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dimanche 6 juillet 2025
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L’Algérie classée comme un pays qui ne respecte pas les conventions du BIT

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La CGTA informe

L’Algérie classée comme un pays qui ne respecte pas les conventions du BIT

La confédération générale autonome des travailleurs en Algérie (CGTA) nous a fait parvenir le communiqué suivant.

Le Bureau exécutif de la CGATA (Confédération générale autonome des travailleurs en Algérie) informe les organisations syndicales et les fédérations syndicales qui y sont affiliées ainsi que leur adhérents et adhérents que pour la troisième fois l’Algérie a été classé parmi la liste des 25 pays qui ne respectent pas les conventions du BIT (Bureau international de travail) et ce pour la troisième fois.

Elle passera devant la commission d’application des normes le vendredi 1er juin 2018.

La CGATA et ses affiliées continueront leur travail pour exiger que le libre exercice du droit syndical soit consacré en Algérie et que les autorités arrêtent de faire des organisations syndicales de simples organisations de masse.

La CGATA exige que, comme le prescrit la constitution algérienne, les conventions et traités internationaux ratifiés par l’Algérie soit supérieure à la loi algérienne et soient aussi respectées dans l’esprit et la lettre. Elle revendique l’instauration d’une instance indépendante qui aura à trancher sur la représentativité des organisations syndicales.

La CGATA exige l’arrêt de la répression contre le mouvement syndical et la politique du clonage et de la division de ce mouvement, comme elle exige que soit pris en compte l’avis des organisations syndicales concernant le projet de code de travail.

Le président de la CGATA

Malaoui Rachid

Auteur
Rachid Malaoui

 




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Le tabagisme tue chaque jour 45 Algériens

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Santé

Le tabagisme tue chaque jour 45 Algériens

À l’occasion de la journée mondiale sans tabac, qui coricide avec le 31 mai de chaque année,  l’Organisation Mondiale de la Santé met l’accent sur le risque cardio-vasculaire induit par la cigarette.

Il suffit d’une cigarette par jour pour mettre notre cœur en danger, mettent en garde les spécialiste, qui précisent que le risque de faire un accident cardio-vasculaire augmente de 48 % chez les hommes, et de 57 % chez les femmes, par rapport à un non fumeur, prévient les spécialistes.

En Algérie, le tabagisme  c’est plus de 15000 morts pars an et une moyenne de 45 décès par jour. Des chiffres qui font froid dans le dos.

Lors de son passage mercredi  à l’émission L’invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne, le président du Conseil national de l’Ordre des médecins, le Dr Mohamed Bekkat  Berkani, a affirmé  que la lutte contre le tabagisme passe par un renforcement de la prévention et une application effective des lois interdisant de fumer dans les espaces publics

«Il faut une application des lois qui existent et des campagnes quotidiennes à travers lesquelles on frappe les imaginations sur les ravages du tabagisme au sein de la société algérienne », a déclaré Dr Berkani. 

Rappelant l’existence d’une loi interdisant de fumer dans l’espace public, il a plaidé pour une application de ces textes, qui sera accompagnée par  une véritable communication dans les médias, qui ont un « grand rôle à jouer » dans la sensibilisation contre le tabagisme. 

«Une journée de lutte contre le tabagisme, ça ne suffit pas : il faut une pression constante, durant toute l’année, contre ceux qui fument déjà et  œuvrer à empêcher surtout les jeunes de commencer à fumer», a-t-il soutenu, défendant des mesures de dissuasion et « une publicité médiatique plus  régulière qui montrerait la dangerosité de s’adonner au tabac qui est source de maladies chroniques.

L’enquête nationale multi-indicateurs, réalisé en 2017 par le ministère de la Santé en coordination avec l’Organisation mondiale de la Santé à Alger (OMS) et l’Office national des statistiques, a révélé que « près de 15% des Algériens âgés entre 18 et 69 ans sont des fumeurs ».

Le tabagisme est à l’origine de 60% du nombre global des types de cancer en Algérie, selon le registre national du cancer qui indique que le cancer de l’appareil respiratoire arrive en tête avec celui de la sphère ORL à hauteur de 42%, suivi de celui de la vessie (28%) et du pancréas (22%).

Auteur
APS

 




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L’espagnol Mediapro enlève à Canal+ les droits télé de football

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Ligue 1 française

L’espagnol Mediapro enlève à Canal+ les droits télé de football

L’espagnol Mediapro, qui a obtenu mardi les principaux droits de retransmission de la Ligue 1 de 2020 à 2024, a confirmé mercredi soir qu’il prévoyait de lancer une chaîne dédiée en France qui sera proposée à la distribution aux autres opérateurs.

Le groupe audiovisuel, qui a pour principal actionnaire un fonds d’investissement chinois, a créé la surprise en raflant les principaux lots mis aux enchères pour la retransmission du championnat français de football, éjectant son diffuseur depuis 1984, Canal+ (Vivendi).

“Le Groupe prévoit de créer une chaîne thématique de football, avec une programmation ininterrompue 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24, qui sera offerte à tous les opérateurs de TV Premium émettant en France”, explique Mediapro dans un communiqué, sa première expression depuis le résultat de l’appel d’offres.

