2 mai 2024
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Contre les politiques européennes et tunisiennes anti-migrant·es et anti-noir·es

Migrations

379 chercheur·ses et membres de la société civile prennent collectivement position contre le « Mémorandum d’entente sur un partenariat stratégique et global entre l’Union Européenne et la Tunisie » signé le 16 juillet et contre les politiques d’externalisation des frontières de l’UE. Cette tribune est publiée sur Mediapart.

En tant que chercheur·euse·s et membres de la société civile, du Sud et du Nord, nous affirmons prendre collectivement position contre le « Mémorandum d’entente sur un partenariat stratégique et global entre l’Union Européenne (UE) et la Tunisie », signé le 16 juillet 2023, et contre les politiques d’externalisation des frontières de l’UE.

Nous nous opposons également aux différentes interventions publiques du président Kaïs Saïed, du Ministère de l’Intérieur, du Ministère des Affaires Etrangères, et de plusieurs membres de l’Assemblée des Représentants du Peuple (ARP) ciblant les populations migrantes depuis février 2023.

Alors que l’alignement de la Tunisie sur les politiques d’externalisation européennes a été établi de longue date, nous dénonçons un tournant dangereux dans l’acceptation de ces politiques et des présupposés racistes qui les sous-tendent. La Tunisie affiche désormais une volonté propre de maintenir un système d’exclusion et d’exploitation des  ressortissant.e.s de pays d’Afrique subsaharienne.

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Au lieu de dénoncer cette escalade raciste, fondée sur un discours populiste et conspirationniste, dans un contexte de dérive autoritaire, les responsables européens instrumentalisent l’immigration dite irrégulière en la présentant comme un  « fléau commun ». De manière opportuniste et irresponsable, l’UE consolide le discours présidentiel et alimente la phobie anti-migrant·e·s et anti-noir·e·s, tout en véhiculant l’idée que l’UE aide la Tunisie à protéger ses frontières, et non les frontières européennes.

Nous exprimons notre pleine solidarité avec toutes les personnes migrantes et notre rejet des discours de haine de part et d’autre de la Méditerranée. En tant qu’universitair.e.s et membres de la société civile travaillant sur ces thèmes, nous souhaitons aussi contraster la désinformation diffusée en Tunisie par certain·e·s responsables politiquesjournalistes et des individus se présentant comme universitaires, qui fabriquent des argumentaires racistes dépourvus de tout fondement factuel. Il est urgent de s’interroger sur les raisons pour lesquelles des populations vulnérables sont utilisées comme boucs-émissaires afin de masquer l’échec des politiques publiques en Tunisie.

Non, les ressortissant·e·s de pays d’Afrique subsaharienne ne sont pas un « fléau » pour la Tunisie

C’est bien le communiqué de la Présidence du 21 février, faisant référence à « des hordes de migrants subsahariens » menaçant la « composition démographique » du pays, qui déclenche de violentes attaques ciblant les personnes noires, ainsi que des arrestations arbitrairesexpulsions de domicile et licenciements abrupts. Alors que plusieurs ambassades ont organisé des rapatriements, beaucoup ont fui par la mer – le nombre de naufrages ainsi que le nombre de décès ou disparitions au large des côtes tunisiennes a drastiquement augmenté pendant cette période.

Quelques centaines de personnes dorment encore devant les bureaux de l’Organisation Internationale pour la Migration (OIM) et du Haut-Commissariat des Nations-Unies pour les Réfugiés (UNHCR) à Tunis, demandant une réinstallation ou évacuation vers des pays sûrs.

Début juillet à Sfax, ces attaques s’intensifient à nouveau après le décès d’un citoyen tunisien imputé à un ressortissant subsaharien, précédé du décès d’un Béninois poignardé à mort. Dans un contexte de diffusion de discours de haine décomplexés, les forces de sécurité tunisiennes procèdent à des rafles à Sfax, déportant au moins 1200 ressortissant·e·s subsaharien·ne·s aux frontières avec la Libye et l’Algérie, dans des zones désertiques militarisées non accessibles. Sans eau, sans nourriture, souvent violenté·e·s, beaucoup ont fait parvenir leurs images de détresse – une réalité niée par le Ministère de l’Intérieur. Au moins 20 morts ont été confirmés par diverses sources à ce jour, un nombre probablement fortement sous-estimé.

Derrière les catégorisations racialisantes de « subsaharien·ne·s », « africain·ne·s » ou de « migrant·e·s irrégulier·ère·s », on retrouve des étudiant·e·s, des travailleur·euse·s, des réfugié·e·s et demandeur·euse·s d’asile, des personnes venues pour raisons médicales, des personnes qui attendent leurs cartes de séjour depuis des années, ainsi que des personnes qui n’ont pas pu sortir du territoire afin de renouveler leurs visas.

