. Ils ont été soutenus par la décision fin 2016 des pays producteurs de l’Opep, associés à d’autres producteurs non membres du cartel dont la Russie, de limiter leur production. Hier les stocks de pétrole brut ont enregistré un recul, la production et les exportations atteignant de leur côté un nouveau record. Ce n’était pas le cas de la semaine dernière qui s’était achevée le 11 mai car les réserves commerciales de brut ont reculé de 1,4 million de barils pour s’établir à 432,4 millions, alors que les analystes interrogés par l’agence Bloomberg prévoyaient une baisse plus prononcée de 2 millions de baril. Cela de toute évidence n’a pas empêché la production de brut de progresser, les États-Unis extrayant en moyenne 10,72 millions de barils par jour (mbj) contre 10,70 mbj la semaine précédente. Il s’agit de la douzième semaine de record de suite depuis que ces statistiques ont commencé à être compilées en 1983.

Les exportations américaines ont, quant à elles, atteint un plus haut niveau depuis que ces statistiques ont commencé à être compilées en 1991, à 2,57 mbj.

Les importations ont progressé à 7,60 mbj contre 7,32 mbj la semaine dernière. Le département américain de l’information en énergie (EIA) publiait en même temps un rapport sur les stocks qui a eu un effet immédiat sur le prix du pétrole américain. Lequel s’était un peu repris juste après la publication de ce rapport, puis repartait dans le rouge quelques minutes plus tard et baissait de 44 cents à 70,87 dollars sur le New York Mercantile Exchange (Nymex) vers 15H00 GMT.

Auteur
Rabah Reghis

 




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Plusieurs individus arrêtés lors d’opérations policières

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Batna

Plusieurs individus arrêtés lors d’opérations policières

Dans le cadre de la lutte contre le crime et le banditisme, les services de police à leur tête Sassi Kadour, chef de sûreté de la wilaya de Batna ont procédé à plusieurs arrestations suite à des descentes de routine effectuées durant ce mois-ci à travers les quartiers de Batna.

Cette opération de contrôle a pu mettre hors d’état de nuire 37 individus recherchés par les services. Selon nos sources, ces personnes sont incriminées dans différentes affaires scabreuses. Aussi, il a été procédé à l’arrestation de deux individus en leur possession une quantité de comprimés de psychotropes. En outre, cette même opération de descente a permis aux éléments de police d’arrêter douze individus dealers récidivistes incriminés dans des affaires de drogues et stupéfiants, en plus de 08 autres individus armés de couteaux, épées, et autres. 

Les forces de police de la sûreté de la wilaya de Batna ont déjoué une opération de mise en circulation de faux billets au niveau de la wilaya, qui s’est soldée par l’arrestation de deux individus, a-t-on précisé.

Selon la même source, les forces de police ont engagé une large opération de recherche et d’investigation qui s’est soldée par l’arrestation en flagrant délit de deux suspects incriminés dans une affaire de vente illicite de boissons alcoolisées. Cette opération a également permis aux éléments  de police de lever le voile sur plusieurs autres affaires. A commencer par l’arrestation d’un groupe d’individus impliqués dans le vol des voitures de différentes marques, telles qu’une voiture de marque Hyundai i10, celle-ci a été volée, puis aussitôt  récupérée par les éléments d’enquête.

Ensuite, il a été procédé à l’arrestation d’un individu en sa possession une arme à feu sans autorisation, indique la même source. Les présumés coupables ont été arrêtés puis présentés devant le procureur de la république près le tribunal de Batna pour association de malfaiteurs et vol en  bande organisée.

Auteur
Abdelmadjid Benyahia

 




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Fellag de retour bientôt sur les scènes d’Alger ?

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Rumeur, info ou blague de mauvais goût 

Fellag de retour bientôt sur les scènes d’Alger ?

Il est souvent difficile, dans cette course à l’info facile, reprise fréquemment sous forme de copié-collé intégral par de nombreux journaux en ligne sans en vérifier la source ni se préoccuper du sérieux qu’elle est supposée reproduire, de ne pas tomber dans le piège de l’excitation qui vous fait rêver du meilleur pour le pays.

