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vendredi 19 septembre 2025
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Coupe de la CAF Quarts de finale (retour) : l’USMA à 90 minutes du carré d’As

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FOOTBALL

Coupe de la CAF Quarts de finale (retour) : l’USMA à 90 minutes du carré d’As

L’USM Alger tentera ce dimanche soir de décrocher son billet pour les demi-finales de la Coupe de la Confédération lors de la réception des Egyptiens d’Al Masry SC. Cette manche retour des quarts de finale aura lieu à partir de 20h00 au stade 8 Mai 1945 de Sétif.

Face à leur destin, les Rouge et Noir ont 90 minutes pour arracher une place dans le carré d’As. Une mission loin d’être impossible pour les protégés de Thierry Froger battus par le plus petit des scores (1-0) dimanche dernier à Port Said (Egypte). Toutefois, le coach français se méfie de cette formation égyptienne capable de jouer un mauvais tour à son équipe.   

« Notre tâche contre les Egyptiens sera difficile. Je pense que tout peut arriver dimanche soir. On peut encaisser comme on peut passer, on est prêts pour tous les scenarios », a déclaré Froger lors de la traditionnelle conférence de presse d’avant match.

« Le partie sera très intéressante à jouer. Cependant, mon équipe a 90 minutes pour sortir un grand match afin d’aller en demi-finales », a-t-il ajouté.

Pour sa part, le directeur général de l’USMA, Abdelhakim Serrar, se veut confiant quant à la tâche qui attend son équipe. « Je suis confiant, mon équipe a les moyens de revenir dans le score pour offrir la qualification à nos supporters », a indiqué Serrar qui a tenu également à mettre en garde ses joueurs « L’équipe d’Al Masry n’est pas vraiment forte tactiquement, néanmoins, ses joueurs sont des guerriers sur le terrain donc il faut être très calme et faire très attention », a-t-il prévenu.

Concernant l’effectif des Rouge et Noir, Froger a rassuré les inconditionnels de l’USMA quand à la disponibilité de l’ensemble de ses joueurs. Un seul petit doute subsiste quant à la titularisation ou pas de Rabie Meftah, mais le capitaine des Usmistes, blessé lors du match aller, devrait normalement tenir sa place ce soir.

Froger peut compter également sur la présence de son milieu de terrain, Mohamed Benkhemassa, de retour après avoir purger trois matchs de suspension.

Le coup d’envoi de la rencontre sera donné à 20h00 et la partie sera dirigée par le Botswanais Joshua  Bondo, assisté par le Mozambicain Arsenio Chadreque et Souru Phatsoane (Lesotho).

Auteur
APS

 




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Le général-major Mostefa Smaali installé à la tête de la 3e Région militaire

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ARMEE

Le général-major Mostefa Smaali installé à la tête de la 3e Région militaire

Le Général de corps d’Armée Ahmed Gaïd Salah vice-ministre de la Défense nationale, chef d’état-major de l’Armée nationale populaire (ANP) a présidé dimanche la cérémonie d’installation du nouveau Commandant de la 3ème Région militaire (RM) à Béchar le Général-Major Mostefa Smaali, indique un communiqué du ministère de la Défense nationale.

«Au nom de Son Excellence, Monsieur le président de la République, chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale et conformément au décret présidentiel du 16 septembre 2018, monsieur le Général de corps d’Armée Ahmed Gaïd Salah, vice-ministre de la Défense nationale, chef d’état-major de l’ANP a présidé, ce matin dimanche 23 septembre 2018, la  cérémonie de passation de pouvoir et l’installation du Général-Major Mostefa Smaali dans les fonctions de commandant de la 3ème RM Béchar, en succession au Général-Major Saïd Chenagriha, nommé Commandant des Forces terrestres», précise la même source.           

«A l’entame et à l’issue de la cérémonie d’accueil à l’entrée du siège du Commandement de la Région, le Général de corps d’Armée a observé un moment de recueillement sur l’âme du Chahid Mostefa Ben Boulaïd, dont le nom est porté par le siège du Commandement de la Région, où il a déposé une gerbe de fleurs devant la stèle commémorant sa mémoire et a récité la Fatiha sur son âme et sur celles de nos valeureux Chouhada», ajoute le communiqué du MDN.