Dans le projet qu’il a remis aux instances du football français, Mediapro avait d’ores et déjà annoncé son intention de créer une chaîne. Mais rien ne l’empêche de revendre une partie de ses droits, comme le permettent pour la première fois les règles de l’appel d’offres, ce qui a suscité des spéculations sur ses réelles intentions dans l’Hexagone.

“Le groupe audiovisuel utilisera son expérience en gestion et en commercialisation de droits audiovisuels au profit de la plus grande compétition du football français afin de produire des contenus du meilleur niveau éditorial”, explique Mediapro, rappelant qu’il dispose d’un siège en France où il opère depuis six ans.

Le groupe, qui est peu connu dans l’Hexagone, tiendra une conférence de presse jeudi après-midi à Paris.

Canal+ et l’opérateur SFR, filiale d’Altice, ont d’ores et déjà fait savoir qu’ils étaient prêts à engager des discussions en vue de distribuer sa chaîne ou de lui racheter certains droits.

 

Auteur
Reuters

 




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Des scorpions de la honte au pays des Pépés

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REBOND

Des scorpions de la honte au pays des Pépés

Les papys occupent le pouvoir dans un pays de jeunes !!!

Je commence par un paragraphe d’un texte que j’ai lu quelque part. Ce paragraphe est adressé aux jeunes qui sont notre espoir !

« Un Sage voit un scorpion se noyer et décide de le tirer de l’eau. Lorsqu’il le fait, le scorpion le pique. Par l’effet de la douleur, le Sage lâche l’animal qui retombe à l’eau. Le Sage tente de le sauver à nouveau et l’animal le pique encore.

Un jeune en train d’observer se rapproche du Sage et lui dit : «Excusez-moi, mais vous êtes têtu ! Ne comprenez-vous pas qu’à chaque fois que vous tenterez de le tirer de l’eau il vous piquera ? »

Le Sage répond : «La nature du scorpion est de piquer et cela ne va pas changer la mienne qui est d’aider. »

Puis à l’aide d’une feuille, il tire le scorpion de l’eau et sauve sa vie, puis s’adressant au jeune, il continue : « Ne change pas ta nature si quelqu’un te fait mal, prends juste des précautions. Les uns poursuivent le bonheur, les autres le créent. Quand la vie te présente mille raisons de pleurer, montre-lui que tu as mille raisons de sourire. Préoccupe-toi plus de ta conscience que de ta réputation. Parce que ta conscience est ce que tu « es », et ta réputation est ce que les autres pensent de toi… Et ce que les autres pensent de toi… c’est leur problème ! »

La classe politique chez nous, ou du moins une partie d’elle, a-t-elle une conscience ? Je réponds à cette question par une question. Qui parmi nous n’a pas regardé au moins une fois dans sa vie un film qui raconte comment les joueurs dans les casinos de Las Vegas réagissent quand l’argent tire à sa fin ? Les joueurs ne veulent pas quitter la machine à sous parce qu’ils espèrent et sont convaincus que la chance va tourner en leur faveur. Hélas ! Chez nous les politiques sont comme des joueurs à Las Vegas. Ils nous racontent n’importe quoi pour rester boulonnés au fauteuil du pouvoir.

La majorité de nos décideurs pépés ont passé au moins les trois quarts de leur vie à nous faire croire qu’ils tombent du ciel pour nous gouverner. Dans le casino politique de chez nous, les jeux sont clairs. Qui gagnent, espèrent gagner plus. Ceux qui ne quittent pas le casino par la force de la mort, espèrent ne pas quitter pour gagner encore plus. Est-ce un mektoub inscrit au septième ciel ou tout simplement une soumission totale aux faits de la colonisabilité comme disait Malek Bennabi ?

La situation actuelle chez nous est une parfaite incarnation d’une crise vécue pendant la révolution, un produit de la colonisation que la colonisabilité a façonné. Il est désagréable de constater que la classe intellectuelle n’a plus de place dans mon pays. Elle est inerte ou passive. Elle a été effacée par le système et le grand Pépé parle en son nom. Le champ est libre pour Pépé. Pépé se dirige vers l’université pour raconter ses délires authentiques à Jil Bouteflika. Pépé commence son discours par le repas universitaire à un dinar vingt. Les frais d’inscriptions et le loyer de la chambre universitaire pas chers du tout. Un refrain d’une vieille chanson chantée avant la mort du premier garde champêtre de Laghouat. Nous sommes d’accord avec le compositeur de cette chansonnette si et seulement si nos universités étaient comme les universités européennes et si les salaires des algériens étaient comparables aux salaires des travailleurs au Danemark ! Tous les Algériens ont écouté une partie du discours de la honte prononcé par Pépé au temple du savoir.

Certains pseudo-intellectuels ont écouté ce discours avec un sérieux hypocrite. A vrai dire ces pseudo-intellectuels sont des faussaires qui usurpent un beau titre pour se mettre au service des larbins. Ils glorifient la bêtise humaine et applaudissent le ridicule pour quelques privilèges. En plus clair, ils pratiquent la contrefaçon intellectuelle pour accéder aux postes. C’est bien dommage les jeunes étudiants des années soixante-dix sont vieux aujourd’hui. Ils regardent le massacre intellectuel dans nos universités et maudissent les délires de monsieur Pépé. Les uns répètent en silence les paroles de Don Diègue de Corneille «Ô rage ! Ô désespoir ! Ô vieillesse ennemie ! ». Les autres, qui ont fait la révolution trop jeunes, mordent leurs lèvres pour expérimenter leur mécontentement et disent « Le combat a cessé faute de combattants courageux. Si jeunesse savait, si vieillesse pouvait. Nous répétons notre révolution, si vieillesse pouvait».