La diversité des parcours et des statuts, et l’humanité des personnes se retrouvent invisibilisées. Nombre de ces personnes n’arrivent pas à se régulariser du fait d’un cadre législatif obsolète et incohérent, et de procédures administratives lentes et complexes. De la même façon que pour les ressortissant.e.s tunisien·ne·s en Europe, leur migration est rendue irrégulière par des lois et pratiques qui classifient les populations du continent Africain en migrant·e·s « désirables » et « indésirables » et qui criminalisent une grande partie de sa jeunesse. À l’opposé, le séjour irrégulier des migrant·e·s occidentaux – assez répandu en Tunisie dû aux mêmes dysfonctionnements – n’est pas vu comme un problème sécuritaire.

De surcroît, rien ne permet d’affirmer que les travailleur·euse·s migrant·e·s sont responsables de la dégradation de l’économie tunisienne, tel que le suggèrent les discours xénophobes. A l’instar de nombreux tunisien·ne·s, ils et elles sont en réalité exploité·e·s, exposé·e·s à la précarité et à la vulnérabilité alimentaire. La crise économique actuelle trouve plutôt sa source dans le manque de perspectives économiques, les politiques d’austérité soutenues à l’international, la gestion de la dette publique, ou encore l’incapacité de l’État à remédier aux inégalités socio-économiques.

Non, le Mémorandum avec l’UE ne protège pas la souveraineté tunisienne

Dans ses interventions publiques, le président Kaïs Saïed semble défendre la souveraineté de la Tunisie, déclarant que le pays n’accepterait pas de devenir « un pays de réinstallation » pour les migrant·e·s expulsé·e·s d’Europe, un « pays de transit, ou un lieu d’établissement », ou d’être réduit au rôle de gendarme de l’UE.

Or, le Mémorandum, dans lequel l’UE s’engage à fournir un appui financier pour la gestion des frontières, démontre pourtant que le gouvernement continue d’intégrer des objectifs de politiques européennes en s’engageant pleinement dans la sécurisation des frontières de l’UE. Le président maintient ainsi le même cours d’actions que ses prédécesseurs, et pourrait même aller plus loin dans l’externalisation, puisque l’accord mentionne un « système d’identification et de retour des migrants irréguliers déjà présents en Tunisie vers leurs pays d’origine ». Cela suggérerait le développement de l’approche « hotspot », selon laquelle les flux migratoires sont gérés aux frontières extérieures de l’UE, dans des pays comme la Tunisie, en empêchant tout accès au continent européen. Alors que le gouvernement affirme refuser l’établissement des migrant·e·s subsaharien·e·s, la fermeture des frontières participe à leur confinement en Tunisie.

Non, ni les populations tunisiennes ni européennes n’y trouveront leur compte

Dans la continuité des accords migratoires conclus avant et après 2011, ce Mémorandum a été signé de façon non transparente, sans consultation des parlementaires, des syndicats ou de la société civile. Il n’inclut ni de garanties précises quant au respect des droits fondamentaux, ni de mesures de suivi sur l’utilisation des dons alloués aux forces de sécurité tunisiennes.

L’UE persiste ainsi dans la volonté de donner un blanc-seing à la Tunisie, une stratégie d’autant plus irresponsable qu’elle est inefficace. Tant que les causes socio-économiques structurelles de la migration dite irrégulière ne sont pas impactées, et que l’accès à la mobilité n’est pas radicalement repensé, l’approche sécuritaire ne fait que rendre les traversées plus meurtrières et renforcer les passeurs.

Le Mémorandum va amplifier l’asymétrie dans l’accès à la mobilité et aux opportunités entre l’UE et la Tunisie, notamment  en contribuant à ce que l’on appelle la « fuite des cerveaux », et à des modèles économiques qui nourrissent les causes de la migration et des inégalités. Les vagues contreparties proposées par l’UE, telles que la facilitation des visas et les “partenariats de talents”, ont déjà été promises à la Tunisie sans jamais se concrétiser. L’externalisation des frontières européennes affecte ainsi l’ensemble des migrant·e·.s « non désirables » du continent, les tunisien·e·s tout comme les ressortissant·e·s d’autres pays africains.

Par ailleurs, la volonté affichée du Mémorandum de « préserver la vie humaine » est peu crédible alors que près de 27.000 personnes sont mortes ou disparues en Méditerranée depuis 2014, du fait même des politiques européennes de retrait et de criminalisation du sauvetage en mer.

La seule façon de véritablement mettre les intérêts et la dignité des tunisien·ne·s et des ressortissant·e·s du continent Africain en avant est d’établir une écoute et un dialogue constructif avec les populations tunisiennes et non-tunisiennes directement concernées, les diverses associations qui les représentent, les acteur·trice·s sociaux, et la communauté scientifique.

Ces dialogues devraient faire émerger une réflexion collective sur les solutions politiques face à l’actuel régime meurtrier des frontières, en abordant les migrations comme un droit et une richesse pour tou·te·s.