Par la suite et devant les carrés de formations alignées à la place d’armes, le Général de corps d’Armée a annoncé l’installation officielle du Général-Major Mostefa Smaali, nouveau Commandant de la 3e Région militaire et lui a remis l’emblème national.

«Au nom de son Excellence, Monsieur le Président de la République, chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale et conformément au décret présidentiel du 16 septembre 2018, j’installe officiellement, le Général-Major Mostefa Smaali, Commandant de la 3ème RM, en succession au Général-Major Saïd Chenagriha, nommé Commandant des Forces terrestres», a  affirmé Le Général de corps d’Armée.

Après l’approbation du procès-verbal de la passation de pouvoir, le Général de corps d’Armée a tenu une rencontre avec le Commandement et les cadres de la Région au cours de laquelle il a prononcé une allocution d’orientation, diffusée via visioconférence à toutes les unités des 3ème et 2ème Régions militaires et à travers laquelle il a rappelé «le haut professionnalisme dont jouit aujourd’hui le corps de bataille de l’ANP qui est le fruit du soutien particulier accordé par le Haut commandement, ces dernières années, à son développement et à sa modernisation afin de le hisser aux niveaux aspirés, aussi bien en termes d’état-prêt opérationnel et de qualité de préparation et de formation qu’en termes d’emploi rationnel des moyens modernes mis à disposition».

«Le travail laborieux que nous avons veillé à adopter au sein de l’ANP a laissé des marques concrètes, gravées sur le registre des résultats réalisés sur le terrain durant ces dernières années, au niveau de  l’ensemble des composantes de nos Forces armées, ce qui a manifestement et positivement influencé le parcours de développement adopté», a-t-il souligné. 

«Nous étions convaincus au sein de l’ANP, tout en exerçant sous le commandement clairvoyant et avec les orientations de Son Excellence, Monsieur le président de la République, chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, que l’état-prêt au combat aspiré a des exigences bien évidentes, que nous avons veillé à réunir dans les normes requises, comme nous avons veillé à faire prendre conscience au personnel militaire, là où il se trouve, que cette patrie dont la terre est notre demeure, mérite de son Armée d’atteindre toutes les capacités nécessaires permettant de conjuguer objectivement entre la grandeur des missions assignées et l’ampleur des efforts qui doivent être consentis au service de l’Algérie et sa sécurité nationale», a affirmé Général de corps d’Armée.

«Dans ce contexte précisément, nous considérons que l’aboutissement de nos efforts sincères aux objectifs tracés et aspirés au profit de l’Algérie, terre et peuple, est le témoin-phare du degré de persévérance qui anime la ferveur de tous les personnels militaires, à tous les niveaux et dans toutes leurs catégories, en 3ème Région militaire comme dans les autres Régions», a-t-il ajouté. 

Pour le Général de corps d’Armée «une détermination dont l’esprit national et professionnel doit continuer à habiter les cœurs  des hommes de nos Forces armées, qui ont exercé avec des intentions pures et ont considéré que le résultat de leur travail noble et laborieux n’est qu’une autre étape sur la voie tracée, avec volonté et ténacité, vers la conquête du pari de développement optimal, voire parfait des capacités de l’ANP, digne héritière de l’Armée de libération nationale».

A l’issue, le Général de corps d’Armée a écouté les intérêts et les suggestions exprimés par les personnels de la Région «qui ont renouvelé le serment d’accomplir les missions assignées avec fierté et dévouement»

Auteur
APS

 




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FFS : « La lutte contre les exclusions est un impératif des politiques publiques »

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Manifeste contre les exclusions sociales

FFS : « La lutte contre les exclusions est un impératif des politiques publiques »

L’Instance présidentielle du FFS a rendu public le manifeste contre les exclusions sociales.

