19 mars 2025
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Le Bayern battu à Mönchengladbach

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Bandesliga

Le Bayern battu à Mönchengladbach

 Le Bayern Munich n‘a pas profité du match nul fou entre Schalke et Dortmund (4-4) pour faire une bonne opération lors de la 13e journée de Bundesliga. Au contraire, les hommes de Jupp Heynckes sont allés s‘incliner sur la pelouse du Borussia Mönchengladbach (1-2) ce samedi, mettant fin à une série de neuf victoires consécutives, toutes compétitions confondues. Thorgan Hazard ouvre le score sur penalty à la 39e minute.

Cinq minutes plus tard, Ginter, complètement oublié au second poteau, marque le but du break dans la cage vide, sur un service de Stindl. Le Bayern réduit l’écart à la 74e, sur une volée lointaine d‘Arturo Vidal. Munich reste leader mais ne compte plus que trois points d‘avance sur le RB Leipzig.

Auteur
Reuters

 




Le syndicat dénonce « la répression féroce et sauvage » des travailleurs à Alger

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Satef

Le syndicat dénonce « la répression féroce et sauvage » des travailleurs à Alger

Le Syndicat autonome des travailleurs de l’éducation et de la formation (Satef) nous a fait parvenir le communiqué suivant

« Ne dit-on pas qu’un âne ne deviendra jamais un cheval de course !

 Ne dit-on pas qu’un pouvoir dictatorial ne deviendra jamais démocrate !

 Alger bouclée. Alger en état de guerre !

Le SATEF partie prenante de l’intersyndicale et membre actif dans la journée de protestation organisée à Alger, tient à dénoncer d’une façon la plus énergique la répression sauvage dont ont été victimes les manifestants qui sont venus exprimer pacifiquement leur mécontentement contre la loi sur la retraite, le code du travail et pour défendre le pouvoir d’achat.  

La répression féroce et sauvage à l’encontre de nos militants et de tous les travailleurs est inadmissible et démontre de la panique dont est pris ce pouvoir qui excelle dans le génie du mal et de la répression.

Des enseignantes, des médecins, des enseignants et des algériens de tous les secteurs ont été tabassés et embarqués pour des destinations inconnues.

 Cela est inadmissible dans une Algérie libre et indépendante. Nous ne pouvons tolérer ces dépassements, comme nous tenons à dénoncer les soient-disant « députés » de la majorité qui ont vendu leurs âmes au diable contre de l’argent.

 L’histoire retiendra le combat de chaque acteur et sa place dans le combat pour la démocratie et pour l’intérêt du peuple.

 Au moment où certains font l’histoire, d’autres se font de l’argent sur le dos des algériens.

Le Satef tient à remercier les députés de l’opposition qui ont été présents avec nous à la grande poste et dans les commissariats.

 Les syndicats autonomes ont brisé le mur de la peur en ce mois de novembre symbole d’une révolution grandiose et ils sont déterminés à continuer le combat pour défendre les intérêts des travailleurs.

L’Algérie est à la croisée des chemins et les syndicats autonomes sont prêts à assurer et à assumer leurs rôles et à prendre leurs responsabilités pour une construction d’une Algérie prospère où beaucoup de mères ont soufferts.

A toute fin utile, nous tenons à remercier toutes les travailleuses et travailleurs qui ont répondu favorablement à notre appel.

Comme nous tenons à remercier tous nos amis(es) de la presse qui ont tenu à nous accompagner dans notre combat dans la quête de la vérité et nous tenons aussi à dénoncer la violence dont ils ont été victimes dans l’accomplissement de leur travail                                                                                                          

P/ Le bureau national élargi, Le Secrétaire Général : Boualem Amoura

Alger Le 25/11/2017

 

 




Les pratiques douteuses du FLN, la déconfiture du RND et la montée du FM

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Batna

Les pratiques douteuses du FLN, la déconfiture du RND et la montée du FM

Dans la commune de Ouled Ammar relevant de la daïra d’El-Djazzar, quatre centres de vote ont été fermés suite au trafic des urnes au profit du FLN. Résultat ? Les citoyens se sont soulevés et ont affiché leur mécontentement. Une bagarre homérique a eu lieu entre les militants du parti Front Moustakbel (FM) et ceux du parti FLN.

La commune d’El Madher aussi, a connu la même situation, sauf qu’ici les militants ont exprimé leur colère en provoquant un Sit-in

Quant au parti d’Ahmed Ouyahia, il connaît sa pire crise. L’ensemble des militants et cadres du parti RND de Batna ont quitté le parti depuis les dernières élections de députation en avril dernier. Ils accusent le chef local (SG) du RND de sectarisme, voire de régionalisme primaire. “Il est le seul à prendre des décisions et choisit les personnes de sa région non seulement à la tête des listes mais pratiquement ensemble des candidats”, nous confie un militant.

