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jeudi 21 août 2025
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Le cinéaste Mahmoud Zemmouri est mort

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Cinéma

Le cinéaste Mahmoud Zemmouri est mort

L’acteur, réalisateur et scénariste algérien Mahmoud Zemmouri est décédé ce samedi dans un hôpital à Paris, rapporte l’APS citant le président de l’Association Lumières, Amar Rabia.

Le cinéaste a notamment réalisé Prends 10 000 balles et casse-toi (1981), Les folles années du twist (1986), De Hollywood à Tamanrasset (1991), 100% arabica (1997), Beur, blanc, rouge (2006), Imarat El-Hadj Lakhdar, (série télévisée comique, 2007, 2008, 2009) et Certifié Hallal (2015). Le cinéaste était connu pour ses films haut en couleurs. Dans ce dernier film porté par la séduisante Hafsia Harzi, Mahmoud Zemmouri a plongé dans l’enfer des mariages arrangés.

Mahmoud Zemmouri est né le 2 décembre 1946 à Boufarik dans la wilaya de Blida.

Le ministre de la Culture, Azzedine Mihoubi, a présenté ce matin ses condoléances à la famille du défunt qu’ainsi qu’à sa famille artistique et le monde de la culture suite à cette cruelle perte pour le cinéma algérien.

Auteur
APS

 




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Appel désespéré de Mohamed Baba Nadjar

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En grève de la faim depuis le 19 septembre

Appel désespéré de Mohamed Baba Nadjar

Dans un message désespéré, le jeune prisonnier Baba Nedjar en appelle à le sortir de cette injustice ».

« Je m’adresse à vous, honorables personnes, pour me sauver de cette injustice dont je souffre depuis mon incarcération arbitraire en 2005 pour homicide volontaire avec préméditation sur une personne que je ne connais ni de près ni de loin, laissant en liberté les véritables coupables », écrit le jeune Mozabite et rapporté par son avocat Salah Dabouz.

Baba Nedjar croupit en prison depuis 2005. Il a été jugé en première instance par le tribunal de Ghardaia en 2006 pour le meurtre par immolation de Bazzine Brahim, chef de la section locale du Croissant-Rouge algérien. Rejugé une deuxième fois en 2009 par le tribunal criminel de Médéa, il a été condamné à perpétuité. Un acte que Mohamed Baba Nedjar a toujours nié. Au juge qui l’interrogeait sur ce soir de crime du 22 octobre 2005, Baba Nedjar a affirmé que le soir où la victime a été tuée, il était chez son oncle qui l’avait invité à rompre le jeûne et passer la soirée du Ramadhan en compagnie de la famille. Les témoignages apportés par son oncle, son père, et d’un ami confirment cet argument. En vain.

Outre Baba Nedjar, Touati Merzoug, blogueur est lui aussi en grève de la faim.

Auteur
La rédaction

 




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A comme Algérie (23)

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L’OMS et les vaccins

A comme Algérie (23)

V comme vaccin (II)

Le vaccin a de beaux jours  devant lui comme tout produit destiné à la masse. On parle de 50 vaccins  à l’étude contre l’asthme, la diarrhée du voyageur, certains cancers, des toxicomanies, l’ulcère d’estomac, l’hypertension, la carie dentaire, le sida …(Groupe suisse)  Pourquoi  pas un vaccin contre la peur ? Parce que c’est la peur qui pousse un parent à vacciner son enfant et la peur qui l’oblige à faire le contraire. Et au fond de lui-même, il lui arrive, comme le Groupe d’experts, de se demander si ces vaccinations massives et précoces ne sont  pas responsables de l’inquiétante augmentation des autres maladies.  Des maladies infectieuses, on est passé aux « maladies évitables par les vaccinations ». Et les princes régnants du trust pharmaceutique, comme les nomme Jean Ziegler dans l’Empire de la Honte, s’attribuent  des salaires jusqu’à deux chiffres de millions d’euros / an.  Alors que la malaria, qui est la maladie la plus répandue dans l’hémisphère sud, n’était pas concernée puisqu’elle touche une population pauvre, non solvable.  Il a fallu l’hostilité de plus en plus grande de l’hémisphère nord envers les vaccins, pour  que les princes se souviennent du continent maudit qu’est l’Afrique avec ses habitants pauvres et malades  végétant au-dessus d’un sous-sol riche qui assure leur solvabilité. L’OMS est là pour  les recommandations, ânonnent  les ministres de la Santé.  Mais cette Organisation a changé, nous ne sommes plus dans les années 70 où elle faisait de la prévention, se souciait  de l’environnement, réagissait aux besoins non à l’offre. Ses finances venaient des contribuables, les contribuables. De nos jours, elle a d’autres maitres. Privatisée à 80 % et comme toute démocratie qui se respecte, les 20 % étatiques obéissent à la majorité. Lors du fiasco du vaccin AH1N1, Le Point.fr va jusqu’à s’interroger : « L’OMS dans les griffes des lobbyistes ? »  L’UE a parlé de graves lacunes et conflits d’intérêts. D’après Wikipédia,  «selon sa constitution l’OMS a pour objectif d’amener tous les peuples du monde au niveau de santé le plus élevé possible, la santé étant définie…comme un  «état de complet bien-être physique, mental et social et ne consistant pas seulement en une absence de maladie ou d’infirmité. »  Paroles de son directeur général, l’Ethiopien Tedros Adhanom qui a commencé par choisir,  Mugabe comme  ambassadeur de bonne volonté de l’OMS. Dictateur, depuis 1980, du Zimbabwe, la Bonne Volonté de l’OMS se soigne à l’étranger ainsi que toute sa famille. Tandis que le S.G. de l’OMS, du temps où il était ministre de la Santé de l’Ethiopie, dissimulait des épidémies  de choléra qui ont causé plusieurs centaines de morts, d’après le New York Times.