Tout le monde sait que Jil Bouteflika a été éduqué dans une école sinistrée. Une école est malade en ce moment. Les classements internationaux le prouvent jour après jour. Les parents d’élèves le constatent chaque jour et acceptent les résultats. Que se passe-t-il chez nous ? Les responsables d’Éducation nationale ont échoué dans leur mission et leurs reformes. Ils sont inaptes de former des hommes capables de lever le défi technologique. Hélas ! Les hommes formés dans nos écoles sont incapables de transmettre les savoirs les plus élémentaires et les bonnes traditions à nos enfants. Nos enfants jargonnent jusqu’à la folie dans le berceau de l’ignorance. Ils confondent tout. Ils ne savent pas faire la distinction entre la lettre B et la lettre P. Chez nos jeunes déboussolés la ville de Patna en Inde se confond avec Batna des Aurès.

Une fois adultes et universitaires, ils ne maitrisent ni l’arabe, ni le français. Ils ont que de très vagues notions d’histoire. Le grand Pépé profite de leur platitude éducationnelle. C’est ainsi qu’il joue au héros révolutionnaire devant eux. Dans des connaissances d’histoire vagues nos enfants naviguent dans l’incertain et croient que Bouteflika est le cousin du grand Pépé! Ils vont plus loin, ils pensent que ce grand Pépé à aider le colonel Loufti à joindre le maquis. Félicitons les responsables de l’éducation pour la qualité médiocre de leur produit. Le grand Pépé et ses petites poupées ignorent que l’éducation est une force, une arme redoutable de construction massive face à ces forces de destructions aveugles que sont le sous-développement, la misère, le fanatisme, l’obscurantisme, le terrorisme et l’ignorance.

Je continue mon texte par un paragraphe qui explique le titre. Les politiciens de fortune comme le grand Pépé et ceux qui applaudissent ses divagations et lui jettent des fleurs, fuient la vérité comme la peste, car celle-ci met fin à un certain nombre de leurs rêves inconscients et délirants. Ils ont fabriqué un monde sale, pourri, dirigé par des menteurs, des escrocs et des meurtriers ! Ce monde n’est pas le nôtre. L’Algérien était connu par sa fierté, son courage, sa droiture, son honnêteté, sa rébellion contre l’injuste et son cœur clément.

Ce que je dis est une évidence pour tous les Algériens sauf pour certains politiciens trop naïfs qui ferment les yeux et attendent un lendemain florissant dans un pays d’incultes dévasté par l’ignorance et le culte de la personnalité. Ces derniers chantent jusqu’à ce que la désillusion inévitable vienne briser les fantasmes de ces gros menteurs qui jouent les stratèges au pays des Pépés.

L’espérance de changement n’est plus là quand trop de Pépés jouent le rôle de Bouteflika. Pépé nous raconte ses résultats de réussite politique ­­­dans sa boutique en faillite. A la manière de Baudelaire je me permets de dire que le siège du FLN est changé en un cachot humide. Dans ce lieu l’Espérance, comme une chauve-souris, s’en va battant les murs de son aile timide. Elle cherche des hommes pour la libérer du système de Pépé. Elle se cogne la tête à des plafonds pourris…Pourris par les mensonges du grand Pépé. L’entêtement absurde de Pépé et son entourage mal foutu refusent de tenir compte de la réalité. Ils ne réalisent pas que dans leur boutique la politique a atteint le zénith de l’absurdité. Leurs idées archaïques ont ruiné ce système qui roule par la force de la baraka d’une zaouïa gérée par un cheikh venu de nulle part. J’ai entendu un Algérien en visite dans cette zaouïa dire comme Guy de Maupassant « Je sortis, l’esprit en fête, pour aller je ne sais où….je ne sais pas comment je suis arrivé à ce lieu. En ce lieu, ils m’ont dit que pour accéder à un bon poste les candidats doivent fêter ici et montrer leur face lugubre à travers les medias corrompus»

Hélas et milles fois hélas ! Nos mères doivent pleurer et gratter leurs joues jusqu’à ce que le sang jaillisse pour montrer leur désarroi du lundi noir ou la république fut transformée en zaouïa. L’histoire se répète. Nous revivons la période de la zaouïa Vatican les années quatre-vingts. Les habitants de Mostaganem ne peuvent pas dire le contraire.

La vision de Pépé n’est pas lointaine. Elle se fixe sur le portrait de Bouteflika et nous mène droit vers le mur. Personne n’a le courage de faire fin à ce cirque. Dans ce cirque la langue de bois est devenue un programme de développement.