Signataires :

  • Waed Abbas, Amnesty International, Palestine
  • Ahmed Abbes, directeur de recherche au CNRS, France
  • Maha Abdallah, chercheur et défenseur des droits de l’homme, Palestine
  • Ahmad Abdelfattah, défenseur des droits humains, Égypte
  • Maha Abdelhamid, Chercheuse associée, CAREP, Fondatrice de VFTN, France/Tunisie
  • Héla Abdeljaoued, médecin, militante de la société civile, Tunisie
  • Hichem Abdessamad, Historien et traducteur, membre de l’Association Nachaz-Dissonances, Tunisie/France
  • Razakou Aboubakari, AEI, Section Togo, Togo,
  • Bayan Abubakr, doctorant, Université de Yale, États-Unis
  • Dorina Achelaritei, Mediterranea Berlin e.V., Allemagne
  • Fatna Afid, Chercheuse en sociologie des migrations, Maroc
  • Michel Agier, directeur d’études, EHESS, France
  • Hala Ahed, avocate et défenseure des droits de l’homme, Jordanie
  • Lotfi Aïssa, professeur d’enseignement supérieur, Université de Tunis, Tunisie
  • Nadia Leïla Aissaoui, sociologue et militante féministe, France
  • Ismahan Ait, Messaoud, doctorante et chargée de cours en droits des femmes et justice de genre, Algérie
  • Firat Ak, opérateur de services juridiques en matière de migration, Italie
  • Yasmine Akrimi, doctorante en sciences politiques, Belgique/Tunisie
  • Solenn Al Majali, doctorante en anthropologie, Jordanie
  • Muhammad al-Kashef, Migreurop, Allemagne
  • Ali Alaspli, chercheur, Libye
  • Hilal Alkan, chercheur, Leibniz Zentrum Moderner Orient, Allemagne
  • Tewfik Allal, militant associatif de l’émigration algérienne en France, France
  • Ali Alzein, Abeilles et réfugiés, Royaume-Uni
  • Hayet Amamou, Université de Tunis, Tunisie
  • Anne-Laure Amilhat Szary, Professeur, Université Grenoble Alpes, France
  • Hassane Ammari, Association des migrants en situation de vulnérabilité, AMSV, Oujda/Maroc
  • Haifa Aousji, étudiante, Tunisie
  • Najet Araari, chercheur, Tunisie
  • Arthur Asseraf, Université de Cambridge, Royaume-Uni
  • Nada Awad, coordinatrice du plaidoyer, Suisse
  • Mohamed Wajdi Aydi, Avocat à la Cour de Cassation, Expert en Gouvernance Locale et Migration, Sfax/Tunisie
  • Habib Ayeb, Professeur émérite, Université Paris 8, Fondateur de l’Observatoire de la souveraineté alimentaire et de l’environnement, OSAE et réalisateur, Tunisie
  • Valentina Azarova, Centre autonome de recherche féministe, collectif de:border//migration justice, Grèce
  • Alexandra Azua, Avocats pour la justice en Libye, Royaume-Uni
  • Lisa Baggris, étudiante, Sciences Po Bordeaux, France
  • Wafa Bahri, Université du Colorado à Denver, États-Unis
  • Viviane Baladi, directrice de recherche, CNRS, France
  • Mounira Balghouthi, chercheur en philosophie, Tunisie
  • Marie Pierre Ballarin, Directrice de recherche, Institut de recherche pour le développement, France
  • Sami Bargaoui, Université La Manouba, Association Sentiers-Massarib, Tunisie
  • Hafsi Bedhioufi, maître de conférences, Université La Manouba, Tunisie
  • Jihene Belgasmi, Amnesty International, Tunisie, Tunisie,
  • Sara Bellezza, doctorante, Université libre de Berlin, Allemagne
  • Mahamadou Bello, Adamou, Doctorant, Université Abdou Moumouni de Niamey, Niger
  • Romdhane Ben Amor, FTDES, Tunisie
  • Slim Ben Arfa, militant politique et civique, Tunisie
  • Mohamed Ben Ghazi, Libya Crimes Watch, Libye
  • Asma Ben Hadj Hassen, doctorante, Université de Bayreuth, Tunisie
  • Fathi Ben Haj Yahia, Ecrivain et traducteur, membre de l’Association Nachaz-Dissonances, Tunisie
  • Rim Ben Ismail, Institut Supérieur de Gestion de Tunis, Tunisie
  • Monia Ben Jemia, Académicien, Tunisie
  • Asrar Ben Jouira, président de l’association Intersection pour les droits et libertés, Tunisie
  • Riadh Amine Ben Mami, Doctorant, Université d’Aix-Marseille, Tunisie/France
  • Rim Ben Said, scientifique des données, Japon
  • Sarra Ben Said, Association Aswat Nissa, Tunisie
  • Raja Ben Slama, professeur dans l’enseignement supérieur, Tunisie
  • Mohamed Slim Ben Youssef, Université de Lille, Tunisie
  • Fayçal Benabdallah, Président de la FTCR, France
  • Malika Benarab Attou, ex-eurodéputée, France
  • Daniel Bendix, professeur, Université adventiste de Friedensau, Allemagne