La Régence, qui va se soigner à l’étranger, douée aussi  pour dissimuler les épidémies de choléra, a donc de fortes chances de gérer, un jour, l’OMS qui est pour la santé ce que la FIFA est au sport-roi. Ce n’est pas facile de reconnaitre  une épidémie de choléra quand on est ministre de la Santé. Avec entrain  Wikipédia précise d’où vient l’argent de l’OMS : « Financements : …en partenariat avec 80 groupes (ONG, industries pharmaceutiques et fondations caritatives telles que la Fondation Bill-et-Melinda-Gates et la Fondation Rockefeller.) » Bill Gates est le principal bienfaiteur de l’OMS et  d’après Le Point.fr, l’un des plus grands promoteurs des OGM dans le monde.  En janvier 2005, Bill Gates a donné 750 millions à une organisation qui lutte pour la vaccination la GAVI où on retrouve des laboratoires pharmaceutiques, l’OMS, l’Unicef..  

Margaret Chan, deux fois élue à la tête de cette Organisation confirme : « les pratiques financières actuelles font de l’OMS une organisation fondée sur les ressources et non sur les résultats. L’argent dicte ce qui est accompli. » Bien placée pour recommander la vaccination obligatoire et massive à son pays, la Chine. Et c’est un tribunal chinois qui condamne  GSK à payer une amende de 378 millions d’euros pour avoir versé 388 millions de pots-de-vin à des médecins et officiels chinois (Challenges.fr).  Pourquoi corrompre pour vendre un produit qui va sauver un pays dont la politique est l’”enfant unique” ? Ghislaine Lanctôt, parle d’un système de maladie et non de santé : « En remontant l’échelle hiérarchique du pouvoir décisionnel de la médecine, on trouve, tout en haut, Dr Rockefeller : les banquiers mondiaux propriétaires des multinationales pharmaceutiques et technologiques…qui exigent des profits à n’importe quel prix …en utilisant l’OMS comme paravent. » Donc c’est l’argent, non la santé  qui fait courir les « vaccinateurs » y compris en Algérie où les hôpitaux algériens les plus fiables  se trouvent en France. On l’a compris, si cette dernière boude le gaz de schiste, les OGM de Monsanto, et les vaccins combinés Windows -Gates, tout ce bazar à la Dracula  se retrouve tranquille chez les ex indigènes qui ne se sont même pas débarrassés des maladies moyenâgeuses. En enquêtant sur  la générosité de Bill Gates qui est partenaire en Afrique avec Monsanto, la sociologue McGoey de l’université de l’Essex déclare : « Honnêtement, je ne peux évaluer les bienfaits qu’ils ont apportés (le couple Gates) et c’est ça qui est effrayant ». Dans la revue médicale The Lancet, des chercheurs affirment n’avoir pas réussi à voir plus clair. Les faits leur donnent raison puisque depuis 16ans que le couple Monsanto-Gates est en Afrique et malgré leur générosité par millions, le continent est plus malade plus affamé et plus instable qu’avant. Pourtant, la Fondation Gates possède 1,5  milliard d’actions des laboratoires qui détiennent tous les brevets des molécules essentielles. Sans oublier les 23 millions de dollars d’action (2010) de Monsanto, des actions dans l’industrie des armes, de la finance, du pétrole, … (6)

Le Gardian et Novethic citant les travaux de Grain.org, une ONG pour une agriculture respectueuse de la biodiversité, nous démontrent  pourquoi Bill Gates est à Mère Theresa  ce que l’aspartame est au miel bio.  Le 1e  groupe qui bénéficie le plus de la Fondation  Gates ce sont des organismes internationaux :  BM (Banque mondiale) , l’AGRA (Alliance pour une Révolution Verte en Afrique, inspirée par l’ancien Secrétaire général de l’ONU, Kofi  Annan,  et financée par la Fondation Gates et Fondation Rockefeller),  l’AATF (Association des Administrateurs Territoriaux de France)  et  CGIAR ( Groupe consultatif pour la recherche agricole internationale) fondé par la BM et qui a fait la Révolution verte en Asie. Que du beau monde !

Le 2e, groupe bénéficiaire de « Saint-Bill » ce sont des organisations de laboratoires et d’entreprises à 80 %  basées aux USA et en Europe, à peine 10 % en Afrique.

 Selon Grain.org, la Fondation est pyramidale : le chef et les autres. Sans surprise, les agriculteurs africains clôturent la chaîne. Ils ont les mêmes  revendications que leurs homologues algériens et ukrainiens : plus de moyens scientifiques et plus d’union. Tel un rêve Monsanto : espace et pesticides sans limite. La Fondation  expérimente même sur place un vaccin contre le sida, l’Ebola, la malaria… au point où l’Afrique inaugure le faux carnet de vaccinations (7).  Quel traumatisme ont subi les mères africaines  pour éviter le vaccin à leurs bébés, cadeau de l’Oncle Bill. Nous sommes dans la case des sous-humains, en cas de problème à quel tribunal s’adresser ? Big Pharma  est tenu par 4 noms : (le français Sanofi, l’anglais GSK,  Pfizer et Eli Lilly USA)  avec des études scientifiques financées principalement par FDA (Agence américaine des produits alimentaires et des médicaments).  Même le président Trump, caméléon dans ses convictions, reste constant dans son hostilité aux vaccins et aussi impuissant que Mr tout le monde : « Dans ma jeunesse, l’autisme n’était vraiment pas un problème. Et maintenant tout à coup, nous avons affaire à une pandémie. » Aux USA, une mère a plus de chance d’avoir un enfant autiste qu’un génie puisque la probabilité de ce dernier est de 1/50 et pour  le premier, 1/45. Durant la campagne présidentielle,  madame Trump a déclaré : « Vaccinez vos enfants, disent-ils. C’est absolument sans danger. Le seul problème c’est que ces « ILS » ne font pas vacciner leurs propres enfants. »  (8)  Qui mieux qu’elle peut le savoir…  Qui sont les provaccins et les antivaccins ? D’après les mass-médias, les premiers sont des experts qui ont à cœur de préserver  l’espèce humaine, les seconds de dangereux « complotistes » qui veulent son extermination.  La France, championne du vaccin obligatoire, habituée aux scandales médicaux, ne  trouve pas plus de 200 médecins pour un appel à la vaccination. Elle aurait pu puiser dans le lot des migrants. D’après  l’Ordre de  la République, de 2010 à 2017 seulement, l’Algérie lui  a fourni 4800 toubibs. Signalons que les signataires de l’appel pro-vaccin sont tous de hauts fonctionnaires du ministère de la Santé, d’éminents scientifiques, des chercheurs  des laboratoires, des directeurs d’hôpitaux et des experts que les medias s’arrachent.  Quelle ingratitude quand on estime qu’une marque médicale peut payer en nature, pour un seul médicament, 1,5 million d’euros pour convaincre les assermentés d’Hippocrate français. Un vaccin pour une  maladie lui rapporte pas moins de 1,5 milliard d’euros /an en France. En comparaison, le porte-étendard des anti vaccins, le professeur  Henri Joyeux, radié depuis 2016,  recueille 1,5 million de signatures dans sa lettre au Président français et à la ministre de la Santé pour dénoncer une vaccination obligatoire insensée. Les autres pays se montrent plus prudents et plus efficaces politiquement parlant. La Suisse préfère recommander et ses laboratoires offrent la possibilité aux chercheurs français  d’analyser la dangerosité d’un vaccin.  Sous la pression populaire, la Suède  a interdit les vaccins obligatoires les jugeant anticonstitutionnels. Le Japon n’a pas hésité à interdire le Gardasil, le fameux vaccin contre le cancer de l’utérus qui a détruit  la vie de dizaines de milliers de jeunes filles…