« Au terme de ses travaux, les Assises sociales ont constaté que la majorité des Algériens se trouvent confrontés à des situations désespérées souvent dramatiques qui touchent leurs conditions de vie et de travail, leur intégrité physique et leur dignité, devenant malgré eux des exclus sociaux. L’exclusion se confond avec la pauvreté, l’isolement, le besoin et la ségrégation. Cette réalité n’est pas nouvelle et il faut un effort d’ensemble pour y mettre fin.

Des droits fondamentaux tels que le logement, les soins basiques, l’accès au travail et à la formation sont bafoués. D’année en année, nous assistons à la mise en œuvre de décisions non pas de progrès mais de reculs dans la protection sociale, qui ont un impact négatif immédiat pour les plus exclus, alors qu’aucune stratégie d’ensemble pour l’inclusion de tous n’a encore été mise en œuvre.

Les exclus on ne les voit pas car leur dignité les empêche de se montrer pour exiger leurs droits. Ils sont de plus en plus nombreux, le plus souvent isolés: les chômeurs, soit un algérien sur trois et un jeune sur deux, les catégories sans ressources suffisantes : les handicapés, les personnes âgées, les familles monoparentales, les sans domicile fixe, les mal-logés. Tous des citoyens insuffisamment protégés contre le coût de la vie, le mal logement et la maladie.

Les classes moyennes n’existent plus, leur pouvoir d’achat n’étant pas suffisant pour conserver leur niveau de vie. Subissant un déclassement social, ceux qui n’ont pas quitté le pays ont rejoint la masse des exclus de la société.

La lutte contre les exclusions est un impératif des politiques publiques dans un Etat social.

Les syndicats autonomes qui n’ont pas cessé d’attirer l’attention des pouvoirs publics sur cette situation de paupérisation généralisée et accélérée ne sont pas entendus, quand ils ne sont pas réprimés lorsqu’ils manifestent pacifiquement pour faire connaître les revendications des travailleurs et des exclus sociaux.

Le FFS par sa ligne politique, ses valeurs, ses principes et son programme d’action se considère comme le représentant naturel de cette majorité d’Algériens exclus socialement, et leur porte-voix face à un Etat libéral représentatif d’une minorité de privilégiés. C’est à ce titre qu’il interpelle.

Auteur
Instance présidentielle du FFS

 




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Le revers du Gouvernement provisoire de la république algérienne

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Opinion

Le revers du Gouvernement provisoire de la république algérienne

Pour aller vers  l’origine du revers du premier GPRA on doit se poser la question suivante : pourquoi Mohamed Boudiaf a t-il été déclassé lors de la composition du 1er gouvernement provisoire de la République algérienne installé au Caire le 19 septembre 1958 dont nous commémorons le soixantième anniversaire, en ministre d’Etat et non en Président sans portefeuille, ou à défaut en vice-président lui le coordinateur des six qui ont déclenché la révolution le 1er Novembre 1954 ?

Neuf des dix-neuf membres, de ce premier gouvernement confié à Ferhat Abbas, étaient encore vivants dans les années 90 du siècle passé lors des massacres de nos populations par les terroristes islamistes. Dans ce cas précis pour mieux approcher l’histoire de la Révolution ne serait-il pas judicieux d’exposer  leur curriculum-vitae jusqu’à la fin de leur vie. On dit « édahr kachaf ». Oui avec le temps on découvre que des 9 membres du 1er GPRA qui ont vécus pendant la décennie sanglante seul Boudiaf s’est distingué comme un Novembriste, nous sommes en droit de conclure qu’il était le patriote le plus compétent. Alors pourquoi a-t-il été déclassé, voilà soixante ans ?