Devant cet état de fait, la plupart des militants ont quitté le RND pour rejoindre le Front Moustakbel. Résultat ? Le candidat Beloumi Nordine, un militant dynamique, s’est retrouvé tête de liste au front El Moustakbel. Au dépouillement, sa liste a remporté 5 sièges suivi de Benamar Abdelkrim. Député au Front Moutakbel (FM), Abdelkrim Benamar était le 1er à quitter le RND avant les élections d’avril dernier et s’est trouvé député au front El Moustakbel. Ali Gouri, lui aussi lésé au RND, s’est retrouvé tête de liste à Ouled Ammar (commune de Djezzar) Ramzi Yaiche, tête de liste dans la commune d’El Hassi rafle la mise en remportant la totalité des sièges. Le Dr Yahiaoui (FFS) remporte 12 sièges à Ain Touta. Lui aussi est un transfuge du RND qu’il a quitté récemment. .A noter que la plupart des militants du RND menacent et ont quitté le RND.

En résumé, le FLN a raflé la mise au prix de pratiques douteuses, obtenant la première place avec 34 sièges à l’APC et 23 sièges à l’APW. Le RND a eu 5 sièges à l’APC ET 10 sièges APW. El Moustakbel 5 sièges APC et 9 sièges APW, une première pour un nouveau parti qui a remporté tant de sièges par les cadres lésés par le RND. Et le dernier né, le Parti de jeune (PJ) il a obtenu 5 sièges à l’APW. Une première aussi à Batna. En résumé, pour l’APC de Batna, on a 33 sièges pour le FLN, 5 pour le RND et 5 pour le FM.

Auteur
Abdelmadjid Benyahia

 




Le FLN garde le contrôle sur plus d’un tiers des APC et APW

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55 ans après l’indépendance

Le FLN garde le contrôle sur plus d’un tiers des APC et APW

 Le FLN, au pouvoir depuis l’indépendance en 1962, a remporté, malgré la perte de nombreuses municipalités, les communales et départementales en Algérie, un scrutin boudé par plus de la moitié des électeurs, selon les résultats officiels annoncés vendredi.

Son allié, le Rassemblement national démocratique (RND) du Premier ministre Ahmed Ouyahia, le suit de près en améliorant lui son score par rapport au précédent scrutin de 2012.

Le Front de libération nationale (FLN) du président Abdelaziz Bouteflika a remporté 603 des 1.541 municipalités du pays lors du scrutin qui s’est tenu jeudi, a annoncé le ministre de l’Intérieur, Noureddine Bedoui, à Alger.

Ce résultat constitue un sérieux recul, l’ex-parti unique perdant environ 400 communes sur le millier qu’il contrôlait depuis 2012.

Le FLN a remporté 30,56% des sièges des Assemblées populaires communales (APC, conseils municipaux) et 35,48% des sièges des 48 Assemblées populaires de wilayas (APW, assemblées départementales), selon les résultats officiels communiqués par le ministre.

Le RND l’emporte dans 451 communes (26,21% des sièges), soit une centaine de communes de plus par rapport aux élections locales de 2012. Il remporte en outre 527 sièges (26,3%) dans les assemblées départementales.

Le Front el Moustakbel (le Front de l’Avenir, nationaliste proche du pouvoir) remporte 71 communes, le Front des forces socialistes (FFS), plus vieux parti d’opposition, 64, le Mouvement populaire algérien (MPA, proche du pouvoir) 62, les islamistes du Mouvement de la société pour la paix (MSP) 49, et le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD, opposition laïque) 37.

Le MSP a également remporté 152 sièges (7,58%) dans les APW. Tous les autres partis obtiennent moins de 5% des sièges dans les assemblées départementales.

Moins de la moitié des électeurs se sont rendus aux urnes jeudi. Le taux de participation s’établit à 46,93% pour les communales et 44,96% pour les départementales, en légère hausse par rapport à 2012.

Suprématie des partis au pouvoir

« Ces résultats confirment la tendance des législatives de mai dernier », remportées par le FLN malgré la perte d’un quart de ses sièges, alors que le RND avait fortement progressé, selon l’universitaire Chérif Driss.

« La suprématie des partis au pouvoir, FLN et RND, se confirme mais avec un net recul du FLN. S’il reste la première force politique du pays, l’ex-parti unique a perdu son hégémonie, au profit du RND et d’autres partis proches du pouvoir comme le MPA », a-t-il expliqué à l’AFP.