En Belgique,  où certains politiciens n’ont pas trouvé mieux que de conseiller aux garçons ce vaccin qui contient de la mort-aux-rats (le borax) , un seul  vaccin est obligatoire celui de la polio.  En Chine, on a vu comment le géant britannique GSK s’y est pris. Quant à la Russie, c’est le méchant Oncle Sam qui joue au Père Noël. « Faites l’amour, mais pas la guerre » est devenu faites le commerce et feignez de faire la guerre. C’est les USA qui ont financé le programme de vaccination de la Russie contre l’hépatite B. La Russie se montre meilleure élève que la Chine et plus chanceuse que la France : 11 vaccins obligatoires dans le secret et ose les nanoparticules (Nanotech). Nous sommes carrément dans la 5eme dimension.  Poutine est vraiment sous le coup de foudre et l’Association des pédiatres russes le pousse à sanctionner les parents récalcitrants…  Et dire qu’avant que les deux médecines ne s’acoquinent, les déçus de la médecine occidentale allaient en Chine, aux Indes, au Japon, à Cuba, en Russie…pour une médecine plus humaine. Grosso modo, le vaccin c’est mourir de cancer pas du tétanos, mourir du diabète pas de la tuberculose, mourir de la pollution pas de la polio, mourir dans un attentat non de la grippe, mourir du cancer du sein pas de celui du col de l’utérus, mourir de la prostate, non de l’Hépatite B, mourir du chômage pas de la fièvre jaune, mourir de malbouffe, pas du cholera, mourir de mal-vie, pas du « mal-vacciné ».  Au point où l’Algérie effondrée direction l’enfer, parole officielle,  se rappelle au bon souvenir du vaccin. Hier, l’argent coulait à flots et dans les  journaux on parlait de bébés morts par manque de vaccin. Pour les parents chanceux d’atteindre l’élixir, la  chaine dés l’aube, le carnet fourni à l’avance et encore mieux,  un petit  piston par-ci par-là. On était convaincu,  pas de vaccin, pas de vie pour le nouveau-né.   De nos jours, pas de flouss, mais la baraka vaccinale est assurée à l’avance.  Seulement les géniteurs  voient ce qui se passe en France et en Europe, ils ont peur que leurs  rejetons  remontent fissa au Paradis à la suite d’une « overdose » halal. Telles les « vierges sacrifiées » au vaccin du col de l’utérus ( Gardasil), en Occident. L’Etat évoque le complot comme l’Etat Kenyan au sujet du vaccin contre le tétanos qui provoque des fausses couches. De guerre lasse, on peut ânonner bêtement : à qui profite le crime ? A la maladie ou au vaccin qui la bloque/ débloque ?  L’OMS  insiste pour vendre le « miracle » et le pays, au bord de l’enfer, a les millions d’euros pour soulager sa conscience avant même de lancer la planche à billets pour payer les fonctionnaires. L’Algérie qui a laissé son système de santé s’effondrer avant elle, promet d’assurer  la vaccination de tous les bambins  avant la fin de l’année avec la bénédiction de l’Organisation.  Quand on voit les sociétés primitives vivant en symbiose avec la nature, minces, musclés, en bonne santé, ignorant tout d’Hippocrate,  on voit le miracle au naturel. Contrairement au miracle scientifique qu’il  faut imaginer avec notre obésité, notre diabète, notre tension, notre cancer, nos antidépresseurs, notre pollution et  notre hantise perpétuelle de tout et de rien.

Alger suit Paris qui a un président, ex-banquier et  une  ministre de la Santé, ex employée des laboratoires  pharmaceutiques.

Sultane et suivante.  Comme d’habitude,  la campagne française de vaccination semble bien impliquée.  En Algérie,  pot-de-vin ou pas, caisse vide ou pas, il y a la grotte d’Ali Baba du sous-sol, vaccin contre or ;  il y en a de toutes les couleurs. Comme le mercure dont il raffole, le précieux métal  a tendance à empoisonner son nid avant de s’envoler.  Et le ministre n’a pas trouvé mieux que d’accuser les directeurs d’écoles d’avoir semé la suspicion en exigeant la signature parentale. Comme si on était en Finlande où le directeur et les parents à eux seuls forment un ministère de l’Education. De là à former celui de la Santé, c’est une autre affaire. Cet acharnement booste le doute et en Occident,  cette fuite vers les indemnisations sous la pression populaire, affole.  Au Canada, un tribunal accorde 61 millions de dollars pour indemniser un enfant victime. En Italie, un tribunal indemnise à vie un enfant autiste à la suite du vaccin Infanrix hexa etc.