Son assassinat trente-quatre ans après est-il totalement étranger à son déclassement. Abane aurait-il été exécuté par ses frères s’il n’avait pas été déclassé par le CNRA de tripoli du 28 août 1957 ? La lecture la plus simple qui ne peut donc être l’unique est que l’ambition du président égyptien Nasser à parrainer un dirigeant algérien complétée par l’introduction de tard venus à la Révolution,  l’a emporté sur la voie tracée par les Novembristes d’autant plus que  le noyaux dur, formé par Didouche, Ben M’hidi et Ben Boulaid avait été neutralisé par l’armée coloniale. Parmi les détenus, la promotion de Ben Bella, tout en déclassant Boudiaf répond aux désidératas du  pouvoir égyptien, et pas seulement. Ce coup double des tractations secrètes va peser négativement sur l’avenir de la République algérienne dès l’entame de sa renaissance et l’affaiblir politiquement.

Le retour de Boudiaf en 1992 était mal perçu par la majorité des ministres qui n’approuvait pas l’arrêt du processus électoral comme le rapporte Leila Aslaoui dans son livre «Les années rouges ». La majorité des PDG d’entreprises, était absente pour accueillir le Président lors à son inauguration de la Foire Internationale d’Alger en juin 1992 , influencée par les propos de l’ex-chef du gouvernement de Chadli, par le ni-ni de Aït-Ahmed, par le qui tue qui de l’Internationale socialiste de Mitterrand et du sionisme israélien. Cette bourgeoisie était adossée à la peur des terroristes faut-il le rappeler !  

L’arrêt du processus électoral qui désavouait Chadli peut être considéré comme un coup d’Etat semblable a celui de 1965 c’est-à-dire à un reclassement de la République. Ces deux reclassements ont été anéantis par l’assassinat du Président Boudiaf le 29.06.1992

Après soixante ans, on peut dans ce cas confirmer que le ver était effectivement dans le fruit. Les centralistes, les udmistes et autres oulamas n’étaient de tailles des novembristes.

L’intelligence de Ben Tobal conjuguée à l’habilité de Boussouf ne pouvaient dorénavant que colmater les brèches, tout en neutralisant Krim qui avec l’appui de Daf préparait vaille que vaille son ascension. On dit que ces trois B, des novembristes étaient le fer de lance de la Révolution, malgré leur crime sur l’indomptable Abane ! Comme on le constate, la Révolution n’est pas comme une médaille mais comme une boucle de Möbius qui permet un renversement sans rupture ! Un revers en discontinu.

Notre présent reste malheureusement trop lié à notre passé quand on sait que ce n’est que soixante et un an après que la France reconnaît son mensonge sur l’assassinat de notre frère Maurice Audin, pour se rétracter d’une façon maligne quelques jours après. Ce militant de la lutte de libération était communiste et il est encore malheureusement nécessaire de rappeler y compris à des historiens surtout quand ils sont sociologues en sus que le Parti communiste français (PCF) pendant notre lutte était un parti politique français contre le colonialisme certes mais pas pour la Révolution alors que le Parti Communiste algérien (PCA) était un parti dans la Révolution, parti auquel appartenait ce jeune docteur en  mathématiques. Malgré tout le fatras autour de cette affaire, et si on excepte la joie légitime de la famille Audin, l’aveu de Macron sur Audin rappelle celui d’Aussaresse sur Ben M’hidi. Quand quelques jours après cette aveu de la vérité, la France élève des harkis au grade de la Légion d’honneur ! Par ce geste elle tente de salir la mémoire des combattants algériens dont faisait parti Audin et neutralise la déclaration faite à Alger par Macron sur le caractère de crime contre l’humanité de la colonisation de l’Algérie par la France. La promotion de harkis prouve que cette reconnaissance n’était qu’une propagande de campagne électorale au plus.

Comme ces  sionistes qui assassinent des gamins palestiniens dans leur sommeil et parlent d’amour. Les capitalistes utilisent tous les moyens pour banaliser le mal fait aux peuples et particulièrement celui fait aux peuples du Sud. Il commet et  fait admettre aux populations ses massacres et ses bombardements sur les populations du Sud et  orchestre une protestation mondiale sur ses médias pour une tentative d’assassinat au couteau dans une capitale occidentale et particulièrement quand elle concerne un juif en France. Si l’Allemagne a reconnu ses crimes contre les juifs c’est pour aider plus efficacement l’Etat d’Israël et c’est tout à l’opposé de l’Etat Français. Elle ne reconnait pas ces crimes envers les algériens pour nous affaiblir et  profiter de nos faiblesses. Mitterrand président de la France de 1981 à 1995 était pour le terrorisme-islamiste au pouvoir  dans notre pays.