À cet égard, la nouvelle concernant un prochain retour sur la scène algérienne de Mohamed Fellag, après 20 ans d’absence, est l’une des plus dures à avaler quand on découvre que notre humoriste international lui-même n’est pas au courant de ce projet dans lequel il est directement impliqué. À moins que cela ne fasse partie d’un dessein secret qui se susurre entre initiés célestes pour rajouter du « Idh’haq bissmi fakham-atika », en prévision du 5ème mandat ?  Nul doute qu’au jeu du dindon de la farce, Fellag se prêterait volontiers si le but est de sortir le peuple de la léthargie dans laquelle on l’a, de force, plongé depuis des décennies. Après tout, il faudrait bien, pour équilibrer des interactions instables entre gouvernants et gouvernés, opposer aux frasques de ceux qui, comme Djamel Ould Abbes et Abdoulmoumen Ould Kaddour, n’amusent personne, un génie du terroir doté de l’art et la manière de déclencher rires et fou-rires en s’égayant à disséquer de façon subtile la société avant de lui renvoyer les reflets de ses propres tares sous forme de gags analytiques désopilants servis sur un fond de lucidité quasi absolue !

Il va de soi que tel retour serait synonyme de bonheur collectif dont on a sevré le peuple depuis qu’on a chassé de leurs terres de nombreux talents du pays. J’avoue que la nouvelle de ce retour avait spontanément déclenché en moi des vagues de joie immenses, car enfin me disais-je un peu de gaieté pour ce peuple auquel on a fait perdre le sens du rire et les échanges d’antan qui stimulaient gaieté et humour collectifs bon-enfant. Cet humour du terroir que Fellag seul sait reproduire, à l’inégalable, avec la précision de ciseleur qu’on lui connait, pour réconcilier l’homme avec ce propre unique qui le différencie des autres espèces animales, le rire. Ce rire qui se fait rare et tend à disparaitre de l’espace public de tous les pays, avec une rapidité fulgurante.

En France, les statistiques indiquent que si pendant les années 1940, le citoyen riait en moyenne 20mns par jour, ce temps s’est réduit à 6mns dès les années 1980, pour chuter à une seule et unique minute de nos jours. C’est dire la symbolique hautement significative d’un Fellag qui viendrait donner un coup de pied dans cette fourmilière de tristounets qui se dégage du pays. Ce pays promis à tous les espoirs au sortir de la nuit coloniale a été travesti de force par une bande de malfrats qui s’est acharnée à faire abattre sur lui des brouillards de tristesse là où un soleil radieux et un grand bleu qui invitent au rêve et moults évasions fantastiques devraient illuminer chaque visage et rendre joyeux chaque parcelle des décors et du quotidien des algériens, qu’ils soient kabyles, oranais ou chaouis !

Mohamed Saïd Fellag de retour, c’est la réconciliation authentique, spontanée et instinctive du pays avec lui-même qui se profilerait pour remplacer l’entente de façade, le deal de complaisance entre assassins sur le dos du citoyen, l’éternel dindon des farces politiques qui se trament au sommet.

Fellag en Algérie, ça serait un retour en fanfare à ces années d’espoir de la décennie 1980, pendant lesquelles nous nous amusions à prédire des seuils de suffrages, pour le Front Islamique de la Supercherie, inferieurs aux 12% habituels du Front National, son reflet miroir, en termes de haine et de xénophobie.

Fellag au pays, on se met à en rêver, c’est des retrouvailles bon enfant entre le « kbaïli bounou-bounou » et le « aârav amessas » de nos années d’innocence. Ces deux sobriquets mignons, que l’on éructait gaiement lors de petites chamailleries entre camarades dans les cours de récréation, ne représentaient rien d’autre que les faces d’une pièce devenue infracassable au fil des années de guerre contre le colon. Ces formules qui nous amusaient beaucoup ne portaient nulle empreinte d’inimité, car toute différence de forme, en termes de vocabulaire, se diluait très vite dans un fond commun que la guerre de libération avait affermi, si l’armée des frontières ne s’en était pas mêlée pour faire souffler ce vent de discorde noirâtre qui ne fait que s’amplifier. Ces petites formules n’avaient rien de malveillant, bien au contraire, avec du recul, elles diffusaient autant de tendresse que de bienveillance, exprimées sous forme de « je t’aime, d’amour et de haine » passionnels entre nos tribus (au sens affectif, bien évidemment).

Fellag en Algérie c’est le reflet de l’Algérie d’il y a 30 ans. Celle de la parenthèse enchantée et de la petite récréation (dixit Hocine Ait Ahmed) arrachée par les jeunes de Bab-El-Oued que le pouvoir avait vite fait de transformer en cauchemar, en légalisant le FIS, le père et le saint esprit auxquels on a confié pour mission d’envahir et de peindre de vert mortuaire les artères d’Alger la blanche, avant d’en verrouiller les accès et enchainer ses habitants en en livrant les verrous au dernier survivant de l’imposture des frontières.