  • Yohanan Benhaïm, Résident scientifique en charge des études contemporaines, Institut Français d’Études Anatoliennes (IFEA), France/Turquie
  • Omar Berrada, écrivain et universitaire, Maroc
  • Sophie Bessis, Historienne, Tunisie/France
  • Juliette Billiet, Université de Gand, Belgique
  • Sophie-Anne Bisiaux, Migreurop, France
  • Azizou Chehou, Coordonnateur, Alarm Phone Sahara, Agadez Niger
  • Daniela Cornelia Bodini, associée chez Todo Cambia, Italie
  • Souad Bouattour, ATFD-Association tunisienne des femmes démocrates, Tunisie
  • Hassen Boubakri, CeTuMA, Tunisie
  • Hanene Bouchoucha, Nawazi Organization for Gender Studies, Libye
  • Hajer Bouden, Traductrice, membre de l’Association Sentiers-Massarib, Tunisie
  • Ismahen Bourugaa, responsable du plaidoyer, Tunisie
  • Catey Boyle, doctorante, Harvard University, États-Unis
  • Richard Braude, Arci, Porco Rosso, Italie
  • Xavier Bresnu, Actif dans diverses ONG tunisiennes et internationales, Tunisie
  • Michel Broué, Professeur émérite, Université Paris Cité et Institut Universitaire de France, France
  • Mellouki Cadat-Lampe, chercheur principal, Movisie, Pays-Bas
  • Claude Calame, directeur d’études, EHESS, Paris, France
  • Riccardo Campochiaro, avocat, Italie
  • Clara Capelli, économiste, Université de Bethléem, Palestine
  • Marco Capriata, avocat, ASGI, Italie
  • Anna Carastathis, co-directrice, Centre autonome de recherche féministe, Grèce
  • Julie Carlier, Université de Gand, Ghent Center for Global Studies, Belgique
  • Caterina Carmassi, avocate, Italie
  • Fanélie Carrey-Conte, Secrétaire générale, La Cimade, France
  • Marlies Casier , Professeur invité, Université de Gand, Belgique
  • Jean-Pierre Cassarino, Collège d’Europe, Pologne
  • Yerko Castro Neira, Université ibéro-américaine, Mexique
  • Delphine Cavallo, Ingénieur Conception, Université d’Aix-Marseille, France
  • Rula Chadid, Directrice, Suède
  • Taoufik Chairi, Association, ADAM, Tunisie
  • Monique Chastanet, Historienne, CNRS, France
  • Hanen Chebbi, Université de Sfax, Tunisie
  • Henda Chennaoui, chercheuse en sociologie et militante féministe, Tunisie
  • Mouhieddine Cherbib, Comité pour le respect des libertés et des droits de l’homme en Tunisie, CRLDHT, France
  • Hazem Chikhaoui, professeur de philosophie, Tunisie
  • Yves Chilliard, directeur de recherche, INRAE, retraité, France
  • Yacine Chitour, Professeur, Université Paris-Saclay, France
  • Kaddour Chouicha, enseignant, universitaire, syndicaliste et militant des droits de l’homme, Algérie
  • Sofiane Chouiter, Centre Justitia pour la protection juridique des droits humains en Algérie, Canada
  • Paola Colasanto, avocate, Italie
  • Petros Constantinou, KEERFA-Mouvement uni contre le racisme et la menace fasciste, Grèce
  • Edgar Córdova, Anthropologue, CIESAS-Mexico, membre du réseau MADAR, Mexique
  • Francesco Correale, Historien, CNRS, Tours, France
  • Adriana Costa Santos, Chercheuse, Université Saint-Louis, Bruxelles, Belgique
  • Paolo Cuttitta, Université de Gênes, Italie
  • Ahmed Dahmani, universitaire retraité, Algérie
  • Leïla Dakhli, CNRS, France
  • Jocelyne Dakhlia, Historienne, EHESS, France
  • Dalal Daoud, Université de Waterloo, Canada
  • Sonia Dayan-Herzbrun, Professeur émérite, Université Paris Cité, France
  • Nicholas De Genova, Université de Houston, États-Unis
  • Herman De Ley, professeur émérite, Université de Gand, Belgique
  • Armando Maria De Nicola, Avocat, ASGI, Italie
  • Cristina Del Biaggio, Université, Grenoble Alpes, France
  • Monique Dental, Présidente, fondatrice du réseau féministe « Ruptures », France
  • James Dickins, Université de Leeds, Royaume-Uni
  • Karima Direche, directrice de recherche, CNRS, France
  • Hüseyin Dişli, doctorant, Université du Kent, Turquie/Royaume-Uni
  • Mohsen Dridi, militant associatif, France
  • Emna Drissi, Pacte de solidarité des entreprises, Tunisie
  • Victor Dupont, IREMAM, France
  • Hans-Georg Eberl, Afrique-Europe Interact, Vienne
  • Imane Echchkkhi, Alarmphone, Maroc
  • Meriam El ayeb, militante, chercheuse en droit de l’environnement, Tunisie
  • Nadia El Fani, réalisatrice cinématographique, France
  • Amel El Fargi, enseignante universitaire, Tunisie