Pour nous reclasser il suffit que le parlement algérien adopte ce projet de  loi qui qualifie la colonisation de notre pays par la France  de crime contre l’humanité, d’abroger la loi qui fait de l’islam religion de l’Etat et les lois anticonstitutionnelle comme le code de la famille  pour que nous puissions l’exiger des autres et faire taire à jamais les Mitterrand et les Zemmour, car quand ces chiens de nos alliés historiques, de Staline historique par exemple, ils le comparent à Hitler et réduisent l’expérience « communiste » au goulag, et quand il parlent de la deuxième guerre mondiale ils ne rappellent jamais que sans ce même Staline et sans l’URSS ils n’auraient jamais pu libéré l’Europe des mains d’Hitler et du fascisme et omettent de dire que c’est Truman qui ordonné le bombardement nucléaire sur Hiroshima et Nagasaki en 1945. Ces deux bombes nucléaires ne sont-ils  pas comparable aux camps de concentrations, aux génocides de la colonisation  et celui de la deuxième guerre, à l’indigénat qui sévissait dans les colonies…aux bombardements de centaine de villages algériens.

Le massacre perpétuel des Palestiniens et toutes les injustices que subit ce peuple depuis des décennies deviennent pour leurs intellectuels qui signent des bestsellers et considèrent les informations factuelles d’obsédantes. Comment dans ce cas les Zemmour ne deviennent pas légion pour faire le buzz et donc de l’audimat et un sanguinaire l’islamiste Abdallah Anas un intellectuel respecté par les Anglais ! 

 

Auteur
Saddedine Kouidri

 




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Melbou (Bejaia) : nous sommes nos propres juges

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Environnement

Melbou (Bejaia) : nous sommes nos propres juges

La décharge de Melbou est porteuse de dangers sur la santé de la population et sur l’équilibre environnemental.

La vie à Melbou, cette belle petite ville balnéaire, qui se couvre de fumées toxiques chaque soir ressemble à la vie dans une chambre à gaz. La seule différence est que dans notre cas (c’est-à-dire Melbou), nous en sommes les juges: c’est nous qui nous sommes condamnés à mort par notre laxisme et notre démission.

Tout le monde parle de ce problème mais personne n’agit ni même réagit. On sous-estime même une action dans ce sens, on la banalise: on banalise, surtout et bizarrement, une mort lente mais certaine. Aussi, les luttes partisanes, qui ont ruiné la Kabylie et qu’on croyait disparues à jamais, refont surface par des amateurs politiques, des apprentis élus, des militants immatures et des associations pilotes. Ceci détruit toute possibilité de règlement du problème.

L’argent n’a pas d’odeur

L’inconscience, le manque du savoir faire et le mépris du savoir et des intellectuels sont aussi au menu. Un trabendiste, pseudo-investisseur est bien plus écouté qu’un professeur d’université. L’argent, sans tenir compte de son odeur, régule tout. La solution venant de cette catégorie (les investisseurs, NDLR) est devenue plus importante qu’une solution proposée par l’Université de Harvard. Comme si on était « tous rien sauf ceux qui ont de l’argent ». On me dira pourquoi pas, c’est avec cet argent que l’économie se fera…. Eh bien, oui, mais y’a-t-il que l’économie? 

La vie humaine a-t-elle une valeur ? Les deux ne peuvent-elles pas aller côte-à-côte? N’y a-t-il pas quelqu’un qui puisse joindre l’utile à l’agréable?

La collaboration entre l’investisseur, les collectivités et la population est un signe de civilisation. C’est un comportement qui nécessite une nouvelle éducation basée sur le civisme et le vivre ensemble. Malheureusement les notions de « civisme » et « vivre ensemble » n’existent même pas dans ce petit coin de chez nous, au moins pour le moment.