Fellag en Algérie, c’est le symbole d’une Algérie exilée qui revient avec un plein d’énergie pour irriguer ses racines et en dépoussiérer les bourgeons de toutes sortes de scories cumulées en son absence, en aidant le citoyen d’en bas, auquel on a confisqué jusqu’aux moindres repères, à retrouver ses boussoles et mieux distinguer, à travers un œil averti, tout ce qui se trame contre lui !

Fellag en Algérie enfin, c’est le signal que tout le monde attend pour dire stop ! ça suffit ! on arrête de creuser ! il faut remonter maintenant !

Mais est-ce vraiment ce que désirent les guignols au sommet ? Remonter et se mêler au monde qui avance fait-il partie du protocole et de la feuille de route de ceux qui érigent des mosquées et inaugurent des zaouias au sein même de la capitale, la locomotive du pays, pour noyer le peuple et l’entrainer dans des abysses sans fond, hors-desquels on ne sort jamais ?

Fellag, c’est le compagnon de route ou le grand frère que tout algérien rêve d’avoir à ses côtés pour l’aider à traverser les moments de doute, d’hésitation et de tourmente !

Qui d’autre que Fellag a su diagnostiquer les afflictions dont souffrent nos sociétés, et qui d’autre que lui pourrait les soulager, à défaut de pouvoir les soigner pour de bon ?

Profondément imprégné de l’esprit du terroir et des valeurs universelles qui nous ont été transmises par « el-kouffar » et dont il a toujours su faire un mélange de jolis cocktails « khorotovs », Fellag serait accueilli au pays comme une hirondelle qui annonce à elle seule le printemps !

Le terme « el-kouffar », pluriel de « kafer » qui désigne, rappelons-le, tout être humain qui n’a pas la chance de naître musulman, n’est d’ailleurs pas là par hasard, il m’a été susurré par un ami (berbère natif du versant arabophone de Bordj Bou Arreridj, pas fier du tout d’avoir été arabisé par l’islam, comme il se plait à l’assumer), et me ramène à l’anecdote suivante qu’il a vécue tout récemment :

Dans une rame de tramway surchargée, une femme âgée parmi les voyageurs debout essaie, tant bien que mal, de s’accrocher et de résister aux secousses pour ne pas culbuter. Une poignée de jeunes barbus assis l’observent, quasiment amusés par ces mouvements incertains qui la secouent dans tous les sens, sans qu’en aucun d’eux ne se déclenche le réflexe de lui céder la place. Mon ami de BBA, la soixantaine bien entamée se lève et lance un « reyhi ya yemma » bienveillant à son adresse. Notre vieille dame s’assoit et se met à débiter, de façon spontanée, une série d’incantations aux saints et aux Dieux pour que toutes sortes de barakas tombent du Ciel, en guise de remerciements pour un bienfaiteur, lui-même tombé du ciel. Quand elle termine ses envolées, celui-ci assène, à haute et intelligible voix :

– H’na rabawna el-kouffars ya yemma (nous, on a été éduqué par les mécréants, mère) !

Loin de s’en offusquer, la dame surenchérit :- « Ehhh…! Ehhh… ! Ehhh… ! Hadi goulha ou 3awadwa, bach yefahmouha el-fahmines ! » (Ouiiii… ! Ouiiii… ! Ouiii… ! tu peux le dire et le redire pour que comprennent ceux qui peuvent encore comprendre).

-Yaw el-fahmines harbou, ma b’ka gheir koukou3ou f’l’bled (ceux qui ont compris sont partis, il ne reste plus que les cocoricos (terme populaire pour désigner les muezzins, ces hurleurs du matin que Kateb Yacine surnommait « el-klebs douars ») au pays, rajoute un voyageur témoin de la scène !

Une anecdote à la Fellag en somme !

Tout comme la poésie de Lounis Ait Menguellet, l’humour de Mohamed Fellag, bien que s’inspirant des thématiques et des anecdotes du terroir, porte en lui toutes sortes d’empreintes universelles décodables par monsieur tout le monde. Le grand petit-plus de Fellag, c’est qu’il touche aussi bien le public berbérophone que l’arabophone et le francophone, tant il a su combiner les expressions des trois langues pour les faire fusionner en cocktails détonnant d’hilarité. Il y a 20 ans de cela, le hasard de son calendrier l’a fait atterrir à Lannion, une petite ville de la côte de granite rose où nous nous étions installés, quelques années auparavant. Le soir du spectacle, nous débarquons avec une bonne dizaine de collègues et amis, toutes origines confondues. Avant le show, je dois avouer que j’avais beaucoup de mal à refouler quelques appréhensions quant aux réactions et les doses de rire que déclencherait Fellag chez des Bretons beaucoup plus habitués aux escarmouches sarcastiques des guignols de l’info, de Coluche ou de thierry le Luron. J’avais tort de m’en faire, car le lendemain dans nos labos, il n’était question que de sciences humoristiques et du spectacle de Fellag. Un thésard parisien avait résumé la prestation en ces termes : – » En trois décennies de vie passées, je ne me souviens pas avoir ainsi ri aux larmes pendant toute une soirée ! Tu n’as pas le temps de reprendre ton souffle du gag précèdent qu’en voilà un autre qui s’enchaine pour provoquer l’esclaffe en permanence » !  Un régime turbulent de rigolades, jamais amorti, en somme, pour inviter la terminologie de quelques thématiques de l’époque. 