Parallèlement « les partis de la mouvance islamiste poursuivent leur déclin. Le MSP (…) reste la formation islamiste la mieux classée à l’issue de scrutin. Les autres ont été quasiment laminés », a-t-il ajouté. « C’est la conséquence de la fragmentation de cette mouvance ces dernières années ».

Face à l’absence d’alternance, les Algériens ont boudé les urnes ces dernières années et la campagne des locales avait suscité peu d’enthousiasme dans ce pays jeune, dont près de 45% de la population a moins de 25 ans, mais où 30% de ces jeunes sont au chômage.

L’Algérie souffre en outre économiquement de la chute, depuis 2014, des prix du pétrole, source de 95% de ses devises, qui a notamment ralenti la croissance et fait grimper l’inflation et le chômage (12% de la population active).

Le vote a été émaillé de plusieurs incidents, a rapporté la presse algérienne vendredi, comme la présence de candidats ou militants tentant d’influencer les électeurs à l’intérieur des bureaux ou des bagarres et saccages d’urnes après des tentatives ou suspicions de fraudes.

Ces incidents n’ont pas influencé le résultat des élections, a assuré le ministre de l’Intérieur.

Auteur
AFP

 




Percée d’El Moustakbal, du MPA et maintien du FLN aux affaires

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Les leçons des élections locales

Percée d’El Moustakbal, du MPA et maintien du FLN aux affaires

 1.- Rappel des élections locales du 23 novembre 2012

Sur 1.451 communes, la majorité absolue a été obtenue dans 391 d’entre-elles, lors des élections locales du 29 novembre 2012. Selon les résultats politiques annoncés par le ministre de l’Intérieur et des collectivités locales, le Front de libération nationale (FLN) avait obtenu la majorité absolue dans 159 APC sur un total des 1451 communes, le nombre de sièges APC obtenus par le FLN étant de 7191 sur un total de 24.891, soit un taux de 28,89%, suivi du Rassemblement national démocratique (RND) avec 132 APC. Les listes indépendantes avaient obtenu la majorité dans 17 communes, le Rassemblement pour la culture et la démocratie (RCD 13), 12 au Mouvement populaire algérien (MPA) et 11 au Front des forces socialistes (FFS)., l’Alliance de l’Algérie Verte (AAV – Islamistes) 10 communes, suivie du Front national algérien (FNA) avec 9 APC et 6 pour le parti Fadjr El Djadid. A propos des résultats des élections APW, sur les 2004 sièges jeu, le FLN avait obtenu 685,suivi par le RND avec 487 sièges, le MPA (103), le FFS (91), HMS (76), les Indépendants (76), PT (72), le FNA 64 sièges, l’AAV avec 54, et 34 pour le Front El Moustakbal. A noter que le taux de participation pour les élections APC était de 44,27% et de 42,84% pour les APW. Qu’en est-il du taux de participation réel de ces élections locales en prenant en compte les bulletins nuls dont les résultats donnent une moyenne APC/APW de 1.100.000 donnant un taux moyen de 5% par rapport aux inscrits 

2.- Les élections législatives du 04 mai 2017

Le Conseil Constitutionnel pour les résultats de l’élection des membres de l’Assemblée populaire nationale (APN) au terme des législatives du 04 mai 2017 , donne un taux de participation de 35,37%, avec 8.225.223 votants sur 23.251.503 électeurs inscrits, alors que les suffrages exprimés s’élèvent à 6.468.180, tandis que les bulletins nuls sont de 1.757.043 contre un taux de participation global aux élections législatives annoncé précédemment par le ministère de l’Intérieur et des Collectivités locales était de 37,09%. Ces résultats proclamés par le Conseil constitutionnel font ressortir que le parti du Rassemblement national démocratique (RND) gagne trois nouveaux sièges, portant ainsi sa représentativité à l’APN à 100 sièges, alors que le Front de libération nationale (FLN) reste majoritaire, en gardant le même nombre de sièges (164), suivi du de l’Alliance HMS avec 33 sièges. Le parti Tajamoua amel el djazair (TAJ), conserve ses 19 sièges, ainsi que l’Alliance Nahda-Adala-Bina avec 15 sièges, le front El Moustakbal (FM) et le Front des forces socialistes (FFS) avec 14 sièges, le Mouvement populaire algérien (MPA) avec 13 sièges, le Parti des Travailleurs (PT) avec 11 sièges et le Rassemblement pour le Culture et la démocratie (RCD) avec 9 sièges. L’Alliance nationale républicaine (ANR) voit ses nombres réduits à 6 sièges alors qu’ils étaient annoncés auparavant à 8 sièges. Les bulletins nuls qui se sont établis à 2.098.324, représentent 24,60% rapportés sur le nombre de votants. Par rapport aux inscrits, nous avons le taux de 9,02% donc 28,07% qui ont voté pour les partis ou indépendants, donnant 71,93% des inscrits qui ne font pas confiance à la classe politique contre 64,70% en 2012.