  • Chouki El Hamel, professeur, Arizona State University, États-Unis
  • Salma El Hosseiny, défenseuse des droits humains et avocate, Égypte
  • Mahdi Elleuch, Legal Agenda – Tunisie, Tunisie
  • Mohamed Elsayeh, doctorant, France
  • Philippe Enclos, enseignant-chercheur de droit retraité, Université de Lille, syndicaliste, France
  • Sonia Fayman, sociologue indépendante, France
  • Sahar Fdhila, Université de Sfax, Tunisie
  • Lorenzo Feltrin, chercheur, Université de Birmingham, Royaume-Uni, Royaume-Uni
  • Wahid Ferchichi, professeur de droit, Université de Carthage, Tunisie
  • Valeria Ferraris, Université de Turin, Italie
  • Veronica Ferreri, boursière Marie Curie, Université Ca’ Foscari, Venise, Italie
  • Abdelouhab Fersaoui, militant politique, Algérie
  • Chérif Fetjani, Professeur honoraire, Université Lyon 2, France
  • Ornella Fiore, avocate, Turin, Italie
  • Mostafa Fouad, HuMENA pour les droits humains et l’engagement civique, Belgique
  • Yosra Frawes, féministe et ancienne présidente de l’Association tunisienne des femmes démocrates, Tunisie
  • Michèle Frigerio, Chercheur, CNRS France
  • Dorra Frihi, Étudiante en Master Recherche, Université Ca’ Foscari de Venise et Université Paul-Valey Montpellier 3, Tunisie/Italie
  • Filippo Furri, Mimétis, France
  • Nouran Gad, doctorant, Université d’Aix-Marseille, France
  • Ahmed Galai, Pdt, Solidarité Laïcs-Méditerranée, Tunis Tunisie
  • Alejandro Gamez Selma, Cabinet d’avocats Red Jurídica, Espagne
  • Paola Gandolfi, Université de Bergame, Italie
  • Reem Garfi, Association Mnemty, Tunisie
  • Wael Garnaoui, Enseignant-chercheur, Groupe de recherche en études frontalières, Université de Sousse, Tunisie
  • Naïké Garny, doctorante, KU, Louvain, Belgique
  • Jean-Luc Gauthero, Université Côte d’Azur, France
  • Vincent Geisser, Président du Centre d’études et d’information sur les migrations internationales, France
  • Marco Gerbaudo, doctorant, Université Bocconi, Italie
  • Ilaria Giglioli, Université de San Francisco, États-Unis
  • Stefano Giovannelli, Étudiant, Master, Droit, Italie
  • Katja Girr, chercheuse, Université de Bonn, Allemagne
  • Caterina Giusa, Sociologue, Université de Bretagne Occidentale, France
  • Martina Giusti, avocate, Italie
  • Michael Gomez, Université de New York, États-Unis
  • Shyla Gonzalez-Dogan, Université d’État de l’Arizona, États-Unis
  • Neve Gordon, Université Queen Mary de Londres, Royaume-Uni
  • Isabelle Grangaud, directrice de recherche, CNRS, France
  • Sharan Grewal, professeur, William & Mary, États-Unis
  • Alessandra Grisoni, Sociologue, Coopération internationale, Italie
  • Leslie Gross-Wyrtzen, chargée de cours, Université de Yale, États-Unis
  • Katharina Grüneisl, Université de Nottingham, Royaume-Uni
  • Zeineb Guéhiss, militante féministe et associative, Tunisie
  • Mouldi Guessoumi, Sociologue, professeur et chercheur, Université de Tunis, Tunisie
  • Asma Guezmir, maître de conférences, Université de Tunis, Tunisie
  • Jeanne Guien, Chercheuse, indépendante, France
  • Huda Haider, P2P, Achat Tui, Tunisie
  • Ahlem Hajaji, Université La Manouba, Tunisie
  • Salah Hamdoun, candidat au doctorat, Arizona State University, États-Unis
  • Mohamed-Dhia Hammami, doctorant, Université de Syracuse, États-Unis
  • Cyrine Hammami, Association pour la promotion du droit à la différence, Tunisie
  • Naoufel Hammouda, Association pour la Protection des Zones Humides du Sud Tunisien, Tunisie
  • Shahd Hammouri, maître de conférences en droit, Université du Kent, Royaume-Uni
  • Maher Hamoud, Université de Louvain (KUL), Belgique
  • Abdulsalam Hamtoun, Assemblée de rédaction de la Constitution Libye, Libye
  • Nabila Hamza, Sociologue, Tunisie
  • Maher Hanin, chercheur, Forum tunisien des droits économiques et sociaux), Tunisie
  • Fouad Hassam, Défenseur des droits humains, LADDH, Algérie
  • Samuel Hayat, Chercheur, CNRS, Sciences Po, France
  • Abderrahmane Hedhili, Président du FTDES, Forum tunisien des droits économiques et sociaux, Tunisie
  • Sonja Hegasy, ZMO, Allemagne
  • Helena Heuckmann, citoyenne indépendante, Allemagne
  • Roua Hkiri, Étudiante en Master Recherche en Histoire Contemporaine, Coordinatrice de projet à la Fédération des Tunisiens pour la Citoyenneté des Deux Rives, Tunisie