Comme tous les dictateurs, Pépé et son entourage vivent dans la peur de perdre ce qu’ils possèdent. Les possessions sont des choses très concrètes. Des richesses matérielles qui leur donnent un pouvoir absolu dans tous les domaines. Les avantages du système qu’ils défendent hypocritement sont des murailles contre la pauvreté intérieure dans laquelle ils vivent. Ne pensez pas que monsieur Pépé et ses valets sont heureux. Ils vivent dans la peur de leur vide intérieur. Ils vivent l’enfer quand ils pensent au jour de la vérité. Certains honnêtes qui croient encore aux miracles du FLN disent à Pépé, en privé, arrêtes-toi dans ta fuite de toi-même. Ils lui font montrer que tôt ou tard il sera confronté à son propre vide….

La suite de Pépé est longue. Commençons par Monsieur Alech-Mecach. Monsieur Alech-Mecach est un travailliste sans boulot. Depuis 30 ans, sa casquette mal posée sur une tête vide ne défend plus les droits des travailleurs. Elle défend les entrepreneurs nouveaux riches. Ses principes sont inscrits sous son soulier. Ce soulier maudit fut exposé pour la première aux travailleurs algériens. C’est trop tard pour Monsieur Alech-Mecach. La musique soviet n’est plus capable de chatouiller les cœurs des algériens. Après la vente des usines étatiques au dinar symbolique à ses proches, il joue au Zapata au pays des Pépés.

Ecoutez-moi je vous raconte. La première fois où j’ai rencontré ce Zapata c’était aux funérailles de Ridha Malek. Il se dirige vers moi. Il me tend la main et m’embrasse comme si je le connaissais. Profitant de cette rencontre inattendue et bizarre, je lui donne un coup de poing léger au ventre en lui disant « Les syndicalistes dans le monde n’ont pas de ventre….Ils ont le ventre creux et sont minces.». Alech-Mecach réalise qu’il était en erreur et qui ne me connaissait pas. Peut-être il m’a confondu à une autre personne qu’il connaissait. Il me demande à qui ai-je l’honneur ? Je lui chuchote à l’oreille mon nom et ma fonction. Se sentant dans l’embarras, il nous quitte tête baissée. C’est ce type d’homme qui décide à notre place. Alors la fin de la crise que nous vivons n’est pas pour demain. La grandeur d’un syndicaliste se mesure par son indépendance et par sa passion des réalités. Aujourd’hui, Zapata et son entourage ne dénoncent plus les dérives mafieuses. Ils s’en foutent éperdument de la justice sociale. Ils sont incapables d’aider les travailleurs à faire une société travailliste juste, meilleure et humaine. Leur fausseté mélangée au charlatanisme est le principal responsable de la situation lamentable du monde ouvrier. Elle dicte aux travailleurs ce qu’ils doivent penser, aimer ou haïr. Il n’y a pas de syndicaliste dans le clan de Zapata. Il y a tout simplement des esclaves de l’argent et du profit.

Dans cette suite de honte divergente j’ajoute l’élément grec Alpha. Alpha nous dit que les affaires dans le pétrole ressemblent aux massages thaïlandais dans des bains maures marocains. Dans ces affaires un peu mal connues, un Mout-chou (ou Kiyas) mesure la tension dans les marchés pétroliers. C’est ainsi que le pétrole brute algérien va être exporté vers la Sicile pour être raffiné dans une vieille marmite italienne achetée sur une terre gouvernée par les lois de la mafia. Incapable de construire une raffinerie sur sa terre libre, Alpha essaye de nous convaincre que sa marmite italienne fournira une soupe sicilienne pour les algériens. En écoutant Alpha, je regrette d’avoir fait les études de pétrole dans l’Institut Algérien du Pétrole. Cet institut qui reflétait, dans le passé, la fierté algérienne à travers le monde. Hélas on a fermé cet institue et la toile d’araignée norvégienne couvre ses bancs.

En conclusion : En tout état de cause, le grand Maître semble ne plus ménager personne, ni le parti FLN ni le pouvoir dans son ensemble. La Tempête de Shakespeare : Politique, délire et magie frappe notre pays. Dans cette tempête l’intensité de la honte est proportionnelle à la désorganisation des nos dirigeants. Les scorpions de la honte sont partout. Ils nous dirigent et nous mènent droit vers la faillite morale. Ils ont confisqué le pouvoir, transformé la république en principauté de délire. Ils contrôlent nos vies, nos rires et notre économie. Revenons à la raison et chassons les scorpions de la honte la médiocrité et construisons notre pays sur la bonne éducation, la science, la technologie, la prospérité et le bonheur pour nos enfants. Les pépés et leur médiocrité collaboratrice ont ruiné l’avenir de nos enfants. Soyons sages et prions Dieu pour qu’il sauvegarde notre jeunesse et notre cher pays de tous les scorpions !

Auteur
Pr Omar Chaalal

 




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Noureddine Bedoui et la problématique de la gratuité des plages !

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Aménagement du territoire

Noureddine Bedoui et la problématique de la gratuité des plages !

Pour les Algériens, passer une journée à la plage n’est pas forcément synonyme de détente et de lois. Par la force des choses, nos plages sont devenues des espaces rédhibitoires où la saleté le dispute à l’incivisme d’une jeunesse en manque de repères. Elles sont tenues par des « autoproclamés » concessionnaires qui, eux-mêmes, s’en remettent à des « gros bras » pour les gérer.

