28 novembre 2024
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Un État pied-noir voit le jour et se cherche un territoire

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Son gouvernement a adressé une lettre à Bouteflika:

Un État pied-noir voit le jour et se cherche un territoire

Le « gouvernement provisoire pied-noir en exil » est né. Il se cherche un territoire pour constituer son État. L’initiative peut sembler farfelue, mais pas en y regardant de plus près!

Sans rire, le nouvel État, « Fédération des deux rives », a déjà son président, en la personne de Pierre Granès, (astrophysicien), rapporte le journal français Midi Libre. Cet État « comprend une assemblée nationale, composée de trente-cinq « députés désignés». Elle est présidée par Christian Schembré, président montpelliérain de l’Association pour la promotion du peuple pied-noir. Son gouvernement est composé de 13 ministres, dirigé par Jacques Villard, cofondateur, en 1973, du « Cercle algérianiste», explique le journal dans un article paru le 29 octobre passé. Ce cercle est connu pour ses idées nostalgiques de l’empire coloniale.

Ce nouvel État est également doté d’un appareil de services secrets et de sécurité et d’une future ambassade qui sera construite sur un terrain de près de 300 hectares acheté à Montpellier. Rien que ça !

Mais poursuivant. « La création de notre État s’appuie sur la Convention de Montevideo du 26 décembre 1933 qui officialise le droit des peuples à se constituer en État. Or, le peuple pied-noir est une réalité de 5 millions d’âmes, dont 1,3 million résidant en France», soutient Jacques Villard.

Cet État ambitionne-t-il de prendre racines en Algérie ? «Si l’État algérien l’accepte, je prends tout de suite l’avion pour Alger ! », explique la même personne. Nous voilà donc avertis.

“Nous leur avons officiellement transmis une demande de rendez-vous afin de présenter notre initiative », tonne sérieusement le cofondateur du Cercle algérianiste, avant de préciser que «la création d’un État pied-noir n’est pas faite pour regarder vers le passé, malgré les années de souffrance et l’exode. Nous regardons devant. Notamment vers deux pays : la France, notre mère patrie, et l’Algérie, notre berceau ». Cela ne vous rappelle rien ?

Auteur
B. Karima

 




Fraude ou anomalie qui dérange ?

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Les momies de Nazca :

Fraude ou anomalie qui dérange ?

«Au cours des deux siècles passés, des chercheurs ont trouvé des os et des artefacts indiquant qu’il existait sur terre, voici plusieurs millions d’années, des populations qui nous ressemblaient étonnamment. Mais l’establishment scientifique a gommé, ignoré ou perdu de vue ces faits extraordinaires. Pourquoi ? Parce qu’ils sont en contradiction avec la thèse qui prévaut aujourd’hui sur les origines de l’humanité, selon laquelle les humains se sont développés au cours des cent mille ans écoulés à partir d’ancêtres à l’aspect plus simiesque ». (L’Histoire secrète de l’espèce humaine).

Au fil des siècles, la science nous a permis d’appréhender les réalités du monde qui nous entoure. Pourtant, aujourd’hui, de nombreux phénomènes demeurent toujours inexpliqués. Dans sa singularité, l’anomalie est définie comme une exception à la règle, un écart par rapport à la norme scientifique établie, ce qui pousse bien souvent, à la rejeter pour une raison ou une autre. Pourtant, c’est grâce aux anomalies que la science a pu avancer et explorer de nouvelles pistes de la connaissance.

Ce désir d’ignorer les anomalies gênantes qui divergent du dogme établi, s’oppose donc à celui de vouloir découvrir et savoir. Cette autocensure à laquelle s’adonne la communauté scientifique s’opère par filtrage des connaissances et par orientations des bailleurs de fonds qui subventionnent ces recherches. Ce tri sélectif des connaissances réfute tout ce qui ne cadre pas avec les dogmes scientifiques en place. Les étudiants, surtout, n’ont pas accès à ces éléments de la recherche qui dérangent notre conception darwiniste du passé.

Les exemples abondent, le cas d’Heinrich Schliemann, ce célèbre archéologue allemand qui, en 1871, découvrit le site antique de Troie. Il était seul à croire que la guerre de Troie décrite par Homère eut vraiment lieu. Les archéologues qui cherchent, aujourd’hui, à prouver l’existence de l’Atlantide sont devenus la risée de leurs pairs. Ou encore, le cas de Virginia Steen-Mackintyre qui, en 1966, découvrit le site d’Hueyatlaco au Mexique, dont elle estima l’âge à 20.000 ans (ce fut déjà très ancien). Mais quand la datation définitive tomba, le site était vieux de 250 000 ans, ce qui ne cadrait pas avec l’âge admis pour la présence de l’homme dans le nouveau continent : «Je n’ai pas compris que cela pouvait compromettre ma carrière » déclara-t-elle. Depuis, le site fut fermé.

 

Reposant, elle-même, sur des anomalies observées, la théorie de l’évolution de Charles Darwin est devenue l’archétype d’une conception scientifique qui s’est hissée au rang de dogme immuable. Ceux qui osent désormais avancer une opinion qui s’en écarte légèrement sont vivement critiqués et mis à l’écart. Les sciences de l’espace ne sont pas en reste par rapport à cet état d’esprit. Ces disciplines sont toujours réticentes s’agissant de l’étude scientifique des OVNI, acronyme d’objets volants non identifiés. Ces phénomènes aériens inexpliqués qui nous renvoient inconsciemment aux « extraterrestres », alors que l’origine extraterrestre ne concernerait en fait que 5% de la phénoménologie observée.

À l’instar des autres disciplines, l’archéologie peine, elle aussi, à sortir de ce moule de pensée. La plupart des scientifiques balisent leurs hypothèses de travail sur des marqueurs fixes, dictés inconsciemment par les dogmes sur lesquels repose leur système d’apprentissage et de recherche. De ce fait, bien souvent, tout ce qui ne cadre pas avec les théories générales sera rejeté, voire ridiculisé et fini dans le fourre-tout des pseudosciences, du paranormal, de la théorie du complot ou carrément du fake (faux). Ce sac où l’on entasse pêle-mêle les fraudes avec les anomalies les plus gênantes, que la science officielle met au « rebut ».

L’histoire de la découverte à Nazca au Pérou fin 2015, de momies humanoïdes tridactyles d’aspect reptilien par des « huaqueros »(pilleurs de tombes), en est l’exemple le plus récent. Autrement, comment expliquer la réticence des institutions scientifiques officielles à s’impliquer sérieusement dans cette affaire ? Cette découverte défie les connaissances établies en archéologie, en paléoanthropologie et en biologie. Elle interpelle la communauté scientifique d’un doigt replié comme celui d’un créancier afin d’en trier le bon grain de l’ivraie.

Située au sud du Pérou, Nazca est mieux connue par ses lignes et ses figures stylisées, découvertes en 1927, elles seraient conçues par la civilisation de las Nazcas ( 300 – 800 av J-C). Leur âge se situerait entre 500 av J-C. et 500 apr J-C. Ces géoglyphes sont inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1994. Ce sont donc plus de 350 figures étalées sur 450 km² de ce plateau de pierres du désert de Nazca. Conçues avec une symétrie et une linéarité qui défient les plus habiles manipulateurs de théodolites numériques à laser. Ces dessins ne peuvent être bien discernées que du ciel. Ces mystérieuses figures représentent, à elles seules, une véritable anomalie archéologique difficile à expliquer. Certains théoriciens du complot les considèrent comme une sorte de balise signalétique d’une civilisation extraterrestre qui aurait subi un crash sur terre. Vient s’ajouter à cela, cette ahurissante découverte de momies.

