«Au cours des deux siècles passés, des chercheurs ont trouvé des os et des artefacts indiquant qu’il existait sur terre, voici plusieurs millions d’années, des populations qui nous ressemblaient étonnamment. Mais l’establishment scientifique a gommé, ignoré ou perdu de vue ces faits extraordinaires. Pourquoi ? Parce qu’ils sont en contradiction avec la thèse qui prévaut aujourd’hui sur les origines de l’humanité, selon laquelle les humains se sont développés au cours des cent mille ans écoulés à partir d’ancêtres à l’aspect plus simiesque ». (L’Histoire secrète de l’espèce humaine).
Au fil des siècles, la science nous a permis d’appréhender les réalités du monde qui nous entoure. Pourtant, aujourd’hui, de nombreux phénomènes demeurent toujours inexpliqués. Dans sa singularité, l’anomalie est définie comme une exception à la règle, un écart par rapport à la norme scientifique établie, ce qui pousse bien souvent, à la rejeter pour une raison ou une autre. Pourtant, c’est grâce aux anomalies que la science a pu avancer et explorer de nouvelles pistes de la connaissance.
Ce désir d’ignorer les anomalies gênantes qui divergent du dogme établi, s’oppose donc à celui de vouloir découvrir et savoir. Cette autocensure à laquelle s’adonne la communauté scientifique s’opère par filtrage des connaissances et par orientations des bailleurs de fonds qui subventionnent ces recherches. Ce tri sélectif des connaissances réfute tout ce qui ne cadre pas avec les dogmes scientifiques en place. Les étudiants, surtout, n’ont pas accès à ces éléments de la recherche qui dérangent notre conception darwiniste du passé.
Les exemples abondent, le cas d’Heinrich Schliemann, ce célèbre archéologue allemand qui, en 1871, découvrit le site antique de Troie. Il était seul à croire que la guerre de Troie décrite par Homère eut vraiment lieu. Les archéologues qui cherchent, aujourd’hui, à prouver l’existence de l’Atlantide sont devenus la risée de leurs pairs. Ou encore, le cas de Virginia Steen-Mackintyre qui, en 1966, découvrit le site d’Hueyatlaco au Mexique, dont elle estima l’âge à 20.000 ans (ce fut déjà très ancien). Mais quand la datation définitive tomba, le site était vieux de 250 000 ans, ce qui ne cadrait pas avec l’âge admis pour la présence de l’homme dans le nouveau continent : «Je n’ai pas compris que cela pouvait compromettre ma carrière » déclara-t-elle. Depuis, le site fut fermé.
Reposant, elle-même, sur des anomalies observées, la théorie de l’évolution de Charles Darwin est devenue l’archétype d’une conception scientifique qui s’est hissée au rang de dogme immuable. Ceux qui osent désormais avancer une opinion qui s’en écarte légèrement sont vivement critiqués et mis à l’écart. Les sciences de l’espace ne sont pas en reste par rapport à cet état d’esprit. Ces disciplines sont toujours réticentes s’agissant de l’étude scientifique des OVNI, acronyme d’objets volants non identifiés. Ces phénomènes aériens inexpliqués qui nous renvoient inconsciemment aux « extraterrestres », alors que l’origine extraterrestre ne concernerait en fait que 5% de la phénoménologie observée.
À l’instar des autres disciplines, l’archéologie peine, elle aussi, à sortir de ce moule de pensée. La plupart des scientifiques balisent leurs hypothèses de travail sur des marqueurs fixes, dictés inconsciemment par les dogmes sur lesquels repose leur système d’apprentissage et de recherche. De ce fait, bien souvent, tout ce qui ne cadre pas avec les théories générales sera rejeté, voire ridiculisé et fini dans le fourre-tout des pseudosciences, du paranormal, de la théorie du complot ou carrément du fake (faux). Ce sac où l’on entasse pêle-mêle les fraudes avec les anomalies les plus gênantes, que la science officielle met au « rebut ».
L’histoire de la découverte à Nazca au Pérou fin 2015, de momies humanoïdes tridactyles d’aspect reptilien par des « huaqueros »(pilleurs de tombes), en est l’exemple le plus récent. Autrement, comment expliquer la réticence des institutions scientifiques officielles à s’impliquer sérieusement dans cette affaire ? Cette découverte défie les connaissances établies en archéologie, en paléoanthropologie et en biologie. Elle interpelle la communauté scientifique d’un doigt replié comme celui d’un créancier afin d’en trier le bon grain de l’ivraie.