3.-Les élections locales du 23 novembre 2017

Selon les données provisoires annoncées par le Ministère de l’Intérieur le corps électoral compte 22, 883 772 millions d’inscrits et le taux de participation a atteint 44,96 % pour les élections des assemblées de wilayas (APW) et 46, 83% pour les assemblées communales (APC), donnant une légère progression par rapport au taux de participation enregistré lors des élections locales de 2012 (40,92% pour les APW et 44,26% pour les APC). Les suffrages exprimés sont de l’ordre de 10,14 millions pour les APW et 10,5 millions votants pour les APC. Le nombre de bulletins nuls est de 1,8 millions dans l’élection des membres des APC et 1,08 million pour les APW, bien qu’important, une baisse relative par rapport aux nombre de votants en comparaison aux élections précédentes. Le FLN a obtenu 603 communes (30,56 %) suivi du RND avec 451 communes (26,21 %), du Front E Moustakbel 71 communes, le FFS 64, le MPA 62, le MSP 49, le RCD 37, les listes indépendantes 35 APC, TAJ 31, le FNA 27 et le Parti des travailleurs PT 17 APC. Pour les APW , le FLN a obtenu 711 sièges (35,48%) le RND avec 527 sièges (26,30), le MSP 152 sièges

4. Les huit leçons à tirer

Premièrement, le déroulement du scrutin s’est déroulé d’une manière générale dans le calme, excepté quelques cas isolés. Il faut reconnaître une meilleure participation tant par rapport aux élections locales passées que des législatives du 04 mai 2017, les citoyens ayant certainement été plus attentifs aux personnalités locales qu’ils connaissent.

Deuxièmement, cela peut être une indication pour l’élection présidentielle d’avril 2019. Nous avons une bonne tenue du parti du FLN première force politique qui devance le RND avec un score honorable, 152 élus APC et 184 élus APW , une percée d’un jeune parti le Front El Moustakbel et une régression des partis dits islamiques.

Troisièmement, pour la seconde fois dans l’histoire du pays, les corps constitués et notamment l’ANP qui avaient été pris pour cible, par certains partis affirmant à tort ou à raison à la presse et à la télévision, information reprise par les médias internationaux, qu’ils auraient contribué au bourrage des urnes ont voté en dehors des casernes afin de préserver cette institution stratégique des remous politiques, tout en reconnaissant à ses membres le droit de voter librement.

Quatrièmement, du fait du mode de scrutin, éliminant les petits partis, il serait souhaitable une dose de proportionnelle. Avec ce mode de scrutin depuis des décennies nous avons des résultats qui ne reflètent pas le poids réel, donnant la même composante politique depuis des années ce qui ne traduit pas la réalité sociale.

Cinquièmement, nous avons assisté à une campagne électorale terne avec des promesses sans lendemain sachant que l’élu local n’a aucun pouvoir de décision. Cela traduit une démobilisation importante de la population, plus accentuée pour la jeunesse traduisant le manque de confiance entre l’Etat et le citoyen. Et le grand problème est comment rétablir cette confiance. D’où l’urgence de revoir les codes de wilayas afin d’impliquer et de responsabiliser les élus locaux par une réelle décentralisation et globalement le fonctionnement tant du système politique et économique que le fonctionnement du système partisan. En effet, un nombre considérable de formations politiques ont vu le jour, souvent sans véritable programme, ni perspectives sérieuses, se manifestant ponctuellement principalement à l’occasion de rendez-vous électoraux du fait des subventions de l’État.

Sixièmement, exiger un niveau intellectuel et surtout moral de ceux qui auront à légiférer et à gérer des communes. Pourquoi pas du fait du faible niveau, à l’avenir exiger un minimum de cursus universitaire et que tout condamné par la justice ne soit pas éligible.

Septièmement, il s ‘agit de réorganiser sur des fondements démocratiques la société civile en mettant en place des réseaux intermédiaires efficaces entre l’Etat et le citoyen renvoyant d’ailleurs à une réelle décentralisation sur le plan politique et à un changement de cap de la politique économique.

Huitièmement, si l’on soustrait au taux de participation officiel, l’important nombre de bulletins nuls, le taux de participation avoisine moins de 35%.Un taux à méditer par le pouvoir politique encore que cela n’est pas propre à l’Algérie, de par le monde les citoyens tendant à de désintéresser de la politique, avec de fort taux d’abstention.