Pour rappel, cette découverte des momies a été divulguée pour la première fois en 2016, grâce aux efforts du Français Thierry Jamin, explorateur en archéologie et fondateur de l’Institut Inkari Cuzco pour les recherches archéologiques et scientifiques, une O.N.G de droit péruvien. D’autres intervenants ont relayé cette incroyable affaire, comme le journaliste mexicain Jaime Maussan et sa chaîne de télévision tercer milenio (troisième millénaire) et l’Institut américain Gaïa. En dépit du caractère non-conventionnel et atypique de cette découverte, certains médecins et scientifiques ont pris en charge l’examen de ces momies afin de nous éclairer et de briser le mur du silence (a). Des plateformes sociales s’y sont intéressées. Certaines, recherchant la vérité. D’autres, en quête de sensationnel et d’audience. Le reste, carrément sceptique, voire contradictoire.

Ces momies appartiendraient au moins, à trois espèces différentes. L’une d’elles, surnommée Josefina, mesure 58 cm avec six paires de côtes et deux flottantes. Elle porte un implant métallique sous-cutané au niveau du thorax, de nature non précisée et trois œufs au ventre, elle était, vraisemblablement, en gestation. Appartenant à la même espèce, la momie de 60 cm baptisée Albert porte, elle aussi, un intrigant implant à la hanche droite qui semble être biocompatible. On pense que ces implants ont une fonction médicale (prothèses). Ces momies ne présentent qu’un seul os à l’avant-bras et à la jambe, ainsi que trois phalanges à chaque doigt des mains et des pieds. Elles présentent de très petites mandibules qui, à la différence de celles des humains, permettrait plus la déglutition que la mastication. Dépourvues de vertèbres cervicales, leurs cous seraient rétractables, rappelant ceux des tortues. Elles ne partageraient, apparemment, aucun ancêtre commun vivant sur terre. Très anciennes, elles aussi, les petites reliques de 30 cm, baptisés provisoirement URPUS, semblent être retouchées (armadas) et ne correspondent pas, apparemment, à des êtres de nature biologiques.

Josefina et Albert ressemblent bizarrement à un « petit-gris » du film « E.T » (l’extraterrestre) de Steven Spielberg. Celui-ci aurait-il eu accès à une information privilégiée ? Cette ressemblance anatomique avec « ET » n’était pas pour déplaire aux cercles d’ufologie et aux adeptes de l‘Alien Theory (Théorie des anciens astronautes -TAA-), qui soutient une possible intervention extraterrestre chez les peuples primitifs. Ces anciens astronautes auraient aidé nos ancêtres à édifier des mégastructures, comme les pyramides d’Égypte, d’Amérique latine ou encore, ces énigmatiques géoglyphes de Nazca. Ils auraient cohabité avec les humains et auraient même eu un rôle dans la culture et le développement d’au moins une partie de l’humanité. Les registres archéologiques de cette région comme les textiles, la céramique, les pétroglyphes et certains géoglyphes qui font paraître des êtres tridactyles stylisés, semblent aller dans ce sens. Thierry Jamin aurait-il été lui-même intrigué par cet aspect “Alien” de ces momies, au point d‘appeler sa plateforme sociale sur Facebook : Alien Project ?

Une troisième espèce de momie tridactyle de 1,70m, baptisée Maria, présente des doigts de 17 cm de longueur et comportent cinq phalanges(b). Ses bras allongés, s’étendent jusqu’aux genoux. Maria est dépourvue de cloison nasale, d’oreilles, de cheveux (ou de poils) et porte un nombre de vertèbres inférieur à celui de l’homme. Elle présente un crâne macrocéphale(c). Aucune trace de pression mécanique de nature à produire artificiellement cette anomalie, comme chez certaines cultures, n’a été détectée. Cette tête est différente des crânes de Paracas, découverts en 1928 au sud du Pérou par l’archéologue Péruvien Julio Tello.

Visuellement non-humaines, ces momies présentent des différences phénotypiques(d) d’avec l’homo sapiens. Hormis la station bipède et quelques ressemblances d’ordre anatomiques, elles ne partagent aucun trait commun avec l’être humain. Hormis les URPUS, aussi bien l’IRM, les analyses d’ADN que celles du carbone 14 n’indiquent aucune trace de manipulation ou de fraude sur les autres momies. Toutes ces analyses soutiennent, au contraire, qu’il s’agit d’entités biologiques réelles, authentiques avec des caractéristiques biomécaniques cohérentes et très anciennes (de 1000 à et 1700 ans d’ancienneté ) avec une marge d’erreur de 30 ans, dit-on. Ce qui les placerait dans une plage temporelle proche de celle des lignes de Nazca. Tous ces corps sont enfarinés de terre de diatomée, une poudre blanche de phytoplanctons marins fossilisés, dotée d’un pouvoir antifongique et insecticide, à même de préserver les corps par dessèchement. Aucune momie connue à ce jour n’a été conservée moyennant ce procédé.

Il est bon de rappeler que cette affaire fit l’objet d’une première communication animée par Jaime Maussan, lors d’une conférence tenue à Lima le 11/07/2017, où l’on exposa les résultats non-définitifs des analyses de ces momies. La seconde conférence au sujet des analyses financées par Gaïa, eut lieu à Barcelone le 20/09/2017, dans le cadre du Congrès mondial de l’ufologie. La communication nous renvoie à cette -TAA- et dit que l’âge de la momie surnommée Maria a été estimée à 1750 ans d’ancienneté (± 30 ans). Maria semble être une créature hybride avec 30 % d’humain et 70% d’origine inconnue, dont 20% (des 70%) serait d’origine bactérienne. L’IRM n’y a décelé aucune trace de fraude, ce que semble confirmer aussi l’âge et les analyses d’ADN des échantillons des mains et des pieds qui convergent.

La conférence souligne que les anomalies congénitales répertoriées chez l’être humain n’évoquent pas cette variante tridactyle aux mains et aux pieds. De même, on a communiqué au sujet de la momie du bébé tridactyle, baptisée “Wawita” qui porte les mêmes caractéristiques que Maria. Comme hypothèse, cette conférence nous renvoi au dinosaure tridactyle « Troodon », dont le volume crânien était proche de celui de l’être humain. Celui-ci aurait-il évolué à cette espèce de créatures de Nazca ? Une autre piste aurait été scrutée par les scientifiques qui ont examiné les matériaux de Nazca à l’initiative de l’Institut Inkari Cusco, nous renvoie au Velociraptor, un dinosaure plumé. Si ces hypothèses se confirmaient, ces momies ne seraient plus d’origines exogènes, mais c’est très difficile de le prouver.

L’institut Inkari dit n’avoir pas été mis au courant de ces résultats avant leur publication, contrairement à ce qui avait été convenu, ce qui, encore fois, n’a pas été apprécié par Thierry Jamin. Aussi intrigants qu’ils paraissent, ces résultats n’ont pas été cautionnées totalement par Thierry Jamin, jusqu’à confirmation définitive, dit-il. En effet, ce rapport indique que les analyses ont été réalisées sur un échantillon contenant entre 700 et 8.000 paires de bases nucléiques. Alors que le génome humain contient environ 3.2 milliards de paires de bases. Bien que les données soient intéressantes, généraliser les résultats à l’ensemble du génome de Maria est par conséquent « très prématuré », disent-ils. Les certitudes tomberont une fois le génome de Maria ait été totalement séquencéEt concernant le site des trouvailles, mentionné dans cette conférence, Thierry Jamin affirme que cet endroit n’était pas le site principal, qui contiendrait beaucoup plus de matière archéologique que celui-ci. Bien que toutes les parties aient reconnu le mérite de Thierry Jamin dans cette découverte, on a l’impression d’assister, malheureusement, à une course pour la primauté de divulgation des résultats qui va à l’encontre de ce que nous cherchons tous : la vérité, rien que la vérité.

Trois nouvelles momies d’espèce reptilienne ont été présentées cet été par l’Institut Inkari. Elles ressemblent à celles de 2016, baptisées : Joséphina, Albert et Victoria, la momie décapitée, mais qui comptent un nombre de côtes différent. Seraient-elles une nouvelle espèce ou de vulgaires reproductions artisanales non fidèles aux précédentes momies? Une sorte de moulage, voire de vulgaires impression 3D utilisant du matériel ancien, comme l’allèguent certains détracteurs. Totalement impliqué dans cette affaire de momies, Thierry Jamin admet que cette affaire comporte encore de nombreuses zones d’ombre et qu’il reste prudent. l’Institut Inkari promet une grande conférence pour le mois de décembre 2017 à Nazca, où seront exposés les derniers résultats presque définitifs des analyses y compris celles des implants métalliques, d’ici là, on en verra plus clair !