Située au sud du Pérou, Nazca est mieux connue par ses lignes et ses figures stylisées, découvertes en 1927, elles seraient conçues par la civilisation de las Nazcas ( 300 – 800 av J-C). Leur âge se situerait entre 500 av J-C. et 500 apr J-C. Ces géoglyphes sont inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO depuis 1994. Ce sont donc plus de 350 figures étalées sur 450 km² de ce plateau de pierres du désert de Nazca. Conçues avec une symétrie et une linéarité qui défient les plus habiles manipulateurs de théodolites numériques à laser. Ces dessins ne peuvent être bien discernées que du ciel. Ces mystérieuses figures représentent, à elles seules, une véritable anomalie archéologique difficile à expliquer. Certains théoriciens du complot les considèrent comme une sorte de balise signalétique d’une civilisation extraterrestre qui aurait subi un crash sur terre. Vient s’ajouter à cela, cette ahurissante découverte de momies.
Pour rappel, cette découverte des momies a été divulguée pour la première fois en 2016, grâce aux efforts du Français Thierry Jamin, explorateur en archéologie et fondateur de l’Institut Inkari Cuzco pour les recherches archéologiques et scientifiques, une O.N.G de droit péruvien. D’autres intervenants ont relayé cette incroyable affaire, comme le journaliste mexicain Jaime Maussan et sa chaîne de télévision tercer milenio (troisième millénaire) et l’Institut américain Gaïa. En dépit du caractère non-conventionnel et atypique de cette découverte, certains médecins et scientifiques ont pris en charge l’examen de ces momies afin de nous éclairer et de briser le mur du silence (a). Des plateformes sociales s’y sont intéressées. Certaines, recherchant la vérité. D’autres, en quête de sensationnel et d’audience. Le reste, carrément sceptique, voire contradictoire.
Ces momies appartiendraient au moins, à trois espèces différentes. L’une d’elles, surnommée Josefina, mesure 58 cm avec six paires de côtes et deux flottantes. Elle porte un implant métallique sous-cutané au niveau du thorax, de nature non précisée et trois œufs au ventre, elle était, vraisemblablement, en gestation. Appartenant à la même espèce, la momie de 60 cm baptisée Albert porte, elle aussi, un intrigant implant à la hanche droite qui semble être biocompatible. On pense que ces implants ont une fonction médicale (prothèses). Ces momies ne présentent qu’un seul os à l’avant-bras et à la jambe, ainsi que trois phalanges à chaque doigt des mains et des pieds. Elles présentent de très petites mandibules qui, à la différence de celles des humains, permettrait plus la déglutition que la mastication. Dépourvues de vertèbres cervicales, leurs cous seraient rétractables, rappelant ceux des tortues. Elles ne partageraient, apparemment, aucun ancêtre commun vivant sur terre. Très anciennes, elles aussi, les petites reliques de 30 cm, baptisés provisoirement URPUS, semblent être retouchées (armadas) et ne correspondent pas, apparemment, à des êtres de nature biologiques.
Josefina et Albert ressemblent bizarrement à un « petit-gris » du film « E.T » (l’extraterrestre) de Steven Spielberg. Celui-ci aurait-il eu accès à une information privilégiée ? Cette ressemblance anatomique avec « ET » n’était pas pour déplaire aux cercles d’ufologie et aux adeptes de l‘Alien Theory (Théorie des anciens astronautes -TAA-), qui soutient une possible intervention extraterrestre chez les peuples primitifs. Ces anciens astronautes auraient aidé nos ancêtres à édifier des mégastructures, comme les pyramides d’Égypte, d’Amérique latine ou encore, ces énigmatiques géoglyphes de Nazca. Ils auraient cohabité avec les humains et auraient même eu un rôle dans la culture et le développement d’au moins une partie de l’humanité. Les registres archéologiques de cette région comme les textiles, la céramique, les pétroglyphes et certains géoglyphes qui font paraître des êtres tridactyles stylisés, semblent aller dans ce sens. Thierry Jamin aurait-il été lui-même intrigué par cet aspect “Alien” de ces momies, au point d‘appeler sa plateforme sociale sur Facebook : Alien Project ?