 Aux  USA, 142 millions de dollars à débourser pour l’Administration des Ressources et des Services de Santé pour la seule demi-année fiscale de 2017. On estime que le gouvernement américain a versé près de 3,6 milliards de dollars pour les victimes «… à partir de 2017, il y a eu au moins 63000 enfants dont la santé aurait été endommagée par les vaccins en  Amérique. Mais les médias insisteront sur les 48 enfants qui ont eu la rougeole au Michigan (9)). On estime le nombre des victimes  100 à 1000 plus important. Les causes :-  le médecin fait généralement le nécessaire  pour décourager les parents-  S’ils ont l’argent pour l’avocat, ils doivent attendre de 2 à 10 ans la décision du « tribunal spéciale »- Les effets néfastes de la vaccination peuvent mettre plusieurs années à se manifester- le rejet de la requête…En Italie, après 25 ans, une victime a réussi à se faire indemniser…  Lors du fiasco du vaccin AH1N1,  un journaliste français demande à une Mme tout le monde pourquoi  elle a refusé  de se faire vacciner. Réponse : « J’ai demandé à mon médecin de famille s’il s’était  vacciné ;  il m’a répondu non ». Les toubibs profitent et  boudent le vilain petit vaccin. Pourtant, il suffit  de vacciner enfants et petits-enfants des dirigeants politiques et médicaux en direct à la télé  sous l’œil d’un huissier assermenté pour résoudre le problème. C’est important un vaccin s’il est sans danger et capable de protéger un enfant. Aucun parent ne peut être en désaccord avec un Bill Gates quand il dit aux Etats à Munich de « se préparer  à une pandémie comme ils se préparent à la guerre » (10) Mais il faut d’abord avoir la certitude que les enfants Gates sont protégés du mal de la même façon  que ceux de la populace. Leur héritage ne sera que plus fabuleux…  Les effets secondaires graves des vaccins ne seraient pas de 1 pour 1 million, mais 1 sur 10 selon le VAERS (système officiel américain de recensement) des moins de 6 ans. Question : Pourquoi les médecins ne se soulèvent  pas ? Une minorité l’a fait, elle a payé le prix. Pour la majorité, elle a  peur de perdre son gagne-pain, ses avantages. Savent-ils au moins quelque chose du vaccin à part l’injecter et empocher les honoraires ? Le Dr Saluzzo Directeur de la Production des vaccins viraux de Sanofi Pasteur et  consultant de l’OMS, tout sourire, explique que personne ne sait comment fonctionnent les vaccins qui ont fait des millions de morts et qu’il faut continuer à les fabriquer et les injecter aux autres (11) . Il dit exactement ce que disent les anti-vaccins à une seule différence près.

Mais les politiciens qui prennent en otage la population veillent au grain d’or.   Hippocrate a dit : « ce qui produit le mal qui n’est pas, guérit le mal qui est. » Vérification par le docteur Hahnemann, fondateur de l’homéopathie qui s’est aperçu que le quinquina, utilisé pour guérir de la malaria, provoque les mêmes symptômes chez une personne  qui n’a pas cette maladie. Pas étonnant qu’un corps sain se retrouve malsain en s’abritant sous le mauvais esprit.  Pourquoi on parle du corps médical non de l’âme médicale, s’interroge Lanctôt  : « Ai-je raison ou tort ? Ni l’un ni l’autre. C’est ma vérité à moi. Je vous invite à trouver la vôtre, à l’intérieur de vous…C’est là qu’elle se trouve et non dans les enseignements du Dr. Rockefeller, pas plus que dans mon livre…quand je ne comprends pas ce qui motive des décisions gouvernementales (car la médecine est un monopole gouvernemental). Je me répète : « Si le gouvernement te dit de tourner à gauche, je tourne à droite. Et s’il te dit de tourner à droite, tourne à gauche. Ainsi, tu ne feras jamais d’erreur. » (12)  Elle parle du gouvernement canadien et américain, là où elle a exercé son métier et où elle a dirigé des cliniques financées par des gens qui lui ont fait confiance avant que Big Pharma ne la transforme en SDF.  Du temps de la guerre froide,  un savant soviétique  a donné au commandant d’un sous-marin sept souriceaux non sevrés pour les noyer un par un à l’aide de tubes lance-torpilles durant 15 jours. Les horloges du laboratoire et du sous-marin furent synchronisées. Sept pics de l’encéphalogramme de la génitrice, restée sur le continent,  furent constatés  à l’instant précis de la mise à mort de ses petits. Moins paranormale est l’inquiétude ressentie par une mère qui va vacciner son bébé en bonne santé. Inculper un petit mal pour éviter le grand et prier d’éviter la fatalité de l’impossible risque zéro. Pendant que les promesses mirifiques de la médecine moderne nous explosent dans les boyaux, les vaccins s’occupent du cerveau  au berceau.  

Pas étonnant que l’OMS prophétise que désormais, elle allait s’attaquer aux maladies mentales qui pèsent  trop sur le budget des Etats, 1000 milliards de dollars/an. Question débattue avec  la BM (Banque mondiale)  avec ce constat : un dollar dépensé pour les nerfs rapporte 4 dollars et une urgence médicale sur 5 est causée par le stress  (13). Pas étonnant de finir comme la vache folle puisqu’on a, en plus, pensé à mettre des tissus de fœtus  humains avortés dans le vaccin … (Suite)

M.M.

Notes

(1) : Qui Aime bien, Vaccine peu (Groupe médical de réflexion sur les vaccins, les médecins généralistes pédiatres et homéopathes : Françoise Berthoud, Pascal Büchler, Nathalie Calame, François Choffat, Jean-Paul Ecklin et Michel Georget)

(2) -: Vincent Fischette de l’Université Rockefeller New York

(3):  Inde ( British Medical Journal, mars 2001

( 4):  CDC (Centers for Disease Control and Prevention)

( 5 ): Show Tucker Carlson : invité RFK Jr.  

(6) : Mediapart (  05/09/2014)

(7) : Le Monde Afrique (20/02/2017)

(8) : 13/11/2016 Source: initiativecitoyenne.be

(9) : Source : Natural. News 11/05/2017   

(10) : Le Monde ( 20/02/2017)

(11) 16/01/2013 Source : initiativecitoyenne.be

(12)Ghislaine Lanctôt (La mafia médicale, entretien avec  Vents Croisés)

(13) : Rencontre organisée OMS-BM (13 /04/ 2016 Washington (USA).