Les détracteurs disent que les momies non-humaines ont été fabriquées de toutes pièces à l‘aide d’ossements provenant de vraies momies humaines et des restes d’animaux. Par contre, la momie baptisée Maria est bien humaine, mais qu’elle a été mutilée. Elle aurait subi une ablation du nez, des oreilles, une partie des mains et des pieds puis rafistolée par rajout d’ossements provenant d’autres momies. Leur support d’analyse est basé sur les « clichés radios » et les scannes qui circulent sur le net et qu’ils jugent, eux-mêmes, de qualité médiocre. Cela ne les a pas empêchés de déceler des anomalies qui, selon eux, sautent aux yeux et qui attestent du caractère frauduleux de toute cette affaire de momies.

Le Pérou est un pays très riche en matière archéologique, on dit que le gros des découvertes y seraient faites par des « huaqueros », relayés plus tard et souvent trop tard par les archéologues qui reçoivent les alertes des autochtones. Beaucoup vivent donc du commerce des anciennes reliques et comme partout ailleurs, la connivence de la haute sphère de la société permet à ce trafic de s’organiser et de prospérer. Désormais, on est plus dans le schéma de « pauvres huaqueros » qui cherchent à gagner leur croûte en vendant leurs trouvailles au premier touriste venu, mais à de véritables négociants en antiquité, organisés et bien informés. Malheureusement, sous le vocable « d’antiquité » on trouve des artefacts qui remontent à des milliers d’années, comme ces momies de Nazca. Il est vrai que les chercheurs de trésors sont capables de tout pour revendre leurs curiosités archéologiques. Ils ne s’empêcheraient pas de recourir à des procédés sophistiqués de contrefaçons qui berneraient le plus averti des collectionneurs et lui mettraient l’eau à la bouche. Mais de là à défier les analyses les plus pointues et perturber les scientifiques comme semblent le faire ces momies de Nazca, la prudence doit être de rigueur.

Dès le début, les autorités péruviennes ont adopté une approche strictement judiciaire vis-à-vis de cette affaire de “découverte de momies de Nazca », et dont ils réfutent, jusqu’a présent, la portée exceptionnelle. Le ministère de la Culture péruvien (MCP) a en effet saisi la justice pour déterminer la véracité de cette histoire et les responsabilités. Ces excavations illégales, dit-il, tombent sous le coup du « délit d’atteinte à des monuments archéologiques ». Le docteur Blanca Alva, de la direction générale de la défense du patrimoine auprès du MCP est allée plus loin encore, en déclarant :” qu’après avoir pris connaissance de ces momies, il est fort probable qu’elles ne soient pas d’origine préhispanique, qu’elles soient un produit récent et par conséquent, il est fort probable qu’elles ne soient pas un patrimoine archéologique.”

Quant à Mr Alberto Alfredo Urbano Jaciento, le chargé des sites archéologiques de Nazca et Papla, il déclare dans son rapport N°010-2017-Arqlo OCN-DDC-Ica/MC, du 22 mars 2017, qu’il n’était pas possible de déterminer le caractère archéologique ou non du site (entre Nazca et Palpa) car on ignore son emplacement exact. De même, qu’il n’était pas possible, par manque d’évidences, de déterminer si les artefacts montrés à travers divers réseaux sociaux sont de nature extraterrestre ou archéologique. (6).

Pour rappel, Thierry Jamin a informé par courrier officiel, le 1 janvier 2017, les autorités compétentes du Pérou de ces trouvailles et insister sur l’urgence d’agir pour vérifier et protéger le site et les artefacts.

Vient s’ajouter à cela un communiqué de celle qui se présente comme « la communauté scientifique nationale et internationale, des experts dans l’étude et la conservation des restes humains (momies et squelettes), concernant la fraude des momies extraterrestres ». Rédigé à Lima, le 10 juillet 201 7 », ce document porte 14 signatures (12 sur d’autres sites) avec mention du numéro de cartes d’identité nationale de chacun. Ce collectif expose, entre autres, son mécontentement à l’encontre de ce qu’il décrit comme une atteinte grave et criminelle au patrimoine culturel péruvien. Ces momies seraient volontairement manipulées, et même mutilées pour obtenir une apparence ad hoc pour un but purement commercial, dit-il. De plus, l’absence de contexte archéologique connexe à ces découvertes va à l’encontre de ce genre de recherches scientifiques. Il exhorte les autorités péruviennes à lancer des poursuites judiciaires à l’encontre de ceux qui ont violé le patrimoine national et porté atteinte à la dignité humaine. Que l’exploitation des momies précolombiennes par ces personnes est une agression et une offense envers la Culture Andine, en faisant croire que ces réalisations sont liées à une prétendue « aide extérieure ». Ce collectif offre ses services d’experts dans le cadre de ces actions, afin de confirmer leurs “affirmations”.

Et pour terminer, l’ufologue Michel Ribardière, eut l’initiative de mettre en ligne une pétition à l’endroit du président Français Emmanuel Macron, sous l’intitulé : protégeons les Découvertes archéologiques de Nasca au Pérou !,  » Il s’agit d’une découverte exceptionnelle qui pourrait changer notre vision du passé et nous apporter de nouveaux éléments de compréhension sur l’histoire de l’humanité. « ,  » Cette pétition appelle l’attention du gouvernement français sur une découverte extraordinaire. Elle vise l’obtention d’une coopération entre gouvernements, le lancement d’études scientifiques et la saisine de l’UNESCO pour la gestion légitime de cette affaire », mentionne le texte. Thierry Jamin, Français d’origine et son équipe, ont jugé donc utile de passer par l’Élysée pour faire bouger « La Casa de Pizarro » au Pérou.

Références :

1- L’Histoire interdite de l’archéologie. Michael Crémo

2- L’Histoire secrète de l’espèce humaine : Michael Cremo et Richard Thompson.

3- Le site d’Alien Project

4- Le site de Gaia.com

5- Le site de Tercer milenio de Jaime Maussan

6- le site vimeo.com (Les émanants )

7- Le site d’IRNA.net

8- Le site : Perú21 (Ministerio de Cultura se pronuncia sobre supuesta ‘momia        extraterrestre).

Les revois : (a) : Dr Jose De La Cruz Rios biologiste, Mexique. Dr Jésus Zalce Benitez docteur et expert en médecin légale, Mexique. Dr R.Salas Alfaro, docteur et spécialiste en scanner, Lima-Pérou Dr Edson Salazar Vivanco, Radiologue-Pérou, ainsi que des spécialistes internationaux: Dr Konstantin Korotkov, PhD, Professeur de Physique à St-Pétersbourg. Dr NATALIA ZALOZNAJA-PHD-,Russia- Directeur de l’Analyse Radiologique. Dr Mk Jessie,Radiologue, Université de Denver-USA.

(b) : l’homme compte 3 phalanges proximale, intermédiaire et distale, à l’exception du pouce qui compte 2 : proximale et distale.

(c) : crâne anormalement allongé.

(d) : L’ensemble des traits observables chez un individu d’une espèce donnée.

Auteur
Mourad Chaalal

 




Saad Hariri, le Premier ministre libanais, démissionne

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Craignant d’être assassiné par le Hezbollah

Saad Hariri, le Premier ministre libanais, démissionne

Le Premier ministre libanais Saad Hariri a annoncé de manière inattendue sa démission samedi en accusant le mouvement armé Hezbollah et son allié iranien de « mainmise » sur le Liban et en disant craindre pour sa vie.

Cette annonce intervient dans un contexte de fortes tensions sur plusieurs dossiers entre les deux poids lourds de la région, l’Arabie saoudite sunnite, qui soutient M. Hariri, et l’Iran chiite, grand allié du Hezbollah.

Des analystes ont mis en garde contre les répercussions de cette démission sur le Liban, petit pays déjà fragilisé par des crises politiques à répétition, des assassinats, des guerres entre Israël et le Hezbollah et le conflit chez son voisin syrien.