Une troisième espèce de momie tridactyle de 1,70m, baptisée Maria, présente des doigts de 17 cm de longueur et comportent cinq phalanges(b). Ses bras allongés, s’étendent jusqu’aux genoux. Maria est dépourvue de cloison nasale, d’oreilles, de cheveux (ou de poils) et porte un nombre de vertèbres inférieur à celui de l’homme. Elle présente un crâne macrocéphale(c). Aucune trace de pression mécanique de nature à produire artificiellement cette anomalie, comme chez certaines cultures, n’a été détectée. Cette tête est différente des crânes de Paracas, découverts en 1928 au sud du Pérou par l’archéologue Péruvien Julio Tello.
Visuellement non-humaines, ces momies présentent des différences phénotypiques(d) d’avec l’homo sapiens. Hormis la station bipède et quelques ressemblances d’ordre anatomiques, elles ne partagent aucun trait commun avec l’être humain. Hormis les URPUS, aussi bien l’IRM, les analyses d’ADN que celles du carbone 14 n’indiquent aucune trace de manipulation ou de fraude sur les autres momies. Toutes ces analyses soutiennent, au contraire, qu’il s’agit d’entités biologiques réelles, authentiques avec des caractéristiques biomécaniques cohérentes et très anciennes (de 1000 à et 1700 ans d’ancienneté ) avec une marge d’erreur de 30 ans, dit-on. Ce qui les placerait dans une plage temporelle proche de celle des lignes de Nazca. Tous ces corps sont enfarinés de terre de diatomée, une poudre blanche de phytoplanctons marins fossilisés, dotée d’un pouvoir antifongique et insecticide, à même de préserver les corps par dessèchement. Aucune momie connue à ce jour n’a été conservée moyennant ce procédé.
Il est bon de rappeler que cette affaire fit l’objet d’une première communication animée par Jaime Maussan, lors d’une conférence tenue à Lima le 11/07/2017, où l’on exposa les résultats non-définitifs des analyses de ces momies. La seconde conférence au sujet des analyses financées par Gaïa, eut lieu à Barcelone le 20/09/2017, dans le cadre du Congrès mondial de l’ufologie. La communication nous renvoie à cette -TAA- et dit que l’âge de la momie surnommée Maria a été estimée à 1750 ans d’ancienneté (± 30 ans). Maria semble être une créature hybride avec 30 % d’humain et 70% d’origine inconnue, dont 20% (des 70%) serait d’origine bactérienne. L’IRM n’y a décelé aucune trace de fraude, ce que semble confirmer aussi l’âge et les analyses d’ADN des échantillons des mains et des pieds qui convergent.
La conférence souligne que les anomalies congénitales répertoriées chez l’être humain n’évoquent pas cette variante tridactyle aux mains et aux pieds. De même, on a communiqué au sujet de la momie du bébé tridactyle, baptisée “Wawita” qui porte les mêmes caractéristiques que Maria. Comme hypothèse, cette conférence nous renvoi au dinosaure tridactyle « Troodon », dont le volume crânien était proche de celui de l’être humain. Celui-ci aurait-il évolué à cette espèce de créatures de Nazca ? Une autre piste aurait été scrutée par les scientifiques qui ont examiné les matériaux de Nazca à l’initiative de l’Institut Inkari Cusco, nous renvoie au Velociraptor, un dinosaure plumé. Si ces hypothèses se confirmaient, ces momies ne seraient plus d’origines exogènes, mais c’est très difficile de le prouver.
L’institut Inkari dit n’avoir pas été mis au courant de ces résultats avant leur publication, contrairement à ce qui avait été convenu, ce qui, encore fois, n’a pas été apprécié par Thierry Jamin. Aussi intrigants qu’ils paraissent, ces résultats n’ont pas été cautionnées totalement par Thierry Jamin, jusqu’à confirmation définitive, dit-il. En effet, ce rapport indique que les analyses ont été réalisées sur un échantillon contenant entre 700 et 8.000 paires de bases nucléiques. Alors que le génome humain contient environ 3.2 milliards de paires de bases. Bien que les données soient intéressantes, généraliser les résultats à l’ensemble du génome de Maria est par conséquent « très prématuré », disent-ils. Les certitudes tomberont une fois le génome de Maria ait été totalement séquencé. Et concernant le site des trouvailles, mentionné dans cette conférence, Thierry Jamin affirme que cet endroit n’était pas le site principal, qui contiendrait beaucoup plus de matière archéologique que celui-ci. Bien que toutes les parties aient reconnu le mérite de Thierry Jamin dans cette découverte, on a l’impression d’assister, malheureusement, à une course pour la primauté de divulgation des résultats qui va à l’encontre de ce que nous cherchons tous : la vérité, rien que la vérité.