Au-delà des gags qui s’enchaînent et se déchaînent comme les instruments d’une symphonie qui rassemble les accords de Cherif Kheddam, de Baligh Hamdi et de Sébastien Bach pour les combiner et en faire jaillir une harmonie hors pair, il y a dans les spectacles de Fellag, une espèce de symbiose subtile dans laquelle les langues kabyle, arabe et français se mélangent et se retrouvent chacune dans les bras protecteurs des deux autres, le rire en véritable mèche d’implosion pour rassembler les différences !  Ah si telle implosion pouvait s’appliquer et fonctionner partout, de Tamanrasset à Dunkerque, de Casablanca à Bagdad et au-delà jusqu’aux plaines de Sibérie et les déserts du Texas et d’Arabie, il ferait bon vivre partout sur la planète Terre ! Malheureusement, les spectacles servis chaque jour sur le petit écran n’ont rien d’hilarant. Ils démontrent qu’au contraire, l’humanité est au bord de l’explosion fatale qui annoncera son inéluctable extinction. Alors, autant partir hilares, les sketchs de Fellag en ultime hymnes au rire, à la joie, à la mémoire de notre bref passage sur Terre !

Dommage que son retour en Algérie ne se précise pas ! Car nul autre que Fellag ne saurait restituer au p’tit peuple un peu de gaieté, de volonté et de confiance en soi pour le sortir de l’apathie dans laquelle on l’a délibérément plongé !

Et là, nous sortons du cadre de l’humour pour rentrer dans le politique où excellent les clowns Ould Abbes, Ould-Kaddour et autres Tliba, ce poids lourd FLiN-tox qui est à l’homo-sapiens ce que le Sumo japonais est à la fusion nucléaire. Une petite poignée de pitres chargés d’amuser la galerie pour faire oublier la faillite du pays et faire avaler la pilule d’un 5ème mandat qu’ils sont seuls à souhaiter et rêver, pendant que les complices vident les caisses et effectuent des transferts de devises, via toutes sortes de transactions scabreuses pour s’assurer les 20% de butins et autres zakats habituels promis par les cieux pour services rendus !

De quoi stimuler mille et un gags dans la caboche de Mohamed Fellag, si seulement ces agitations sombres et stériles en haut lieu ne présageaient pas d’une regrettable tragédie, encore une, une de plus, une de trop que Aek el-Mali n’hésitera pas à provoquer au nom d’un koursi promis qu’il gardera pour l’éternité, quitte à sacrifier jusqu’au dernier survivant du ghachis !

Conclure en évoquant ces « sanafirs » lugubres des zaouias vous précipite immanquablement dans un état de mélancolie tel qu’on a envie de dire, quitte à tout contredire, s’il te plait Fellag, ne t’en mêle pas !  

Mais pour ne pas terminer sur une note obscure, dans un texte dédié à notre géant de l’humour, et en guise d’addendum enchanté, cette petite anecdote reçue du pays, en espérant qu’elle comblera la petite minute de rire nécessaire pour tous.

Ça se serait passé tout récemment en Allemagne. Une bagarre éclate entre deux jeunes musulmans, l’un shiite et l’autre sunnite. La police intervient et les embarque au commissariat le plus proche. Le commissaire mène l’interrogatoire :

– Racontez-moi tout, pourquoi cette bagarre, dites-moi ?

– Il a insulté Abou-bakr et notre mère Aïcha, répond le sunnite.

– Il a insulté Fatima et Ali, répond le chiite.

– Et ils sont où tous ces gens injuriés, demande le commissaire, ils pourront témoigner aussi !

– Ils sont morts, répondent-ils à l’unisson.

– Morts ? Mais…où sont les corps ?

– Au cimetière !

– Quoi ? vous les avez tous tués et enterrés ?

– Non ! non, Monsieur le commissaire !

– Mais où, quand, comment sont-ils morts alors ? Expliquez-vous bon sang ! tonne l’officier qui commence à perdre patience.