« J’annonce ma démission du poste de Premier ministre », a déclaré M. Hariri, actuellement en Arabie saoudite, dans une déclaration retransmise par la chaîne satellitaire Al-Arabiya à capitaux saoudiens.

La démission, qui a pris de court l’ensemble de la classe politique libanaise, intervient un an après la nomination de M. Hariri, et ses causes directes n’étaient pas claires dans l’immédiat.

Le puissant Hezbollah avec lequel M. Hariri est en conflit depuis des années fait partie de son gouvernement.

Le chef de l’Etat Michel Aoun va attendre le retour de M. Hariri pour s’informer auprès de lui « des circonstances de la démission afin de décider de la suite », a indiqué son bureau de presse. 

Une fois la démission acceptée par le président, le gouvernement Hariri gèrera les affaires courantes.

« Etat dans l’Etat » 

M. Hariri, 47 ans, lisait sa déclaration assis derrière un bureau, à côté d’un drapeau libanais.

« J’ai senti ce qui ce tramait dans l’ombre pour viser ma vie », a-t-il dit en soulignant que le Liban vivait une situation similaire à celle qui prévalait avant l’assassinat en 2005 de son père Rafic Hariri, ex-Premier-ministre et opposant au pouvoir à Damas.

Saad Hariri a accusé le régime syrien du meurtre de son père qui a ébranlé le Liban. Cinq membres du Hezbollah ont été mis en cause dans cet assassinat. 

Le Hezbollah est un allié crucial du régime de Bachar al-Assad dans la guerre en Syrie. Il est le seul parti libanais à avoir gardé ses armes après la fin de la guerre civile (1975-1990). 

Bête noire d’Israël, le Hezbollah refuse d’abandonner son arsenal, principale pomme de discorde dans le pays.

« L’Iran a une mainmise sur le destin des pays de la région (…) Le Hezbollah est le bras de l’Iran non seulement au Liban mais également dans les autres pays arabes », a dénoncé M. Hariri.

Il a accusé Téhéran d’avoir « créé un Etat dans l’Etat » et de vouloir « avoir le dernier mot dans les affaires du Liban ».

Et « ces dernières décennies, le Hezbollah a imposé une situation de fait accompli par la force de ses armes », a poursuivi M. Hariri, qui a été déjà Premier ministre de 2009 à 2011.

En 2011, le Hezbollah renverse son premier gouvernement après la démission de ses ministres, poussant M. Hariri à quitter le pays avant d’y revenir en juin 2016.

Le Liban a connu davantage de divisions avec la guerre en Syrie, entre détracteurs et partisans du régime Assad.

« Couper la main » 

Dans une première réaction, le dirigeant druze Walid Joumblatt a laissé entendre que cette démission était une conséquence des tensions entre Ryad et Téhéran.

« Le Liban est trop petit et vulnérable pour supporter le fardeau de cette démission », a-t-il tweeté. « Je continuerai d’appeler à un dialogue entre l’Arabie saoudite et l’Iran ».

Les deux puissances régionales sont farouchement opposés sur des dossiers comme la Syrie, le Yémen et le Liban, où elles soutiennent des camps ennemis.

« Je veux dire à l’Iran et à ses inféodés qu’ils sont perdants dans leur ingérence dans les affaires de la nation arabe », a encore dit M. Hariri. « Notre nation se relèvera et va couper la main qui lui portera préjudice ».

Pour l’analyste Hilal Khashan, professeur en sciences politiques à l’Université américaine de Beyrouth (AUB), « l’Arabie saoudite a exercé de terribles pressions » sur son protégé, en le « convoquant » à Ryad.

« Cela signifie qu’il ne reviendra plus au Liban », dit-il en mettant en garde contre « une guerre froide au Liban qui pourrait dégénérer en guerre interne » et même en une « escalade » contre le Hezbollah.

Sur les réseaux sociaux, des sympathisants de M. Hariri ont lancé le hashtag en arabe #Noussommestousavectoi.

Mais la décision était également très critiquée, des internautes réprouvant le fait qu’il ait annoncé sa démission à l’étranger et le qualifiant de « marionnette » saoudienne.
 

Auteur
AFP

 




« Tazemmurt tcudd s akal-is » ou l’indicible histoire de l’insurrection de 1871

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Roman

« Tazemmurt tcudd s akal-is » ou l’indicible histoire de l’insurrection de 1871

Belkacem Meghzouchene vient de publier Tazemmurt tcudd s akal-is aux éditions Achab.

Le jeune auteur vient de signer là un roman épique en langue kabyle. « Tazemmurt tcudd s akal-is » (L’olivier ancré à sa terre) est un roman historique qui relate la formidable insurrection de 1871 en Kabylie. Belkacem Meghzouchene a voulu rappelé la violence inouïe qui a caractérisé la répression de cette insurrection considérée comme la dernière après la conquête de l’Algérie.

« Les Algériens ont cru le moment propice pour prendre les armes, dérisoires fussent-elles, contre l’occupation coloniale, profitant de la débâcle française contre les Prussiens. Trois colonnes militaires avaient été mobilisées pour avorter l’insurrection dans l’œuf, sous la houlette des généraux Saussier, Lallemand et Cérez. Du côté algérien, les Mokrani des Béni Abbas lancèrent les premiers assauts dans les Bibans, joints plus tard par Cheikh Aheddad et ses deux fils Mohand et Aziz dans la vallée de la Soummam, et Ali Oukaci dans le versant nord du Djurdjura. Mohamed El Moqrani sera tué trois mois après dans Ouled Souflet, et son frère Boumezrag prit la relève », nous a confié l’auteur. Comme le rappelle le jeune romancier, les forces armées coloniales ont répondu avec une brutalité primaire pour faire toute volonté de révolte des Algériens.

Viols, exécutions sommaires, déportations, incendies des récoltes et champs, destruction des villages,… La Kabylie vécut sous la loi du fer et du feu. 

En dépit de leur grand courage, les révoltés kabyles ne faisaient pas le poids devant l’armada militaire des maréchaux français. Ils se résignèrent alors sous le rouleau compresseur de l’armée française à déposer les armes. Durant l’été 1871, les Aheddad et Oukaci et autres chefs se rendirent.

Traduits devant les cours d’assises de Constantine en 1873, les jugements furent déportations en Nouvelle Calédonie. Néanmoins, Cheikh Aheddad, octogénaire mourut à la prison de Koudia à Cirta. Ses deux fils, eux, sont déportés.

Plusieurs dizaines de chefs qui ne revirent, pour certains d’entre eux, jamais le pays natal que ce roman raconte. Plusieurs réussirent à s’évader de Nouméa. D’autres y moururent. Les plus chanceux bénéficièrent d’une amnistie vingt ans après la déportation et l’arrachement à leur terre. C’est ce long chant d’exil que le romancier nous raconte dans ce livre.

« J’ai soulevé dans le roman les divergences entre Cheikh Aheddad et Cheikh Mohand Oulhocine. Ce dernier s’opposa à la révolte sans en avoir assez de moyens pour tenir tête et balle à la France. « Comment un lézard peut-il défier un monstre », s’indignait le saint poète de Michelet. Cheikh Aheddad le médisait, par représailles », explique Belkacem Meghzouchene.

Tazemmurt tcudd s akal-is est un roman écrit avec cœur. Il donne une photographie de l’innommable misère qui a suivi la colonisation sur les montagnes kabyle.

L. R.

Bio de Belkacem Meghzouchene

Né le 18 octobre 1979 à Aït Hamsi (Ain El Hammam, T.O.)

Diplômé de l’USTHB en génétique et biochimie moléculaires.

Œuvres publiées:

2010: roman en anglais: « Sophia in the White City », Éditions l’Odyssée, Tizi Ouzou

2013: roman en anglais: « The overcoat of Virginia », Éditions Édilivre, France.

2013: recueil de poèmes en anglais:  » Rafflesia », Éditions Édilivre, France.