 

Auteur
Mimi Massiva

 




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Harragas de mères en fœtus : la dernière révolution des jeunes Algériens !

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15 embarcations ont quitté le pays le 1er novembre

Harragas de mères en fœtus : la dernière révolution des jeunes Algériens !

Lu dans la presse : une quinzaine d’embarcations de harragas ont quitté les côtes mostaganemoise, la nuit du 1er novembre, vers la vieille Europe… vers l’indépendance! Tout un symbole!

À Ain Témouchent, c’est une trentaine d’hommes et de femmes qui ont été interceptés avant le départ, tandis qu’au large des côtes d’Annaba c’est un groupe d’une vingtaine de personnes qui a été arrêté. Il y a de cela une semaine, c’était l’histoire incroyable d’une femme enceinte, qui avait atteint les côtes espagnoles, en compagnie d’autres désabusés, qui avait suscité l’émoi: harragas de mères en fœtus ! 

Portant la vie, à l’aube de celle-ci, à sa charnière ou à son crépuscule, des Algériens, de tous horizons quittent ou rêvent de quitter le pays. Qu’importe le moyen, du moment où l’espoir qui fait vivre, ne vit que sur l’autre rive.

Il y a ceux qui s’entassent dans les pirogues de la mort, qui font saliver les sardines, et ceux qui se rassemblent par milliers, comme des sardines aussi, devant une ambassade ou aux portes d’un centre culturel de l’ancien colon. C’est l’exode de tout un peuple, qui fuit les prémisses d’un trouble, une rumeur d’apocalypse ou la promesse d’un enfer ! Pendant ce temps, les ronds de cuir du régime et ses bateleurs continuent d’abreuver ceux qui veulent bien les croire de leur vulgate nationalo-populiste.

L’effet Ouyahia

A son arrivée aux manettes du gouvernement, Ahmed Ouyahia, version antéchrist, avait annoncé la fin d’un monde : celui de la « zerda », où le pétrole « enivrait » pauvres et malandrins et où la conscience collective se complaisait dans une opulence imaginaire : naïveté puérile !

A contre-emploi, le serviteur de « moul el guitoune » (propriétaire de la guitoune), a gâché la fête, coupé la sono et allumé des spots sur notre indigence, nudité et peur. Il nous a téléporté, à chacune de ses apparitions, de l’euphorie à l’abattement, des royaumes des cieux aux enfers.

Et comme alternative, il nous offre la continuité exténuante et annonce subtilement que l’immortel « moul El guitoune », 80 balais et trois AVC au compteur, peut  encore rempiler pour un autre bail, puisque son saint programme ne s’achèvera qu’une fois la prophétie accomplie, la guitoune vendue, partagée voire vidée.

Le catastrophisme, les lendemains mornes et les desseins cruels que nous promet Ouyahia constituent une invitation au suicide collectif, même que le dinar, pourtant dépourvu d’âme financière, s’est précipité dans le gouffre du square, rencontrer son destin tragique de monnaie en carton.

Les jeunes âmes algériennes, préfèrent quant à elles, les rames aux armes, l’inconnu au vieil ennemi connu. Elles défient les vagues et les brisants pour ne pas subir les brigands, les lois d’Archimède pour ne pas vivre celles des tyrans.

Elles quittent et meurent en silence, bercées par les flots, les chants des sirènes, les cliquetis des euros et le rêve de l’Éden.

Car elles savent, ces âmes trahies, qu’une mer déchaînée, est parfois plus clémente qu’une mère qui enchaîne et qu’au pire, quitte à mourir, c’est en âmes libres qu’elles s’en iront.

Auteur
Hebib Khalil

 




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Des plaintes d’abus sexuels en pagaille contre son personnel

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Civils victimes de la guerre en RD Congo

Entre le 1er juillet et le 30 septembre, 31 plaintes d’abus sexuels présumés à l’encontre de personnels de l’ONU ont été recensées dans le monde, a affirmé vendredi le porte-parole des Nations unies, Stéphane Dujarric.

Cette comptabilité entre dans la politique du secrétaire général Antonio Guterres d’une tolérance zéro en matière de violences sexuelles commises par des personnels civils et militaires de l’ONU et d’une volonté de transparence, a-t-il précisé lors de son point-presse quotidien.

Les faits relatifs à ces plaintes n’ont pas encore été tous confirmés et certaines d’entre elles n’en sont qu’à une phase d’enquête préliminaire, a ajouté le porte-parole.

Sur les 31 plaintes, 12 visent des personnels dans des opérations de maintien de la paix, 19 des employés d’agences ou de programmes de l’ONU. 10 sont liées à des abus sexuels, 19 à de l’exploitation sexuelle, et 2 sont de nature encore inconnue.

Parmi les organisations concernées, 15 plaintes visent des employés du Haut commissariat aux Réfugiés, 4 concernent la mission de paix Monusco en RDCongo, 3 celle au Liberia, 2 l’opération en Centrafrique et 1 plainte cible un membre de l’UNICEF (agence chargée de la protection des enfants).

Les faits présumés ont été commis pour 12 d’entre eux en 2017, 2 en 2016, 6 en 2015 ou lors d’années précédentes. La date de 11 faits dénoncés n’est pas connue, a indiqué Stéphane Dujarric.

Dans les 31 plaintes, 38 hommes sont soupçonnés et 72% des 36 victimes présumées sont des femmes, 19% des filles.

Au cours de la même période de trois mois, 14 enquêtes ont été déclenchées, a enfin déclaré le porte-parole.

En application de la nouvelle politique d’Antonio Guterres, l’ONU a développé un outil informatique pour recenser tous les personnels de l’ONU ayant été soupçonnés d’abus sérieux ou d’exploitation sexuelle. Un effort a aussi été entrepris dans la formation des personnels avant leur déploiement et la sensibilisation des pays contributeurs de troupes.