Il faut l’admettre afin de pouvoir les créer et les développer. Le civisme s’apprend mais seulement quand on en a la volonté. Il ne s’agit nullement d’une notion anodine mais bien d’une vision stratégique qui doit constituer un objectif politique pour les collectivités locales car c’est de là que le développement social commence.

Ma main est tendue à tous ceux qui veulent apporter un plus. Je crains, cependant, qu’elle ne soit coupée par les opportunistes, les affamés, les gens sans scrupules, les idiots et les ignorants. Je me garde le droit de me sauver et de sauver ma bonne foi en cas de trahison ou de récidive.

Auteur
Belkacem Outemzabet

 




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Le Pr Brahim Brahimi, fondateur de l’Ecole supérieure de journalisme, s’est éteint

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Disparion

Le Pr Brahim Brahimi, fondateur de l’Ecole supérieure de journalisme, s’est éteint

Le Professeur Ahmed  Brahimi, fondateur et premier directeur de l’Ecole nationale supérieure de journalisme et des sciences de l’information (ENSJSI) est décédé samedi , apprend-t-on auprés de ses proches.

Plus connu sous le nom de Brahim Brahimi, le  défunt est l’auteur de plusieurs ouvrages:  « le Pouvoir, la presse et les intellectuels en Algérie », « le Pouvoir, la presse et les droits de l’homme en Algérie » parus aux Editions l’Harmattan ».

De nombreux hommages d’intellectuels et journalistes l’ayant connu sont postés sur les réseaux sociaux

Auteur
Avec APS

 




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55 centres de péages sur l’autoroute est-ouest

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Selon le ministre des Travaux publics

55 centres de péages sur l’autoroute est-ouest

Le système de péage au niveau de l’autoroute est-ouest « entrera en vigueur, dès l’achèvement des installations et la fixation du tarif de passage », a déclaré samedi à Médéa le ministre des travaux publics et du transport, M.Abdelghani Zaalane.

« Nous attendons l’achèvement de l’installation des cinquante-cinq centres de péage et d’entretiens des routes programmés le long de cette autoroute pour décider de la date de début du système de péage », a indiqué le ministre, en marge de sa visite d’inspection du chantier de modernisation de l’axe « Chiffa-Médéa ».

Le péage n’est prévu, selon le ministre, qu’au niveau de l’autoroute est-ouest ou l’infrastructure indispensable à la mise en place de ce système est en cours de réalisation, a-t-il expliqué.

Il a encore ajouté que l’extension de ce système à d’autres réseaux routiers nationaux, dont la route nationale N 1, qui relie le nord du pays aux régions du sud, n’a pas encore été tranchée.

 




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Ouf ! Abdelkader Messahel réagit ! Mais après quoi ? (I)

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Hogra des Algériens et harkis

Ouf ! Abdelkader Messahel réagit ! Mais après quoi ? (I)

L’Algérie a commencé à appliquer le principe de réciprocité à la France lit-on dans la presse nationale et étrangère concernant un fond de crise appréciée différemment.

On parle de conclusion d’un rapport de la mission diplomatique algérienne à l’Hexagone qui a relevé que les structures algériennes d’outre-mer ont été privées de la protection policière habituelle sur décision du ministère des Affaires étrangères français. D’autres la situent à cette décision du président français Emmanuel Macron d’honorer vendredi dernier les harkis, d’anciens supplétifs algériens ayant servi aux côté de l’armée française durant la guerre d’indépendance de 1954-1962.

En effet, par décret paru au Journal officiel de vendredi, six anciens combattants harkis et la cofondatrice d’une association de harkis sont promus au grade de chevalier de la Légion d’honneur, la distinction la plus prestigieuse décernée par l’Etat français.

Quatre harkis sont promus au grade d’officier de l’ordre national du Mérite et quinze autres au grade de chevalier du même ordre, majoritairement représentantes d’associations ou fédération de harkis. Ces promotions interviennent quelques jours seulement après la visite du jeune président français à Josette Audin pour reconnaître l’assassinat par l’armée coloniale de Maurice Audin. Le tout à seulement quatre jours de son rendez vous pour faire des annonces au Comité national de liaison des harkis (CNLH) qui avait réitéré sa volonté de se battre «jusqu’au bout» et d’aller plaider sa cause devant les tribunaux internationaux s’il n’obtenait pas satisfaction auprès de l’État.