2016: roman en arabe: » المحروسة لا تشبه غرناطة « (Casbah ne ressemble pas à Grenade), Éditions Dar El Qods , Oran

2017: roman en tamazight: « Tazemmurt tcudd s akal-is », Éditions Achab, Tizi Ouzou.

 

 

Auteur
La rédaction

 




Le cinéaste Mahmoud Zemmouri est mort

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Cinéma

Le cinéaste Mahmoud Zemmouri est mort

L’acteur, réalisateur et scénariste algérien Mahmoud Zemmouri est décédé ce samedi dans un hôpital à Paris, rapporte l’APS citant le président de l’Association Lumières, Amar Rabia.

Le cinéaste a notamment réalisé Prends 10 000 balles et casse-toi (1981), Les folles années du twist (1986), De Hollywood à Tamanrasset (1991), 100% arabica (1997), Beur, blanc, rouge (2006), Imarat El-Hadj Lakhdar, (série télévisée comique, 2007, 2008, 2009) et Certifié Hallal (2015). Le cinéaste était connu pour ses films haut en couleurs. Dans ce dernier film porté par la séduisante Hafsia Harzi, Mahmoud Zemmouri a plongé dans l’enfer des mariages arrangés.

Mahmoud Zemmouri est né le 2 décembre 1946 à Boufarik dans la wilaya de Blida.

Le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, a présenté ce matin ses condoléances à la famille du défunt qu’ainsi qu’à sa famille artistique et le monde de la culture suite à cette cruelle perte pour le cinéma algérien.

Auteur
APS

 




Appel désespéré de Mohamed Baba Nadjar

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En grève de la faim depuis le 19 septembre

Appel désespéré de Mohamed Baba Nadjar

Dans un message désespéré, le jeune prisonnier Baba Nedjar en appelle à le sortir de cette injustice ».

« Je m’adresse à vous, honorables personnes, pour me sauver de cette injustice dont je souffre depuis mon incarcération arbitraire en 2005 pour homicide volontaire avec préméditation sur une personne que je ne connais ni de près ni de loin, laissant en liberté les véritables coupables », écrit le jeune Mozabite et rapporté par son avocat Salah Dabouz.

Baba Nedjar croupit en prison depuis 2005. Il a été jugé en première instance par le tribunal de Ghardaia en 2006 pour le meurtre par immolation de Bazzine Brahim, chef de la section locale du Croissant-Rouge algérien. Rejugé une deuxième fois en 2009 par le tribunal criminel de Médéa, il a été condamné à perpétuité. Un acte que Mohamed Baba Nedjar a toujours nié. Au juge qui l’interrogeait sur ce soir de crime du 22 octobre 2005, Baba Nedjar a affirmé que le soir où la victime a été tuée, il était chez son oncle qui l’avait invité à rompre le jeûne et passer la soirée du Ramadhan en compagnie de la famille. Les témoignages apportés par son oncle, son père, et d’un ami confirment cet argument. En vain.

Outre Baba Nedjar, Touati Merzoug, blogueur est lui aussi en grève de la faim.

Auteur
La rédaction

 




A comme Algérie (23)

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L’OMS et les vaccins

A comme Algérie (23)

V comme vaccin (II)

Le vaccin a de beaux jours  devant lui comme tout produit destiné à la masse. On parle de 50 vaccins  à l’étude contre l’asthme, la diarrhée du voyageur, certains cancers, des toxicomanies, l’ulcère d’estomac, l’hypertension, la carie dentaire, le sida …(Groupe suisse)  Pourquoi  pas un vaccin contre la peur ? Parce que c’est la peur qui pousse un parent à vacciner son enfant et la peur qui l’oblige à faire le contraire. Et au fond de lui-même, il lui arrive, comme le Groupe d’experts, de se demander si ces vaccinations massives et précoces ne sont  pas responsables de l’inquiétante augmentation des autres maladies.  Des maladies infectieuses, on est passé aux « maladies évitables par les vaccinations ». Et les princes régnants du trust pharmaceutique, comme les nomme Jean Ziegler dans l’Empire de la Honte, s’attribuent  des salaires jusqu’à deux chiffres de millions d’euros / an.  Alors que la malaria, qui est la maladie la plus répandue dans l’hémisphère sud, n’était pas concernée puisqu’elle touche une population pauvre, non solvable.  Il a fallu l’hostilité de plus en plus grande de l’hémisphère nord envers les vaccins, pour  que les princes se souviennent du continent maudit qu’est l’Afrique avec ses habitants pauvres et malades  végétant au-dessus d’un sous-sol riche qui assure leur solvabilité. L’OMS est là pour  les recommandations, ânonnent  les ministres de la Santé.  Mais cette Organisation a changé, nous ne sommes plus dans les années 70 où elle faisait de la prévention, se souciait  de l’environnement, réagissait aux besoins non à l’offre. Ses finances venaient des contribuables, les contribuables. De nos jours, elle a d’autres maitres. Privatisée à 80 % et comme toute démocratie qui se respecte, les 20 % étatiques obéissent à la majorité. Lors du fiasco du vaccin AH1N1, Le Point.fr va jusqu’à s’interroger : « L’OMS dans les griffes des lobbyistes ? »  L’UE a parlé de graves lacunes et conflits d’intérêts. D’après Wikipédia,  «selon sa constitution l’OMS a pour objectif d’amener tous les peuples du monde au niveau de santé le plus élevé possible, la santé étant définie…comme un  «état de complet bien-être physique, mental et social et ne consistant pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. »  Paroles de son directeur général, l’Ethiopien Tedros Adhanom qui a commencé par choisir,  Mugabe comme  ambassadeur de bonne volonté de l’OMS. Dictateur, depuis 1980, du Zimbabwe, la Bonne Volonté de l’OMS se soigne à l’étranger ainsi que toute sa famille. Tandis que le S.G. de l’OMS, du temps où il était ministre de la Santé de l’Ethiopie, dissimulait des épidémies  de choléra qui ont causé plusieurs centaines de morts, d’après le New York Times.

La Régence, qui va se soigner à l’étranger, douée aussi  pour dissimuler les épidémies de choléra, a donc de fortes chances de gérer, un jour, l’OMS qui est pour la santé ce que la FIFA est au sport-roi. Ce n’est pas facile de reconnaitre  une épidémie de choléra quand on est ministre de la Santé. Avec entrain  Wikipédia précise d’où vient l’argent de l’OMS : « Financements : …en partenariat avec 80 groupes (ONG, industries pharmaceutiques et fondations caritatives telles que la Fondation Bill-et-Melinda-Gates et la Fondation Rockefeller.) » Bill Gates est le principal bienfaiteur de l’OMS et  d’après Le Point.fr, l’un des plus grands promoteurs des OGM dans le monde.  En janvier 2005, Bill Gates a donné 750 millions à une organisation qui lutte pour la vaccination la GAVI où on retrouve des laboratoires pharmaceutiques, l’OMS, l’Unicef..  