  • Hanelore Hubert, Citoyenne indépendante, Belgique
  • Rachid Idir, militant du PST, Algérie
  • Omar Jabary, Salamanque, ULB, Belgique
  • Astrid Jamar Senior Postdoctoral Fellow, Université d’Anvers, Belgique
  • Noureddine Jebnoun, Fellow, Center for Contemporary Arab Studies, Walsh School of Foreign Service, Georgetown University, Washington, D.C., États-Unis
  • Ahmed Jemaa, chercheur et militant indépendant, Tunisie
  • Kamel Jendoubi, Président honoraire, EuroMed droits, Tunisie/France
  • Alagie Jinkang, Dr., Université de Bologne, Italie
  • Emna Jla, ville tunisienne, Tunisie
  • Chris Jones, Statewatch, Royaume-Uni
  • Balint Josa, Directeur, UNITED for Intercultural Action, Hongrie
  • Jeanette Jouili, Université de Syracuse, États-Unis
  • Eberhard Jungfer, Dr., Migration-Control.Info Project, Allemagne
  • Mahmoud Kaba, Etudiant-chercheur, Université Centrale de Tunis, Guinée
  • Yasmine Kacha, chercheuse en droits humains, Algérie
  • Hassan Kadano, Aman Against Discrimination (AAD), Libye
  • Barak Kalir, Université d’Amsterdam, Pays-Bas
  • David Karvala, auteur, militant antiraciste et membre de Marx21.net, Espagne
  • Mehdi Kassou, directeur général, Belrefugees, Belgique
  • Assaf Kfoury, professeur d’informatique, Université de Boston, États-Unis
  • Nour Khalil, consultante et chercheuse sur les politiques migratoires et frontalières, Égypte
  • Samiha Khelifa, Université La Manouba, Tunisie
  • Mohamed Khenissi, Militant, association, Tunisie
  • Stephen King, professeur de gouvernement, Université de Georgetown, États-Unis
  • Enrique Klaus, maître de conférences, Université Côte d’Azur, France
  • Malte Kleinschmidt, Dr., assistant de recherche, Université Leibniz, Hanovre, Allemagne
  • Ali Kniss, Activiste et chercheur, Tunisie
  • Ermira Kola, assistante sociale, Italie
  • Monica Komer, candidate au doctorat, Université du Wisconsin, États-Unis
  • Mousa Kouri, Aman contre la discrimination, Libye
  • Christian Kwongang, AESAT-Association des étudiants et stagiaires africains en Tunisie), Tunisie
  • Ville Laakkonen, doctorante, Université de Tampere, Finlande
  • Souad Labbize, auteur, traductrice, France
  • Perrine Lachenal, CNRS, France
  • Daniela Lafratta, avocate, ASGI, Italie
  • Nadège Lahmar, chercheuse en droits humains, France/Tunisie
  • Thomas Langlois, Lest, France
  • Chokri Latif, président, Organisation contre la torture en Tunisie, Tunisie
  • Chiraz Latiri, Enseignant-Chercheur, Université La Manouba, Tunisie
  • Loïc Le Pape, MCF, Université Paris 1, Panthéon-Sorbonne, France
  • Michèle Leclerc-Olive, chercheuse retraitée, CNRS, France
  • Philippe Leclercq, Secrétaire LDH Saint-Dié-des-Vosges, France
  • M’hamed Limam, Médecin, dentiste, Tunisie
  • Chiara Loschi, Chercheuse, postdoc, Université de Bologne, Italie
  • Tigs Louis-Puttick, directeur, Reclaim The Sea, Royaume-Uni
  • Marta Luceno Moreno, Chercheuse, associée, Gender&Feminist Lab, Université de Liège, Tunisie/Belgique/Espagne
  • Sara M., chercheuse et défenseure des droits de l’homme, Égypte
  • Asher M. Dinanga, directeur commercial, République démocratique du Congo
  • Sihem Mabrouk, avocate, Tunisie
  • Insaf Machta, Académicien, critique de cinéma et président de l’Association Sentiers-Massarib, Tunisie
  • Andrea Maestri, avocate des droits de l’homme, Italie,
  • Noemi Magugliani, chargée de cours en droit, Kent Law School, de:border//migration justice collective, Royaume-Uni
  • Jasmin Mahazi, Dr., Leibniz-Zentrum, Moderner Orient, Allemagne
  • Corine Maitte, professeur d’histoire moderne, présidente de l’Association française d’histoire des mondes du travail, France
  • Ziad Majed, politologue, professeur d’université, Université américaine de Paris, France
  • Patrizia Mancini, militante et blogueuse, Tunisie
  • Souad Mani, Assistante, Université de Sousse, artiste plasticienne et présidente de l’association Delta, Tunisie
  • Carol Mann, Chercheuse, Associée, Université de Paris 8, France
  • Farouk Mardam Bey, Editeur, France
  • Faycal Marjane, Responsable RH, Pologne
  • Khaoula Matri, Faculté des Lettres et Sciences Humaines de Sousse, Tunisie