Les journaux n’ont de cesse de rapporter dans leurs colonnes les appels de détresse des citoyens plumés, au vu et au su de tout le monde, par ces mafieux. Des reportages ont été diffusés à la télévision pour étayer les dires des victimes sans que les auteurs n’aient eu à y répondre ! Ces derniers, jusqu’à la saison estivale passée, ont continué à défier les lois de la République.

Dont notamment, cette instruction  du ministre de l’Intérieur, des collectivités locales et de l’aménagement territorial, Noureddine Bedoui qui consacre pourtant la « gratuité des plages » !

Dans les faits, les squatteurs des plages assurent tirer leur « légitimité »  des maires qui leur ont donné « verbalement » leur quitus pour occuper tout, ou portion d’une plage, louer des parasols et des chaises. Et aussi monter, au pied levé, des aires de stationnement de voitures pour, au final, pomper l’«automobiliste estivant », forcé de payer ou de s’en retourner chez lui !

Au final, une journée de plage coûterait à une famille, mille dinars, au bas mot. A quelques jours du lancement officiel de la saison estivale qui démarre en principe le 1er juin, Noureddine Bedoui, le ministre de l’intérieur, des collectivités locales et de l’aménagement du territoire doit faire face à deux dossiers brûlants, et c’est le moins que l’on puisse dire : les incendies de forêt et la gratuité des plages

Si pour le premier, les choses semblent avoir été prises en main du côté du palais de gouvernement, il n’en est pas de même pour le second, dès lors que les directives adressées aux walis pour « consacrer la liberté d’accès aux plages » n’ont pas été, totalement, mises en œuvre à en croire ce qui a été rapporté par le quotidien El Bilad qui affirme que le ministre a dû en dernier ressort dépêcher des inspecteurs qui ont collaboré « secrètement » avec les services de sécurité pour « libérer ces plages » de l’emprise de la maffia qui dicte sa loi aux estivants !

Depuis des années, l’accès à de nombreuses plages est devenu payant : que ce soit de façon directe à travers la demande de s’acquitter d’un droit d’entrée, ou de façon indirecte en faisant payer toute une panoplie de prestations qui conditionnent, de fait, le droit de s’installer à un emplacement. Des pratiques qui s’opposent à l’accès gratuit à la plage ! Et les écriteaux assurant que l’accès aux plages est gratuit conformément à la loi, font juste office de décor !  

Pour l’heure, on évoque l’éventualité d’annuler le système de concession des plages, une pratique pourtant réglementée mais qui n’a pas porté ses fruits ; un décret en fixe, pourtant, les contours comme suit : « deux tiers de la surface d’une plage peuvent faire l’objet de concession au profit de personnes offrant des prestations de qualité, la partie restante, un (tiers) étant libre d’accès aux estivants ».

Il faut savoir toutefois que depuis plusieurs décennies, les plages du monde entier sont l’enjeu de batailles entre professionnels du tourisme, riverains et associations écologistes.

En Europe, les plages à péage se multiplient ; chaque Etat européen possède son propre modèle, afin d’arbitrer entre le développement touristique et la préservation du littoral et des paysages. Tandis que les zones privées se multiplient un petit peu partout, la Grèce, elle, met en vente certaines de ses plus belles plages. Rien qu’en Italie, le nombre de plages payantes a plus que doublé en  dix ans pour atteindre 12 000 contre 5400 en 2001. Cela correspond à une plage privée tous les 350 m de la côte. Certaines d’entre elles sont de « véritables citadelles clôturées avec des piscines, des salles de gym et des restaurants ». D’autres se contentent d’installer des chaises longues et des parasols qu’on peut louer à la journée pour une vingtaine d’euros. Toutes doivent, cependant, laisser libre une bande de cinq mètres à partir de la mer pour que l’on puisse circuler, mais gare à celui qui voudrait y installer sa serviette : il est interdit de s’arrêter !

Les défenseurs des plages privées estiment que c’est le prix à payer pour avoir un rivage propre, bien entretenu, et sécurisé. Les conceptions françaises et italiennes, par exemple, s’affrontent : qui doit payer pour l’entretien des plages : le contribuable ou l’usager ?      

En Algérie, la question est tranchée : c’est le citoyen lambda qui doit y aller de sa poche ! Celui appartenant à la nomenklatura qui s’adonne au jet-ski au club des pins, Moretti et ailleurs dans notre chère Algérie, n’a pas à se poser ce genre de question « bassement matérielle ».  

Mais parfois le mal est ailleurs ; un concessionnaire affirmant avoir investi des milliards pour installer un espace de jeux sur une plage qu’il louait à la commune à raison d’un million de derniers par saison estivale, se disait victime de squatters qui l’empêchaient de travailler dans la sérénité.

Les collectivités locales peuvent confier à un ou plusieurs sous-traitants, par des conventions d’exploitation, soumises à la concurrence, tout ou partie des activités destinées à répondre aux besoins du service public balnéaire (des lots de plages). Ces activités doivent avoir un rapport direct avec l’exploitation de la plage et être compatibles avec le maintien de l’usage libre et gratuit des plages, les impératifs de préservation des sites et paysages du littoral et des ressources biologiques ainsi qu’avec la vocation des espaces terrestres avoisinants. Elles perçoivent en retour des recettes correspondantes

En théorie, les pouvoirs publics ne ménagent pas leurs efforts pour « démocratiser les espaces maritimes, les plages notamment et permettre à tout le monde d’accéder au loisir gratuit » !