En résumé après ces élections, le citoyen et le pouvoir sont à nouveau confrontés à la dure réalité économique et sociale. Évitons l’euphorie tout en évitant le dénigrement gratuit. Un changement dans la trajectoire de la politique socio-économique et un large front pour mobiliser la population algérienne sont urgents face aux inévitables tensions budgétaires entre 2017/2020.

Résultats provisoire des APC 12 premiers du 23 novembre 2017

Résultats des APC

1.-FLN 603

2.-RND 451

3.-FRONT EL MOUSTAKBAL 71

4.-MPA 62

5.-MSP 49

6.-FFS 64

7.-TAJ 31

8.-FNA 27

9.INDEPENDANTS 35

10.-PT 17

11.-RCD 37

12.-PLJ 9

Résultats préliminaires pour les APW les 12 premiers

1.- Front de Libération Nationale ( FLN) : sièges obtenus : 711- taux : 35,48 %
2.- Rassemblement National Démocratique (RND) :sièges obtenus : 527 – taux : 26,30 %
3.- Mouvement de la société pour la paix (MSP):sièges obtenus : 152- taux : 7,58 %
4.- Front El Moustakbal : sièges obtenus : 131- taux : 6,54%
5.- Tajamou Amel El Djazair (Taj) : sièges obtenus : 91- taux : 4,54 %
6.- Mouvement populaire algérien ( MPA): sièges obtenus : 68- taux : 3,39 %
7.- Front des forces socialistes ( FFS): sièges obtenus : 63 – taux : 3,14 %
8.- Front national algérien ( FNA): sièges obtenus: 51- taux : 2,54 %
9.- Rassemblement pour la culture et la démocratie ( RCD) : sièges obtenus : 33
10.- Indépendants (INDEP): sièges obtenus : 31
11.- Parti des travailleurs (PT) : sièges obtenus : 28
12.- Le Front national pour la justice sociale :sièges obtenus : 14

 

Source Ministère Intérieur 24/11/2017

 

Auteur
Dr Abderrahmane Mebtoul, professeur d’universités

 




TLSContact explique la nouvelle procédure (Vidéo)

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Visa pour la France

TLSContact explique la nouvelle procédure (Vidéo)

Le prestataire des visas français en Algérie, TLSContact, a publié le 23 novembre, une vidéo explicative de quelques minutes, afin d’aider les demandeurs à obtenir un rendez-vous en ligne.

TLSContact, a notamment publié le message sur la page Facebook de l’organisme. « Bonjour chers demandeurs, cette vidéo a pour but de vous assister dans la procédure de la prise de rendez-vous en ligne. Nous vous rappelons qu’actuellement des rendez-vous sont mis en ligne gratuitement et quotidiennement selon les disponibilités et les instructions des consulats », pouvait-on lire notamment.

Pour rappel, les autorités françaises ont annoncé la rupture du contrat avec ce prestataire de service, qui a causé de nombreuses perturbations dans la prise de rendez-vous en Algérie. « Les autorités françaises ont décidé d’avancer la fin du contrat de prestations de service qui lient les trois consulats généraux de France en Algérie avec le prestataire TLS Contact pour le recueil des dossiers de demandes de visas. Cette décision est intervenue le 28 juin 2017. Le contrat prévoit des clauses quant à la résiliation, et cet opérateur demeure compétent jusqu’au 31 janvier 2018″, avait annoncé alors, l’Ambassade de France dans un communiqué.

 

 

Auteur
H.K

 




Une église fermée par les autorités locales à Oran

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Liberté de culte en Algérie

Une église fermée par les autorités locales à Oran

La ville d’Oran qui s’apprête à accueillir les jeux méditerranéens de 2021, s’offre une mauvaise presse, qui pourrait ternir son image. En effet, une ONG, accuse les autorités locales de  la ville d’Ain Turk de fermeture abusive d’un lieu de culte chrétien.

 » Une église située dans la ville d’Aïn Turk, au nord-ouest de l’Algérie (à 15 km de la ville d’Oran), a été fermée par les autorités locales », rapporte World Watch Monitor, un organisme qui rend compte des persécutions subit par les communautés chrétiennes dans le monde

L’église, affiliée à l’Église Protestante d’Algérie (connue sous le nom d’EPA), a été bouclée par la police le 9 novembre, rapporte le même organisme.

Les autorités d’Oran ont affirmé que l’église avait été utilisée pour « imprimer illégalement des Évangiles et des publications destinées à l’évangélisation.

La notification de la police a également déclaré que l’église n’avait pas l’approbation de l’État. Mais le président de l’EPA, l’abbé Mahmoud Haddad, a nié tout acte répréhensible, affirmant que les justifications de la fermeture de l’église étaient « infondées ».