– Ils sont morts, il y a 14 siècles Monsieur le commissaire !

Interloqué, l’officier les dévisage et finit par comprendre, le sourire laissant place à la colère.

– Aaah ouaiii…. j’ai compris….. ne vous inquiétez pas ! On va s’occuper de vous ! Attendez-moi une minute !

Le commissaire sort de la pièce et fait signe à quelques collègues de se rapprocher. À voix basse, il ordonne :

– Eh, les gars ! Réembarquez-moi ces deux pauvres garçons, leur place est dans l’asile psychiatrique ! Ils viennent d’avouer plusieurs meurtres dont un matricide commis il y a …14 siècles ! Et encore, ils n’ont pas tout avoué ! rajoute-t-il, clin d’œil complice en sus.

 

Auteur
Kacem Madani

 




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Le cours du pétrole s’approche des 80 dollars

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Energie

Le cours du pétrole s’approche des 80 dollars

 Les cours du pétrole étaient orientés à la hausse, jeudi en Asie, en raison d’une baisse des réserves américaines de brut et des risques de perturbation de l’offre iranienne et vénézuélienne.

Vers 04H00 GMT, le baril de light sweet crude (WTI), référence américaine du brut, pour livraison en juin, gagnait 24 cents à 71,73 dollars dans les échanges électroniques en Asie.

Le baril de Brent, référence européenne, pour livraison en juillet, prenait 10 cents, à 79,38 dollars.

L’Agence américaine d’information sur l’Energie (EIA) a fait état mercredi pour la semaine qui s’est achevée le 11 mai d’un recul des stocks de brut aux Etats-Unis de 1,4 million de barils mais également d’une très forte baisse des réserves d’essence de 3,8 millions de barils.

La baisse des réserves est interprétée comme le signe d’une plus forte demande au sein de la première économie mondiale.

« Le pétrole grimpe parce que les investisseurs portent leur attention sur le rapport de l’EIA qui a fait état d’une baisse inattendue », a déclaré Stephen Innes, analyste chez OANDA.

« Il est difficile d’imaginer que les prix reculent compte tenu des perturbations au Venezuela et en Iran et de du fait que nous ne sommes pas encore au temps fort de la consommation des automobilistes en juillet. »

Les experts expliquent que les prix demeurent soutenus par le dossier nucléaire iranien et les sanctions américaines contre le troisième producteur de l’Opep.

Les cours sont également portés par les inquiétudes quant à la situation au Venezuela à l’approche des élections du 20 mai qui ont été qualifiées d' »escroquerie » et de « mascarade » par le vice-président Mike Pence.

 




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Le festival international de la caricature se poursuit avec Pat Bagley

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Exposition

Le festival international de la caricature se poursuit avec Pat Bagley

Après avoir publié Guy Badeaux (Bado), dessinateur éditorialiste canadien, le Palestinien Fadi Abou Hassan alias FadiToOn, Ghilas Aïnouche, nous mettons en ligne les caricatures de l’Américain Pat Bagley.

Notre invité du jour, Pat Bagley, dessinateur éditorialiste américain pour le quotidien américain « Salt Lake Tribune ». Très engagé dans ses écrits, Pat est aussi l’auteur de nombreux albums. Son humour corrosif et sa plume qui brocarde sans pitié les puissants de l’heure font de ce dessinateur de presse une voix qui compte. 

Rappelons que le festival de la caricature et du dessin de presse devait se tenir à Oran. Mais les autorités en ont décidé autrement. En bloquant son organisation. Pourtant, une cinquantaine de caricaturistes algériens et étrangers ont donné leur accord pour participer à cette grande première. Pas seulement, ils avaient montré beaucoup d’enthousiasme à venir en Algérie. Alors Le Matin a décidé d’accueillir sur sa modeste plateforme une partie des dessins destinés au Festival d’Oran.

Pat

Pat

Pat

Auteur
La rédaction

 




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Affaire du foncier à Melbou : la population gronde et passe d’armes entre RCD et FFS

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Bejaia

Affaire du foncier à Melbou : la population gronde et passe d’armes entre RCD et FFS

Les citoyens de la station balnéaire Melbou (Bejaia) ont procédé, mardi matin, à la fermeture de la route nationale 43 reliant Bejaia à Jijel, au niveau du pont de Tikhribine. La raison de cette poussée de colère ? Une affaire de foncier.

D’après notre source locale, il s’agit de « Saïd Boukandoul, patron d’un cabaret à même le pont Tikhribine, qui a défié toutes les autorités en squattant des centaines d’hectares appartenant au Service des forêts ».