  • Federica Mazzara, chercheuse titulaire en études culturelles, Université de Westminster, Royaume-Uni
  • Emmanuel Mbolela, ARCOM – association des réfugiés et des communautés migrantes au Maroc, Maroc
  • Oumayma Mehdi, Agenda Juridique-Tunisie, Tunisie
  • Maler Meister, Points d’action pour le climat, Allemagne
  • Ihsan Mejdi, Université d’Exeter, Tunisie
  • Imed Melliti, Professeur de Sociologie à l’Université de Tunis El Manar, Tunisie
  • Aziz Messaoudi, Transparence Maroc, Maroc
  • Sandro Mezzadra, Université de Bologne, Italie
  • Michel Mietton, Professeur émérite, Université de Lyon, France
  • Jamal Mimouni, Professeur, Université de Constantine 1, Constantine, Algérie
  • Mostafa Minawi, professeur associé, Cornell University, États-Unis
  • Giorgia Mirto, doctorante, département d’anthropologie, Columbia University, Italie
  • Khadija Mohsen-Finan , enseignante universitaire et chercheuse, France
  • Ismael Montana, Université du nord de l’Illinois, États-Unis
  • Mathilde Montpetit, étudiante à la maîtrise, New York University, États-Unis
  • Mariana Mora, professeure associée et chercheuse, CIESAS, Mexique
  • Idrissou Mora-Kpai, Ithaca College, États-Unis
  • Scott Morgan, Red Eagle Enterprises, États-Unis
  • Laura Morreale, doctorante, Université de Pérouse, Italie
  • Basma Mostafa, journaliste, Allemagne
  • Inès Mrad Dali, Chercheur, Tunisie
  • Beth Munro, Organisation, Tunisie
  • Fuad Musallam, chercheur, London School of Economics, LSE, Royaume-Uni
  • Ahmed Mustafa, Libya Crimes Watch, Libye
  • Huda Mzioudet, Université de Toronto, Canada
  • El Idrissi Nacer, Président, Association des travailleurs maghrébins de France, France
  • Sofian Philip Naceur , Journaliste, Tunisie
  • Falestin Naïli, Historien, France
  • Zahra Nakhli, ATFD, Association tunisienne des femmes démocrates, Sousse, Tunisie
  • Noura Nasser, doctorante en sociologie, London School of Economics, Royaume-Uni/Liban
  • Mamadou Niang, Chef du Service Migration, CGTM, Mauritanie
  • Firas Njah, chercheur en études sur la migration, militant des droits de l’homme, Tunisie
  • Joël Noret Professeur, Université Libre de Bruxelles, Belgique
  • Rashid Novaire, Auteur, Ambo-Anthos Pays-Bas, Pays-Bas
  • Laura Odasso, Maître de conférences temporaire, Université Paris Cité URMIS, ICM, Collège de France, France
  • Fatma Omar, Organisation, El-Tahalof for Legal Aid, Libye
  • Mohamed Omran, Centre d’Appui à la Transition Démocratique et aux Droits Humains), DAAM, Egypte/Tunisie
  • M’hamed Oualdi, Professeur, Sciences Po, France
  • Ergün Özgür, Dr., Université libre de Berlin, Allemagne
  • Selim Ozkan, Arizona State, University et Yildiz Technical University, Türkiye
  • Chiara Pagano, Université de Graz, Italie/Autriche
  • Christine Pagnoulle, Université de Liège, Belgique
  • Arthur Paillet, Étudiant, Université Paris-Dauphine-EHESS, France
  • Shreya Parikh, Sciences Po Paris et UNC-Chapel Hill, France/Inde
  • Christopher Parker, Université de Gand, Belgique
  • Alberto Pasquero, avocat, Italie
  • Marie-Anne Paveau, Professeur, Sorbonne Université Paris Nord, France
  • Clément Perarnaud, VUB, Belgique
  • Gerhild Perl, professeur auxiliaire, Université de Trèves, Allemagne
  • Delphine Perrin, chercheuse à l’IRD, France
  • Lorenzo Pezzani, professeur associé, Université de Bologne, Italie
  • Mariette Pfister, Université Sorbonne Nouvelle, Paris, France
  • Donato Pianoforte, avocat, Italie
  • Jakob Plaschke, Journaliste et chercheur, Tunisie/Danemark
  • Olivier Pliez, directeur de recherche, CNRS, France
  • Audrey Pluta, IREMAM, France
  • Chanda Prescod-Weinstein, professeure associée, Université du New Hampshire, États-Unis
  • Dominique Prochasson, Professeur associé retraité, Université Paris Cité, France
  • Anna Proserpio, avocate, Italie
  • Christelle Rabier, EHESS, France
  • Aissa Rahmoune, FIDH, Algérie
  • Ali Raiss-Tousi, Université Birkbeck de Londres, Royaume-Uni
  • Luca Ramello, OnBorders, Italie
  • Vaughn Rasberry, professeur agrégé d’anglais, Université de Stanford, États-Unis
  • Carina Ray, professeure associée, Université du Michigan, États-Unis
  • Hamadi Redissi, Professeur, Université de Tunis, Tunisie
  • Peter Rees, Goldsmiths College, Université de Londres, Royaume-Uni