World Watch Monitor classe l’Algérie parmi les pays  les plus répressifs pour la communauté Chrétienne dans le monde, et dénonce  « des intimidations et du harcèlement dont sont victimes les églises en Algérie. »

World Watch Monitor rapporte qu’ « En mai, la situation des droits de l’homme en Algérie a été débattue par le Conseil des droits de l’homme à Genève. La session a été suivie par le président de l’EPA, et a suscité l’espoir parmi la communauté chrétienne, qui s’attendait à des changements positifs. », mais c’est l’inverse qui s’est produit, déplore le même organisme

« De plus, les partenaires internationaux de l’EPA qui prévoient de visiter des églises en Algérie ont vu leur demande de visa refusée. », s’indigne Word Watch Monitor.

Auteur
H.K

 




L’Ontario cible les Algériens et les Marocains

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Immigration: La province canadienne ira faire sa promotion en 2018

L’Ontario cible les Algériens et les Marocains

La province de l’Ontario (Canada) voudrait accueillir plus d’immigrants francophones, et pour se faire, elle cible principalement l’Algérie et  le Maroc, et annonce la mise en place d’un programme de promotion en  2018, de la destination Ontario.

« L’Ontario vise à mettre sur pied une destination Ontario en Algérie et au Maroc l’an prochain, a annoncé la ministre des Affaires civiques et de l’Immigration, Laura Albanese, dans le cadre de la signature de la nouvelle entente Canada-Ontario sur l’immigration (ACOI), vendredi 24 novembre.», rapportait hier, ONFR, un journal électronique local de la province du groupe TFO

Mme Albanese considère que l’Ontario, qui s’est doté l’Été dernier d’un ministère des affaires francophones, malgré une faible communauté francophone (moins de 5%),  est une destination mal connu. C’est pour cette raison que « plus d’efforts seront faits pour la promotion de l’Ontario sur la scène internationale. Une demande faite par la communauté francophone depuis de nombreuses années. », explique la ministre des Affaires civiques.

«Nous allons travailler plus agressivement pour faire la promotion du Canada et de l’Ontario comme une destination», a-t-elle ajouté.

Selon l’article du ONFR, et dans le cadre « du nouvel ACOI, le gouvernement fédéral et la province de l’Ontario se sont entendus pour partager davantage d’informations afin de mieux cibler les immigrants francophones. », pouvait-on lire encore.

Selon l’entente Fédéral-province, « la cible canadienne en matière d’immigration francophone est de 4,4 %, tandis que la cible ontarienne est établie à 5 %. » Mais cela n’empêche pas le ministre de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté fédéral, Ahmed Hussen, d’afficher son optimisme. «Nous ne voulons pas seulement atteindre les cibles, mais bien les dépasser», a insisté le ministre Hussen.

Auteur
B. Karima

 




Une « aventure intellectuelle » à la croisée des chemins

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Presse écrite en Algérie

Une « aventure intellectuelle » à la croisée des chemins

La Maison de la presse à Alger.

La grève de la faim initiée la semaine dernière par la directrice du journal El Fedjr, Hadda Hazem, a donné l’occasion pour la corporation de la presse écrite d’exploiter une brèche qu’elle n’a pas pu ouvrir depuis plusieurs années. Ce ne sont pourtant pas les raisons qui manquaient pour tenter de se regrouper de nouveau et reprendre le souffle de la combativité tel qu’on l’a connu au début de cette « aventure intellectuelle » qu’est la presse indépendante. Il est vrai que, depuis ce temps de la spontanéité et de l’engagement, beaucoup d’eau a coulé sous les ponts: le terrorisme a eu sa part de macabre offrande parmi les journalistes, des fortunes se sont constituées, l’innocence des premiers jours a cédé quelque peu la place à mille et un calculs, y compris politiques, et le paysage médiatique algérien s’est diapré de mille couleurs cathodiques, tout en s’appauvrissant sur le plan du contenu et de la qualité.

Au-delà du cas spécifique d’El Fedjr et de la polémique des chiffres sur la publicité étatique qu’a reçue ce journal au cours de ces dernières années – un cas qui a quand même le mérite d’exhumer un dossier qui devait bien l’être un jour ou l’autre -, l’on se retrouve aujourd’hui, pour ce qui est de la presse écrite, devant une réalité complexe, où se mêlent et s’imbriquent des questions sociales, techniques, technologiques, culturelles et politiques.