Bon an mal an, les autorités centrales et locales s’attellent à la préparation de la saison estivale :

des dizaines d’établissements publics de wilayas sont mobilisés afin d’aménager les accès et les parkings des plages

des plans de lutte contre les maladies à transmission hydrique sont établis

des plans de circulation routière sont dressés par les services de gendarmerie et police nationales              

En réalité, les choses virent au pire à chaque saison par la faute des « gros bras » maîtres des plages qui imposent leur diktat en taxant, pour tout et rien, les estivants. A ce rythme disait quelqu’un, on payera pour accéder à nos maisons, ou pire encore, pour voir nos enfants !

De ce qui précède, on peut s’autoriser à dire que la gestion du dossier des concessions des plages échappe au contrôle de l’Etat, des ministères de l’intérieur, du tourisme, des 14 walis des wilayas côtières et des Président d’APC en relevant !

Le ramadhan s’achève et les vacances sont proches. Les Algériens vont-ils, par devers-eux, débouler en Tunisie pour pouvoir se baigner tranquillement en famille, sans que leurs femmes ou leurs filles ne soient victimes d’incivilités voire de harcèlement ? Ou se résoudre pour les moins nantis d’entre eux à « barboter » dans ce qu’il nous reste de plages libres ?

Peut-être bien, dès lors qu’en Algérie, on compte quelque 220 plages interdites à la baignade pour cause de pollution et les 2/ 3 restant sont infréquentables pour les familles !

La pollution, oui il faut en parler. Et le ministère de l’environnement et des énergies renouvelables doit, par exemple, se pencher sur le cas de la zone industrielle de Reghaïa où des rejets sont déversés, via le lac, directement dans les plages de Aïn Taya, Kadous et Corso. Des lieux mythiques qui doivent rappeler à notre fringant ministre de l’intérieur, Noureddine Bedoui, son enfance et autant de bons souvenirs ! L’association des « éboueurs de la mer » dont l’aventure a débuté en 1993, à l’initiative de 8 jeunes plongeurs écologistes de Tamentfoust, appelée La Pérouse du temps de la colonisation française, un nom encore utilisé par les algérois, est à encourager voire à être encadrée par Fatma Zohra Zerouati, la ministre de l’environnement et des énergies renouvelables. Tous les moyens doivent être mis  à la disposition de cette association qui doit être déclarée d’«utilité publique » !  

C’est vrai, rien n’est plus comme avant, disent les nostalgiques ! Nos plages sont devenues un espace où il ne fait pas bon vivre.

L’insécurité, c’est le problème majeur malgré les efforts des services qui se plaignent d’un manque d’effectifs. Qu’est-ce qu’ils pourraient faire de plus pour sécuriser ces espaces maritimes ? Patrouiller davantage afin de rassurer les baigneurs et de dissuader les fauteurs de trouble ? Il faut savoir déjà qu’il n’est pas facile de classer socialement la clientèle des plages, d’autant que l’absence de tenue vestimentaire supprime un critère d’identification social important pour l’observateur. A fortiori un gendarme ou un policier.

Et la « chicha », faut-il s’en préoccuper, l’interdire ? Demander aux maires de prendre des arrêtés pour mettre fin à de véritables joutes de fumeries collectives qui empestent l’air, incommodent les enfants et laissent leurs parents décontenancés devant tant de déliquescence morale et d’incivisme ?

Ici, les jeunes fument des « joints » au beau milieu des familles qui n’ont pas le choix. Ces jeunes-là, déjà ne respectent ni les consignes encore moins la couleur du chapeau…qu’il soit vert, orange ou rouge, ils sont dans leurs territoires !

Comment ne pas, dans ces cas-là, avoir une pensée pour le colonel Abdelkrim Nenouche, directeur général de la garde communale, décédé le 2 mai dernier qui ambitionnait de transformer le corps dont il avait la charge en police communale. Pour combattre justement les incivilités décrites supra ! Il est parti malheureusement sans concrétiser son rêve. Dans l’indifférence des pouvoirs publics qui ont « oublié » de rendre hommage au défenseur de la république qu’il était.    

Pour l’heure, le ministre de l’intérieur est, semble-t-il, décidé à faire bouger les lignes. A commencer par les walis des 14 wilayas côtières ! Il faut éradiquer la mafia des plages, leur a-t-il écrit. Tout un programme pour le ministre et ses collaborateurs, qui auront également à se soucier de l’éclosion, ça et là, des « plages islamiques » et ceux qui les organisent pour, disent-ils, « nettoyer les plages du spectacle de la nudité et de la drague ».

La wilaya de Bejaïa, maritime par excellence, est sans wali ! Une opportunité peut-être pour Noureddine Bedoui, le ministre de l’Intérieur, des collectivités locales et de l’aménagement territorial de réfléchir sur le profil idoine de celui qu’il aura à nommer et qui, investi d’un pouvoir de police générale, aura autorité dans tous les domaines où s’exerce l’action de l’État en mer, notamment :

la défense des droits et intérêts nationaux, particulièrement dans les zones sous juridiction algérienne (mer territoriale, zone économique exclusive) ; le maintien de l’ordre public en haute mer et sur les plages publiques ; le secours et la sécurité maritime ; la protection de l’environnement  et la lutte contre les activités illicites en mer (pêche illégale, trafic de stupéfiants, migration clandestine, piraterie…).