« Il a agi avec la complicité de la justice qui est aux ordres et certains élus corrompu », a dénoncé haut et fort le député. Notre source nous confirme aussi que ce patron continue tranquillement sa « construction illicite entourée d’un mur de clôture d’un terrain qui n’est forcément pas à lui », indique notre informateur.

Les protestataires, après maintes requêtes, marches et sit-in, sont revenus donc à la charge. Ils ont installé des barricades et des pneus brulès sur la RN 43, paralysant toute circulation routière jusqu’à la corniche. Les protestataires dénoncent ainsi « le silence complice des autorités ».

« Said Boukendoul continue de construire une clôture d’un terrain qui ne lui appartient pas. Les autorités corrompues regardent ! », témoigne un protestataire.

La route n’a été rouverte à la circulation qu’après l’intervention d’un représentant de l’Apw de Bejaia, M. Derguini, venu négocier avec les manifestants. Le maire de Melbou a organisé, mercredi 16 mai, une réunion d’urgence avec la population à la bibliothèque de Melbou, apprend on aussi auprès des responsables locaux.

On évoque localement un bras de fer entre le maire et le député Chafaa Bouaiche ? Le député du FFS Chafaa Bouaiche a beaucoup tiré sur les autorités locales (de tendance RCD) les accusant d’être des «complices» dans cette affaire de foncier. La réponse de ces derniers n’a pas tardé. Sur la page Facebook la « cellule de communication de Melbou » reproche au député de « s’attaquer à l’APC et critiquer sa gestion ».

« Le maire de Melbou m’a reproché le fait d’avoir critiqué son APC dans l’affaire de la dilapidation du foncier par Said Boukandoul. C’était en présence de quelques élus et du wali de Béjaia », infirme Bouaiche. qui ajoute : « J’ai expliqué à Monsieur le Maire que je n’ai à aucun moment parlé de l’APC ni des élus, mais juste de Said Boukandoul qui s’est accaparé des dizaines d’hectares à Melbou ».

Chafaa Bouaiche continue à dévoiler certains faits. Il dit assumer ses publications. « J’ai été choqué par la réponse de M. Benkhalfoune (maire de Melbou NDLR), quant à la question du foncier. Devant le wali, qui lui demande d’ailleurs d’appliquer la loi, il ose déclarer que les terrains en question appartiennent à Said Boukandoul qui détient un certificat de possession (CP). Il dit aussi qu’il n’a pas le droit de passer à la démolition », écrit Chafaa Bouaiche sur son mur Facebook.

Le RCD dément ces propos. M. Boudraa, membre du Rassemblement pour la culture et la démocratie, ayant assisté à la réunion de travail à l’APW, a tenu à démentir les propos du député Chafaa Bouaiche (FFS). D’après ce dernier, l’échange à eu lieu « au premier étage de la wilaya. Etaient présents, Chafaa Bouaiche, Yazid Benkhalfoune ( maire de Melbou) et moi-même, à aucun moment et je dis bien à aucun, le wali n’était présent ni a pris part à cet échange ».

Il continue et tente d’éclairer un tant soit peu les choses. « Le maire avait dit que l’arrêté de démolition est signé et prêt mais seulement pour une partie du mur construit illicitement par Saïd Boukandoul, car l’autre partie de ce même mur dispose d’un CP (certificat de possession) et qu’il faudrait aller en justice pour l’annuler et que ce même CP avait été octroyé par l’ancien maire FFS de la localité ».

Nous notons que lors de l’attribution dudit CP l’APC de Melbou était dirigée par le Front des forces socialistes à sa tête Guendoul Madjid (proche de la famille Boukandoul). Aucune action n’a été menée, à l’époque. Ainsi, pour ce cadre du RCD, c’est l’édile communal de Melbou qui a initié cette opération de démolition.

M. Bouaiche tente de profiter de cette occasion pour gagner du terrain. « Concentrez-vous plutôt sur la dilapidation et le squatt du foncier sur la côte ouest à Saket et Tazeboujt entre autres, relevant de la commune de Bgayet que votre parti dirige, ensuite on pourra discuter du foncier de la wilaya de Bgayet », conseille M. Boudraa à l’attention de Chafaa Bouaiche. 

Auteur
Mounir Outemzabt

 




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L’immobilisme et les balades algéroises de M. Bouteflika

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Tribune

L’immobilisme et les balades algéroises de M. Bouteflika

Le président a trouvé le temps nécessaire d’assurer Mahmoud Abbas, président de l’Autorité palestinienne, en express, de la solidarité de l’Algérie dont il est seul maître à parler illégitimement au nom du peuple. Et les visites dans l’Algérois pour inaugurer une zaouïa et inspecter son joujou, la Grande mosquée d’Alger qui lui assure une paternité dans l’infini, avec des milliards de dollars du trésor national. Quelle chimère !