Depuis une douzaine d’années, une pléiade d’affaires d’abus sexuels ont terni plusieurs opérations de paix dans le monde. Parmi les pays concernés, figurent la Centrafrique, la RD Congo, la Côte d’Ivoire, la Somalie, le Soudan, l’Afghanistan ou Haïti.

AFP
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Rachid Boudjedra change d’avis sur Kamel Daoud

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Polémique

Rachid Boudjedra change d’avis sur Kamel Daoud

Rachid Boudjedra et la maison d’édition Frantz-Fanon auraient décidé de retirer le passage dans lequel Kamel Daoud a été accusé d’avoir été membre du Groupe islamique armé (GIA) pendant la « décennie noire ».

Dans un communiqué publié, le 31 octobre, dans le Temps d’Algérie, Rachid Boudjedra annonçait sa décision de retirer le passage incriminé. « Le pamphlet Les contrebandiers de l’histoire, porte fondamentalement sur la trahison et l’usurpation de l’histoire nationale par certains intellectuels et écrivains algériens », se targuait Rachid Boudjedra pour justifier ses règlements de comptes.

Il faut rappeler que Kamel Daoud a déposé plainte contre Rachid Boudjedra et son éditeur suite à cette grave accusation.

Comme première solution, l’auteur et son éditeur ont annoncé qu’ils profiteront du tirage de la deuxième édition pour sucrer la nouvelle version du passage qui a suscité un dépôt de plainte et la polémique. Cependant rien n’est encore définitif si l’on en croit les déclarations recueillies par Jeune Afrique auprès de l’éditeur Amar Ingrachen. L’éditeur assurait au magazine que « s’il retire sa plainte (Kamel Daoud NDLR), nous concrétiserons notre annonce de supprimer le passage en question ».

 

Auteur
La rédaction

 




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Chay se solidarise avec Sadmi et quitte le navire kabyle

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Jeunesse Sportive Kabylie

Chay se solidarise avec Sadmi et quitte le navire kabyle

Après la démission de Sadmi, c’est maintenant l’entraîneur français Jean Yves Chay qui rend le tablier. C’était prévisible puisqu’on voyait mal le coach poursuivre sa mission sans la présence de celui qui la fait revenir au club.

Et voilà donc la JSK qui se retrouve, une fois de trop, sans président ni entraîneur à la veille d’un important et difficile déplacement à Sétif. Les membres du directoire, à leur tête Azlef continuent de cafouiller et ne savent plus où donner de la tête. Après avoir confié les destinées de la JSK à Hamid Sadmi sur la base de promesses farfelues d’un investisseur italien, les voilà, à nouveau, sur le point d’offrir, sur la foi de bonnes paroles, le club à un trio d’hommes d’affaires.Comme ça été fait avec Sadmi, Medjene et Zaouaoui vont donc intégrer le directoire provisoire et même présider le club sans qu’ils n’achètent aucune action.

Pouvaient-ils d’ailleurs le faire (acheter des actions) sans que le capital ne soit ouvert ? C’est d’ailleurs là le vrai nœud de tous les problèmes du club.Quà cela ne tienne ; les deux hommes ont été accueillis à bras ouverts par Azlef et les autres actionnaires dès lors qu’ils ont fait la promesse d’injecter immédiatement des liquidités dans les caisses vides du club et assurer, au moins, le payement de deux mensualités aux joueurs et salariés.

Hommes d’affaires connus à Tizi Ouzou, Medjene et Zaouaoui voulaient, déjà, racheter la majorité des actions le mois de septembre dernier mais les membres du directoire et ceux du comité de surveillance ont préféré opter pour Sadmi, trouvant, par la même occasion, le projet des deux hommes peu fiable. Comment donc un tel projet a pu trouver « grâce » aux yeux d’Azlef et consorts deux mois plus tard ? Probablement parce que cette fois ci Medjene et Zouaoui ne sont pas revenus, à la charge, seuls.Ils ont fait appel à un homme qui connaît que trop bien la maison et les affaires du football, en l’occurrence Azzedine Ait Djoudi.

Débarqué du club marocain de l’OC Khouribga, l’ex-entraîneur des Canaris promet lui aussi d’injecter de l’argent dans les caisses du club et occupera, à temps plein, le poste de directeur sportif. Pour séduire tout le monde, les nouveaux maîtres de la JSK promettent de convaincre le richissime homme d’affaires, Issad Rebrab d’adouber leur projet. Le patron de Cevital, disent-ils, sera le nouveau grand sponsor des Canaris.

Pour l’heure, tout ça est de l’ordre des promesses car même si les trois hommes vont prendre le pouvoir dans l’immédiat, la concrétisation du projet se fera dans les semaines voire les mois à venir.

Ainsi,l’urgence est d’abord de trouver un remplaçant au coach Jean-Yves Chay. Kherroubi, dit on, pourrait driver l’équipe face à l’Entente ce samedi ou à défaut, c’est Azzedine Ait Djoudi qui assurera l’intérim. L’actuel manager sportif, Karim Doudéne aura-t-il son mot à dire sur ce sujet ou c’est Azzedine Ait Djoudi qui se glissera, déjà, dans ses nouveaux habits de directeur sportif ? C’est sans doute après ce match face au champion d’Algérie en titre, que les choses vont s’accélérer.

On parle d’un probable retour de Moussa Saïb comme entraîneur. C’est du moins le souhait du futur nouveau directeur sportif. Reste a savoir si l’ex-star de l’AJ Auxerre va accepter ce challenge lui qui déclare à chaque fois privilégier ses affaires personnelles plutôt que le métier d’entraîneur. La réponse on l’aura très rapidement.

Auteur
Rédaction sportive

 




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Autres Climats de France à Alger (*)

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Raz-de marée des étudiants devant le CCF

Autres Climats de France à Alger (*)

Comme l’année dernière, la procédure « Campus France » démarrera en 2017 par une prise de rendez-vous en ligne. Seulement, victime d’une affluence record (dépassant parfois les 700.000 connexions), le site internet de pré-enregistrement beuguera, l’incident bloquera l’ensemble de la plateforme et contraindra les postulants algériens à s’identifier non plus à distance mais en se déplaçant au niveau de l’İnstitut français d’Alger (İFA), cela à compter du dimanche 29 octobre. En concentrant involontairement sur cette seule journée les inscriptions au test de connaissance du français (TCF), un examen indispensable à l’obtention d’un visa universitaire, la diplomatie hexagonale révélera en pleine lumière le mal-être d’impétrants disposés à s’offrir coûte que coûte l’assignation à une vie meilleure ailleurs.