Trois nouvelles momies d’espèce reptilienne ont été présentées cet été par l’Institut Inkari. Elles ressemblent à celles de 2016, baptisées : Joséphina, Albert et Victoria, la momie décapitée, mais qui comptent un nombre de côtes différent. Seraient-elles une nouvelle espèce ou de vulgaires reproductions artisanales non fidèles aux précédentes momies? Une sorte de moulage, voire de vulgaires impression 3D utilisant du matériel ancien, comme l’allèguent certains détracteurs. Totalement impliqué dans cette affaire de momies, Thierry Jamin admet que cette affaire comporte encore de nombreuses zones d’ombre et qu’il reste prudent. l’Institut Inkari promet une grande conférence pour le mois de décembre 2017 à Nazca, où seront exposés les derniers résultats presque définitifs des analyses y compris celles des implants métalliques, d’ici là, on en verra plus clair !
Les détracteurs disent que les momies non-humaines ont été fabriquées de toutes pièces à l‘aide d’ossements provenant de vraies momies humaines et des restes d’animaux. Par contre, la momie baptisée Maria est bien humaine, mais qu’elle a été mutilée. Elle aurait subi une ablation du nez, des oreilles, une partie des mains et des pieds puis rafistolée par rajout d’ossements provenant d’autres momies. Leur support d’analyse est basé sur les « clichés radios » et les scannes qui circulent sur le net et qu’ils jugent, eux-mêmes, de qualité médiocre. Cela ne les a pas empêchés de déceler des anomalies qui, selon eux, sautent aux yeux et qui attestent du caractère frauduleux de toute cette affaire de momies.
Le Pérou est un pays très riche en matière archéologique, on dit que le gros des découvertes y seraient faites par des « huaqueros », relayés plus tard et souvent trop tard par les archéologues qui reçoivent les alertes des autochtones. Beaucoup vivent donc du commerce des anciennes reliques et comme partout ailleurs, la connivence de la haute sphère de la société permet à ce trafic de s’organiser et de prospérer. Désormais, on est plus dans le schéma de « pauvres huaqueros » qui cherchent à gagner leur croûte en vendant leurs trouvailles au premier touriste venu, mais à de véritables négociants en antiquité, organisés et bien informés. Malheureusement, sous le vocable « d’antiquité » on trouve des artefacts qui remontent à des milliers d’années, comme ces momies de Nazca. Il est vrai que les chercheurs de trésors sont capables de tout pour revendre leurs curiosités archéologiques. Ils ne s’empêcheraient pas de recourir à des procédés sophistiqués de contrefaçons qui berneraient le plus averti des collectionneurs et lui mettraient l’eau à la bouche. Mais de là à défier les analyses les plus pointues et perturber les scientifiques comme semblent le faire ces momies de Nazca, la prudence doit être de rigueur.
Dès le début, les autorités péruviennes ont adopté une approche strictement judiciaire vis-à-vis de cette affaire de “découverte de momies de Nazca », et dont ils réfutent, jusqu’a présent, la portée exceptionnelle. Le ministère de la Culture péruvien (MCP) a en effet saisi la justice pour déterminer la véracité de cette histoire et les responsabilités. Ces excavations illégales, dit-il, tombent sous le coup du « délit d’atteinte à des monuments archéologiques ». Le docteur Blanca Alva, de la direction générale de la défense du patrimoine auprès du MCP est allée plus loin encore, en déclarant :” qu’après avoir pris connaissance de ces momies, il est fort probable qu’elles ne soient pas d’origine préhispanique, qu’elles soient un produit récent et par conséquent, il est fort probable qu’elles ne soient pas un patrimoine archéologique.”