Mais pour trouver des solutions sociales et politiques aux multiples problèmes qui s’amplifient et enduré par le peuple, il se mure dans un silence de mort. Rien à l’horizon ! Ce qui prouve, qu’il n’a plus les capacités requises pour se maintenir encore à la magistrature suprême.

Entre autres, c’est la situation embarrassante des médecins résidents, qui perdure encore après près de 6 mois de grève et ne trouve toujours pas un règlement salutaire, afin d’apaiser les douleurs maladives de citoyens. En plus d’être tabassés par les contingents policiers recrutés spécialement pour la répression à l’encontre des voix contradictoires, le chef de l’Etat méprise les trouble-fête de ses sournoiseries qui dérangent sa quiétude. 

Autre sérieux mépris pour la chose nationale et l’investissement créateur de richesses. Le blocage du matériel de Cevital au port de Bejaia qui est délaissé moisir, sanctionne l’emploi des milliers de salariés et va à contre-courant à tous les discours tenus jusque-là sur la diversification économique. Il y a dans cette affaire comme une volonté de neutraliser d’abord un capitaine d’industrie qu’est Issad Rebrab et par-là même faire payer à toute une région son irrédentisme anti-système. Le tout alors que la région Ouest d’où sont originaires le président ainsi qu’une grosse partie des ministres, se voit capter tous les projets structurants et industriels. 

Il est un secret de Polichinelle, Issad Rebrab est victime du régionalisme et l’arbitraire politique du clan au pouvoir. Ce blocage inique ne peut avoir comme donneur d’ordre qu’une ponte bien placée en haut lieu. 

La situation est celle que connaît tout Algérien un tant soit peu averti, chaque chancellerie établie à Alger. L’Algérie est plus que jamais paralysée. Le gouvernement ne se réunit plus. Le président ne rencontre presque personne. Ses sorties sont soigneusement préparée, millimétrées et cadrées pour empêcher toute « mauvaise surprise ».

La scène politique est verrouillée, voire minée et polluée par de nombreux obligés dont le rôle se résume à louer les « réalisations » d’un seul homme. Aucune lisibilité économique, aucune vie politique, les institutions stratégiques sont plongées dans une espèce de ronronnement des plus inquiétants. Pendant ce temps, le ban et l’arrière-ban du clan enfument son monde en multipliant déclaration d’intention et  mises en scène. Et comme si le tableau n’était pas assez noir, les tenants du système Bouteflika sont partis en campagne pour un 5e mandat. Renversant !

Auteur
N. Bendifallah

 




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La CGATA dénonce l’acharnement des autorités algériennes contre le CAMRA

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La Confédération générale autonome des travailleurs en Algérie communique

La CGATA dénonce l’acharnement des autorités algériennes contre le CAMRA

Le Bureau exécutif de la CGATA dénonce l’attitude des autorités algériennes qui s’acharnent contre le CAMRA et ses adhérents qui montrent une belle leçon de résistance depuis plusieurs mois face à un appareil répressif.

Les évènements du dimanche 13-05-2018 à Oran ainsi que ceux du 15-05-2018 à Alger qui ont vu la matraque, la fouille, le refoulement dirigés contre des Algériens et des Algériennes nous rappellent les sombres souvenirs ou l’indigène devait montrer patte blanche pour parler.

La CGATA qui vit elle-même la répression organisée se déclare solidaire du CAMRA et ne manquera pas de porter au niveau international le vrai visage de la répression en Algérie contre les organisations syndicales autonomes et les comités autonomes.

Ces évènements nous interpellent d’autant plus qu’il s’agit d’un secteur sensible qui touche la santé de la population. Cela aurait du inciter à l’ouverture d’un dialogue fécond mais force est de constater que la politique suivie a pour conséquence la destruction du secteur public de la santé comme il a pour conséquence à inciter encore plus la jeunesse Algérienne à fuir le pays.

La CGATA considère que la riposte à de telles pratiques doit avoir pour base l’unité pour construire un front anti-répression afin que les forces de sécurité reviennent à leur tâche constitutionnelle, c’est-à-dire protéger la population et non pas lui interdire de porter haut et fort ces revendications.