Jugées humiliantes et traumatisantes, les images montrant des centaines de jeunes venus, souvent de loin, s’agglutiner à proximité des grilles de l’ex-caserne Charon renvoyaient quelque peu à celles de l’avant chute du mur de Berlin, lorsque des germaniques prisonniers du rideau de fer trouvaient en août et septembre 1989 refuge dans les ambassades de la République fédérale allemande (RFA) domiciliées à Berlin-Est, Varsovie, Prague ou Budapest. Privés des plaisirs du consumérisme de masse, ceux-là souhaitaient gagner le camp occidental et capitaliste des ennemis du socialisme vertueux, s’éloigner des rationnements hebdomadaires orchestrés à partir de slogans sonnant de plus en plus creux dans la tête de devenus incroyants. C’est aussi parce qu’ils n’ont plus foi aux mots d’ordre de dirigeants hors-sol, que les bacheliers plombés par une politique rentière bénéfique aux clans de la nomenklatura tentent de rejoindre les 25.000 compatriotes déjà intégrés aux facultés de l’intelligence accumulée et émancipée.

İnterrogé par « Ennahar Tv », le ministre des Moudjahidine, Tayeb Zitouni, reliera leur exil, survenu à la veille du 63ème anniversaire du 1er Novembre 54, à une planification préméditée par les suppôts de la main extérieure. En échos, le secrétaire général du Front de libération nationale (FLN), Djamel Ould Abbes, puis le président du parti El-Karama, Mohamed Benhamou, compareront (sur « Ennahar Tv » et « El-Bilad ») les fuyards à des traîtres (apparentés à des harkis) ou à des khobziste (opportunistes mangeurs de pains frais), ce qui démontre le flagrant décalage existant entre de vieux tôliers du système de la mamelle et des aventuriers du savoir tapant aux portes d’une destinée plus alléchante. İls échapperont ainsi à un enseignement faussement supérieur, à des enceintes pédagogiques taraudées d’incompétences, et où les post-graduations se négocient sous couvert de trafics d’influence, fuiront la hogra (mépris) locale, les délits d’opinion basés sur l’intolérance, la xénophobie et l’anti-cosmopolitisme culturel.

Les divers gouvernements algériens ont depuis longtemps abdiqué face au fondamentalisme religieux et si lors de l’inauguration du Salon international du livre d’Alger (SİLA), l’actuel Premier ministre affirmera que la littérature peut servir à « Exporter l’image positive du pays », il savoure en réalité la vision de ces files d’attente (rappelant aussi les longues queues endurées aux abords des anciens souk-el-fellah), car sachant parfaitement que les candidats au départ ne gonfleront pas les rangs des marcheurs de rue, refusent de la sorte la lutte frontale pour prendre à la lettre le « dégagisme » cher au leader de la « France insoumise », Jean-Luc Mélenchon.

La nausée a eu raison de l’esprit nationaliste et les poussera donc vers l’unique artère de salut, celle du centre culturel de l’ex-colonisateur. Le flux d’aspirants prêts à escalader ce lieu et la vague d’indignation qu’il suscita ne sont pas, malgré la causalité avérée, les deux faces d’une même monnaie mais bien des pulsions dissemblables qui s’entrechoqueront jusqu’à éclabousser l’écran de tous les trompe-l’œil. La France possède aux yeux des proposés à l’exode ce pouvoir d’attraction qui fascine et soulève concomitamment la haine des djihadistes nés dans la patrie de Voltaire.

Puisque le chef de l’Exécutif, Ahmed Ouyahia, respecte, à l’instar d’Abdelaziz Bouteflika, les groupes islamistes armés (GİA) profitant des largesses de la Concorde civile, reconnaît par là même leur légitimité de combattant, qu’il accueille en Algérie les misfits (désaxés) et déglingués qui reviendront d’İrak, de Syrie ou de Libye. Le deal se soldera finalement en un simple échange de bons procédés : les fous de Dieu du côté sud de la Méditerranée et les mordus d’instruction sur sa rive septentrionale.

S-L. F.

(*) Référence ici à l’article « Climats de France à Alger » (paru en décembre 2016 sur le webzine huffington post Algérie) ainsi qu’à un futur ouvrage au titre identique.

Auteur
Saâdi-Leray Farid, sociologue de l’art

 




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L’élu local et le peuple ou la fausse analyse de l’élite politique !

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Elections locales

L’élu local et le peuple ou la fausse analyse de l’élite politique !

La campagne pour l’élection des membres des Assemblées populaires communales (APC) et des Assemblées populaires de wilaya (APW), prévue le 23 novembre 2017, a débuté le dimanche 29 octobre 2017 à travers tout le territoire national, avec en arrière-plan la nouvelle fonction dévolue à ces collectivités en tant que pilier essentiel du développement local et de dynamisation de la croissance économique.

L’Algérie aborde une année électorale qui mettra en avant la classe politique et le rôle de la démocratie participative. Les élections communales sont toujours l’occasion de revoir, à travers la carte des circonscriptions électorales, le clivage politique dans le pays. Ce sont les premières élections, après la révision de la constitution adoptée par le parlement, le 7 février 2016.

Quelque 165.000 candidats, représentant une cinquantaine de partis politiques, quatre alliances et des groupes d’indépendants, sont en course pour l’élection des membres des APC. Sur l’ensemble de ces candidats, 51,5% sont âgés de moins de 40 ans et 25% ont un niveau universitaire, tandis que le nombre de candidates à cette échéance électorale a atteint 18%. Plus de 16.000 autres candidats postulent pour le mandat de membre d’APW. Parmi les postulants, 48% ont moins de 40 ans, 28% sont des femmes et 34,5% ont un niveau universitaire, selon les statistiques fournies par le ministère de l’Intérieur, des Collectivités locales et de l’Aménagement du territoire.