  • Paola Rivetti, Université, Dublin, Irlande
  • Eric Ross, Université Al Akhawayn, Ifrane, Maroc
  • Ahlem Rouatbi, militante des droits de l’homme, France
  • Betty Rouland, Institut Convergences Migrations, France
  • Rasha Saba, responsable des programmes Moyen-Orient et Afrique du Nord, Royaume-Uni
  • Salam Said, chercheur, Allemagne
  • Abdallah Said, président d’association, Tunisie
  • Karim Salama, militant des droits de l’homme, Libye
  • Mariam Salehi, chercheuse, Université libre de Berlin, Allemagne
  • Stefan Salomon, Université d’Amsterdam, Pays-Bas
  • Simone Santorso, chargée de cours, Université du Sussex, Royaume-Uni
  • Emily Sarsam, Indépendante, Tunisie
  • Leandros Savvides, KISA – Égalité, soutien, antiracisme, Chypre
  • Marta Scaglioni, chercheuse postdoctorale, Université Cà Foscari, Venise, Italie
  • Albert Scherr, professeur, Université de l’éducation, Fribourg, Allemagne
  • Benedetta Schiavone, assistante sociale, Italie
  • Moya Schiller, Seebrücke, Allemagne
  • Sherene Seikaly, UCSB, États-Unis
  • Mahder Serekberhan, doctorant, Syracuse, Université, États-Unis
  • Jonathan Shannon, professeur, Université de New York, États-Unis
  • Rachel Sieder, CIESAS, Mexico, Mexique
  • Arthemis Snijders, Université de Gand, Belgique
  • Federica Sossi, Université de Bergame, Italie
  • Lokman Soua, Flahm, Tunisie,
  • Claire Speiser, Ingénieur, France
  • Manon Sprumont, Ville indépendante, Belgique
  • Ulrich Stege, avocat/membre du corps professoral, Collège universitaire international de Turin (IUC), Italie
  • Pouessel Stéphanie, Chercheuse et militante, Tunisie
  • Maurice Stierl, Dr., Université d’Osnabrück, Allemagne
  • Andreas Stoiber, Université d’Amsterdam, Pays-Bas
  • Jocelyne Streiff-Fénart, directrice de recherche émérite, CNRS, France
  • David Suber, candidat au doctorat, University College London, UCL, Italie/Royaume-Uni
  • Khaled Tabbabi, Chercheur en Sociologie, Faculté des Sciences Humaines et Sociales de Tunis, Tunisie
  • Alaa Talbi, chercheur en histoire, Tunisie
  • Ikram Tebai, étudiant en master en études migratoires, Institut supérieur des sciences humaines de Tunis, Tunisie
  • Adrien Thibault, Chercheur postdoctoral en science politique, Université de Strasbourg/IRMC, Tunis, France
  • Alexis Thiry, conseiller juridique, MENA Rights Group, Suisse
  • Jalel Tlili, Universitaire, Université Tunis El Manar, Tunisie
  • Merzoug Touati, Journaliste, Algérie
  • Julien Truddaiu, Citoyen Solidaire, Belgique
  • Lewis Turner, chargé de cours en politique internationale, Université de Newcastle, Royaume-Uni
  • Gert Van Hecken, professeur associé, Université d’Anvers, Belgique
  • Sixtine Van Outryve, doctorante en droit, UCLouvain, Belgique
  • Eric Verdeil, Professeur, Sciences Po Paris, France
  • Giulia Vicari, avocate des droits de l’homme, ASGI, Italie
  • Izabela Wagner, professeur de sociologie, Université Paris-Ville, URMIS, France
  • Khaled Wahli, Aman contre la discrimination, Libye
  • Carole Wenger, Université de Liège, Belgique
  • Lilia Weslaty, Adala Pour Tous, Tunisie
  • Souad Yacoubi, militante, Amnesty International, Tunisie
  • David Yambio, Réfugiés en Libye, Libye/Tunisie,
  • Franck Yotedje, directeur exécutif, Afrique Intelligence, Tunisie
  • Valentina Zagaria, Anthropologue, Université de Manchester, Tunisie/Royaume-Uni
  • Cecilia Zagaria, chercheuse postdoctorale, Université de Wageningen, Pays-Bas
  • Ikbal Zalila, Université La Manouba, Tunis, Tunisie
  • Najet Zammouri, Professeur, Première Vice-Présidente de la LTDH-Ligue Tunisienne des Droits de l’Homme, Tunisie
  • Sami Zemni, Professeur, Université de Gand, Département d’études sur les conflits et le développement, Belgique
  • Nessim Znaien, professeur junior, Université de Marburg, Allemagne
  • Nazzarena Zorzella, avocate, ASGI, Italie
  • Hamadi Zribi, militant, Tunisie

 

2 Commentaires

  1. pourquoi protester contre l’accord UE-Tunisie et ne pas le faire contre l’accord UE-Maroc ?
    En fait pour on a refusé le prêt de 1,9 milliards à la Tunisie qui avait fait sa demande depuis plus d’un an et on a accordé un prêt de 5 milliards au Maroc ?

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