Quant à Mr Alberto Alfredo Urbano Jaciento, le chargé des sites archéologiques de Nazca et Papla, il déclare dans son rapport N°010-2017-Arqlo OCN-DDC-Ica/MC, du 22 mars 2017, qu’il n’était pas possible de déterminer le caractère archéologique ou non du site (entre Nazca et Palpa) car on ignore son emplacement exact. De même, qu’il n’était pas possible, par manque d’évidences, de déterminer si les artefacts montrés à travers divers réseaux sociaux sont de nature extraterrestre ou archéologique. (6).
Pour rappel, Thierry Jamin a informé par courrier officiel, le 1 janvier 2017, les autorités compétentes du Pérou de ces trouvailles et insister sur l’urgence d’agir pour vérifier et protéger le site et les artefacts.
Vient s’ajouter à cela un communiqué de celle qui se présente comme « la communauté scientifique nationale et internationale, des experts dans l’étude et la conservation des restes humains (momies et squelettes), concernant la fraude des momies extraterrestres ». Rédigé à Lima, le 10 juillet 201 7 », ce document porte 14 signatures (12 sur d’autres sites) avec mention du numéro de cartes d’identité nationale de chacun. Ce collectif expose, entre autres, son mécontentement à l’encontre de ce qu’il décrit comme une atteinte grave et criminelle au patrimoine culturel péruvien. Ces momies seraient volontairement manipulées, et même mutilées pour obtenir une apparence ad hoc pour un but purement commercial, dit-il. De plus, l’absence de contexte archéologique connexe à ces découvertes va à l’encontre de ce genre de recherches scientifiques. Il exhorte les autorités péruviennes à lancer des poursuites judiciaires à l’encontre de ceux qui ont violé le patrimoine national et porté atteinte à la dignité humaine. Que l’exploitation des momies précolombiennes par ces personnes est une agression et une offense envers la Culture Andine, en faisant croire que ces réalisations sont liées à une prétendue « aide extérieure ». Ce collectif offre ses services d’experts dans le cadre de ces actions, afin de confirmer leurs “affirmations”.
Et pour terminer, l’ufologue Michel Ribardière, eut l’initiative de mettre en ligne une pétition à l’endroit du président Français Emmanuel Macron, sous l’intitulé : protégeons les Découvertes archéologiques de Nasca au Pérou !, » Il s’agit d’une découverte exceptionnelle qui pourrait changer notre vision du passé et nous apporter de nouveaux éléments de compréhension sur l’histoire de l’humanité. « , » Cette pétition appelle l’attention du gouvernement français sur une découverte extraordinaire. Elle vise l’obtention d’une coopération entre gouvernements, le lancement d’études scientifiques et la saisine de l’UNESCO pour la gestion légitime de cette affaire », mentionne le texte. Thierry Jamin, Français d’origine et son équipe, ont jugé donc utile de passer par l’Élysée pour faire bouger « La Casa de Pizarro » au Pérou.
Références :
1- L’Histoire interdite de l’archéologie. Michael Crémo
2- L’Histoire secrète de l’espèce humaine : Michael Cremo et Richard Thompson.
3- Le site d’Alien Project
4- Le site de Gaia.com
5- Le site de Tercer milenio de Jaime Maussan
6- le site vimeo.com (Les émanants )
7- Le site d’IRNA.net
8- Le site : Perú21 (Ministerio de Cultura se pronuncia sobre supuesta ‘momia extraterrestre).
Les revois : (a) : Dr Jose De La Cruz Rios biologiste, Mexique. Dr Jésus Zalce Benitez docteur et expert en médecin légale, Mexique. Dr R.Salas Alfaro, docteur et spécialiste en scanner, Lima-Pérou Dr Edson Salazar Vivanco, Radiologue-Pérou, ainsi que des spécialistes internationaux: Dr Konstantin Korotkov, PhD, Professeur de Physique à St-Pétersbourg. Dr NATALIA ZALOZNAJA-PHD-,Russia- Directeur de l’Analyse Radiologique. Dr Mk Jessie,Radiologue, Université de Denver-USA.
(b) : l’homme compte 3 phalanges proximale, intermédiaire et distale, à l’exception du pouce qui compte 2 : proximale et distale.
(c) : crâne anormalement allongé.
(d) : L’ensemble des traits observables chez un individu d’une espèce donnée.