Rappelons que le président Macron n’a pas cessé d’intervenir auprès de son homologue algérien pour faire un geste afin de permettre à cette catégorie d’Algériens de souche mais française par naturalisation de circuler librement entre les deux pays. Probablement, si l’on se réfère au coup de fil qu’il a donné à Bouteflika le même jour de sa visite au domicile des Audin, Emmanuel Macron misait beaucoup sur un accord du président algérien pour leur annoncer cette libre-circulation afin de les éloigner de cette revendication des 40 milliards d’euros qu’ils réclament au moment même où les caisses de l’Etat se rabattent sur les retraités français pour les équilibres budgétaires.

De nombreux analystes estiment que le réveil de la diplomatie algérienne est très tardive et son motif demeure très léger. Le ministère des Affaires étrangères (MAE) algérien est resté sourd et myope à toutes les humiliations que subissent les citoyens dans leur droit de visite à  leur proche en France dans le cadre de cette libre-circulation qui est devenue problématique jusqu’à abaisser les Algériens devant les locaux des prestataires de l’ambassade de France.

L’évolution des structures et des mécanismes mis en place depuis les accords d’Evian sont révélateurs des relations entre les deux pays et les liens historiques qui lient le colon au colonisé tels que relatés par Frantz Fanon dans son ouvrage «Les damnés de la terre». Des circonstances particulières ont fait que les réglementations concernant la circulation ainsi que l’octroi et le refus de visa peuvent s’avérer de véritables instruments diplomatiques.

Sur la base de témoignages de terrain, comment concrètement se matérialisent ces humiliations ?  De quelle manière ces accords ont évolué historiquement ? Qui en est le responsable de la bousculade actuelle ? A suivre…  

R. R.

L’auteur est en contact avec une cinquantaine de victimes de cette hogra et veulent se constituer en association pour porter au plus haut niveau la passivité de la diplomatie algérienne qui laissent faire sans lever le doigt. Si parmi les amis lecteurs, qui ont connaissance du même sort subit par eux ou leurs proches qu’ils le décrivent dans les commentaires ou nous écrivent à redactionlematindz@gmail.com. Même avec des pseudonymes ceux-la les aideront dans leur exposé des motifs. Merci     

                                                                                                                                     

 

Auteur
Rabah Reghis

 




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Et le général Chakib Khelil, M. Bouteflika ?

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COUP DE GUEULE

Et le général Chakib Khelil, M. Bouteflika ?

Il y aurait donc, dans ce pays, de méchants généraux corrompus et un président-justicier au glaive blanc,qui les traque au nom de la veuve et de l’orphelin.

L’image aurait été parfaite si, le jour même où le clan Bouteflika annonçait fièrement le limogeage, dont certains  » pour corruption, »de sept généraux-majors, parmi lesquels les chefs de la 3e et 4ème régions militaires, si ce jour-là donc, le tribunal de Milan n’avait condamné des hommes de l’ancien ministre Chakib Khelil, le très proche de Bouteflika et annoncé au monde entier que l’argent versé par la firme Saipem pour obtenir des marchés en Algérie, avait servi à corrompre Chakib Khelil ainsi que des proches de ce dernier.

Autrement dit, la justice italienne confirme la validité des neuf mandats d’arrêt internationaux émis par la justice algérienne dans le cadre de l’affaire Sonatrach et visant Chakib Khelil, son épouse, et leurs deux fils, ainsi que les hommes d’affaires Omar Habour et Farid Bedjaoui.

Qui a ordonné l’annulation de ces mandats ? Qui a fabriqué « l’innocentement » de Chakib Khelil ? La présidence de la République !