Ce « wali maritime », appelons-le ainsi, aura à coordonner l’action en mer des administrations et la mise en œuvre de leurs directives. Et si l’expérience venait à être tentée et aboutirait à des résultats probants, elle pourrait être étendue aux 13 autres wilayas côtières.

C’est à ce prix peut-être que l’on pourrait faire prévaloir l’autorité de l’Etat sur les espaces publics maritimes et partant, faire revivre nos 1200 km de côte y compris la faune et la flore qu’elles recèlent.

Auteur
Cherif Ali

 




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Lounis Aït Menguellet : « La Coupole est mon dernier gala de l’année » (Vidéo)

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Concert à la Coupole le 1er juin

Lounis Aït Menguellet : « La Coupole est mon dernier gala de l’année » (Vidéo)

Lounis Aït Menguellet va donner son dernier concert vendredi 1er juin à 22h à la Coupole du 5-Juillet. Dans cet entretien accordé à BRTV, il revient brièvement sur sa peur permanente de la scène malgré son demi-siècle de chansons. « C’est toujours le trac avant, il me faut me concentrer une heure avant et dès que je finis la première chanson, ça y est », détaille-t-il. 

Modeste, il ajoute qu’il fait la scène pour rencontrer son public, son ambiance. « J’ai atteint un âge où normalement je peux arrêter, mais c’est pour l’ambiance et ces moments de communion avec ceux qui viennent m’écouter qui me poussent à continuer », raconte Aït Menguellet qui ajoute que ce gala est le dernier de l’année. « On va préparer Bercy », ajoute-t-il. En effet, Aït Menguellet sera avec Idir et Allaoua à la mythique salle de Bercy (Paris) le 12 janvier 2019 pour un concert exceptionnel.

 

Les tickets sont disponibles : 
Jeudi 31 mai et vendredi 1 juin à la coupole .

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Auteur
La rédaction

 




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L’UE dénonce les arrestations massives d’opposants en Egypte

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Violations des droits de l’homme

L’UE dénonce les arrestations massives d’opposants en Egypte

L’Union européenne a dénoncé mercredi les arrestations d’opposants et de personnalités de la société civile en Egypte, à la suite de la réélection du président Abdel Fattah al-Sissi.

« Le nombre croissant d’arrestations de défenseurs des droits de l’Homme, de militants politiques et de blogueurs ces dernières semaines en Egypte est une évolution inquiétante », a déploré la porte-parole de la représentante de la diplomatie de l’UE, Federica Mogherini, dans un communiqué.

L’opposant Hazem Abdelazim a été arrêté samedi, quelques jours après le placement en détention préventive du blogueur et journaliste Waël Abbas. Un autre blogueur, accusé de « prôner l’athéisme », Chérif Gaber, ainsi qu’un auteur de vidéos satiriques, Chadi Abouzeid, ont été aussi arrêtés début mai.

« À un moment où l’Egypte cherche à consolider la démocratie et l’Etat de droit, le respect de l’expression pacifique de l’opinion et de la critique est important », a ajouté la porte-parole, Maja Kocijancic.

« La stabilité et la sécurité durables ne peuvent aller de pair qu’avec le plein respect des droits de l’Homme et des libertés fondamentales », a-t-elle souligné. « Les défenseurs des droits fondamentaux et de la démocratie ne doivent pas craindre des représailles. Nous attendons des autorités égyptiennes qu’elles respectent la Constitution et les obligations internationales ».

Au Caire, le ministère des Affaires étrangères a rejeté « totalement » les critiques de l’UE « qui ne reflètent pas la réalité égyptienne ».

« L’Egypte est un Etat de droit » et les Egyptiens y jouissent « de la liberté d’expression et d’opinion », a affirmé le porte-parole du ministère dans un communiqué.

Selon lui, « pas un citoyen en Egypte n’est arrêté ou jugé en raison de ses activités dans le domaine des droits de l’Homme ou pour avoir critiqué le gouvernement, mais pour avoir commis des crimes punissables par la loi ».

M. Sissi doit prêter serment samedi devant le Parlement, deux mois après sa réélection avec plus de 97% des voix. Son régime est régulièrement accusé par les défenseurs des droits de l’Homme de violer les libertés publiques et de museler la presse comme les opposants. Le gouvernement nie ces accusations, et met en avant la lutte contre le « terrorisme ».

Auteur
AFP

 




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Le festival international de la caricature accueille Barrigue

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Exposition

Le festival international de la caricature accueille Barrigue

Après avoir publié Guy Badeaux (Bado), dessinateur éditorialiste canadien, le Palestinien Fadi Abou Hassan alias FadiToOn, Ghilas Aïnouche, l’Américain Pat Bagley, Ahmed Medjani, Djamel Lounis nous mettons en ligne le caricaturiste vaudois Barrigue.