 

Auteur
Le president: Mr Malaoui Rachid

 




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Djemila Benhabib remet les pendules à l’heure

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Invitée au café littéraire d’Aokas

Djemila Benhabib remet les pendules à l’heure

L’écrivaine et militante Djemila Benhabib, auteure de « Ma vie à contre-coran » et de « Les soldats d’Allah à l’assaut de l’occident » a été invité par les membres du café littéraire de la ville d’Aokas pour une prestation qui s’est déroulée le mardi 15 mai 2018.

Après avoir remercié ceux qui l’ont invitée pour cette prise de parole, elle a mis l’accent sur le fait que le café littéraire de cette ville menait un combat contre tous les totalitarismes de la pensée  unique qui prévaut dans ce pays et a encouragé cette entité à ne pas baisser la garde. Ensuite elle a donné une très belle conférence qui avait pour sujet « l’écriture engagée : pourquoi ? »

Cette rencontre avec le public, venu nombreux pour l’occasion, a permis  à Djemila Benhabib de développer ses propres thèses sur l’engagement concernant la liberté d’expression et la liberté de conscience et en d’expliquant, par l’exemple, les différentes étapes de son parcours personnel. Elle a abordé, bien évidemment, les sujets qui lui ont toujours tenu à cœur : la lutte contre l’islamisme et contre la condition faite aux femmes dans les pays musulmans.

Le débat, houleux à certains moments, a donné lieu à quelques passes d’armes. Des jeunes qui se sont présentés eux-mêmes, comme étant des militants communistes, ont voulu accréditer la thèse de la faute du « seul impérialisme américain dans la naissance et dans la promotion de l’islamisme ». Ce à quoi, la conférencière a pointé le doigt sur Ibn Hanbal, traditionnaliste du IXème siècle, fondateur de l’école hanbalite et sur Ahmed Ibn Taymyya, jurisconsulte islamiste du XIIIème siècle qui a rejeté tout modernisme et plus précisément les influences d’Ibn Arabi et d’Al Ghazali. Sous-entendu, longtemps avant la naissance de l’impérialisme américain. Et la naissance du mouvement égyptien des Frères musulmans, né en réaction à la sécularisation de la Turquie sous la République fondée par Kemal Atatürk, a été également abordée.

L’Algérie et la suite de son expérience depuis son indépendance en 1962 ont également été au centre du débat initié par Djemila Benhabib. « Dans les années 1960, juste après l’indépendance, dopés par la conjoncture internationale, nous avons vécu un moment de tous les espoirs, avec cette conviction profonde que tout était possible, que le développement était  possible, que la construction de l’Etat-nation était possible, que nous méritions nous aussi notre part de bonheur, que nous pouvions construire des projets collectifs, bref il y a eu des expériences extrêmement intéressantes qui faisaient en sorte qu’il y avait une possibilité de développement. Qui dit développement dit culture, dit éducation, dit système de santé. Rappelez-vous quand même que dans ce pays, il y a eu un dynamisme culturel ne serait-ce que dans le domaine du théâtre. Il y avait donc cette expérience de construction mais parallèlement il y avait l’Arabie saoudite avec énormément d’argent. Et cette dernière a déployé ses forces pour tenter de neutraliser ces expériences de développement grâce aux pétrodollars qui coulaient à flots. »

Belle prestation et prestation enrichissante que cette conférence qui devrait servir d’exemple pour, à partir de cette petite ville de la basse Kabylie, se multiplier à travers tout le pays.

    

Auteur
Kamel Bencheikh

 




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Issad Rebrab apporte son soutien à Ali Yahia Abdenour

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Cevital réagit

Issad Rebrab apporte son soutien à Ali Yahia Abdenour

Me Ali Yahia Abdenour, vieux militant de la cause nationale, des droits humains et des causes justes est victime d’un déni de droit.  Une décision arbitraire lui interdit de régulariser la situation de son logement qu’il occupe depuis l’indépendance, au mépris de la loi. Cette même loi qui a permis  à un certain nombre de ses voisins, qui étaient dans le même cas, de régulariser leurs situations en toute légalité.

Ce déni de justice a soulevé l’indignation de la société civile qui s’est spontanément mobilisée pour témoigner de sa solidarité active avec cet homme de principes et de convictions.  

Attachés au respect du droit et de la légalité, le président de Cevital, M. Issad Rebrab, ainsi que l’ensemble des collaborateurs du Groupe :

– se réjouissent de cette réaction citoyenne et  tiennent à saluer l’élan de solidarité enregistré au sein de la société civile,

– se joignent à cette mobilisation contre l’arbitraire et le déni de justice,

– expriment leur soutien total et leur solidarité agissante avec Me Ali Yahia Abdenour, dont le parcours, les sacrifices et le sens de la justice imposent à tous reconnaissance, respect et considération.  

 

 




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