L’annonce des formations politiques de leur participation aux prochaines législatives tendra-t-elle à édifier une force politique démocratique au seul service de la société et de l’intérêt du pays ? Une nouvelle étape de prise de conscience et de réflexion sera-t-elle franchie, permettant aux partis de proposer de sérieuses alternatives et de vraies réponses au peuple algérien ? Comment s’impliquer dans le débat politique ? Comment décrocher un poste à ces assemblées ?

Les candidats doivent répondre à un certain nombre de conditions strictes, définies par la loi, pour pouvoir postuler à un siège aux deux assemblées. Il est important de rappeler également l’article 32 de la constitution algérienne de 2016 qui stipule que « les citoyens sont égaux devant la loi sans que puisse prévaloir aucune discrimination » pour cause d’opinion ou de toute autre condition ou circonstance personnelle ou sociale, notamment. Cependant, une interrogation s’impose d’elle-même : pourquoi stigmatiser certaines catégories sociales et professionnelles qui veulent être des élus locaux ? Aussi est-il important de souligner qu’en politique, il n’existe pas de savoir universel car tous les citoyens sont au même niveau. C’est uniquement la force de conviction qui fait la différence entre les candidats aux élections. Les défis sont colossaux. L’Algérie dispose de tous les outils permettant aux collectivités territoriales de l’Etat d’apporter une dimension supplémentaire, au combat contre le terrorisme et à la gestion des différentes menaces à la sécurité, y compris celles que constituent les armes légères et de petit calibre et la criminalité organisée. Les citoyens impliqués dans la gestion des affaires publiques devront étudier également la question émergente de la sécurité urbaine. Il serait utile de s’inspirer du rapport français intitulé « le phénomène urbain : un atout pour le futur » enregistré à la Présidence du Sénat, le 9 novembre 2016. Ce rapport mentionne notamment que « de plus en plus nombreux sont nos concitoyens qui appartiennent à plusieurs espaces, plusieurs sphères, habitant ici et travaillant ailleurs. Des sociologues ont d’ailleurs questionné la pertinence d’une démocratie où on vote là où on dort quand l’essentiel de la vie active se passe ailleurs. De plus en plus nombreux sont, en fait, les citoyens qui sont les habitants et les usagers de deux villes ou davantage ».

En vue de relever le défi des prochaines échéances, le principal mécanisme qui permettra aux formations politiques de conserver leur place de leader sur la scène locale c’est de placer l’intérêt interclassiste au-dessus de toute considération. De notre point de vue, le regroupement des adhérents à un parti politique sans en appeler à leurs intérêts de classe, mais sur le choix de valeurs morales ou culturelles permettra d’enrichir le programme d’action des partis politiques.

Auteur
Benteboula Mohamed-Salah, géographe

 




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De retraités « squatteurs » font leur loi !

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Logements de fonction à Béjaia :

De retraités « squatteurs » font leur loi !

Les ex-enseignants de l’éducation nationale ne sont pas disposés à rendre les clés des logements de fonction censés devoir quitter en cessant leur activité. Aussi, devant l’inaction des autorités, le problème demeure compliqué. Exemple à Béjaia, ils font tout simplement leur loi. Les institutions de tutelle s’avèrent incapables de faire le ménage.

Que ce soit au niveau national ou local, l’embarras persiste. A Béjaia, certains fonctionnaires ont décidé de sortir de leur mutisme pour dénoncer les raisonnements des retraités  jugés d’« arbitraires ». Au lycée Sidi Ahmed, quatre retraités refusent de rendre les clés malgré les procédures judiciaires déjà entamées. Deux logements sont toujours occupés, les deux autres sont fermés à clés et leurs propriétaires habitent ailleurs.

Plusieurs bénéficiaires ayant eu leur décision de l’académie de Béjaia trouvent des difficultés de récupérer leurs clés. Notre première interlocutrice, intendante de son état, s’est adressé gentiment aux concernés dans le but de récupérer les clés à l’amiable. Affichant leur refus catégorique, elle entame des procédures nécessaires. « Mon dossier a été accepté. J’ai eu la décision d’occuper le logement mais, en l’absence des clés cela ne peut se faire. Le logement est vide, pourquoi ne pas rendre les clés. Je fais plus de 40 km chaque jour et soir et mon travail est épuisant. Parfois je ne trouve pas de transport » conteste-elle.

« Le logement m’appartient » !

Le prétexte revient souvent au fait que ces logements de fonction reviennent de droit aux ex-enseignants qui continuent de les occuper après leur retraite. L’un des occupants au lycée Sidi Ahmed, dans la banlieue de Béjaia, a pu avancer à notre interlocutrice qu’il est de son plein droit de profiter de ce logement. D’ailleurs, n’importe qui de sa famille peut y résider, selon lui.

D’autres établissements sont concernés par ce dossier qui semble « atterrant » et « ingérable », si l’on en croit les propos des premiers concernés. Au lycée, El Houria, 11/13 logements sont occupés par des retraités. Une bénéficiaire déclare avoir aussi une décision de l’académie. Mais le problème ici remet en cause le proviseur. « Il refuse de donner les clés, sans aucune raison avancée ». « C’est injuste. Je suis une femme mariée et j’ai eu le droit à un logement dont je ne bénéficie pas ».

Le cas le plus pénible concerne celui des familles des défunts qui squattent encore les logements de fonction au secondaire. « Certains retraités sont décédés et les logements demeurent encore occupés par leur familles », apprend on.

Au lycée Khaled-Massaoud à Darguina, à l’est de Béjaia, la tension monte. Les bénéficiaires sont aussi au bout de leurs nerfs. « Nous retenons notre colère. Nous sommes vraiment pacifiques ! Nous attendons l’intervention de l’académie ou du ministère de l’Education, en vain ».

Trois logements de fonction sont occupés par des retraités qui habitent ailleurs. “Cela demeure injuste. Parfois, ils se permettent de les louer », peste un autre bénéficiaire en colère.

 

Auteur
M. Outemzabt

 




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