Margaret Chan, deux fois élue à la tête de cette Organisation confirme : « les pratiques financières actuelles font de l’OMS une organisation fondée sur les ressources et non sur les résultats. L’argent dicte ce qui est accompli. » Bien placée pour recommander la vaccination obligatoire et massive à son pays, la Chine. Et c’est un tribunal chinois qui condamne  GSK à payer une amende de 378 millions d’euros pour avoir versé 388 millions de pots-de-vin à des médecins et officiels chinois (Challenges.fr).  Pourquoi corrompre pour vendre un produit qui va sauver un pays dont la politique est l’”enfant unique” ? Ghislaine Lanctôt, parle d’un système de maladie et non de santé : « En remontant l’échelle hiérarchique du pouvoir décisionnel de la médecine, on trouve, tout en haut, Dr Rockefeller : les banquiers mondiaux propriétaires des multinationales pharmaceutiques et technologiques…qui exigent des profits à n’importe quel prix …en utilisant l’OMS comme paravent. » Donc c’est l’argent, non la santé  qui fait courir les « vaccinateurs » y compris en Algérie où les hôpitaux algériens les plus fiables  se trouvent en France. On l’a compris, si cette dernière boude le gaz de schiste, les OGM de Monsanto, et les vaccins combinés Windows -Gates, tout ce bazar à la Dracula  se retrouve tranquille chez les ex indigènes qui ne se sont même pas débarrassés des maladies moyenâgeuses. En enquêtant sur  la générosité de Bill Gates qui est partenaire en Afrique avec Monsanto, la sociologue McGoey de l’université de l’Essex déclare : « Honnêtement, je ne peux évaluer les bienfaits qu’ils ont apportés (le couple Gates) et c’est ça qui est effrayant ». Dans la revue médicale The Lancet, des chercheurs affirment n’avoir pas réussi à voir plus clair. Les faits leur donnent raison puisque depuis 16ans que le couple Monsanto-Gates est en Afrique et malgré leur générosité par millions, le continent est plus malade plus affamé et plus instable qu’avant. Pourtant, la Fondation Gates possède 1,5  milliard d’actions des laboratoires qui détiennent tous les brevets des molécules essentielles. Sans oublier les 23 millions de dollars d’action (2010) de Monsanto, des actions dans l’industrie des armes, de la finance, du pétrole, … (6)

Le Gardian et Novethic citant les travaux de Grain.org, une ONG pour une agriculture respectueuse de la biodiversité, nous démontrent  pourquoi Bill Gates est à Mère Theresa  ce que l’aspartame est au miel bio.  Le 1e  groupe qui bénéficie le plus de la Fondation  Gates ce sont des organismes internationaux :  BM (Banque mondiale) , l’AGRA (Alliance pour une Révolution Verte en Afrique, inspirée par l’ancien Secrétaire général de l’ONU, Kofi  Annan,  et financée par la Fondation Gates et Fondation Rockefeller),  l’AATF (Association des Administrateurs Territoriaux de France)  et  CGIAR ( Groupe consultatif pour la recherche agricole internationale) fondé par la BM et qui a fait la Révolution verte en Asie. Que du beau monde !

Le 2e, groupe bénéficiaire de « Saint-Bill » ce sont des organisations de laboratoires et d’entreprises à 80 %  basées aux USA et en Europe, à peine 10 % en Afrique.

 Selon Grain.org, la Fondation est pyramidale : le chef et les autres. Sans surprise, les agriculteurs africains clôturent la chaîne. Ils ont les mêmes  revendications que leurs homologues algériens et ukrainiens : plus de moyens scientifiques et plus d’union. Tel un rêve Monsanto : espace et pesticides sans limite. La Fondation  expérimente même sur place un vaccin contre le sida, l’Ebola, la malaria… au point où l’Afrique inaugure le faux carnet de vaccinations (7).  Quel traumatisme ont subi les mères africaines  pour éviter le vaccin à leurs bébés, cadeau de l’Oncle Bill. Nous sommes dans la case des sous-humains, en cas de problème à quel tribunal s’adresser ? Big Pharma  est tenu par 4 noms : (le français Sanofi, l’anglais GSK,  Pfizer et Eli Lilly USA)  avec des études scientifiques financées principalement par FDA (Agence américaine des produits alimentaires et des médicaments).  Même le président Trump, caméléon dans ses convictions, reste constant dans son hostilité aux vaccins et aussi impuissant que Mr tout le monde : « Dans ma jeunesse, l’autisme n’était vraiment pas un problème. Et maintenant tout à coup, nous avons affaire à une pandémie. » Aux USA, une mère a plus de chance d’avoir un enfant autiste qu’un génie puisque la probabilité de ce dernier est de 1/50 et pour  le premier, 1/45. Durant la campagne présidentielle,  madame Trump a déclaré : « Vaccinez vos enfants, disent-ils. C’est absolument sans danger. Le seul problème c’est que ces « ILS » ne font pas vacciner leurs propres enfants. »  (8)  Qui mieux qu’elle peut le savoir…  Qui sont les provaccins et les antivaccins ? D’après les mass-médias, les premiers sont des experts qui ont à cœur de préserver  l’espèce humaine, les seconds de dangereux « complotistes » qui veulent son extermination.  La France, championne du vaccin obligatoire, habituée aux scandales médicaux, ne  trouve pas plus de 200 médecins pour un appel à la vaccination. Elle aurait pu puiser dans le lot des migrants. D’après  l’Ordre de  la République, de 2010 à 2017 seulement, l’Algérie lui  a fourni 4800 toubibs. Signalons que les signataires de l’appel pro-vaccin sont tous de hauts fonctionnaires du ministère de la Santé, d’éminents scientifiques, des chercheurs  des laboratoires, des directeurs d’hôpitaux et des experts que les medias s’arrachent.  Quelle ingratitude quand on estime qu’une marque médicale peut payer en nature, pour un seul médicament, 1,5 million d’euros pour convaincre les assermentés d’Hippocrate français. Un vaccin pour une  maladie lui rapporte pas moins de 1,5 milliard d’euros /an en France. En comparaison, le porte-étendard des anti vaccins, le professeur  Henri Joyeux, radié depuis 2016,  recueille 1,5 million de signatures dans sa lettre au Président français et à la ministre de la Santé pour dénoncer une vaccination obligatoire insensée. Les autres pays se montrent plus prudents et plus efficaces politiquement parlant. La Suisse préfère recommander et ses laboratoires offrent la possibilité aux chercheurs français  d’analyser la dangerosité d’un vaccin.  Sous la pression populaire, la Suède  a interdit les vaccins obligatoires les jugeant anticonstitutionnels. Le Japon n’a pas hésité à interdire le Gardasil, le fameux vaccin contre le cancer de l’utérus qui a détruit  la vie de dizaines de milliers de jeunes filles…

En Belgique,  où certains politiciens n’ont pas trouvé mieux que de conseiller aux garçons ce vaccin qui contient de la mort-aux-rats (le borax) , un seul  vaccin est obligatoire celui de la polio.  En Chine, on a vu comment le géant britannique GSK s’y est pris. Quant à la Russie, c’est le méchant Oncle Sam qui joue au Père Noël. « Faites l’amour, mais pas la guerre » est devenu faites le commerce et feignez de faire la guerre. C’est les USA qui ont financé le programme de vaccination de la Russie contre l’hépatite B. La Russie se montre meilleure élève que la Chine et plus chanceuse que la France : 11 vaccins obligatoires dans le secret et ose les nanoparticules (Nanotech). Nous sommes carrément dans la 5eme dimension.  Poutine est vraiment sous le coup de foudre et l’Association des pédiatres russes le pousse à sanctionner les parents récalcitrants…  Et dire qu’avant que les deux médecines ne s’acoquinent, les déçus de la médecine occidentale allaient en Chine, aux Indes, au Japon, à Cuba, en Russie…pour une médecine plus humaine. Grosso modo, le vaccin c’est mourir de cancer pas du tétanos, mourir du diabète pas de la tuberculose, mourir de la pollution pas de la polio, mourir dans un attentat non de la grippe, mourir du cancer du sein pas de celui du col de l’utérus, mourir de la prostate, non de l’Hépatite B, mourir du chômage pas de la fièvre jaune, mourir de malbouffe, pas du cholera, mourir de mal-vie, pas du « mal-vacciné ».  Au point où l’Algérie effondrée direction l’enfer, parole officielle,  se rappelle au bon souvenir du vaccin. Hier, l’argent coulait à flots et dans les  journaux on parlait de bébés morts par manque de vaccin. Pour les parents chanceux d’atteindre l’élixir, la  chaine dés l’aube, le carnet fourni à l’avance et encore mieux,  un petit  piston par-ci par-là. On était convaincu,  pas de vaccin, pas de vie pour le nouveau-né.   De nos jours, pas de flouss, mais la baraka vaccinale est assurée à l’avance.  Seulement les géniteurs  voient ce qui se passe en France et en Europe, ils ont peur que leurs  rejetons  remontent fissa au Paradis à la suite d’une « overdose » halal. Telles les « vierges sacrifiées » au vaccin du col de l’utérus ( Gardasil), en Occident. L’Etat évoque le complot comme l’Etat Kenyan au sujet du vaccin contre le tétanos qui provoque des fausses couches. De guerre lasse, on peut ânonner bêtement : à qui profite le crime ? A la maladie ou au vaccin qui la bloque/ débloque ?  L’OMS  insiste pour vendre le « miracle » et le pays, au bord de l’enfer, a les millions d’euros pour soulager sa conscience avant même de lancer la planche à billets pour payer les fonctionnaires. L’Algérie qui a laissé son système de santé s’effondrer avant elle, promet d’assurer  la vaccination de tous les bambins  avant la fin de l’année avec la bénédiction de l’Organisation.  Quand on voit les sociétés primitives vivant en symbiose avec la nature, minces, musclés, en bonne santé, ignorant tout d’Hippocrate,  on voit le miracle au naturel. Contrairement au miracle scientifique qu’il  faut imaginer avec notre obésité, notre diabète, notre tension, notre cancer, nos antidépresseurs, notre pollution et  notre hantise perpétuelle de tout et de rien.