Machine à sous et allégeance

Jusqu’en 2014, une centaine de titres étaient déposés chaque matin sur les étals des buralistes, fabriqués avec du papier importé. La longévité de certains de ces titres n’a pas dépassé quelques mois. Tant que l’argent de la publicité publique coulait à flot à l’ombre de l’embellie financière, peu de voix se sont élevées pour crier à l’injustice et à l’arbitraire du mode de distribution de cette manne. Car, qu’elle qu’en fût le niveau de discrimination entre la centaine de titres, presque tout le monde était servi. On a eu même des titres qui n’étaient créés que pour cueillir l’argent de la « machine à sous » qu’était l’ANEP. Le contenu du journal peut allègrement se réduire à deux ou trois noms ou pseudonymes qui recopiaient l’Aps ou, au mieux, signaient: « avec agences ». Le reste- actualité internationale, cuisine, littérature universelle, sciences,…- était, et demeure pour bon nombre de titres, du « copier-coller » à partir d’internet. Autrement dit, l’investissement est réduit à sa simple expression, le tirage ne dépassant pas 2.000 ou 3.000 exemplaires dont la majorité étaient des invendus.

Pour bien apprécier une telle situation, il faudrait peut-être assister au « spectacle » de ramassage des invendus dans les kiosques par les diffuseurs. La sécheresse commerciale de certains titres- et ils sont des dizaines- a amené des diffuseurs à ne plus les donner au buraliste, préférant ne pas se donner la peine de les sortir de l’estafette.

Une telle perversion de la mission de la presse est d’autant plus regrettable qu’elle a succédé à une lutte des gens du métier et de la frange la plus éclairée de la société pour accéder à une information objective et indépendante. Ce qui a donné lieu aux premiers titres de journaux, dès la signature du décret d’avril 1990 du chef du gouvernement de l’époque, Mouloud Hamrouche, portant sur l’ouverture des sociétés de presse à des personnes morales de droit privé. C’est encore plus dommageable et plus immoral lorsqu’on se remémore la liste des martyrs de la profession, au cours de la décennie de terrorisme qui a étêté la fine fleur du pays.

Devant la crise financière du pays, due à la contraction des recettes pétrolières depuis l’été 2014, le destin d’un grand nombre de journaux commençait à être remis en cause. Pire, certains titres- une soixantaine, selon le ministère de la Communication, ont déjà mis la clef sous le paillasson, et d’autres ont gelé les recrutements, réduit les salaires ou procédé à des licenciements.

Flou artistique

Aujourd’hui, la reconfiguration de la presse à la faveur de la dernière donne du marché publicitaire, ne sera pas chose aisée. L’ANEP n’a encore développé aucune stratégie ou critériologie de distribution de la proportion de la publicité étatique épargnée par la crise. Des critères, enveloppés d’un flou artistique, ont été énoncés par l’ancien ministre de la Communication, Hamid Grine, lors de ces déplacements dans les wilayas. Ces critère sont pour le moins subjectifs, baignant dans le margouillis de la stupide allégeance politique et d’autres considérations qui sont en dehors du territoire de compétence du ministère de la Communication.

Incontestablement, l’information, la communication en général, et le paysage médiatique de l’Algérie en particulier, sont en train de subir une mue radicale, dictée par le besoin d’information pour un pays constitué essentiellement de jeunes; comme elle dictée aussi par l’évolution des technologies de l’information et de la communication. Il faudra s’attendre, dans un avenir plus proche qu’on ne le pense, à des débats et des polémiques sur la publicité sur internet qui utilisera préférentiellement le support des journaux électroniques et d’autres sites commerciaux et institutionnels. Le mouvement a déjà commencé, certes timidement. Il ne tardera pas à prendre de l’ampleur, au fur et à mesure que la presse papier perd du terrain.

Le quatrième pouvoir acquiert de nouveaux sens

« Je ne me chargerai pas de gouverner trois mois avec la liberté de la presse« . Cet aveu de Napoléon, transmis par courrier à l’Autrichien Metternich, concepteur de la carte européenne au Congrès de Vienne, ne disparaîtra pas avec l’éventuelle extinction de la presse papier. Il exprime une vérité générale, celle des pouvoirs despotiques qui ne peuvent pas s’accommoder de la liberté de la parole, qu’elle passe par le canal des journaux, de la radio, de la télévision de l’internet ou des réseaux sociaux.

Le quatrième pouvoir, reconnu en tant que tel, deux siècles après l’identification des trois pouvoirs (politique, judiciaire et exécutif) depuis John Locke, Rousseau, Montesquieu,… n’est pas un vain mot ou une vue de l’esprit. En Algérie et ailleurs, il accompagnera la société dans sa marche, son évolution et le choix qu’elle fera de ses gouvernants. À la galaxie Gutenberg, décrite ainsi par MacLuhan pour parler du pouvoir de l’écrit en papier depuis la création de l’imprimerie, se substitue, graduellement mais sûrement, la révolution numérique portée par le réseau des réseaux, l’internet.