Rappelons que le festival de la caricature et du dessin de presse devait se tenir à Oran. Mais les autorités en ont décidé autrement. En bloquant son organisation. Pourtant, une cinquantaine de caricaturistes algériens et étrangers ont donné leur accord pour participer à cette grande première. Pas seulement, ils avaient montré beaucoup d’enthousiasme à venir en Algérie. Alors Le Matin a décidé d’accueillir sur sa modeste plateforme une partie des dessins destinés au Festival d’Oran. Un autre festival avec huit caricatures algériens est prévue les 7 et 8 juin à Akbou.

Barrigue

Thierry Jean Marie de Barrigue de Montvallon dit Barrigue, né le 7 juillet 1950 en région parisienne. Son premier dessin paraît en 1971 dans la revue de rock Extra. Dessinateur journaliste depuis 1972, il collabore pendant sept ans à une dizaine de magazines, dont Rock&folk, L’Unité, Télérama, Le Point, France-Soir, Le Matin de Paris, Témoignage chrétien et Nouvelle République du Centre-Ouest. En 1975, il fonde l’agence de presse parisienne APEI.

Barrigue déménage ensuite en Suisse romande. Installé dans le canton de Vaud depuis 1979, il se rend célèbre pour ses caricatures dans le quotidien Le Matin et collabore également avec la Télévision Suisse Romande dans l’émission Le Fond de la Corbeille. Il crée avec Burki, les Éditions du Fou du Roi.

En 2008, la collaboration de Barrigue au quotidien Le Matin de Paris cesse. Il crée dans la foulée la revue satirique Vigousse, le petit satirique romand avec Laurent Flutsch et Patrick Nordmann.
Il a publié plusieurs recueils de ses dessins. 
(Information tirée de Wikipedia)

 

 




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Huit caricaturistes exposeront les 7 et 8 juin à Akbou

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Festival national de la caricature

Huit caricaturistes exposeront les 7 et 8 juin à Akbou

L’association culturelle la Summam organise pour les journées du 7 et 8 juin le festival national du dessin de presse et de la satire. Cet événement est une réponse à l‘annulation du festival international annulé à Oran.

Le public pourra ainsi découvrir les expositions de caricaturistes (Azeddine Aliouchouche, Ghilas Aïnnouche, Ahmed Medjani, Djamel Lounis, Karim Bouguemra, Madjid Kemila, Nour El-Yakine Ferhaoui et Samir Sadki). Des animations culturelles, de la musique, du dessin et tag seront aussi de cette manifestation artistique.

En soirée, des conférences-débats seront également au programme. Les caricaturistes vont ainsi témoigner de leur métier, parler de leurs parcours personnels, de leur lien avec le dessin, leurs avis sur la liberté de la presse. Ces interventions seront suivies de débat entre le public.

Par ailleurs, les artistes vont réaliser un travail sur un mur du village qui va rester comme empreinte de leur passage. « Nous avons pensé créer un espace pour cet art, qui est un outil d’information aussi important. L’objectif de l’activité est de donner l’opportunité aux caricaturistes de présenter leurs œuvres, d’en parler mais surtout permettre l’échange autour des thématiques abordées par leurs dessins », explique de l’association. Soyez au rendez-vous.

Akbou

 




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« Le FFS se réjouit de la convergence des analyses » de l’opposition

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L’Instance présidentielle communique

« Le FFS se réjouit de la convergence des analyses » de l’opposition

L’instance présidentielle du FFS a rendu public le communiqué suivant.

« Le FFS a constaté que la position de la classe politique dans son ensemble a évolué d’une façon positive en prônant un dialogue inclusif et consensuel pour faire face aux difficultés grandissantes auxquelles est confronté le pays, rejoignant ainsi le projet de reconstruction d’un consensus national adopté par le FFS lors de son 5ème Congrès en mai 2013.

Le FFS tient à rappeler que son projet a été engagé depuis 2014 par une série d’entretiens avec les partis politiques du pouvoir et de l’opposition, des personnalités politiques et des acteurs de la société civile, qui se poursuivent résolument avec des débats citoyens pour enrichir le projet et élargir les adhésions, encouragé en cela par les progrès réalisés depuis le lancement de cette initiative.

A ce stade, le FFS se réjouit de la convergence des analyses de nos partenaires qui considèrent comme nous que le consensus est la solution car :

– Les problèmes étant multidimensionnels requièrent une approche globale, les questions politiques, économiques, sociales, culturelles et environnementales étant interdépendantes ;

– Les difficultés touchant toutes les catégories de la population et toutes les régions du pays exigent la contribution aussi bien des partis politiques que des représentants de la société civile ;

– Les différends économiques et sociaux ont pour cause première l’orientation politique du système et de ce fait nécessite une approche systémique pour leur règlement.

A présent le FFS est en mesure, comme il s’y est engagé, de partager avec les acteurs concernés, dans un cadre approprié et en temps utile, les résultats de ses échanges, notamment les grands axes politiques, économiques, sociaux, culturels et environnementaux pouvant constituer la base d’une plateforme de consensus national, qui n’exclut pas, dans la mise en œuvre, la compétition entre les partis politiques.

Aujourd’hui plus que jamais, l’Algérie est à un tournant de son développement historique. Avant ou après la prochaine élection présidentielle, seul le rassemblement des énergies que le projet de reconstruction d’un consensus national et populaire vise à promouvoir, permettra d’affronter victorieusement les enjeux et les défis de ce nouveau siècle.

L’Instance Présidentielle

 




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