Alger suit Paris qui a un président, ex-banquier et  une  ministre de la Santé, ex employée des laboratoires  pharmaceutiques.

Sultane et suivante.  Comme d’habitude,  la campagne française de vaccination semble bien impliquée.  En Algérie,  pot-de-vin ou pas, caisse vide ou pas, il y a la grotte d’Ali Baba du sous-sol, vaccin contre or ;  il y en a de toutes les couleurs. Comme le mercure dont il raffole, le précieux métal  a tendance à empoisonner son nid avant de s’envoler.  Et le ministre n’a pas trouvé mieux que d’accuser les directeurs d’écoles d’avoir semé la suspicion en exigeant la signature parentale. Comme si on était en Finlande où le directeur et les parents à eux seuls forment un ministère de l’Education. De là à former celui de la Santé, c’est une autre affaire. Cet acharnement booste le doute et en Occident,  cette fuite vers les indemnisations sous la pression populaire, affole.  Au Canada, un tribunal accorde 61 millions de dollars pour indemniser un enfant victime. En Italie, un tribunal indemnise à vie un enfant autiste à la suite du vaccin Infanrix hexa etc.

 Aux  USA, 142 millions de dollars à débourser pour l’Administration des Ressources et des Services de Santé pour la seule demi-année fiscale de 2017. On estime que le gouvernement américain a versé près de 3,6 milliards de dollars pour les victimes «… à partir de 2017, il y a eu au moins 63000 enfants dont la santé aurait été endommagée par les vaccins en  Amérique. Mais les médias insisteront sur les 48 enfants qui ont eu la rougeole au Michigan (9)). On estime le nombre des victimes  100 à 1000 plus important. Les causes :-  le médecin fait généralement le nécessaire  pour décourager les parents-  S’ils ont l’argent pour l’avocat, ils doivent attendre de 2 à 10 ans la décision du « tribunal spéciale »- Les effets néfastes de la vaccination peuvent mettre plusieurs années à se manifester- le rejet de la requête…En Italie, après 25 ans, une victime a réussi à se faire indemniser…  Lors du fiasco du vaccin AH1N1,  un journaliste français demande à une Mme tout le monde pourquoi  elle a refusé  de se faire vacciner. Réponse : « J’ai demandé à mon médecin de famille s’il s’était  vacciné ;  il m’a répondu non ». Les toubibs profitent et  boudent le vilain petit vaccin. Pourtant, il suffit  de vacciner enfants et petits-enfants des dirigeants politiques et médicaux en direct à la télé  sous l’œil d’un huissier assermenté pour résoudre le problème. C’est important un vaccin s’il est sans danger et capable de protéger un enfant. Aucun parent ne peut être en désaccord avec un Bill Gates quand il dit aux Etats à Munich de « se préparer  à une pandémie comme ils se préparent à la guerre » (10) Mais il faut d’abord avoir la certitude que les enfants Gates sont protégés du mal de la même façon  que ceux de la populace. Leur héritage ne sera que plus fabuleux…  Les effets secondaires graves des vaccins ne seraient pas de 1 pour 1 million, mais 1 sur 10 selon le VAERS (système officiel américain de recensement) des moins de 6 ans. Question : Pourquoi les médecins ne se soulèvent  pas ? Une minorité l’a fait, elle a payé le prix. Pour la majorité, elle a  peur de perdre son gagne-pain, ses avantages. Savent-ils au moins quelque chose du vaccin à part l’injecter et empocher les honoraires ? Le Dr Saluzzo Directeur de la Production des vaccins viraux de Sanofi Pasteur et  consultant de l’OMS, tout sourire, explique que personne ne sait comment fonctionnent les vaccins qui ont fait des millions de morts et qu’il faut continuer à les fabriquer et les injecter aux autres (11) . Il dit exactement ce que disent les anti-vaccins à une seule différence près.

Mais les politiciens qui prennent en otage la population veillent au grain d’or.   Hippocrate a dit : « ce qui produit le mal qui n’est pas, guérit le mal qui est. » Vérification par le docteur Hahnemann, fondateur de l’homéopathie qui s’est aperçu que le quinquina, utilisé pour guérir de la malaria, provoque les mêmes symptômes chez une personne  qui n’a pas cette maladie. Pas étonnant qu’un corps sain se retrouve malsain en s’abritant sous le mauvais esprit.  Pourquoi on parle du corps médical non de l’âme médicale, s’interroge Lanctôt  : « Ai-je raison ou tort ? Ni l’un ni l’autre. C’est ma vérité à moi. Je vous invite à trouver la vôtre, à l’intérieur de vous…C’est là qu’elle se trouve et non dans les enseignements du Dr. Rockefeller, pas plus que dans mon livre…quand je ne comprends pas ce qui motive des décisions gouvernementales (car la médecine est un monopole gouvernemental). Je me répète : « Si le gouvernement te dit de tourner à gauche, je tourne à droite. Et s’il te dit de tourner à droite, tourne à gauche. Ainsi, tu ne feras jamais d’erreur. » (12)  Elle parle du gouvernement canadien et américain, là où elle a exercé son métier et où elle a dirigé des cliniques financées par des gens qui lui ont fait confiance avant que Big Pharma ne la transforme en SDF.  Du temps de la guerre froide,  un savant soviétique  a donné au commandant d’un sous-marin sept souriceaux non sevrés pour les noyer un par un à l’aide de tubes lance-torpilles durant 15 jours. Les horloges du laboratoire et du sous-marin furent synchronisées. Sept pics de l’encéphalogramme de la génitrice, restée sur le continent,  furent constatés  à l’instant précis de la mise à mort de ses petits. Moins paranormale est l’inquiétude ressentie par une mère qui va vacciner son bébé en bonne santé. Inculper un petit mal pour éviter le grand et prier d’éviter la fatalité de l’impossible risque zéro. Pendant que les promesses mirifiques de la médecine moderne nous explosent dans les boyaux, les vaccins s’occupent du cerveau  au berceau.  

Pas étonnant que l’OMS prophétise que désormais, elle allait s’attaquer aux maladies mentales qui pèsent  trop sur le budget des Etats, 1000 milliards de dollars/an. Question débattue avec  la BM (Banque mondiale)  avec ce constat : un dollar dépensé pour les nerfs rapporte 4 dollars et une urgence médicale sur 5 est causée par le stress  (13). Pas étonnant de finir comme la vache folle puisqu’on a, en plus, pensé à mettre des tissus de fœtus  humains avortés dans le vaccin … (Suite)

M.M.

Notes

(1) : Qui Aime bien, Vaccine peu (Groupe médical de réflexion sur les vaccins, les médecins généralistes pédiatres et homéopathes : Françoise Berthoud, Pascal Büchler, Nathalie Calame, François Choffat, Jean-Paul Ecklin et Michel Georget)

(2) -: Vincent Fischette de l’Université Rockefeller New York

(3):  Inde ( British Medical Journal, mars 2001

( 4):  CDC (Centers for Disease Control and Prevention)

( 5 ): Show Tucker Carlson : invité RFK Jr.  