Qui a aidé Khelil à quitter l’Algérie en mars 2013, au lendemain d’une perquisition aux domiciles de plusieurs hauts cadres de Sonatrach ? Qui a fait en sorte de le « couvrir », de l’aider à prendre la fuite vers la Suisse, après qu’il ait reçu sa convocation pour être entendu devant la Justice de Milan ? 

Il a fallu organiser un cambriolage dans les bureaux du tribunal d’Alger pour détruire les documents à charge. Il a fallu recourir au mensonge pour des raisons supérieures. Mentir encore. 

Non, l’opération « mains propres » engagée par le clan Bouteflika au sein de la haute hiérarchie militaire ne peut pas faire oublier que la corruption, à un niveau le plus élevé, a connu un essor sans pareil, depuis la venue de Bouteflika aux affaire. Elle ne saurait masquer cette réalité qui s’impose d’elle-même : le président fait figure de gourou protecteur de ses proches impliqués dans des affaires de détournement des fonds publics. 

Le verdict du tribunal de Milan, que le clan présidentiel avait toujours redouté, vient confirmer que le président de la République, au vu des évènements, a toujours agi en parrain et veillé à l’impunité de ses « amis ».  Et c’est au sein de cette cour de malfrats que se recrutent les partisans les plus zélés pour un cinquième mandat.

De Khelil à Saadani, en passant par Hemche, Ghoul, Sidi Said, Mohamed Bouricha, et tout dernièrement Ould Abbès et le milliardaire Haddad, la liste est trop longue de tous ces vénérables mandarins qui ont urgemment besoin que, même handicapé, Bouteflika doit donner l’illusion d’être toujours aux affaires.

Auteur
F. G.

 




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Brexit: Theresa May « humiliée » à Salzbourg

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Union européenne

Brexit: Theresa May « humiliée » à Salzbourg

La presse britannique décrivait vendredi une Première ministre britannique « humiliée » par les dirigeants européens qui l’ont appelée à revoir sa copie sur le Brexit lors d’un sommet informel à Salzbourg, en Autriche.

L' »humiliation » de Theresa May fait la une du Guardian et du Times tandis que le « i » évoque le « désastre de Salzbourg ».

A l’issue du sommet, le président du Conseil européen, Donald Tusk, a prévenu que « le cadre des relations économiques tel qu’il est proposé ne fonctionnera pas, ne serait-ce que parce qu’il saperait les fondements du marché intérieur ».

Les propositions britanniques ne sont « pas acceptables en l’état » car elles « ne sont pas respectueuses de l’intégrité du marché unique », a renchéri le président français Emmanuel Macron.

Le tabloïd The Sun dépeignait vendredi les deux hommes, qualifiés d' »ordures », en gangsters prêts à « tendre une embuscade » à la Première ministre. « Nous avons plus que hâte de nous libérer de ces malfrats qui dirigent l’Union européenne », écrit le tabloïd qui défend la position de Theresa May. « La Première ministre a refusé de s’écarter des lignes rouges fixées par le Royaume-Uni et elle a tout à fait raison de le faire », affirme-t-il.

Le Daily Mail et le Daily Express mettaient eux en garde l’UE, reprenant les menaces de Theresa May qui a prévenu que le Royaume-Uni était prêt à quitter l’UE le 29 mars 2019 sans accord de divorce.

A Salzbourg, Mme May a répété que son plan dit de « Chequers » restait « la seule proposition sérieuse et crédible » sur la table, qui permettrait de garantir à long terme qu’une nouvelle frontière physique n’allait pas réapparaître entre la province britannique d’Irlande du Nord et l’Irlande. 

Pour le Daily Telegraph, la dirigeante conservatrice est « battue » et « blessée » mais continue de montrer un « visage courageux ».

En attendant le sommet des dirigeants européens les 18 et 19 octobre à Bruxelles, initialement destiné à boucler les négociations sur le Brexit, un autre défi attend la Première ministre conservatrice à la fin du mois: la conférence de son Parti conservateur, où elle devra affronter les foudres des pro-Brexit de son camp, qui jugent depuis le départ son plan pour le Brexit trop conciliant envers l’UE.

Auteur
AFP

 




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