Dans le corps même de ce dernier, se dégagent des espaces spécifiques où, à l’image des réseaux sociaux (Facebook, Tweeter,…), l’individu devient acteur médiatique, contrairement à l’ancienne logique de la communication qui requérait une technologie lourde et la constitution en société. Avec les réseaux sociaux, la communication prend des ailes. Elle interconnecte tout le monde à moindre frais. Sans doute plus que jamais, le sens de la notion de quatrième pouvoir prend du sens et acquiert de la substance. Partout dans le monde, et en Algérie également.

Auteur
Amar Nait Messaoud

 




Le Barça et Chelsea confirment leur qualification

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8es de finale de la Ligue des champions

Le Barça et Chelsea confirment leur qualification

Barcelone et Chelsea ont validé mercredi leur ticket pour les 8es de finale de la Ligue des champions, tandis que l’Atletico Madrid est toujours en vie.

Le Barça de «Leo» Messi et Luis Suarez, et les «Blues» d’Eden Hazard et N’Golo Kanté rejoignent ceux qui étaient déjà qualifiés avant ce mercredi, soit le Paris SG, Bayern Munich, Manchester City, Besiktas, Tottenham, et Real Madrid. Tout ce beau monde connaîtra son menu pour la suite au tirage au sort des 8es le 11 décembre.

Longtemps Manchester United, dans le groupe A, a cru se qualifier avec un nul à Bâle, mais Lang a marqué dans les dernières minutes pour les Suisses (1-0). Jose Mourinho et Paul Pogba (premiers avec 12 points) devront attendre la dernière journée, le 5 décembre, pour tenter de s’octroyer un des deux tickets du groupe, face aux deux autres prétendants que sont Bâle et le CSKA Moscou (9 points chacun). Dans l’autre match, le CSKA Moscou a donc battu Benfica 2-0. Le Benfica (0 point) est éliminé de toute compétition européenne.

Finale

Il y aura bien une finale à Munich le 5 décembre pour déterminer qui finira premier du groupe B. Le Paris SG et le Bayern, qui étaient déjà tous deux qualifiés, ont en effet respectivement gagné contre le Celtic Glasgow (7-1) et Anderlecht (2-1). Le Celtic aura au moins eu le mérite de marquer le premier but contre le PSG dans cette saison en C1, à la 1re minute par Dembélé. Evidemment, les Parisiens n’ont pas aimé et la foudre est tombée sur les Ecossais, avec la MCN : doublé de Neymar, doublé de Cavani et but de Mbappé.

Verratti et Dani Alves ont complété la marque. Avec 24 buts marqués en phase de groupe, le PSG gagne un nouveau record qu’il peut encore améliorer à Munich. Pour le 5 décembre, avantage PSG, 1er avec 15 points devant le Bayern, 2e avec 12 unités. Pour rappel, le premier de groupe est tête de série pour le tirage des 8es et doit donc hériter d’un adversaire – a priori – aisé. Le 5 décembre, il y a aura aussi une «petite finale» pour la place de repêchage. Avantage Celtic, avec 3 points d’avance sur Anderlecht (0 point) et un match aller remporté 3-0 (c’est la différence particulière entre deux équipes qui prévaut en cas d’égalité).

Enfin !

Ouf ! L’Atletico Madrid, finaliste de la Ligue des champions en 2014 et 2016, a encore une carte à jouer ! Ce sera le 5 décembre à Londres face à Chelsea, déjà qualifié. Le problème pour Antoine Griezmann est que le match ne sera pas sans enjeu pour les «Blues» : ils doivent assurer leur première place du groupe C.

Car dans ce groupe à suspense, l’AS Rome est encore en course et peut contester aux Londoniens la pole position. «L’Atleti» peut dire merci à ses Français, ses «2G», Griezmann et Gameiro, les deux buteurs à Madrid face à l’AS Rome (2-0). De son côté, Chelsea, pour se qualifier, n’a pas fait de détail face à Qarabag, avec Willian impliqué sur tous les buts (4-0) : un doublé inscrit et deux penalties obtenus (et convertis par Hazard et Fabregas).

Sans forcer

Il a donc suffi d’un nul sans but (0-0) au Barça pour se qualifier, avec un Messi sur le banc au coup d’envoi! Une stratégie défensive payante. Le deuxième billet pour les 8es de finale se jouera donc le 5 décembre entre la Juventus et le Sporting Lisbonne, qui a battu l’Olympiakos 3-1. Les Grecs sont éliminés de toute compétition européenne.

Auteur
AFP

 




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