(6) : Mediapart (  05/09/2014)

(7) : Le Monde Afrique (20/02/2017)

(8) : 13/11/2016 Source: initiativecitoyenne.be

(9) : Source : Natural. News 11/05/2017   

(10) : Le Monde ( 20/02/2017)

(11) 16/01/2013 Source : initiativecitoyenne.be

(12)Ghislaine Lanctôt (La mafia médicale, entretien avec  Vents Croisés)

(13) : Rencontre organisée OMS-BM (13 /04/ 2016 Washington (USA).

 

Auteur
Mimi Massiva

 




Harragas de mères en fœtus : la dernière révolution des jeunes Algériens !

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15 embarcations ont quitté le pays le 1er novembre

Harragas de mères en fœtus : la dernière révolution des jeunes Algériens !

Lu dans la presse : une quinzaine d’embarcations de harragas ont quitté les côtes mostaganemoise, la nuit du 1er novembre, vers la vieille Europe… vers l’indépendance! Tout un symbole!

À Ain Témouchent, c’est une trentaine d’hommes et de femmes qui ont été interceptés avant le départ, tandis qu’au large des côtes d’Annaba c’est un groupe d’une vingtaine de personnes qui a été arrêté. Il y a de cela une semaine, c’était l’histoire incroyable d’une femme enceinte, qui avait atteint les côtes espagnoles, en compagnie d’autres désabusés, qui avait suscité l’émoi: harragas de mères en fœtus ! 

Portant la vie, à l’aube de celle-ci, à sa charnière ou à son crépuscule, des Algériens, de tous horizons quittent ou rêvent de quitter le pays. Qu’importe le moyen, du moment où l’espoir qui fait vivre, ne vit que sur l’autre rive.

Il y a ceux qui s’entassent dans les pirogues de la mort, qui font saliver les sardines, et ceux qui se rassemblent par milliers, comme des sardines aussi, devant une ambassade ou aux portes d’un centre culturel de l’ancien colon. C’est l’exode de tout un peuple, qui fuit les prémisses d’un trouble, une rumeur d’apocalypse ou la promesse d’un enfer ! Pendant ce temps, les ronds de cuir du régime et ses bateleurs continuent d’abreuver ceux qui veulent bien les croire de leur vulgate nationalo-populiste.

L’effet Ouyahia

A son arrivée aux manettes du gouvernement, Ahmed Ouyahia, version antéchrist, avait annoncé la fin d’un monde : celui de la « zerda », où le pétrole « enivrait » pauvres et malandrins et où la conscience collective se complaisait dans une opulence imaginaire : naïveté puérile !

A contre-emploi, le serviteur de « moul el guitoune » (propriétaire de la guitoune), a gâché la fête, coupé la sono et allumé des spots sur notre indigence, nudité et peur. Il nous a téléporté, à chacune de ses apparitions, de l’euphorie à l’abattement, des royaumes des cieux aux enfers.

Et comme alternative, il nous offre la continuité exténuante et annonce subtilement que l’immortel « moul El guitoune », 80 balais et trois AVC au compteur, peut  encore rempiler pour un autre bail, puisque son saint programme ne s’achèvera qu’une fois la prophétie accomplie, la guitoune vendue, partagée voire vidée.

Le catastrophisme, les lendemains mornes et les desseins cruels que nous promet Ouyahia constituent une invitation au suicide collectif, même que le dinar, pourtant dépourvu d’âme financière, s’est précipité dans le gouffre du square, rencontrer son destin tragique de monnaie en carton.

Les jeunes âmes algériennes, préfèrent quant à elles, les rames aux armes, l’inconnu au vieil ennemi connu. Elles défient les vagues et les brisants pour ne pas subir les brigands, les lois d’Archimède pour ne pas vivre celles des tyrans.

Elles quittent et meurent en silence, bercées par les flots, les chants des sirènes, les cliquetis des euros et le rêve de l’Éden.

Car elles savent, ces âmes trahies, qu’une mer déchaînée, est parfois plus clémente qu’une mère qui enchaîne et qu’au pire, quitte à mourir, c’est en âmes libres qu’elles s’en iront.

Auteur
Hebib Khalil

 




Des plaintes d’abus sexuels en pagaille contre son personnel

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ONU

Des plaintes d’abus sexuels en pagaille contre son personnel

Entre le 1er juillet et le 30 septembre, 31 plaintes d’abus sexuels présumés à l’encontre de personnels de l’ONU ont été recensées dans le monde, a affirmé vendredi le porte-parole des Nations unies, Stéphane Dujarric.

Cette comptabilité entre dans la politique du secrétaire général Antonio Guterres d’une tolérance zéro en matière de violences sexuelles commises par des personnels civils et militaires de l’ONU et d’une volonté de transparence, a-t-il précisé lors de son point-presse quotidien.

Les faits relatifs à ces plaintes n’ont pas encore été tous confirmés et certaines d’entre elles n’en sont qu’à une phase d’enquête préliminaire, a ajouté le porte-parole.

Sur les 31 plaintes, 12 visent des personnels dans des opérations de maintien de la paix, 19 des employés d’agences ou de programmes de l’ONU. 10 sont liées à des abus sexuels, 19 à de l’exploitation sexuelle, et 2 sont de nature encore inconnue.

Parmi les organisations concernées, 15 plaintes visent des employés du Haut commissariat aux Réfugiés, 4 concernent la mission de paix Monusco en RDCongo, 3 celle au Liberia, 2 l’opération en Centrafrique et 1 plainte cible un membre de l’UNICEF (agence chargée de la protection des enfants).

Les faits présumés ont été commis pour 12 d’entre eux en 2017, 2 en 2016, 6 en 2015 ou lors d’années précédentes. La date de 11 faits dénoncés n’est pas connue, a indiqué Stéphane Dujarric.

Dans les 31 plaintes, 38 hommes sont soupçonnés et 72% des 36 victimes présumées sont des femmes, 19% des filles.

Au cours de la même période de trois mois, 14 enquêtes ont été déclenchées, a enfin déclaré le porte-parole.

En application de la nouvelle politique d’Antonio Guterres, l’ONU a développé un outil informatique pour recenser tous les personnels de l’ONU ayant été soupçonnés d’abus sérieux ou d’exploitation sexuelle. Un effort a aussi été entrepris dans la formation des personnels avant leur déploiement et la sensibilisation des pays contributeurs de troupes.

Depuis une douzaine d’années, une pléiade d’affaires d’abus sexuels ont terni plusieurs opérations de paix dans le monde. Parmi les pays concernés, figurent la Centrafrique, la RD Congo, la Côte d’Ivoire, la Somalie, le Soudan, l’Afghanistan ou Haïti. 

Auteur
AFP

 




Rachid Boudjedra change d’avis sur Kamel Daoud

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Polémique

Rachid Boudjedra change d’avis sur Kamel Daoud

Rachid Boudjedra et la maison d’édition Frantz-Fanon auraient décidé de retirer le passage dans lequel Kamel Daoud a été accusé d’avoir été membre du Groupe islamique armé (GIA) pendant la « décennie noire ».

Dans un communiqué publié, le 31 octobre, dans le Temps d’Algérie, Rachid Boudjedra annonçait sa décision de retirer le passage incriminé. « Le pamphlet Les contrebandiers de l’histoire, porte fondamentalement sur la trahison et l’usurpation de l’histoire nationale par certains intellectuels et écrivains algériens », se targuait Rachid Boudjedra pour justifier ses règlements de comptes.

Il faut rappeler que Kamel Daoud a déposé plainte contre Rachid Boudjedra et son éditeur suite à cette grave accusation.

Comme première solution, l’auteur et son éditeur ont annoncé qu’ils profiteront du tirage de la deuxième édition pour sucrer la nouvelle version du passage qui a suscité un dépôt de plainte et la polémique. Cependant rien n’est encore définitif si l’on en croit les déclarations recueillies par Jeune Afrique auprès de l’éditeur Amar Ingrachen. L’éditeur assurait au magazine que « s’il retire sa plainte (Kamel Daoud NDLR), nous concrétiserons notre annonce de supprimer le passage en question ».

 

Auteur
La rédaction

 




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