La boxeuse algérienne, Imane Khelif, (63 kg) a été sacrée vice-championne du monde de la catégorie des 63 kg, après sa défaite ce jeudi à Istanbul, en finale des Mondiaux féminins-2022, face à l’Irlandaise Amy Sara Broadhurst sur le score de (5-0).
En décrochant ce titre de vice-championne du monde, Imane Khelif réalise une première, historique, dans les annales de la boxe féminine algérienne, et inscrit son nom en lettres d’or au palmarès du noble art mondial. APS
Chirac aurait dit : Putain 5-0 !
Comme disait Thasa3dit n’Guezgata : Thavrats nParis khir n’lmanda n’ Charleville. Il vaut mieux perdre 5-0 contre une championne du Monde que de gagner une médaille d’or contre la deuxième , yek ?
Mdr a Dda Hend!
Non moi je dirai plutôt qu’il vaut mieux être un chef en enfer qu’un serviteur au paradis. D’après le livre de j. London : les vagabonds du rail.
Tcheers
Salut, Dda Hend et Dda L’ho !… Quand j’étais jeune j’aimais beaucoup la boxe. Je connaissais l’histoire de la boxe et de tous les boxeurs du monde et je ne ratais jamais un combat à la télévision. Depuis l’âge de 40-45 ans, je ne peux plus supporter de voir deux gars essayer de se démanteler la geule sur un ring et je pense que la boxe devrait être interdite. Le « Noble Art » qu’ils l’appellent, mon illustre dérrière !… Et voilà que maintenant les femmes qui s’y mettent elles aussi !… Mais dans le cas de cette boxeuse algérienne je suis plutôt pour. Non pas en tant que boxeuse mais pour ce que ça représente comme symbôle contre la culture machiste et l’islam. Tant qu’il y a des Imane Khelif en Algérie, et de Tiaret encore, l’espoir n’est pas tout à fait mort. Enfin, peut-être pas…
Azul a Kichi. Si seulement tu voit les attaques qu’elles a reçue cette jeune boxeuse dans les commentaires de ces gardiens du temple ! Ils l’ont meme traiter , qu’elle a un loock d’hommes.
Moi je leurs dirai que celui qui a quelque chose contre elle, il n’a qu’à monter au ring et régler l’affaire avec elle en tête à tête.
Tcheers
C’est une héroïne à mes yeux, et ses parents aussi pour l’avoir encouragée ou au moins lui avoir permis de poursuivre cette activité.